à peine le nouveau Président américain a-t-il fini de
prononcer son discours d’investiture, où il a promis d’éradiquer
« l’islamisme terroriste radical », que Rached Ghannouchi, un des chefs
de la confrérie des Frères musulmans, et président du parti Ennahdha en Tunistan (ex Tunisie),
tenta, dans une déclaration adressée à ses ouailles, de les rassurer, se
faisant ainsi l’exégète du nouveau Messie américain « Trump » et
prétendant que ce dernier compte « éradiquer le terrorisme et non pas
l’Islam ».
Cet empressement, qui s’est précisé à Davos où Rached Ghannouchi aurait dépensé 400.000 euros pour y assister, en voulant donner une autre interprétation à un discours que toute la planète a compris dans le vrais sens, celui qui met tous les courants de l’Islamisme dans le collimateur de la nouvelle administration américaine, traduit en fait, le désarroi des islamistes tunisiens, qui savent pertinemment que leur parti est visé par la nouvelle politique américaine. Ce ne sont pas les élucubrations de Rached Ghannouchi sur « l’Islam démocrate », concept aussi vide de sens que de parler de christianisme ou de judaïsme démocrate, qui changeront quoi que ce soit à la nouvelle donne politique américaine vis à vis de l’Islam politique, toutes obédiences confondues.
Cet empressement, qui s’est précisé à Davos où Rached Ghannouchi aurait dépensé 400.000 euros pour y assister, en voulant donner une autre interprétation à un discours que toute la planète a compris dans le vrais sens, celui qui met tous les courants de l’Islamisme dans le collimateur de la nouvelle administration américaine, traduit en fait, le désarroi des islamistes tunisiens, qui savent pertinemment que leur parti est visé par la nouvelle politique américaine. Ce ne sont pas les élucubrations de Rached Ghannouchi sur « l’Islam démocrate », concept aussi vide de sens que de parler de christianisme ou de judaïsme démocrate, qui changeront quoi que ce soit à la nouvelle donne politique américaine vis à vis de l’Islam politique, toutes obédiences confondues.
Ennahdha rattrapé par son passé terroriste : Le congrès de Khartoum !
Depuis que l’ex ambassadeur américain en Tunisie Jacob Walles, avait
convoqué Rached Ghannouchi pour lui signifier que des membres du
Congress américain comptent déposer une loi en 2013 contre la secte des
Frères Musulmans, dont Ennahdha est membre et son leader, une des
personnalités les plus influentes. Ce dernier a saisi la gravité de ce
danger et a commencé à multiplier les déclarations, affirmant que le
parti Ennahdha n’a rien à voir avec les Frères, ni avec l’Islam
politique. Alors qu’une grande partie des dirigeants nahdhaouis refusait
de quitter le pouvoir, ainsi que tout dialogue avec Nidaa à l’époque
récemment crée, et poussait vers l’adoption d’une constitution islamiste
et de la loi qui bannit les destouriens, R. Ghannouchi fit un volte
face spectaculaire et alla jusqu’à menacer les récalcitrants qu’ils
risquent de renouer avec l’exil et les prisons, s’ils ne le suivent pas
dans sa nouvelle stratégie : La leçon égyptienne fût bien comprise.
Mais ce n’est pas pour sa politique intérieure qu’ Ennahdha est
menacée par la nouvelle stratégie américaine, annoncée par Trump, où les
USA comptent éradiquer « le terrorisme islamiste radical ». Le texte de
loi proposé par des membres des deux chambres du parlement américain
depuis 2014, et bloqué par l’administration Obama, qui comptait parmi
ses conseillers pour le monde arabe des membres de cette confrérie, a
été déposé à nouveau quelques jours avant l’investiture de Trump, et le
parti Ennahdha figure bel et bien parmi les organisations dépendantes
des « Frères ». Le discours d’investiture de Trump établit comme
priorité la guerre totale pour exterminer le terrorisme islamiste dont
Daech et Al-Qaïda ne sont que des figures de proue. Un des conseillers
d’origine arabe de Trump Walid Fares, a même déclaré le lendemain de la
victoire de son patron que « Les Frères musulmans » seront considérés
comme une organisation terroriste et que la nouvelle administration
américaine va accélérer le passage de la loi. Trump, lors de sa campagne
électorale, a déclaré considérer les « Frères » comme des terroristes.
Le texte de loi se réfère, pour établir la liste, au congrès de
Khartoum de 1991 de l’Internationale terroriste, réuni par Hassan
Tourabi, qui avait pris le pouvoir grâce à un coup d’état au Soudan,
congrès où étaient présents, Ben Laden, Abu Nidal le palestinien, Carlos
(trahi ensuite par Tourabi, qui l’a remis aux français), et Rached
Ghannouchi, dont les discours appelaient à déclarer le Djihad contre le
Grand Satan, l’Amérique ! Des vidéos de ces discours sont réapparues sur
des sites américains. L’on sait que c’est, suite à la fondation de
cette internationale terroriste, que Ben Laden avait commencé à faire
exploser des ambassades américaines en Afrique, jusqu’à finir par
l’attentat du 11 Septembre 2001 contre les Twin Towers. Or une puissance
comme les USA ne pardonne jamais à ses ennemis, et il suffit de se
rappeler des cas de Saddam Hussein et de Khaddafi. La loi classant les
frères musulmans comme terroristes aura ainsi, des conséquences
terribles sur les membres de cette organisation. Ils seront pourchassés,
partout dans le monde, leurs biens gelés et confisqués dans toutes les
banques, des procès leurs seront organisés, sans parler des chasses
meurtrières par les drones, pour ceux qui choisissent de porter les
armes.
Aucun pays au monde ne pourra les protéger, au risque d’être lui même
classé État terroriste. Le terrorisme islamiste radical est déclaré
ennemi numéro un des USA. La chasse aux sorcières commencera bientôt à
l’intérieur et à l’extérieur du pays yankee !
Ennahdha a peur, très peur !
La panique qui a saisi les dirigeants des frères musulmans dans le
monde n’a pas épargné Ennahdha. Les consignes données aux cadres de ce
parti, de ne pas critiquer Trump et sa nouvelle croisade anti-islamiste,
et de continuer à délivrer un discours mielleux à l’égard des partis
laïques tunisiens et à faire les yeux doux à ses adversaires tout en
continuant à courber l’échine à BCE, visent à déminer le terrain, car R.
Ghannouchi espère être protégé par le parapluie des modernistes
pro-Ennahda, sous le slogan ô combien fallacieux ce Wifaq ! Slogan vidé
de tout contenu dans la pratique quotidienne, car tout le monde sait qu’
Ennahdha est incapable de se muter en parti politique « normal »! Il
reste un parti salafiste radical qui manipule des satellites comme Hizb
attahrir et certains observateurs le soupçonnent d’avoir des liens avec
les takfiristes. En tout cas, ses dirigeants entretenant des liens avec
Ansar al-sharia, sont toujours membres de ses différentes directions. Et
même R.Ghannouchi qui veut passer pour un « modéré » est monté en ligne
pour défendre le retour des terroristes de Syrie sans qu’ils soient
jugés par la loi anti-terroriste. En outre l’assassinat d’un de ses
membres, un certain Zouari, qui était en même temps dirigeant de l’aile
militaire du Hamas, ne fait que confirmer que ce parti entretien des
liens mystérieux avec des groupes armés et pas seulement palestiniens.
Un autre exemple, ses liens avec fajr libya et le sulfureux Abdelhakim
Belhadj ainsi que les frères musulmans libyens, organisation terroriste
par excellence.
