Selon le
site whatdoesitmean.com,
le président Barack Obama, lors d'une conversation téléphonique avec le
président Poutine le 18/1/2016, a donné des détails incroyables comment il
(Obama) et le président élu Donald Trump avaient travaillé ensemble et en
secret pendant près de deux décennies pour détruire à la fois la Famille
Criminelle des Bush et la Famille
Criminelle des Clinton. Et lorsque Poutine a averti que cette information signifie que "Trump ou Bush devra mourir", Obama
a répondu "oui".
Après cette conversation, Obama a tout de suite ordonné à
Facebook de bannir RT (Russia Today) jusqu'à l'inauguration de Trump, et a
ordonné à Dataminr, le service de news basées
sur Twitter pour les agences de presse du monde entier, de déconnecter
complètement RT, "avec effet immédiat".
Alors que le
coup dirigé par le "Deep State" de la CIA contre le président élu
Trump approche de sa conclusion catastrophique, le "chef des
factions noires", l’ancien président George H.W. Bush panique
sérieusement.
En effet, il est de plus en plus évident que le chef
de ce "Deep State" n’est autre que George H.W. Bush, dont le père, Prescott Bush, est un
criminel de guerre nazi. Il avait dirigé le groupe satanique de banquiers et
d'industriels américains qui, en 1933, ont tenté leur «coup
d’état affairiste» contre le président
Franklin Roosevelt dans leur tentative de constituer une alliance entre les
États-Unis et l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler. Ce coup a échoué en raison des actions
rapides de l'héroïque Général des Marines, Smedley Butler. Ce
groupe s’est alors tourné vers le
financement du régime nazi, y compris durant la Seconde Guerre mondiale.
George H.W. Bush a, par ailleurs, laissé derrière lui une traînée de morts et d'horreurs
que l'Histoire retiendra. Parmi ses
« exploits » criminels, il a été le cerveau de :
- L’exécution publique du président John F. Kennedy en 1963,
- La tentative d'assassinat en 1981 de Ronald Reagan,
- l'invasion illégale, en 1989, du Panama,
- La guerre illégale du Golfe de 1990 qui était basée sur des mensonges,
- L’attaque terroriste totalement fabriquée du 11 septembre 2001
- l'invasion illégale de l'Irak en 2003, pour n'en citer que quelques-uns.
Comme de bien entendu, les maîtres du "Deep
State" ont caché au peuple américain, que la guerre illégale de George H.W. Bush en Irak, en 1990, a
provoqué la mort de plus de 73.000 soldats américains ;
et que l'invasion
illégale de l'Irak en 2003 par son
fils, George W. Bush, a tué au moins 4 millions de musulmans.
Ils cachent
aussi au peuple américain les intentions du président élu Trump d’empêcher ces
monstres d'aller encore plus loin dans leur soif de sang et de guerres contre
toute l'humanité...
Alors que
l'ancien président George H.W. Bush et son épouse Barbara se cachent maintenant
des forces loyales à Trump et sous la protection du "Deep State"
dirigé par la CIA, les médias de propagande américains rapportent qu'ils
sont tous deux à l'hôpital. Le président Poutine a déclaré au président Obama
que toute cette histoire de coup d'État ne pouvait avoir qu'un seul résultat:
l'un des chefs de ces factions opposées devrait mourir.
Or, le
rapport massif de 500 pages du 28 février 2016 du Conseil de sécurité russe établit
que le candidat à la présidence Donald Trump dirigeait un coup d’état franc-maçon
pour reprendre le contrôle des États-Unis. Dans sa conversation d’hier avec
le président Poutine, il paraît possible qu’Obama soit, lui
aussi, un franc-maçon. En plus, le président élu Trump et le président
Obama sont les
deux seuls présidents américains assermentés au pouvoir avec leur main sur la
Bible utilisée par le président Abraham Lincoln, qui a été l'un des plus
puissants francs-maçons à avoir dirigé les États-Unis.
