Le ministère russe de la Défense (MoD) vient de recevoir une nouvelle alerte de
notification du traité New
START de la part l'armée américaine indiquant qu’à partir du 21 janvier
2017, celle-ci prévoit le placement de munitions atomiques spéciales de
démolition (Special Atomic Demolition Munitions (SADM))
le long de la frontière entre le Mexique et les États-Unis.
Ce déploiement sera
autorisé par une directive présidentielle de sécurité nationale (National
Security Presidential Directive (NSPD)) qui
sera très prochainement signée. Cette
directive considère que la
guerre contre la drogue mexicaine représente désormais une menace «grave
et immédiate» pour la sécurité nationale des États-Unis.
Conformément aux protocoles de notification du nouveau
traité sur les armes nucléaires START en vigueur entre la Fédération et les
États-Unis, les signataires sont tenus de notifier le mouvement des armes nucléaires
tactiques connues
sous le nom de SADM, en raison de leur petite taille et de leur puissance
destructrice, et dont les États-Unis
sont le premier producteur mondial.
Selon la loi américaine, la décision du président américain
qui signe un NSPD pour déployer et utiliser ces armes atomiques ne peut être ni
revue ni annulée par le Congrès américain ou la Cour suprême, car toutes les
questions relatives à la sécurité nationale des États-Unis sont aux mains du président
en tant que commandant en chef des armées.
Le fait que le président Trump, dès son entrée en fonction, se
prépare à déclarer la guerre contre la drogue mexicaine, est plus que justifié.
En effet, depuis 2006, le trafic de la drogue a
causé la mort de plus de 164.000 citoyens mexicains et le déplacement de plus
de 1,6 millions. Aux États-Unis, la drogue
mexicaine a causé des dizaines de
milliers de morts, car l'héroïne illégalement importée du Mexique a augmenté de
248% au cours de cette même période.
Cette décision du président Trump de transformer toute la
frontière entre les États-Unis et le Mexique en une zone de guerre, s’explique par
les révélations choquantes selon lesquelles les responsables, sous le régime Obama,
du ministère de la Sécurité intérieure (Homeland
Security (DHS)) ont touché
des millions de dollars de pots-de-vin des cartels de la drogue mexicaine.
Pour mener cette guerre contre le trafic de drogue, le
président Trump a désigné l'ancien général de la Marine américaine John Kelly
qui, en tant que prochain directeur du DHS, aura
sous son commandement des Gardes-côtes, le Service de Protection Fédéral, la Douane
et la Protection des frontières (qui inclut les patrouilles de frontière), l'Immigration
et la Douane (qui inclut des enquêtes de sécurité du territoire), le Service Secret
et l'Agence Fédérale de Gestion des Urgences.
Avec la politique de guerre du président sortant Obama qui a
conduit à la plus grande épidémie de suicides de soldats américains, la guerre prochaine du
président Trump contre les cartels de la drogue du Mexique est la première depuis
1916.
En outre, 2016 est l'année où le Washington DC "a
perdu ses esprits", et où le
régime d'Obama-Clinton adore les médias traditionnels de propagande et de "fausses nouvelles ".
Ce régime et ces médias sont restés
complètement silencieux sur cette guerre contre la drogue qui a coûté la vie
des centaines de milliers de personnes, choisissant plutôt de fabriquer des
mensonges du genre « la Russie «a piraté l'élection présidentielle»,
« la Russie a piraté une compagnie d'électricité », et un
autre mensonge disant que « la Russie avait fermé une école américaine »,
et le plus gros mensonge disant que «la plupart des Américains ont voté pour
Hillary Clinton », alors qu'en réalité, seulement 26% d'entre eux
l'ont fait.
Pour ceux qui sont contre lui, le président Trump a
néanmoins souhaité la bonne année avec son dernier Tweet de 2016 déclarant: "
Bonne
Année à tous, y compris à mes nombreux ennemis et à ceux qui m'ont combattu et qui sont des mauvais perdants, et qui ne savent plus
quoi faire. Amour!"
Hannibal GENSERIC