Ça alors ! Quelle surprise ! Je suis stupéfait !
« Raphaël Glucksmann est la personnalité politique qui bénéficie du traitement LE PLUS FAVORABLE dans les matinales de Radio France. (Institut Thomas More) ».
Le problème est que les raisons de la promotion de ce type se voient comme le nez au milieu de la figure. Il coche absolument toutes les cases [1]. Il est programmé pour réitérer la révolution de couleur de 2017, organisée par l’oligarchie et la haute fonction publique socialiste, qui nous a imposé par un coup d’État à finalisation judiciaire, un parfait inconnu à l’Élysée. Qui, depuis près de 10 ans, détruit méthodiquement notre pays, en lui infligeant un système néolibéral irréversible, et en l’intégrant à une Union Européenne transformée en État fédéral autoritaire sous-direction allemande.
Le coup d’État ayant parfaitement réussi en 2017, les mêmes forces sont au travail avec les mêmes appuis.
Bien avant son arrivée dans la vie publique dans le sillage de son père, lui-même directement lié au groupe néocon américain (les cinglés du sous-sol), Raphaël Glucksmann a été recruté par les services américains (CIA ? NSA ?). Il a fait ses premières armes en appuyant un régime dictatorial installé en Géorgie par les occidentaux pour déstabiliser la Russie. Au service rémunéré d’un dictateur féroce et corrompu (actuellement en prison), marié à la ministre de l’Intérieur, Eka Zgouladze, connue pour sa corruption et pour la répression et les tortures des opposants, il y a sévi pendant plusieurs années. Une fois le dictateur renversé, il s’est consacré à l’Ukraine post-Maïdan, toujours suivant son épouse reprenant en Ukraine (!!!) ses activités de corruption, de répression et de torture (comme dirait Fabius : Il y fait du bon boulot).
À nouveau programmé pour poursuivre sa mission première au service de l’hégémon, il est rentré en France. Les socialistes l’ont immédiatement choisi comme tête de liste aux élections européennes de 2018. Pour mettre en place le même combo que Macron : agent américain mis en place par les socialistes. Le système médiatique macroniste a été prié de le transformer en candidat présidentiel pour 2027. Tâche à laquelle la caste journalistique parmi les plus corrompues du monde s’est attelée avec empressement. On a alors assisté à un ahurissant scandale que le système s’est empressé d’étouffer. Deux journalistes aux fonctions stratégiques dans le service public de l’information, ont été surpris en train de comploter avec des dirigeants socialistes pour organiser au profit de Glucksmann la campagne électorale présidentielle de 2027 dans les médias. Cette incroyable séquence, qui recelait l’aveu, aurait dû avoir également des conséquences judiciaires notamment en matière de détournement de fonds publics et de violation de la réglementation du financement public des activités politiques. Il ne s’est évidemment rien passé.
Comme par hasard, sa nouvelle épouse (Léa Salamé), malgré sa risible nullité professionnelle, a été nommée comme présentatrice du journal télévisé de 20 heures sur le service public ! Le reste de la presse est priée de suivre le mouvement, ce qu’elle fait bien sûr avec diligence, la main sur le cœur. Émissions télévisées, émissions radio, unes de la presse, interviews se succèdent en cadence.
À ceux qui s’inquiètent de ce dévoiement et des dangers qu’il recèle, les optimistes inconséquents répondent que la nullité du candidat du système macrono-socialiste constitue une garantie qui devrait permettre d’éviter la catastrophe.
Ce n’est pas sérieux.
Le coup d’État a déjà marché une fois et les grands intérêts sont fermement décidés à remettre ça. Avec les mêmes moyens. L’opération Macron avait commencé très tôt. Dès son intronisation par le système « Young leaders » américain, sa sortie de l’ENA sous protection de Jean-Pierre Janvier, et sa participation à la « commission Attali ». Présenté à l’oligarchie qui l’a adoubé, il a bénéficié d’un soutien financier à base de corruption absolument vertigineux (Alstom, McKinsey), et de l’appui résolu du système médiatique. Mais l’essentiel a été obtenu avec la touche finale de l’opération judiciaire à quelques semaines de l’élection présidentielle 2017. Qui a vu la Justice procéder à la liquidation de François Fillon favori du scrutin au profit du manuel Macron. Il faut réaffirmer encore et encore, que sans ce raid à la fois judiciaire et médiatique de 47 jours, le parfait inconnu Emmanuel Macron ne serait JAMAIS parvenu à l’Élysée.
