La grande enquête réalisée par Claude Janvier et François Lagarde, avec une introduction de Thierry Meyssan et une postface de Philippe Broquère. Paru chez « The Book Edition ».
Vous en rêviez et vous l’attendiez. L’étude approfondie des rouages de la haute fonction publique, de la haute sphère du privé et des financiers.
Les pays européens dont, bien évidemment, la France, sont prisonniers d’un paradigme dépassé de division et de soumission aux Anglo-Saxons, et ne veulent pas comprendre et admettre que le 21e siècle est en train de se jouer ailleurs, sans eux. L’Eurasie est en train d’écrire l’histoire tandis que l’Occident, et c’est vraiment dommage pour le peuple européen, griffonne dans les marges de son propre déclin.
L’État profond français n’a pas de visage officiel, mais il a des noms : Rothschild and Co, Henry Kravis, Bernard Arnault, Xavier Niel, Matthieu Pigasse… Ces puissances ne se contentent pas de financer, elles orientent, contrôlent et désignent qui doit régner. Le pouvoir visible n’est qu’un décor, car derrière le rideau, la haute finance gouverne, les médias obéissent, et les présidents exécutent un scénario déjà écrit.
De Rothschild à l’Élysée, Emmanuel Macron incarne ce
transfert d’autorité de la nation vers des intérêts privés. Sa trajectoire
n’est pas une ascension politique, mais une sélection stratégique. Il ne
gouverne pas la France, il administre les intérêts d’un cartel financier. Cette
congrégation ultra puissante verrouille les institutions, redéfinit les mots,
fait voter à tour de bras une multitude de lois liberticides refrénant vos
droits et votre indépendance, nivèle votre personnalité en transformant votre
quotidien en un fondu morne et ennuyeux, et maquille la soumission en
modernité.
Bernard Arnault, avec LVMH et ses journaux, façonne le débat public comme un directeur artistique de la pensée. Xavier Niel, en maître du numérique, contrôle les flux d’information, filtre le visible et masque les véritables informations.
Ce n’est plus une démocratie, c’est une mise en scène. Les coulisses sont bien plus instructives que le spectacle pitoyable qu’ils nous offrent.
Tous les pays ont un État profond, puisque celui-ci est composé de la haute sphère de l’administration publique, du privé et des financiers. Reste à savoir s’il travaille dans le sens du bien commun ou pas. Toute la question est là. La déliquescence de nos « élites » est de plus en plus évidente. Il y a un peu plus de trente ans, les politiciens mettaient déjà les mains dans le pot de confiture, mais avec un certain panache. Depuis Nicolas Sarkozy, nos « élites » ne se cachent même plus. Bruno Le Maire, par exemple, vous explique, sans sourciller, que les 1.000 milliards de dettes qu’il a généré lors de son passage à Bercy est de la faute du vilain « coronavirus ».
Leur mépris viscéral envers le peuple français suinte par tous les pores des institutions et offre un bien pitoyable spectacle de ce qu’est devenue la politique française.
Un État profond qui se respecte est censé aller dans le sens du bien commun, mais un des problèmes majeurs est qu’il s’associe bien trop souvent avec des lobbies sans scrupules, une espèce de monde sans foi ni loi, ou le règne du plus fort et du plus fortuné écrase la majorité. Empiler l’argent, encore et encore, au détriment des Français. L’idéologie mortifère absolue dans toute sa splendeur. La plaie de l’espèce humaine, du règne animal, végétal et minéral.
Tous les rouages d’une république au garde-à-vous obéissent sans sourciller, aux ordres bien trop souvent nocifs, d’un état devenu ivre et boulimique, avec leurs têtes de gondoles beaucoup plus préoccupées à se maintenir à des postes de pouvoir et à se faire élire et réélire, peu importe le poste obtenu, du moment que ça « paye bien ».
Quant à Emmanuel Macron, il est au pouvoir et il veut y rester le plus longtemps possible. Découvrez l’historique de son ascension dans nos chapitres. Il se pose en chef de guerre de la France et de l’UE, sans états d’âme. Ses déclarations incessantes, quasi-quotidiennes, démontrent sa volonté de plonger les Français, dans un climat de peur perpétuel. Quand une population est plongée constamment dans la terreur, elle devient conditionnée à un point tel, qu’elle accepte toutes les compromissions, les abnégations, et peut partir guerroyer un beau jour, totalement anesthésiée du monde réel. La fleur au fusil, la tête dans les étoiles, auréolée de grandes idées sur l’héroïsme au combat et sur la nécessité de tuer son prochain pour « le camp du bien ».
Malheureusement les brutales réalités de la guerre, des morts, du sang et des larmes, va la faire retomber sur terre à la vitesse grand V. Trop tard! Les cauchemars vont hanter ses nuits à jamais.
Comment y remédier ? Les réponses sont dans ce livre. Puissiez-vous ne plus être le même quand vous l’aurez terminé.
https://www.thebookedition.com/fr/l-etat-profond-francais-tome-2-p-422154.html
Claude Janvier
Écrivain,
essayiste, chroniqueur, et auteur de huit ouvrages sur l’influence dans le
monde de l’oligarchie financière mondiale apatride, sur l’État profond Français
et Européen, sur la menace de l’OTAN, sur le conflit Russo-Otanien via
l’Ukraine, sur le Proche-Orient et la géopolitique internationale.