Un ex allié d’Ennahdha, Néjib Echebbi a déclaré récemment qu’
Ennahdha a très peur et bat en retraite sur tous les plans, en utilisant
un proverbe tunisien : « Donnez moi mon couffin, je n’ai plus besoin du
raisin ». Mais l’arrogance verbale de ses membres continue à provoquer
leurs adversaires, ainsi que leur fourberie érigée en mode d’être. Ils
continuent à infiltrer partout, espérant créer des relais puissants au
sein de l’administration, notamment la police à travers des réseaux
occultes. C’est là où les islamistes commettent une grave erreur. Car,
ce qu’ils appellent « l’État Profond » est toujours là et plus fort que
jamais ! Plus que ça, en raison de ce qu’ils ont commis pendant six
ans d’exactions, de chantage, de violence ne sera jamais effacé. La
seule chance qu’ils avaient de tourner la page, en votant la loi sur la
réconciliation, a été ratée et tant mieux. Ce n’est pas leurs
sous-fifres, qui agitent et manipulent la loi de la justice
transitionnelle qui leur serviront à grand chose, car ils seront à leur
tour balayés ! Les Marzougui [1] et les Abbou disparaîtront ou se
retourneront contre eux. Ils ne leurs resteront alors, que leurs yeux
pour pleurer.
Contrairement à des pseudo-analyses qui tentent de minimiser l’effet
Trump, sur la politique intérieure tunisienne, les faits et les
événements, qui vont crescendo, confirment que jamais la Tunisie n’a
été aussi exposée aux conséquences d’un réajustement de la géostratégie
mondiale, surtout que l’ours russe s’approche de nos frontières Sud [et Est],
avec cette fois-ci la bénédiction américaine. La zone va être
complètement remodelée et ce n’est pas le laboratoire du « printemps
arabe », qui va être épargné ! Nous dirons même qu’encore une fois, ce
laboratoire va encore servir pour enterrer définitivement ce maudit
« printemps ». Vive l’Hiver !
Revenants du jihad : «Ils ne sont plus tunisiens»
Confrontée au retour possible de milliers de ses
ressortissants engagés au sein des groupes islamistes terroristes opérant en
Syrak et ailleurs, la Tunisie est divisée sur l’attitude à adopter.
Rejet ou bien accueil et déradicalisation ? La première solution est
défendue par les pouvoirs publics, l’autre par des associations
et des islamistes.
La Tunisie a
peur de ses revenants. Non pas des fantômes de l’ancien régime - pas encore -
mais des combattants islamistes qui ont rejoint des groupes terroristes.
En 2015, un rapport des Nations unies estimait leur nombre à au moins 5.500, répartis
surtout en Syrie, Irak et Libye. Le ministère de l’Intérieur les dénombre à un
peu moins de 3.000. Si ces données sont difficilement vérifiables, il
reste deux faits : les
Tunisiens forment le gros des troupes terroristes islamistes étrangères
et le phénomène n’est pas récent. Depuis quelques semaines cependant, le sujet
est sur toutes les lèvres. C’est le président, Béji Caïd Essebsi, qui a lancé
la polémique lors de son séjour en France début décembre, déclarant que le pays
ne pourrait pas accueillir les présumés terroristes car les prisons sont
surchargées. L’attentat de Berlin du 19 décembre, commis par le Tunisien
Anis Amri, a ajouté de l’huile sur le feu.
«Pas la poubelle de l’Allemagne»
A l’appel d’un
collectif ayant pour slogan «Non aux retours des terroristes», deux
manifestations ont déjà eu lieu à Tunis. Le 8 janvier, un tout petit
millier de personnes s’est réuni avenue Bourguiba, principale artère du
centre-ville. Dans la langue de Goethe, on pouvait y lire : «Angela Merkel, la
Tunisie n’est pas la poubelle de l’Allemagne.» Élégant manteau et chapeau
assorti pour l’une et maquillage sophistiqué pour l’autre, Sayda Hédri et Aida
Bousselmi n’ont pas l’habitude de battre le pavé, pourtant, leur verbe est
tranchant : «Ils ne sont plus tunisiens ! Ils ont choisi de prêter
allégeance au drapeau noir de l’État islamique, c’est eux-mêmes qui ont décidé
de trahir la Tunisie. Qu’ils soient jugés où ils sont.» Ces
deux dames chics venues de Bizerte, à 70 km au nord de Tunis, ne sont pas
hostiles à créer des apatrides (ce qui est proscrit par l’article 25 de la
Constitution), brandissant la peur d’«années noires» tunisiennes,
comme a pu connaître l’Algérie dans les années 90. Pour les manifestants,
Anis Amri, tout comme Mohamed Lahouaiej Bouhlel, l’auteur tunisien de
l’attentat de Nice, sont d’abord les enfants monstrueux de l’Europe, où ils se
sont radicalisés. Un discours relayé par le chef de l’État, le 12 janvier,
qui a affirmé que «la Tunisie n’est pas le premier exportateur de
terroristes au monde» devant des étudiants de l’Institut d’études politiques
de Paris. Le Syndicat national des forces de sécurité intérieure brandit, lui,
la menace d’une «somalisation» de la Tunisie en cas de retour de ces
combattants.
