MESSAGE VIDÉO À LA NATION DE VOLODMYMIR ZELENSKY, CHEF D'ÉTAT UKRAINIEN (21 novembre 2025) :
« Nous vivons l'un des moments les plus difficiles de notre histoire. L'Ukraine est confrontée à un choix cornélien : perdre sa dignité ou risquer de perdre un partenaire clé. Soit accepter 28 points complexes, soit affronter un hiver extrêmement difficile, le plus rude jamais connu, assorti de risques supplémentaires […] Je proposerai des alternatives, mais nous ne donnerons certainement à l'ennemi aucune raison de prétendre que l'Ukraine ne veut pas la paix. Nous sommes sans aucun doute aussi forts que l'acier, mais même le métal le plus résistant peut se fissurer […] »
La déclaration de V. Zelensky, publiée ce matin en Ukraine, revêt d'emblée une importance capitale : un discours – bref – qui exprime l'essence même de la situation mondiale. Chaque phrase prend tout son sens si l'on considère les consultations de ces derniers jours (…).
PRÉMISSE FONDAMENTALE : hier et avant-hier, le dirigeant ukrainien a enfin rencontré son homologue américain… et nous ne parlons pas seulement des émissaires diplomatiques habituels en costume-cravate, mais de la délégation militaire du PENTAGONE.
Des gens peu habitués aux sourires et aux tapes dans le dos, peu habitués à la flatterie et aux promesses non tenues (que les dirigeants du monde entier distribuent à la junte de Kiev depuis plus de trois ans), mais plutôt à une réalité glaçante.
Les rumeurs concernant cette rencontre n'ont pas été relayées par les médias, mais on sent bien que ces hommes en uniforme l'ont confronté sans ménagement : non seulement les forces armées ukrainiennes sont en échec (ce qui est flagrant), mais, plus grave encore, la structure organisationnelle sous-jacente – l'État lui-même – est en train de faillir dans leur dos.
L’ensemble du système politico-militaire est en crise, et avec lui, une véritable transition socio-économique s’est déclenchée, menant à la ruine de la nation ukrainienne (le système énergétique national est détruit par les frappes aériennes russes, à l’aube de la saison froide).
Ils ont conclu, avant de partir – poliment, mais sans sourire – que Washington, même en cas d’effondrement général du front, n’interviendrait PAS.
En milieu hospitalier, les spécialistes ont souvent tendance à dire aux patients en phase terminale quelque chose comme : « Tout ce qui pouvait être fait a été fait. Il n'y a plus rien à faire. »
Par conséquent, Zelensky a été calmement informé qu'aucune mesure agressive ne serait prise à l'encontre du dossier ukrainien. Le message de la délégation américaine devait être si direct et clair qu'il aurait pu être compris même par quelqu'un en proie à des hallucinations, comme l'est (vraisemblablement) Zelensky actuellement.
À ce stade, le dirigeant de Kiev est contraint de s'adresser directement à l'opinion publique : il commence par évoquer « le moment le plus difficile de l'histoire »… une entrée en matière solennelle, généralement l'antichambre d'un désastre, où l'on s'adresse à son auditoire de manière sacrée (puisqu'il faut l'informer d'une naissance ou d'un décès. Dans les circonstances présentes, aucune naissance n'est visible, pour ainsi dire).
Nous en arrivons donc au cœur du problème… comme mentionné précédemment, les forces aériennes russes ont quasiment détruit l’ensemble des infrastructures énergétiques et des lignes de transport du pays et poursuivent sans relâche leurs attaques hebdomadaires avec des centaines de missiles hypersoniques et de drones de précision… à ce rythme précis, le pays s’effondre (l’analogie la plus proche que l’on puisse établir sur le plan matériel est celle de l’Allemagne durant l’hiver 1944-1945, sous les raids des flottes de bombardiers anglo-américaines qui ont réduit à néant son potentiel productif en quelques mois).
MORALITÉ = soit nous acceptons le plan de paix en 28 points de Trump (en nous bouchant le nez et les oreilles, en pleurant et en jurant), soit nous poursuivons héroïquement la guerre, mais nous nous signons ensuite. Car à partir de ce moment, nous continuons SEULS… et nous affronterons un hiver pré-moderne avec des feux allumés dans les rues et les maisons pour se réchauffer, et des torches ici et là pour éclairer les chemins et les routes (allons-nous revenir au bois et peut-être aux chevaux et aux mules pour les déplacements limités ?!).
