jeudi 19 janvier 2017

Convoqués par Trump, un journaliste est assassiné et un adjoint de Trump empoisonné



La guerre civile américaine, menée par les "élites globalistes" qui se battent à mort contre le président élu Donald Trump, a atteint un nouveau palier dangereux. En effet,  deux nouvelles personnes pro Trump ont été victimes de tentatives d'assassinats.  La première est  Roger Stone, qui était le chef de guerre stratégique de Trump, en a réchappé de justesse. La seconde, qui  en est morte, est  le journaliste allemand do Ulfkotte, qui avait expliqué, l'année dernière, comment la CIA contrôle totalement l'ensemble des médias grand public occidentaux.
L'ancien aide de guerre de Trump, Roger Stone, est un vétéran de neuf campagnes présidentielles aux États-Unis et a servi comme assistant de campagne à trois présidents républicains, le plus important étant le président Richard Nixon qui a été évincé par un coup d’état par ces forces du Deep State de la CIA dans les années 1970. Stone qui avait averti le président élu Trump que le régime d'Obama détruisait des quantités massives de dossiers publics, a survécu à peine à une tentative d'assassinat par une substance radioactive qui lui a été injectée dans son corps.

En effet, selon  Infowars.com, Stone a déclaré :  «Je suis généralement une personne en bonne santé. J'ai été un bon sportif. Je suis très prudent dans mon régime. J'ai été traité avec l'acupuncture par peut-être le plus grand acupuncteur de Floride sinon les États-Unis " .


"Donc, finalement, je suis allé chez les médecins du mont Sinai à Miami Beach, avec mon médecin personnel. Ils ont effectué des analyses sanguines approfondies. Le consensus général est que j'ai été empoisonné", dit Stone. "Oui, je crois que j'ai été empoisonné pour m'empêcher d'exposer les dessous du faux "hacking russe"

«J'étais empoisonné avec du polonium ou quelque chose ayant les caractéristiques du polonium. Cela m’a rendu extrêmement malade. La conjecture des médecins, c'est que je n'ai pas reçu une dose assez forte pour me tuer, mais je n'ai jamais été aussi malade. »
Le polonium-210 est une substance radioactive qui libère des particules alpha extrêmement nocives dans tout le corps produisant des radicaux libres cancérigènes. Il a été utilisé dans de nombreux assassinats de haut niveau, y compris celui de l'ancien espion du KGB Alexander Litvinenko, et de l'ancien dirigeant de l'OLP, Yassar Arafat.

D’autre part, le grand journaliste allemand Udo Ulfkotte [1] qui, cette année, a révélé une information choquante selon laquelle tous les médias occidentaux sont des menteurs («Nous mentons tous pour la CIA») et qui, a été, pour cela, banni de Facebook en juillet dernier, a été convoqué par le président élu Trump pour une réunion privée. Mais, quand on a constaté qu’il n’a pu prendre son avion, vendredi soir (13 janvier), pour New York, on l’a vite découvert mort dans sa maison. Sans aucune autopsie, les autorités allemandes ont rapidement conclu que cette mort était due à une crise cardiaque, et ont rapidement incinéré son corps, afin de ne laisser aucune trace du meurtre plus que probable.
Craignant une rétorsion rapide des forces de Trump, les forces de la triade criminelle Bush-Clinton-Obama ont secrètement planqué leur «chef spirituel nazi», l'ancien président et directeur de la CIA, George HW Bush, mais que les médias de propagande et de "fausses nouvelles" prétendent qu’il est hospitalisé.
En effet, il est de plus en plus évident que le chef de ce "Deep State" n’est autre que George H.W. Bush, dont le père, Prescott Bush, est un criminel de guerre nazi. Il avait dirigé le groupe satanique de banquiers et d'industriels américains qui, en 1933, ont tenté leur «coup d’état affairiste» contre le président Franklin Roosevelt dans leur tentative de constituer une alliance entre les États-Unis et l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler.  Ce coup a échoué en raison des actions rapides de l'héroïque Général des Marines, Smedley Butler. Ce groupe s’est alors tourné vers le financement du régime nazi, y compris durant la Seconde Guerre mondiale.
 
George H.W. Bush a, par ailleurs, laissé derrière  lui une traînée de morts et d'horreurs que  l'Histoire retiendra. Parmi ses « exploits » criminels, il a été le cerveau de :
Comme de bien entendu, les maîtres du "Deep State" ont caché au peuple américain, que la guerre illégale  de George H.W. Bush en Irak, en 1990, a provoqué la mort de plus de 73.000 soldats américains ; et que l'invasion illégale de l'Irak en 2003 par son fils, George W. Bush, a tué au moins 4 millions de musulmans.
Ils cachent aussi au peuple américain les intentions du président élu Trump d’empêcher ces monstres d'aller encore plus loin dans leur soif de sang et de guerres contre toute l'humanité.
Les Américains sont devenus tellement trompés et manipulés par leurs maîtres de l’«État profond», que même les plus libéraux d’entre eux se préparent pour la soi-disant «Trumpocalypse» en achetant des armes à feu, des munitions et des fournitures pour ne pas être massacrés par Trump !
 