Chercheur
associé à l’Institut universitaire européen de Florence, Mohamed Limam considère
le non-retour des terroristes comme juridiquement inenvisageable. La révision
de l’article 25 («Aucun citoyen ne peut être déchu de la nationalité
tunisienne, ni être exilé ou extradé, ni empêché de revenir dans
son pays») est impossible car le pays n’a toujours pas de Cour
constitutionnelle, seule instance capable d’entériner une telle
modification. Mais pour l’expert, le problème est surtout dans la loi contre le
terrorisme de 2015. Elle s’appuie sur le concept de «criminalité
transnationale», qui est un «non-sens car les juges n’ont pas de
compétence universelle pour juger un acte commis hors des frontières»,
s’alarme Mohamed Limam. Pour lui, la seule solution serait que ces Tunisiens
soient jugés par la Cour pénale internationale (CPI), à condition que le
Parlement achève la procédure de ratification du traité de Rome qui
instaure la CPI…
Depuis son
bureau de chef du groupe parlementaire de Nidaa Tounes, le parti présidentiel,
Soufien Toubal balaie ces arguments juridiques. Il promet que sa formation déposera prochainement une
proposition de loi pour empêcher le retour des jihadistes et permettre la
déchéance de nationalité. Devant «ces bombes à retardement»,
l’élu préfère le pragmatisme sécuritaire aux libertés, même fondamentales. Bien
que député du Front populaire, parti d’opposition classé à gauche, Mongi Rahoui
est quasiment sur la même ligne. «Organiser le retour des jihadistes
revient à légitimer leur départ, c’est impensable.» L’élu a toute
confiance envers les forces de sécurité pour arrêter les «quelques
centaines» de Tunisiens prêts à commettre un attentat s’ils venaient à
rentrer clandestinement sur le territoire.
Une confiance
qui n’est pas partagée par tous. Esma Hamzaoui, ancienne militante de Nidaa
Tounes, craint la «wahhabisation de [son] pays car [elle le sent]
basculer», c’est pour ça qu’elle refuse le retour des «Tunisiens en
foyers de tension», selon l’expression consacrée par l’administration.
En 2015, après les attaques du Bardo et de Sousse, le gouvernement a lancé
un «système d’obstacles» composé d’eau et de sable pour sécuriser la
frontière d’environ 460 km avec la Libye, d’où les terroristes avaient reçu un
entraînement. Aujourd’hui, seule la première phase de 200 km est achevée. La
seconde n’a pas encore commencé.
«Cette question
est le premier test pour la démocratie tunisienne, met en garde Emna
Ennaifer, directrice de programmes au Centre pour l’étude de l’islam et la
démocratie (CSID). Sous les précédents régimes, le problème était
réglé par la torture. Il faut une autre approche.» En février, le CSID
lancera un projet s’inspirant de la méthode canadienne développée au «Centre de
prévention de la radicalisation menant à la violence». Il s’agit
de repérer les «revenants» susceptibles de passer à l’acte. Si ceux qui
sont partis rejettent la démocratie, ils ne sont pas tous
des terroristes en puissance. «Il est important de bien
différencier les types de salafistes, quiétistes ou violents, pour
cerner les vrais comportements à risque», met en garde Emna Ennaifer.
