Chemseddine Chitour taille un costume sur
mesure à Moncef Merzouki : « L’idiot utile et le pantin des
islamistes »
Très documentée et bardée de références comme seuls les scientifiques émérites
savent en tisser, située à la lisière de l’ironie et le ton badin de celui qui
s’adresse à un incorrigible petit garnement, la contribution de Chemseddine
Chitour adressée à Moncef Merzouki, a eu ceci de positif qu’elle a sur tailler
un costume sur mesure à cet individu, pour expliquer sa haine viscérale à
l’endroit de l’Algérie et le jauger, in fine, à sa juste valeur.
A savoir, de la nullité intégrale faite homme.
à gauche, Marzouki, alias "Tartour" (en arabe: personnage insignifiant, de décor) |
L’individu, né au Maroc, donne ainsi
l’air de n’avoir jamais rompu ce cordon ombilical.[1] Pour qui connait l’extrême
générosité du Makhzen à l’endroit de ses plus vils et plus dociles serviteurs,
on peut comprendre mieux les attaques de ce quidam contre notre pays.
Dans sa réponse le ministre algérien lui rappelle qu’il n’a pratiquement jamais
vécu e Tunisie. Marié à une française, pays où il a accompli le plus clair de
sa carrière professionnelle, ses enfants aussi sont parfaitement adaptés à la
vie hexagonale.
Mais, l’ironie voudra que ce partisan de la gauche-caviar, soit devenu le plus
sûr allié des islamistes d’Ennahda, grâce à qui ils accèderont au pouvoir. Elu
président (fantoche), il est traité d’idiot utile par les partisans de Rached
Ghennouchi.
Maintes fois humilié dans ses pouvoirs régaliens de chef d’Etat, il se fera
fort d’oublier les précieuses aides algériens apportées sur les plans
sécuritaire et économique lorsque l’état tunisien était au bord de
l’effondrement. Qualifié de « tartour » sur les réseaux sociaux par
tous les tunisiens, il le deviendra vraiment, de renom, puis de nom, dans une
célèbre dépêche de l’AFP.
En excellent scientifique, sans complaisance aucune, Chitour dissèque le
parcours atypique et chaotique de ce défenseur des droits de l’Homme, à
géométrie variable, qui, même en clamant à qui supporte encore de l’entendre
radoter sur cet Algérie dont il renie les aides et les bienfaits.
Cet homme politique off-shore, comme le dépeint Chitour dans cette remarquable
et très documentée contribution, est en fait dépourvu de charisme et
d’entregent. D’où sa haine viscérale pour tous ces grands hommes qui lui font
de l’ombre, et qu’il doit jalouser secrètement.
Fruit vicié du hasard, face à une nature qui a horreur du vide, il n’a sans
doute jamais digéré le fait d’avoir tout « foiré » en devenant
président tunisien par… défaut.
"Il faut reconnaître à Moncef Merzouki
d’avoir saisi sa chance qu’une place était à prendre même au prix de compromis
et de compromission qui vont le faire adopter une position diamétralement opposée
à celle qu’il prétendait défendre, les droits de l’homme, en s’acoquinant aux
islamistes, pourvu qu’il ait une visibilité même celle d’un président
d’opérette, comme nous le verrons avec la prise de pouvoir réelle d’Ennahda des
principaux postes régaliens.
L’épris de lettres françaises, de laïcité, franchit le Rubicon et s’associe
avec les islamistes quitte à renier tout ce qu’il a tenté de faire croire pour
être adoubé en Occident »,
écrit par exemple Chitour dans sa contribution.
Jamais pris au sérieux quand il était encore président, il le sera moins
encore, une fois revenu aux proportions congrues qui n’auraient jamais dû
cesser d’être les siennes…
« Avec Marzouki, on est chanceux, puisqu’il va pouvoir nous expliquer comment
des députés européens, de droite, de gauche, des ‘‘Verts’’, de l’extrême
droite, qui ne s’accordent sur aucune des politiques engagées par le Parlement
et les Etats de l’UE, se sont spontanément rassemblés comme un seul ‘‘homme’’,
sans hésitations, sans réticences, le 28 novembre, pour porter le même bulletin
de vote d’une résolution en faveur du ‘‘Hirak des bananistes’’ en Algérie [2] ? Au
moment même où les «Gilets jaunes» se faisaient éborgner, mutiler, lapider,
presque sous les fenêtres du Parlement européen.
(…) Au moment où je rédige cette contribution, j’apprends que dans la nuit du
vendredi 6 au samedi 7 novembre 2020, pas moins de 21 incendies se sont
déclarés ‘’spontanément’’ et simultanément aux alentours de grandes villes
algériennes, touchant pas moins de dix wilayas (régions) du pays », s’indigne
encore le ministre algérien.
Par Mohamed Abdoun, 8 décembre 2020
NOTES :
[1] Maghreb.
Moncef Marzouki, nouveau soldat recruté par Rachad
- Il
y a 7 ans/ Un voyou à la tête de la Tunisie
- MARZOUKI,
Super Menteur et agent de l'étranger
- Les
Bouffons de la Ripou-blique : Marzouki-la-Honte
- Tunisie
: Moncef Marzouki amnistie les terroristes et enterre leurs victimes
- Tunisie.
HAUTE TRAHISON. Moncef Marzouki aidait les terroristes contre l'Armée
Nationale
- Dans
France / Maghreb. Les goumiers de la République
,
nous avons écrit :
Après les
indépendances, le Maroc a été le seul pays à ne pas poursuivre les
goumiers (pour crimes de guerre et crimes contre l’Humanité) et en a intégré un
certain nombre dans l’armée royale. Il a même accordé la nationalité marocaine
aux Tunisiens et aux Algériens qui avaient peur de retourner dans leur pays
pour y être jugés. Ainsi, le papa de Moncef Marzouki, le président provisoire
de la Tunisie, resta au Maroc où il avait obtenu la nationalité marocaine, ses
enfants aussi.
Donc Moncef Marzouki, notre "Tartour" président, est Marocain, ce qui est contraire à la Constitution. Le jeune Moncef a
suivi ses études secondaires à Tanger jusqu’à l’obtention de son baccalauréat
au lycée Regnault en 1964. Et pendant qu’il poursuivait ses études de médecine
en France, en tant que marocain,
sa sœur continua ses études de droit au Maroc, pour devenir avocate au barreau
de Casablanca. Lors de sa visite récente au
Maroc, Moncef est allé se recueillir sur la tombe de son père à Marrakech.
Comme son papa goumier,
Marocain d’adoption, ce pseudo-président alcoolique, déteste aussi bien
l’Algérie que la Tunisie. Il préfère le Qatar et l'Arabie Saoudite, qui sont, c'est bien connu en Occident, des modèles arabes de démocratie et de droits de l'Homme.
[2]
Harki et Hirak sont des
anagrammes (Est-ce un hasard ? ) venant de la même racine haraka (حرك , bouger).
Rappelons, dans le même ordre d’idées, le terme japonais
« Hara-Kiri », qui désigne le suicide pour déshonneur. Le déshonneur
serait bien le qualificatif adapté aux deux mots : hirak et harki.
Hannibal GENSÉRIC
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