Tout est en place pour que cela se reproduise. L’appareil judiciaire français vient de faire la démonstration de sa ferme intention d’intervenir directement dans la vie politique en général et dans les élections en particulier. La disqualification judiciaire (définitive) de la dirigeante du premier parti de France, l’empêchant de se présenter à l’élection la plus importante de la République s’est produite sous les acclamations des trois quarts du corps politique. Alors même que cela n’a pu se produire que grâce à des dévoiements juridiques et judiciaires couverts sinon organisés par la Cour de cassation. Faisant apparaître les manipulations roumaines de la Cour constitutionnelle de Bucarest comme un bricolage de « petits joueurs ». Il y a eu ensuite l’envoi spectaculaire de Nicolas Sarkozy passer quelques jours en prison. L’objectif, même s’il était aussi motivé par l’aversion des magistrats pour un homme politique détesté dont on voulait se venger, relevait d’abord et avant tout d’une décision politique. Il fallait démontrer que cette justice était indépendante et impartiale (défense de rire) puisqu’elle n’hésitait pas à frapper les puissants. Que dire de la formidable bêtise des réactions de l’opinion publique acclamant une décision arbitraire après une procédure tout aussi arbitraire, d’un « dirigeant » hors course depuis 13 ans pour une affaire vieille de 20 ans. Les Français se plaignent de leur justice qu’ils jugent laxiste, mais l’ovationnent lorsqu’elle leur donne un vieil os à ronger. Lui laissant ainsi carte blanche pour ses opérations politiques.
Couvert d’argent pour sa campagne, soutenu mordicus par les médias, même s’il est possible qu’on ne l’y voit peu, tant sa nullité est évidente, Raphaël Glucksmann va tranquillement se diriger vers le scrutin du printemps 2027. Et à partir du mois de septembre 2026 gare à ceux qui lui feront de l’ombre et à qui les sondages pourraient donner quelques espoirs [2]. Depuis les spectaculaires perquisitions de 2018 (!!!) les dossiers judiciaires concernant Jean-Luc Mélenchon mijotent. Sofia Chikirou et quelques autres sont mis en examen. Édouard Philippe a quelques soucis en cours pour sa gestion municipale du Havre. Quant à Jordan Bardella qui l’a échappé belle avec l’affaire du Parlement européen, on ne saurait trop lui conseiller d’être prudent. Un Kompromat est si vite arrivé… Parce que comme nous l’a démontré ce qui s’est passé au printemps 2017, ce n’est pas une condamnation définitive qui est à craindre pour écarter un candidat qui déplaît au système. C’est une disqualification médiatico-politique qui l’évince du deuxième tour, façonné ainsi en boulevard pour le candidat dudit système.
Alors face à l’attitude de forcené d’Emmanuel Macron accroché à son fauteuil élyséen, on dira à ceux qui pensent que de toute façon ils en seront débarrassés en avril 2027, que ce n’est même pas en rêve. Que les acclamations, les éloges imbéciles et les justifications dont ils ont couvert les magistrats pour avoir humilié un vieux politicien fourbu, leur garantissent l’élection, Glucksmann ou pas, d’un autre Macron. La justice n’a aucune raison de ne pas réutiliser une méthode qui a si bien marché en 2017.
Alors nous aurons, soit une marionnette à l’Élysée pendant que son actuel locataire ira à Bruxelles pour finaliser l’insertion de notre pays détruit dans un État fédéral européen sous-direction allemande.
