lundi 16 août 2021

Algérie. Hommage au martyr Djamel Bensmail

Le Directeur de la Police judiciaire a la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), Mohamed Chakour a affirmé, dimanche, l’arrestation de 36 mis en cause dont 3 femmes, impliqués dans l’assassinat et le lynchage du jeune Djamel Bensmail a Larbaâ Nath Irathen (Tizi Ouzou).

Mohamed Chakour déclare que « la victime Djamel Bensmaine se trouvait à Larba Nath Irathen en compagnie de deux autres personnes à bord d’un véhicule de tourisme. Lorsqu’il a appris qu’il faisait l’objet de suspicion de la part d’une partie des citoyens comme étant l’un de ceux qui avaient allumé les incendies, il s’est rapproché d’une patrouille de police qui l’a accompagné au siège de la sureté de daïra. Mais à leur arrivée, ils ont découvert que le siège de la sureté de daïra était encerclé par une immense foule hystérique, ce qui ne leur permit pas d’y pénétrer ». Des dizaines de personnes ont alors pris d’assaut la voiture et en ont fait sortir Djamel Bensmail en le rouant de coups sur l’ensemble de son corps, particulièrement le visage « que j’ai vu déjà ensanglanté et déformé », a reconnu l’un des suspects arrêtés. Le malheureux Djamel fut trainé hors de la voiture, une pluie de coups tombant sur lui. Un jeune homme sortit un bistouri et lui trancha la tête au milieu de la foule avant que son corps ne soit brulé sur la place.
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Le directeur de le police judiciaire a également fait état de l’arrestation de « 36 personnes suspectées, don 3 femmes parmi lesquelles celle qui incitait les gens à égorger le victime alors qu’il avait été déjà brulé ».

« tous les présumés coupables on participé d’une manière ou d’une autre dans le crime ». dans le même sillage, il a ajouté que le personne qui portait un t-shirt jaune, qui avait poignardé le victime a été également arrêtée alors qu’il tentait de s’enfuir vers le Maroc.

Le Haut commissariat à l'Amazighité (HCA)  dénonce ce crime barbare

"Le HCA dénonce avec force toute violence, verbale et/ ou physique, en condamnant l'acte inhumain et barbare vécu à Larbâa Nath Irathen, à savoir le lynchage à mort du jeune Djamel Bensmaïl, comme il salue l'indignation collective des citoyens de cette région, profondément attachée aux valeurs nationales", a précisé la même source.

L’image de la "sagesse" du père du défunt, "j’ai perdu un fils, mais j’ai gagné des enfants !", incarne le vivre-ensemble en paix d’une société "forte" de ses attachements aux valeurs ancestrales et son refus "habituel et incontestable de toutes formes de racisme, de régionalisme et de discours de la haine", a ajouté la même source.

"Toutes ces pratiques contraires à l'éthique et aux traditions de la société algérienne doivent êtres bannies et criminalisées par l’application stricte des nouveaux textes juridiques inspirés de l'esprit de la Constitution et des lois de la République qui interdisent toute atteinte à l'unité nationale", a relevé la même source.

Pour cette institution, "au moment où, face à des événements tragiques dus aux incendies criminels touchant 17 wilayas et plus particulièrement Tizi-Ouzou et Bejaia, le peuple algérien pleure la perte de citoyens et militaires, tombés en martyrs".

"Toujours unis et solidaires face aux catastrophes naturelles et aux dangereuses conspirations ciblant notre pays à partir de l’étranger, les Algériens sont en train de donner une nouvelle leçon de patriotisme par un lien fort Armée-Nation", a noté la même source.

Il n’aura pas fallu longtemps pour qu’aussi bien les habitants de la paisible agglomération de Larbâa Nath Irathen, ville natale d’Abane Ramdane, un des pères de la Guerre de libération nationale, et les citoyens de Miliana, siège du site historique de l’Emir Abdelkader, comprennent que derrière l’assassinat de Djamel Bensmaïl se cachait un complot ourdi par des officines secrètes dans le but de casser l’élan de solidarité dont ont fait montre les Algériens des quatre coins du pays avec les sinistrés de Tizi Ouzou, d’un côté, et ces derniers avec l’armée et les différents corps constitués qui se sont sacrifiés pour sauver des vies au péril de leur vie. Vingt-cinq d’entre eux ont péri dans les incendies et plusieurs autres ont été gravement blessés et sont hospitalisés.

La tentative de fuite vers le Maroc d’un des auteurs du crime confirme, si besoin est, que les services secrets marocains, aidés vraisemblablement du Mossad israélien, sont les instigateurs d’une bonne partie des incendies qui font rage actuellement dans plusieurs wilayas du pays et du meurtre du jeune Djamel Bensmaïl. On ne sait pas, pour l’heure, si d’autres complices ont pu traverser la frontière terrestre avec le Maroc ou s’ils ont quitté le pays par d’autres voies. Des sources concordantes parlent d’un mandat d’arrêt international qui serait lancé éminemment à l’encontre du chef de file du mouvement autonomiste MAK, Ferhat Mehenni, dont le bras droit se trouvait à Rabat au moment des faits, en même temps que le ministre israélien des Affaires étrangères.

Ferhat M’Henni est un fils de harki

Les mobiles qui font agir le fondateur et animateur du MAK, mouvement terroriste au même titre que  celui des Frères Musulmans, Rachad, sont désormais percés à jour. En effet, la révélation en a été faite par Smail Mira, le fils d’Abderrahmane Mira, valeureux et courageux moudjahid, surnommé durant la glorieuse guerre de libération nationale « le tigre de la Soummam ».
Ferhat M’Henni, qui se présente comme un « fils de chahid », n’est en fait que le rejeton d’un vil harki, un traitre à la cause indépendantiste algérienne. Il a en effet été éliminé par les moudjahidines de la wilaya III historique.
Les acteurs de l’époque encore vivants, cités par Smail, dont le témoignage ne souffre aucune contestation, sont en effet formels. Ferhat M’Henni souhaite donc solder ses comptes avec les acteurs de nos glorieuses pages historiques.
Il est mu par une inavouable volonté vengeresse contre la nation algérienne. Son désir de casser et de  partitionner la nation algérienne s’inscrit donc en droite ligne des mobiles qui animaient les harkis et supplétifs de la France coloniale. La trahison et la vilenie coule donc dans son sang.
Par  Ali Oussi
 
A tous ceux qui doutent de la connexion " Makhzen/Maroc - Mossad- Mak" , les photos- preuves parlent d'elles mêmes. A vous d'en juger .
  
Avec des soldates du Mossad
Quelques portraits des assassins arrêtés / recherchés
Voir d'autres images et vidéos ici

 

2 commentaires:

  1. Faut pas tout mélanger. Le meurtre d'un innocent n'a rien a voir le pseudo soutien à un individu prétendument berbère sioniste. Tout ça pour discréditer les Berbères non arabisant. Le meurtre est inqualifiable et sera une tache indélébile sur les égarés de Kabylie.

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  2. Les Barbares algériens iront en prison pour ce meurtre. Ces sauvages se croient au dessus des Lois, mais on ne rit pas avec la Loi, même en Alchérie.

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