Cependant, des alliés du président élu Trump au sein de la CIA, viennent de libérer plus de 13 millions des documents secrets prouvant, une fois pour toutes, à quel point ces élites globalistes sont vraiment méchantes et démoniaques. Si vous voulez découvrir ces horribles vérités, allez ICI.

On trouve ainsi par exemple des données sur le projet de tunnel de Berlin (ayant pour nom de code Operation Gold), projet conjoint de la CIA et du renseignement britannique visant à surveiller le siège de l'armée soviétique à Berlin durant les années 1950.

Entre autres détails importants, on y trouve également des données sur la participation de la CIA au coup d'état de 1973 au Chili, qui a entraîné la mise en place du régime fasciste d'Augusto Pinochet, ainsi que le tristement célèbre projet MK-Ultra, un obscur programme expérimental de contrôle mental effectué par la CIA sur des sujets humains (illégalement) et conçu pour développer des médicaments, ainsi que des procédures d'interrogatoire et de torture.

Des dizaines de milliers de motards pour Trump envahissent Washington DC


Les « Bikers-for-Trump » ou "Motards-pour-Trump" font la promesse de "protéger l'inauguration" alors que des dizaines de milliers d'entre eux ont commencé à rouler vers Washington depuis ce mercredi 17 janvier 2017. Les faux gauchistes qui voulaient nuire à l'inauguration feraient mieux de déguerpir vite fait!

Les reporters de la station radio new-yorkaise SuperStation95 sur le terrain à Washington DC, ont interviewé certains des Bikers.

Josh Metcalf, qui est monté à partir de Nebraska dit : « Nous avons voté pour Donald Trump et il a gagné, équitable et carré. Certaines personnes piquent des crises de colère à ce sujet, et menacent de foutre la merde lors de l’inauguration. Quiconque essaie aura un réveil très dur. »
Mitch Amzak de New Jersey dit: "Nous ne lancerons pas le premier jet de pierres, mais quand leur équipe (et nous sommes sûrs qu'ils le feront) le fera, tous les paris sont ouverts car nous bougerons. Les résultats ne vont pas être jolis pour ces têtes de nœuds".
Franco, de Pennsylvanie, dit : "Si tout reste calme, c'est formidable, sinon, les fauteurs de troubles devraient savoir que nous, les motards, ne nous battons pas, nous faisons à la guerre. Un tas de mecs pourraient se faire baiser sérieusement".
La vidéo de George Washington Parkway, une artère principale de Washington DC, montre tant de motards entrant dans DC qu’aucun autre trafic de véhicules ne pouvait y être vu.
VIDÉO
En plus des dizaines de milliers de "Bikers-For-Trump" dans la vidéo ci-dessus, SuperStation95 est maintenant en mesure de montrer également une autre vidéo dans laquelle vingt-mille (20.000) « Bikers For Trump » de Caroline du Nord vont rendre à DC ce soir.
Voici la vidéo

NOTES

[1]  Ancien rédacteur en chef du Frankfurter Allgemeine Zeitung, l'écrivain Udo Ulfkotte a "été suicidé" à l'âge de 56 ans.  Sa mort éveille d'autant plus de questions parce qu'il était surtout connu pour son livre-dénonciateur « Journalistes qui s'achètent » (« Gekaufte Journalisten »). Là, Udo Ulfkotte a dévoilé comment la CIA payait des journalistes en Allemagne, en France, au Royaume-Uni, en Australie et en Nouvelle-Zélande pour qu'ils publient de fausses informations.

Le journaliste connaissait bien les menaces qu'il affrontait, mais croyait qu'il était mieux placé que la plupart des journalistes pour exposer la vérité puisqu'il n'avait pas d'enfants qui pourraient courir un risque. Dans un entretien au journal russe Russian Insider, le journaliste avait dit :
« Quand j'ai exprimé au Frankfurter Allgemeine Zeitung mon intention de publier le livre, leurs juristes m'ont envoyé une lettre de menaces contenant toutes les conséquences légales dans le cas où je publierais certains noms ou secrets — mais moi, je n'ai pas eu peur. Vous comprenez, je n'ai pas d'enfants que je dois choyer ». Craignant une guerre en Europe, il a pris la décision de dévoiler la vérité quant aux médias contrôlés par les services secrets.
« J'ai été journaliste pendant presque 25 ans, on m'a appris à mentir, à trahir, à ne pas dire la vérité au public », avait indiqué M. Ulfkotte à RT. « La CIA me soutenait, pourquoi ? Parce que j'étais pro-américain ».
Selon l'écrivain, les médias allemands et américains tentent d'amener la guerre en Europe mais aussi en Russie. C'est contre cette propagande médiatique qu'il s'est dressé avec son « Journalistes qui s'achètent » qui est devenu un bestseller.
Un livre qu'il était interdit de mentionner dans les médias allemands.


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Hannibal GENSERIC