L’Ukraine pourrait bien décider de poursuivre la confrontation, mais en faisant face à une régression qui, depuis le début du 21e siècle, la ramène à la fin du 19e siècle en termes de vie quotidienne des gens ordinaires (…).
Dans ces circonstances, il est clair que même le métal le plus résistant peut céder (cit.). Rien d'étonnant.
Il est également clair qu’il « proposera des solutions alternatives » (cit.), c’est-à-dire qu’il fera tout son possible pour atténuer ces 28 points, mais s’il échoue… alors il en sera ainsi (juste assez d’ambiguïté pour éviter de dire l’indicible) .
Conclusion. Du côté américain, ce tournant n'a rien d'extraordinaire.
Ils ont fait ce qu'ils estimaient devoir faire et ont atteint nombre de leurs objectifs ; d'un point de vue économique (et non existentiel) du conflit, cela suffit : après tout, en 1949, après quatre années de soutien économique et militaire, Washington a cessé de soutenir la cause nationale de Chiang Kai-shek, jugeant l'effort futile.
Dans le cas ukrainien, en 2025, la décision a été prise d'agir rapidement afin d'éviter de perdre le pays tout entier plutôt qu'une partie seulement. Le dirigeant ukrainien pouvait (j'emploie le conditionnel) entrevoir un revirement de situation menant à la reprise des négociations (les vraies) et à la signature d'un accord de paix d'ici cet hiver.
Cette décision revêt une importance historique… mais Zelensky, malheureusement pour lui, est déjà profondément impliqué dans l’histoire : il a déjà marqué l’histoire de son empreinte (des millions de victimes pour rien)…
Son choix actuel se résume à savoir s'il doit s'arrêter au chiffre actuel ou DOUBLER ces millions.

POUR LA FORME......Il tente soi-disant de préparer ce qui reste de la population ukrainienne à la signature de SA reddition! C' juste de la comédie.......CAR déjà 99,99 des Ukrainiens sont pour une PAIX IMMÉDIATE même BANCALE! Le DONBASS n'a jamais intéressé QUE Zelensky et ses commanditaires de LONDRES.....AFIN de piéger et embourber la Russie durant des années CE QU'ILS ONT RÉUSSI !!!!!
RépondreSupprimerLes ZEXPERTS autoproclamés et certains marchands d'armes vont être chagrinés par cette paix qui s'annonce!
D'autres sont frustrés de constater la RETOMBÉE du SOUFFLET du VENEZUELA.....PAS de GUERRE en VUE!
PAR CONTRE la TRAGÉDIE PERDURE à GAZA , tandis que les ARABES sont aux sports d'Hiver......BIEN AU CHAUD!
La déception et perte de face (j'en doute) de tous les zélateurs de 'l'Ukraine va gagner", des radios/TV (les mêmes zozos qui nous ont gonflés avec leurs expertises en injections expérimentales, baptisées vaccins") seront là, à la vue de tous. La honte est leur prix à payer.
RépondreSupprimerEntretemps, les Russes ne seront à Kiev (dont ils se moquent totalement) au grand dam de trolls impatients et effrontés.
Tous ces morts, meurtres rituels pour quoi ? Surtout pour QUI ?
Une piste : https://the-savoisien.com/blog/index.php?post/Frederik-To-Gaste-La-verite-sur-les-meurtres-rituels-juifs
TROIS LIGNES pour dire KOI? Try again!!!!!
SupprimerNe Peut pas perde la face: il n'en a pas.... Sont multis faces les fourbes....
RépondreSupprimerOn est d'accord, c'est pourquoi j'ai mis entre parenthèses "j'en doute"
SupprimerC' comme avec TOUS les RÉGIMES ARABES... en CE moment... .TRUMP magnanime, leur apporte la vaseline...... .Pour les autres, genre "sky is limit" ce sera SANS.......
RépondreSupprimerLa MASSE POPULAIRE va en RIGOLER et se SENTIR d'une certaine façon VENGÉE......paradoxalement par les USA.....
Le PB est que malgré cette génuflexion qui sera prolongée... les USA donneront le moment venu LE POUVOIR aux FRÈRES MUSULMANS qui sont déjà DANS la PLACE et certaines INSTITUTIONS......ON VA BIEN SE MARRER !!!!!
Une confusion quasi hystérique...je comprends mieux l'emploi de majuscule maintenant...
SupprimerTop de khat sans doute
SupprimerEffectivement à chaque fois, mais pas seulement une confusion, mais plusieurs.
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