Un rapport intrigant
du Service des renseignements étrangers (SVR) circulant au Kremlin affirme
aujourd'hui que le président élu Donald Trump "a explosé de colère froide"
hier, après qu'une équipe spécialisée d'infiltration de la CIA a tenté d'entrer
dans l'une des agences de sécurité nationale NSA, l’une des plus sécurisés du
Lower Manhattan (New York) au début de la matinée. Cette tentative d’intrusion
musclée a abouti à des affrontements armés entre les «agents armés» de ces deux
organisations d'espionnage américains laissant au moins 1 blessé.
Selon ce
rapport, les analystes de la surveillance électronique du SVR ont détecté hier
une «communication de détresse» par satellite cryptée émanant de la station d'écoute top-secret de la NSA
nommée TITANPOINTE
(anciennement appelée Long Lines Building) dans le Lower Manhattan. Cette communication a été instantanément suivie
d'une série de "communications chiffrées par satellite "
émanant du siège de la CIA à Langley, en Virginie.
L'analyse SVR de ces
«communications» NSA-CIA montre que, vers 4 h 15 (heure de New York (GMT-4)
hier, une équipe spécialisée d'infiltration de la CIA a tenté d'accéder au
poste d'écoute de la NSA situé à TITANPOINTE, 33 rue Thomas, mais elle a été rapidement repoussée par des agents armés de
la NSA qui ont ensuite donné la chasse aux intrus, résultant dans une bataille armée
c qui s'est terminée à l'intersection des rues
Essex et Hester à 04:35 heures. Cet échange de tirs a entraîné, au moins, un blessé à l'épaule, qui a été immédiatement admis à l'hôpital
new-yorkais-presbytérien, mais a refusé de parler aux policiers locaux.
Près de 10 heures
après cette bataille NSA contre CIA, le président élu Trump a été informé par
le régime d'Obama que son briefing de renseignement planifié sur la "fausse
nouvelle", concernant le prétendu piratage russe, a été annulé et
reprogrammé. Ce qui a entraîné une explosion de colère froide de Trump, qui a
écrit sur Twitter: "Le briefing concernant le prétendu "hacking
russe" a été retardé jusqu'à vendredi, peut-être plus leur faut-il plus de
temps pour construire un cas. Très étrange!"
En parlant du
« cas du hacking russe », le président élu Trump faisait référence
dans son Tweet, tourne autour des courriels de l'ancien président de la campagne Hillary
Clinton, John
Podesta, qui ont été publiés par
Wikileaks. Or, le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, a déclaré plusieurs fois que ni la Russie, ni aucun organisme
étatique ne lui ont fourni ces emails.
Cette fable de « hacking
russe » est apparue peu de temps après la publication des courriels de
Podesta en octobre dernier (2016), l'agence de presse russe Sputnik News
avait mal interprété un courriel unique, mais a rapidement corrigé son erreur. Profitant de cette bévue, près de 4000 journalistes propagandistes
américains soutenant la Clinton, ont saisi l’occasion pour décréter
que tous les emails publiés étaient faux,
amis ils ont échoué.
Le journal américain Newsweek et son écrivain adorateur de Hillary Clinton, Kurt Eichenwald, commencèrent alors à envoyer des centaines de
courriels et des Tweets pour tromper un grand nombre de personnes en disant
avoir trouvé la preuve que: 1) les documents du Les archives
WikiLeaks ont été modifiées; 2) La Russie a mis des faux dans les fichiers
WikiLeaks; 3) Sputnik connaissait les fichiers WikiLeaks à l'avance, avant leur
affichage en ligne; 4) WikiLeaks a coordonné la publication des documents avec
le gouvernement russe; Et 5) le gouvernement russe et la campagne Trump se sont
coordonnés pour attribuer faussement les paroles d'Eichenwald à Blumenthal.
Dans les 24 heures qui
suivent l'envoi par Eichenwald de ses emails et de ses Tweets, mais sans
fournir sa «preuve russe», ce rapport note, le 7 octobre, que le
Département de la Sécurité intérieure (DHS) du régime Obama a publié un
document intitulé Déclaration
conjointe du Département de la Sécurité Intérieure et du Bureau du Directeur du
Renseignement National sur la sécurité électorale qui déclare en partie: «Certains États (américains) ont récemment
vu le balayage et le sondage de leurs systèmes électoraux qui, dans la plupart
des cas, provenaient de serveurs exploités par un Société russe. Cependant,
nous ne sommes pas en mesure d'attribuer cette activité au gouvernement russe. "
A partir du 7 octobre,
lorsque le Département de la Sécurité intérieure (DHS) du régime Obama a émis
cette affirmation réfutant les allégations de "piratage Russe"
d'Eichenwald, les analystes du SVR dans ce rapport expliquent qu'aucune autre fausse
allégation contre la Russie n'a été faite par les États-Unis, jusqu’à la
semaine précédant le vote du Collège électoral (le 19 décembre) qui allait confirmer Donald Trump comme le
prochain président des États-Unis.