Mohamed Iqbel Ben Rejeb, président de Ratta (Rescue Association of
Tunisians Trapped Abroad), estime que les familles doivent aussi profiter
d’un suivi, notamment psychologique car «elles sont souvent
stigmatisées par le voisinage et l’administration alors qu’elles n’ont rien
fait». L’activiste se désole de l’absence de stratégie des autorités
en ce sens.
Rupture des liens entre Tunis et Damas
Distinguer les
formes d’islamisme, aider les futurs revenants et leurs familles ne sont pas la
priorité des partisans de la ligne dure. Ces derniers assimilent volontiers Ennahdha, parti
islamo-conservateur appartenant à la coalition majoritaire, et terrorisme. «C’est
eux qui, durant la troïka [gouvernement de coalition entre 2011 et 2014, ndlr],
ont incité les jeunes à partir en Syrie. Maintenant, ils leur promettent le
pardon, c’est scandaleux», s’indigne Abdulwahab Maiza, professeur
d’histoire.
Walid Bennani,
député Ennahdha de Kasserine, région d’où de nombreux terroristes islamistes
sont originaires, défend son parti. «Au début de la troïka, Ansar al-Charia
n’était pas sur la lise des groupes terroristes, leurs chefs [dont Abou Iyadh,
ndlr] avaient donc le droit de prêcher librement.» Walid Bennani plaide
pour un retour des terroristes afin de les interroger avant de les mettre en
prison, isolés des détenus de droits commun pour «éviter la contagion».
Mais la rupture
de la coopération sécuritaire entre la Tunisie et la Syrie, où se trouve la
majorité des combattants tunisiens, complique ce scénario. «Pour juger
quelqu’un, il faut des faits précis, souligne Ridha Raddaoui, du Centre
tunisien de recherches et d’études sur le terrorisme. C’est impossible dans
le cas de la Syrie.» Pour lui, il suffirait qu’un prévenu nie les faits
pour être relâché. Lotfi Azzouz, directeur de la section Tunisie d’Amnesty
International, insiste sur la question sociale. «Le Président a raison
quand il dit que les prisons sont surchargées. La première mesure à prendre
serait peut-être de réformer le code pénal, trop répressif»,
analyse-t-il. Il met en garde contre un autre clivage à venir : le sort
des femmes et des enfants. La plupart des femmes n’ont pas combattu,
certaines ont même été victimes en servant de «femmes de réconfort», [c'est-à-dire de putes gratuites pour les terroristes
islamistes]. Comment les traiter ? Les bébés nés là-bas sont un
véritable casse-tête administratif. La loi permet à la mère tunisienne de
transmettre sa nationalité à son enfant. «Mais il existe un risque
que l’administration bloque cette procédure par représailles»,
craint « le défenseur des droits de l’homme [et des terroristes]».
Meherzia Laabidi, Sihem Ben Sedrine et Samia Abbou, les vipères,
Caricature de Abdelhamid Hanafi
. Meherzia Laabidi, députée et ancienne première vice-présidente de la 2e assemblée constituante tunisienne. Membre active de la secte terroriste Ennahdha.
. Sihem Ben Sedrine, présidente de l'Instance Vérité et dignité. C'est une marionnette de Rached Ghannouchi, gourou de la secte terroriste Ennahdha.
. Samia Abbou, députée du parti Courant démocratique. Elle est l'une des 10 députés qui n’ont pas voté la loi de lutte contre le terrorisme et le blanchiment d’argent en 2015.
NOTE : Ces vipères au service des terroristes et leurs complices ne représentent pas les femmes tunisiennes.
Caricature de Abdelhamid Hanafi
. Meherzia Laabidi, députée et ancienne première vice-présidente de la 2e assemblée constituante tunisienne. Membre active de la secte terroriste Ennahdha.
. Sihem Ben Sedrine, présidente de l'Instance Vérité et dignité. C'est une marionnette de Rached Ghannouchi, gourou de la secte terroriste Ennahdha.
. Samia Abbou, députée du parti Courant démocratique. Elle est l'une des 10 députés qui n’ont pas voté la loi de lutte contre le terrorisme et le blanchiment d’argent en 2015.
NOTE : Ces vipères au service des terroristes et leurs complices ne représentent pas les femmes tunisiennes.