Soit pourquoi pas, soyons fous, une opération à la Medvedev/Poutine 2008 avec un Macron premier ministre, pour revenir ensuite à la présidence en 2032, comme il en a manifesté l’intention.
29 novembre 2025
Source
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Lettre d’Élisée Reclus à Jean Grave
« Voter, c’est abdiquer »
dimanche 27 décembre 2015, par
Clarens, Vaud, 26 septembre 1885.
Compagnons,
Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n’est ni votant ni candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l’exercice du droit de suffrage.
Le délai que vous m’accordez est bien court, mais ayant, au sujet du vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j’ai à vous dire peut se formuler en quelques mots.
Voter, c’est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c’est renoncer à sa propre souveraineté. Qu’il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d’une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu’ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.
Voter, c’est être dupe ; c’est croire que des hommes comme vous acquerront soudain, au tintement d’une sonnette, la vertu de tout savoir et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l’échenillage des arbres à l’extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble que leur intelligence grandisse en raison même de l’immensité de la tâche. L’histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.
Voter c’est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à l’honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages — et peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès que le milieu change, l’homme change avec lui. Aujourd’hui, le candidat s’incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres. L’ouvrier, devenu contremaître, peut-il rester ce qu’il était avant d’avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate n’apprend-il pas à courber l’échine quand le banquier daigne l’inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l’honneur de l’entretenir dans les antichambres ? L’atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s’ils en sortent corrompus.
N’abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos intérêts à d’autres, défendez-les vous-mêmes ; au lieu de prendre des avocats pour proposer un mode d’action futur, agissez ! Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c’est manquer de vaillance.
Je vous salue de tout cœur, compagnons.
Élisée Reclus
Lettre adressée à Jean Grave,
insérée dans Le Révolté du 11 octobre 1885.
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NOTES
[1] Il coche la case la plus importante en Occident : il est juif. Il est donc programmé, en tant que juif, à détester les goyim français (plus de 99% de la population) et à les considérer, au mieux, comme des animaux, taillables et corvéables à merci.
[2] - France. L'escadron de la mort de Macron : une armée secrète d'assassins professionnels pour éliminer les critiques et l'opposition
Macron est-il l’instigateur de l’assassinat de l’ambassadeur pour le compte de ses marionnettistes, Rothschild/Israël, par son escadron de la mort (Fleur de Lys) ?
H. Genséric
FREXIT, vite.
RépondreSupprimerRenversons la table une bonne fois. Libérons nous de l'occupation US, de la "social-democratie" (lire CIA, comme le fût le père de Gluck et le fils en Géogie), de l'OTA, de l'Euro, de cette classe politique faites d'eurolâtres puants (RN inclus).
En fait, l'illusion de la prochaine présidentielle en France, c'est de changer de gardiens et de garder le troupeau d'esclave dans un nouvel enclos. Gardons nous du décor du RN qui est devenu le centre mou, comme les autres, pour la gamelle sous la soumission conjointe de l'UE (le politburo) et de la maison mère de Tel-Aviv, représenté en France par Habib Meyer, qui encense Bardella ! Qu'ils aillent tous se faire ....chez les grecs, ou ailleurs.
Je recommande une courte lecture à méditer : https://www.lavoiedujaguar.net/Lettre-d-Elisee-Reclus-a-Jean
J'aime beaucoup -" Black Friday : moins 50 % sur le Glucksmann"
RépondreSupprimerhttps://www.egaliteetreconciliation.fr/Black-Friday-moins-50-sur-le-Glucksmann-79588.html.