Et depuis cette date
jusqu'à maintenant, le régime Obama, Hillary Clinton et les médias
américains de propagande ont continué à maintenir l'un des plus grands et des
plus malhonnêtes mensonges politiques jamais vu dans l'histoire américaine. Ce
mensonge a commencé d'abord par des
prétendues fuites anonymes de la CIA au Washington Post alléguant le
piratage russe des courriels de Podesta. Il a culminé, de nouveau, avec le DHS qui a publié un rapport, le 29
Décembre, intitulé GRIZZLY
STEPPE - Cyberactivité malveillante russe, qui dit dans son préambule
: "Le
Département de la Sécurité intérieure (DHS) ne fournit aucune garantie de
quelque nature que ce soit, en ce qui concerne toute information contenue à
l'intérieur ». En d'autres termes, « rien de ce que vous
allez lire ne peut être vrai ».
En fait, selon ce rapport, tous les experts mondiaux s’accordent
pour dire que « le piratage russe » est une fausse nouvelle. Parmi lesquels
on peut citer Jeffrey Carr,
consultant en cybersécurité, auteur et fondateur de la conférence Suits and Spooks, qui a déclaré dans son rapport
intitulé Rapport
d'analyse conjointe FBI / DHS: A fatally Flawed Effort (un effort mortellement
irrégulier) : "l'analyse
que le rapport se contente de répertorier chaque groupe de menaces, signalé par
une société de cybersécurité commerciale, soupçonné d'avoir des liens avec
« les services de sécurité russe » sans apporter la moindre preuve de
ces supposés liens"
Voici une vidéo d’une
interview de John McAfee avec Larry King. En tant que développeur du premier
programme commercial antivirus, McAfee a été un acteur majeur de l'industrie de
la cyber sécurité depuis 50 ans. Il
est également le PDG de MGT Capital Investments et un ancien candidat à la
présidence du Libertarian Party. Basé sur toute son expérience, McAfee ne croit
pas que les Russes étaient derrière les hacks sur le Comité national
démocratique (DNC), les courriels de John Podesta et la campagne présidentielle
Hillary Clinton. Comme
il a dit «si (ce hacking) veut montrer que les Russes l'ont fait, alors je peux vous garantir
que ce n'était pas les Russes. »
McAfee affirme explique que les pirates peuvent fausser leur
emplacement, leur langue et tous les marqueurs qui pourraient les faire pister.
Tout
pirate qui a les compétences nécessaires pour pénétrer dans la DNC serait
également en mesure de cacher ses pistes, dit-il. "Si j'étais Chinois
et je voulais que cela ressemble à ce que les Russes ont fait, j'utiliserais la
langue russe dans le code, j'utiliserais les techniques russes pour entrer dans
l'organisation", a déclaré McAfee, ajoutant qu'en fin de compte, "Il
n'y a tout simplement pas moyen d'assigner une source pour une cyber attaque."
De même, Robert M. Lee,,
PDG et fondateur de l'entreprise de sécurité informatique d'infrastructure
critique Dragos, dans son rapport intitulé Critiques
du rapport GRIZZLY STEPPE de DHS / FBI, déclare que le rapport du DHS
"se lit comme un rapport fait par un mauvais vendeur peu intelligent enserrant divers aspects de l'attribution sans
preuve."
De même, le journaliste Glen Greenwald, de l’Intercept News Service, et titulaire du prix Pulitzer, qui, en examinant tous les
documents secrets de la NSA, aboutit à la même conclusion que Carr et Lee.
De même, Sam Biddle, journaliste
basé à Brooklyn, se concentrant sur la malversation et le mauvais usage de la
technologie. a critiqué les réclamations du piratage russe par le régime
DHS d'Obama en déclarant: "tout
ce que nous avons est l'allusion aux preuves, mais pas les preuves«.
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Mais malheureusement, le peuple américain ne n’est pas informé par
leurs journaux traditionnels qui colportent, la plupart du temps, des fausses
nouvelles. Ainsi, continuent-ils de mentir sur le prétendu piratage russe.
Grâce au contrôle militaire sur la NSA par le président élu
Trump, les événements qui ont eu lieu à New York hier, montrent à l’évidence
que la CIA tente de corrompre les autres services de renseignement américains.
Mais le président élu Trump connait la vérité et ne se laisse pas abuser.