On sait que
le président Lincoln a demandé
à être membre de la Loge maçonnique Tyrian Lodge, à Springfield (Illinois),
mais, peu après sa nomination à la présidence américaine en 1860, il
a retiré sa candidature, indiquant à la loge qu'il soumettrait de nouveau sa
demande à la fin de son mandat présidentiel. Or, les dossiers du KGB ,
issus des documents nazis allemands récupérés à Berlin au lendemain de la
Seconde Guerre mondiale, ont trouvé le nom "Abraham
Lincoln, US-P" comme membre étranger dans l’un des groupes
francs-maçons allemands les plus secrets, connu sous le nom de Grand
National Mother Lodge, “The Three Globes”.
Le fait que
le président Lincoln ait été membre d’un groupe franc-maçon allemand secret et très
puissant explique pourquoi " The Three Globes a
initié en 1861, puis maintenu une correspondance entre le tsar Alexandre-II et
Lincoln. Cela avait aussi conduit Alexandre-II
à libérer les serfs en 1861. Puis, suivant son exemple, Lincoln libéra les
esclaves noirs en 1863.
Pendant que le
vice-président Joseph Biden prononçait, il y a quelques heures, un sombre discours
à Davos (Suisse) avertissant que «l'ordre
mondial démocratique progressiste est en danger d'effondrement», les principaux
médias de propagande américains avertissent
qu'un drone va bombarder l'inauguration de Trump. Pour préparer l’opinion
américaine au pire, CNN
annonce que si le président élu Trump est assassiné avant qu'il ne puisse prêter
serment, le président Obama sera en mesure de choisir le prochain président.
Il est clair
que, depuis l’époque d'Alexandre-II et du président Lincoln qui avaient sauvé les
États-Unis, cette nation n’a jamais été en péril comme aujourd’hui, et, en fonction
de la mort probable qui sera annoncée dans les prochains jours, le résultat
reste «gravement incertain».
Obama lance une bombe: « Les courriels n’ont
pas été piratés par la Russie »
Le président
Obama a lâché une bombe lors de sa dernière conférence de presse, admettant que
les emails du Parti Démocrate (DNC) publiés par Wikileaks furent divulgués de
l'intérieur du DNC, et non pas piratés par la Russie.
Ainsi donc,
Obama vient d'appeler Hillary Clinton, l'establishment
démocrate et les grands médias, qui ont tous essayé frénétiquement de
convaincre le monde que les Russes l'ont fait, un paquet de menteurs.
Obama dit
qu'il n'a pas "commenté WikiLeaks en général" et que les
"conclusions de la communauté du renseignement concernant le piratage
russe n'étaient pas concluantes"
Pour Craig
Murray, un auteur et diffuseur, le commentaire d'Obama a clarifié que le
gouvernement des États-Unis "n'a aucune preuve de comment WikiLeaks a
obtenu le matériel DNC."
La
déclaration d'Obama est importante, poursuit M. Murray, parce qu'elle
«affaiblit le flot de sottises totalement ineptes qui est sorti des services de
renseignement américains ces deux derniers mois, dans lequel une série de
suppositions ont été mises ensemble pour faire des affirmations infondées, puis
qui ont été répétées encore et encore dans les médias traditionnels. "
Se référant
aux courriels "qui ont été divulgués" et non aux serveurs qui ont été
piratés, Murray ajoute, « Obama semble être d'accord avec plusieurs
experts sur ce sujet, ce qui montre clairement que toute l'épreuve tournant
autour de l'ingérence alléguée russe dans les élections présidentielles 2016
est un écran de fumée. »
Murray n'est pas le seul. William Binney, un
dénonciateur qui a précédemment travaillé en tant que directeur technique de la
National Security Agency (NSA), a également déclaré que cet incident n'était
pas un hack. C'était une fuite.
Si cela
avait été un hack, dit Binney, la NSA serait en mesure de fournir au public des
détails concernant l'attaque réelle. Mais à partir des rapports présentés
jusqu'à présent, ce n'est clairement pas le cas.
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC