Inutile de compter sur l’immunité collective pour mettre fin à l’épidémie de Covid-19. Avec l’arrivée du variant delta, cet objectif tant espéré devient un «mythe», un idéal tout simplement impossible à atteindre. C’est en tout cas ce qu’a déclaré, mardi 10 Août, le chef du Oxford Vaccine Group, Andrew Pollard, face aux députés du Royaume-Uni. Il n’est tout simplement «pas possible» d’atteindre l’immunité collective alors qu’un variant beaucoup plus contagieux circule. Quelques mots et un espoir de moins de voir un jour ce satané virus disparaître de notre quotidien.
L'immunité collective n'est pas
possible avec les « vaccins » covidiens et nous devons donc nous concentrer sur
la façon d'empêcher les personnes de mourir et d'aller à l'hôpital, déclare
Andrew Pollard
"L'immunité collective n'est pas une possibilité" car la variante
Delta "infecte toujours les individus vaccinés". Pollard dit qu'il
n'y a rien « que le Royaume-Uni puisse faire pour arrêter l'émergence de
nouvelles variantes. Nous devons nous concentrer sur la réflexion : comment
empêcher les gens de mourir et d'aller à l'hôpital ? »
Sir
Patrick Vallance a déclaré au début de l'année qu'une protection de 70 % ou
plus serait nécessaire pour atteindre l'immunité collective. Les injections
de Covid, nous a-t-on dit, confèrent une certaine forme d'immunité. Au 17 août,
77% des adultes
au Royaume-Uni avaient reçu deux injections de Covid. Ajoutez les
innombrables individus qui ont une immunité naturelle robuste et durable. Bien
que cela ne soit jamais mentionné, nous avons même dépassé de loin l'indicateur
de Vallance pour «l'immunité collective» pendant de nombreux mois.
Il n'est donc pas surprenant que Pollard déclare maintenant que le programme de
vaccination de masse n'atteindra pas «l'immunité collective». Cependant, il est
surprenant que la solution de Pollard soit que la seule voie à suivre est de se
concentrer sur la façon «d'empêcher les gens de mourir et d'aller à
l'hôpital». Nous avons été amenés à croire que c'était l'objectif des 18
derniers mois – au détriment de tout le reste – de « sauver des vies ».
Bien qu'il admette les échecs de la stratégie du Royaume-Uni, Pollard suggère
de l'exporter, “ ce que nous pouvons faire,
c'est jouer un rôle plus actif dans l'impératif mondial qui est d'empêcher les
gens de mourir. Cela signifie s'assurer que les doses vont aux bonnes
personnes. ”
Pollard et Channel 4 doivent être au courant d'un document publié par
SAGE le mois dernier admettant que les "vaccins" Covid conduiront à une
"variante" qui tue 35% des personnes qu'elle infecte. Il est
fallacieux qu'ils n'aient pas pensé à mentionner cette "variante"
tueuse induite par le vaccin tout en suggérant que le Royaume-Uni joue un rôle
actif dans l'administration de "vaccins" - qui n'empêchent pas
"les personnes de mourir et d'aller à l'hôpital" - aux "bonnes
personnes" dans le reste du monde.
En juillet, nous avons publié un article « Liens
indéniables entre le vaccin Oxford / AstraZeneca Covid-19 et la British
Eugenics Society. » Il démontre comment Pollard est inextricablement lié au « vaccin » Oxford/AstraZeneca et à
la Fondation Bill & Melinda Gates (« BMGF »). Les paragraphes
relatifs à Pollard sont repris ci-dessous mais cette fois avec des accents
ajoutés.
« Pollard
préside le JCVI du ministère britannique de la Santé ; préside le groupe
consultatif scientifique de l'EMA sur les vaccins ; est membre de SAGE de
l'OMS (Le Groupe consultatif scientifique
pour les urgences ; Scientific Advisory Group for Emergencies « SAGE »), qui
conseille le gouvernement britannique,; travaille pour l'Institut Jenner; et dirige l'Oxford Vaccine Group. En raison d'une seule rencontre en janvier 2020 - où
Pollard et un membre de SAGE ont partagé un taxi - l'Institut Jenner a commencé
à verser des millions dans le développement précoce d'un "vaccin"
Covid-19. Pollard est également acoquiné à BMGF. L'employeur de Pollard,
l'Université d'Oxford, a reçu des centaines de millions de livres de
financement de BMGF au cours de la dernière décennie et le laboratoire privé de
Pollard est financé par BMGF.
« GAVI est un partenariat public-privé fondé et actuellement financé par la
BMGF. Il prévoit de distribuer le « vaccin » Oxford/AstraZeneca dans les
pays à faible revenu, principalement africains et asiatiques. COVAX, le
partenariat public-privé entre GAVI, Vaccine Alliance et l'Organisation Mondiale
de la Santé vise à fournir 270 millions de « vaccins » contre le
Covid – dont 269 millions sont le « vaccin » Oxford/AstraZeneca –
dans le monde. »
Source : Herd Immunity Is Not Possible With
“Vaccines” And So We Need To Focus On How To Prevent People Dying And Going To
Hospital, Says Andrew Pollard
By Rhoda Wilson on August 18, 2021
Que pouvons-nous conclure ?
Un vaccin est fait pour empêcher la maladie. Vaccinés contre la
tuberculose, la variole, le tétanos, la coqueluche, la diphtérie, vous n’attrapez
pas la maladie. Ici, manifestement, vous l’attrapez tout autant qu'un non
vacciné. Alors pour continuer à vacciner, le discours a changé. On vous
explique qu’il ne vous protège pas, mais qu’il vous empêche d’attraper
une forme grave. Et voilà que Pollard nous dit exactement le contraire. Ils pataugent dans leurs contradictions.
On court toujours derrière une immunité collective impossible à obtenir. Cette immunité collective était la seule justification à vacciner les jeunes qui n’ont rien à craindre de la maladie, alors comme cette raison saute, pour quelle raison médicale, épidémiologique, on continue ? Qu’on nous le dise.
Quant au passe pour mettre fin à l’épidémie, là encore la France macronisée est très forte. Le passe permet d’éviter de transmettre une maladie que vous n’avez pas, à des gens qui sont vaccinés contre cette maladie, et qui, eux, ont le droit d’aller et venir partout contaminer les autres, car porteurs autant que les non vaccinés. Pour aller sur votre lieu de travail, non vacciné, il vous faut un test, prouvant que vous êtes négatif. Par contre le vacciné, porteur de passe, n’a pas besoin de test pour travailler, alors qu’il peut être positif et peut vous contaminer. Contrairement à ce qu’on nous dit, avec le passe, ce n’est pas les non vaccinés qui contaminent les autres, mais les vaccinés qui vont contaminer les autres, vaccinés ou négatifs ! Comprenne qui pourra le raisonnement de ses « élites » macro-niques.
Pour
terminer avec ce passe pétainiste, le porte-parole du gouvernement Gabriel
Attal affirmait en février que ce passe « n’avait de sens que si on
était sûr que les vaccinés ne transmettent pas la maladie », maintenant
que l’on sait qu’ils transmettent, virage à 180°, il affirme que ceux
qui l’ont cru en février sont des irresponsables. « L’immunité de groupe est un objectif mythique qui ne sera jamais atteint », selon les responsables du vaccin d’Oxford, cités ci-dessus. En France, Alain Fisher, monsieur vaccin pédale dans le couscous.
VACCINS : MOINS DE FORMES GRAVES ?
Moins de formes graves ? C’est ce qu’on nous dit maintenant pour justifier la vaccination, après nous avoir promis une couverture individuelle à 95%, ensuite il fallait faire plus pour une immunité collective, maintenant c’est pour éviter les cas graves.
Pour se faire une idée, regardons ce qui se passe chez le pionnier, que nos élites citaient en exemple il y a quelques mois : Israël. Tout d’abord, ils sont en train de nous faire la même vague que l’an dernier avant vaccin, malgré les 2/3 de la population vaccinée, montrant l’inefficacité ou le peu d’efficacité des vaccins.
Le 5 août, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a déclaré lors d’une interview sur la chaîne 13 TV News, que 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid, sont vaccinés. Dimanche 15 aout, on comptait 525 patients dans un état grave, 162 de plus qu’une semaine plus tôt. Parmi eux, 404 ont plus de 60 ans, dont 277 complètement vaccinés. Si dans ce pays, où il y a plus de vaccinés que de non vaccinés, on trouve en réanimation plus de vaccinés, on peut se poser des questions sur l’efficacité des vaccins sur les formes graves.
Au Portugal, Graça Freitas, directrice de la santé , disait il y a peu dans une interview, que la majorité des victimes qui meurent du covid-19 sont âgées de plus de 80 ans et ont été complètement vaccinées, deux doses, soulignant qu’il s’agissait d’une situation prévisible compte tenu de l’efficacité du vaccin.
Les 7 décès du Lambda en Belgique, vaccinés deux doses, ne vont pas non plus dans ce sens.
Avec le temps, on voit de moins en moins de différences entre les vagues de l’an dernier sans vaccins, et de cette année, avec vaccins, en ce qui concerne les cas ainsi que leur gravité. Même chose pour le pays le plus vacciné, Les Seychelles, très, très grosse vague, virulente.
Hannibal Genséric
Regardez les incendies fabriqués en Kabylie Hannibal : https://m.facebook.com/tamazghamondetv/videos/analyse-les-feux-en-kabylie-des-feux-allum%C3%A9s-par-des-moyens-techniques-sophistiq/1509610616050937/
RépondreSupprimerMa femme suit de très près ces évènements en Algérie. La main du Mossad et des Renseignements marocains (Makhzen) sont derrière le MAK, responsable des incendies déclenchés simultanément dans plusieurs endroits. Le jeune Djamel avait pu prendre des vidéos et des photos des incendiaires en Kabylie, c'est pour cela qu'ils l'ont liquidé sauvagement. L'immense majorité du peuple berbère se sent algérien avant toute chose. Les MAKISTES ont célébré, à Paris, cet horrible assassinat par des chants et des danses près du Trocadero.
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