Contient un lien pour une vidéo révélatrice. Tous les jeunes gens ne sont pas débiles. https://www.youtube.com/watch?v=yB3GJZkD1G8
Raphaël Glucksmann atomisé. 9 minutes où il explose en plein vol ( non t'es pas de gauche)
Ok donc faut le buter comme bardela
RépondreSupprimerButer qui ? Au niveau des Glusckmann, (ou Attal, ou Véran ou...) il existe toute une écurie, aux origines et robes différentes d'apparences, qui appartient aux mêmes propriétaires. Qu'importe le cheval qu'ils font courir, ce sont les propriétaires qui raflent la mise. Vous pouvez considérer la French american foundation comme étant une écurie préparant, formatant et sélectionnant des "young leaders". https://www.french-american.org/programmes-et-evenements/young-leaders/le-programme/
SupprimerEn effet il faut toutes et tous les buter sans exception, et ce sans effusion de sang, comment ? Simplement en déchirant sa carte de vote. Les 60% d'abstentions sont à viser dans le mille et la 6ème verra le jour se lever sur bal des vampires.
SupprimerVous pouvez toujours voter "blanc"
SupprimerC'est d'un vote noir dont il s'agit pour court-circuiter la démocratie, c'est à dire s'abstenir. Si la majorité absolue s'abstient l'élection est nulle et non-avenue, un boulevard pour le peuple afin de reprendre les commandes n'est ce pas !
SupprimerCe complot, issu du « schisme gréco-romain des collectivistes occidentaux » — ces aventuriers des sciences occultes, maîtres de la tromperie et du mensonge, partisans de modèles de divinité et d'élection princière, que nous appelons néonazis — veut nous faire croire qu'ils peuvent justifier leurs nouvelles supercheries coloniales, cette mascarade d'antisémitisme néonazi et d'israélisme blanc, comme une forteresse imprenable.
RépondreSupprimerIls prétendent qu'ils sont l'épicentre des serpents venimeux de la tumeur cancéreuse implantée en terre palestinienne, au cœur du continent africain.
Cette tumeur cancéreuse constitue la pierre angulaire de leur mur de paille d'antisémitisme débridé, dissimulée derrière leurs mensonges, tel un joker dans un jeu de dupes. Cela fait partie de leur théorie trompeuse, fondée sur une politique de terre brûlée et de terrorisme mondial visant à raviver un néocolonialisme blanc, sous la bannière d'un Israëlisme fasciste, et alimentée par une haine féroce envers les véritables descendants sémitiques du monde sémitique, en particulier des peuples du continent africain.
Un argument savamment orchestré sous-tend leur géopolitique, notamment la théorie du « Lebensraum » (espace vital), un concept géopolitique nazi qui justifiait l'expansion territoriale de l'Allemagne. Cette idéologie affirmait que la nation allemande devait s'étendre pour s'assurer des ressources suffisantes (alimentaires et industrielles) et des terres pour sa croissance démographique et sa survie culturelle, en particulier à l'Est, au détriment des peuples considérés comme inférieurs. Cet objectif fut atteint grâce à leur guerre simulée en Ukraine, destinée à tromper l'opinion publique mondiale, tandis que toutes leurs armes et leur mafia slovaque de tueurs étaient déployées au Moyen-Orient, et surtout en Afrique, pour occuper la Grande Palestine ou la Grande Syrie !
Du calme les perruches......Macron ne fait QUE tenter de clouer le cercueil de la France! Soyez juste et remontez au début de l'histoire récente, car c'est lors de la DÉFAITE du SOCIAL MAUROY face à la BANQUE de FABIUS (82)que la FRANCE a commencé à (se) perdre progressivement et surtout à se faire parasiter par la mafia judéo-sioniste....Et puis arriva le crypto trotskiste de Jospin grand maitre des privatisations.....AVEC SARKO c' la prise DIRECTE du POUVOIR en FRANCE par les JUIFS.....Le CLOU SYMBOLIQUE fut l' INCENDIE VENGEUR HUIT SIÈCLES après sur NOTRE DAME de PARIS!
RépondreSupprimer** En 1240 sous Louis IX, des livres juifs furent brulés sur le parvis de Notre Dame. Les Khazards se vengèrent en 2019.......Les mêmes qui ont juré la PERTE de la RUSSIE, plan qui est en cours.....de réalisation!
Malgré votre usage intempestif de majuscules, je partage votre point de vue pour ce qui est de Notre Dame de Paris.
SupprimerEncore et toujours un juif comme maître !!!!!
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