Depuis une
vingtaine d’années, il fouille, déterre, décortique et analyse l’actualité, et
n’hésite pas à se rendre sur des lieux de conflits comme en Syrie et au Donbass
afin de mettre à jour les véritables informations, de les prouver et de les
diffuser, afin de montrer la puissance néfaste et les mensonges des médias
propagandistes.
Connu pour ses « coups de gueule », il intervient, chaque semaine, sur de
nombreux médias libres sur le web, tels que Géopolitique Profonde « GPTV », RT
France, sur X : https://x.com/JANVIERClaude1,
anime l’émission « Libres Paroles » sur TV ADP, Divergence Politique, Réseau
International, TV Libertés, Mondialisation.ca, Crash de Bug, les Moutons
Enragés bien d’autres sites d’information.
François Lagarde
Diplômé d’une école de commerce, il se consacre de plus en plus à l’analyse détaillée de la gestion des deniers publics par les pouvoirs en place, qu’ils soient de gauche, du centre ou de droite. Choqué par le laxisme et la partialité qu’il a observés, il s’est mobilisé pour dénoncer haut et fort le système corporatiste instauré par les élites dirigeantes ou mandatées, cherchant à sensibiliser ses compatriotes sur les dangers de leurs manœuvres déplorables. Témoin des effets pervers et dévastateurs des diktats des fonds de pension et des banques internationales sur les citoyens, il s’est engagé, à travers ses écrits, à mettre en garde un large public sur les dessous des enjeux financiers qui gangrènent profondément la société française dans son ensemble.
29 novembre 2025
Source
Un constat froid, sans fioriture ni contorsion pour tourner autour du pot. Les faits, tous les faits rien que les faits. Exposé salutaire pour les normies hypnotisés. La vérité est toujours amère, mais elle est immuable. Elle n'a pas besoin de crier, elle attend d'être entendue.
RépondreSupprimerUn bon conseil d'ami (on pourrait dire d'Amish). Eteignez votre TV. Vous savez pourquoi les Amish n'ont pas attrapé le covid, ...
parce qu'ils n'ont pas la TV.
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RépondreSupprimerJe me suis arrêté à « et c’est vraiment dommage pour le peuple européen »
Peuple européen ?
Qu'ont à voir des Scandinaves¹ avec des ibériques lesquels n'ont rien en commun avant les Germains (peuples germaniques)², qui ne partagent pas grand chose avec… et ainsi de suite.
Même au niveau religieux, chacun ayant évolué dans sa propre religion (pour ne pas remonter au delà du 4e siècle de notre ère) : Catholique, protestante (elles-mêmes divisées en une multitude d'obédiences), anglicans et depuis peu athées et autres lgbt…, comment se définit-on « peuple européen » ?
Par le bon vouloir des "élites" européistes ? Ou serait-ce par autre chose ?
⇺ Scandinaves¹ : Eux-mêmes composés de divers peuples dont les Suèves, Hérules, Geats, Cimbres, Kvènes, Finnois ingriens, mais aussi les Samis, peuple autochtone de la zone qui couvre le nord de la Suède, de la Norvège et de la Finlande ainsi que la Laponie en Russie.
« Cette grande diversité explique aussi une grande diversité d'activités et de peuplements ».
Lucie Malbos, historienne française spécialiste de l'histoire de la Scandinavie, auteur des ‟Peuples du Nord : De Fróði à Harald l’Impitoyable (Ier-XIe siècle)”.
⇺ Germains (peuples germaniques)² : Eux-mêmes composés de diverses tribus dont les Angles et les Saxons qui s'établirent en Bretagne romaine, les Francs³ en Gaule romaine, les Burgondes dans le bassin du Rhône, les Ostrogoths en Illyrie et Italie, les Visigoths en Aquitaine et Hispanie, les Suèves en Galice et les Vandales en Afrique du Nord et dans les îles de la Méditerranée occidentale.
Sous la direction du Franc Charlemagne, officiellement reconnu empereur d'Occident par le pape Léon III en l'an 800, le monde germanique forme la matrice de ce qui deviendra le Saint-Empire romain germanique et, en 1204, le royaume de France qui dureront jusqu'à la fin du 18e siècle.
⇺ les Francs³ : peuple germanique qui a conquis, bon an mal an, sur plusieurs siècles, les territoires auxquels ils donnèrent leur nom et gouverné les peuples autochtones⁴ jusqu'à la Révolution.
⇺ les peuples autochtones⁴ (par ordre alphabétique) : Les Ambibarii, les Ambivarètes, les Arvernes (qui donnèrent leur nom à l'Auvergne), les Aulerques, Bituriges, Boïens (l'un des plus anciens peuples dont on retrouve les traces en Italie, Europe centrale, France,…), Carnutes, Éduens, Helvètes, Lémovices, Morins, Nerviens, Parisii (qui donnèrent leur nom à la ville de Paris), Sénons, Séquanes, Vellaves, Volques (tribus celtiques et ibériques du Languedoc), et bien d'autres.
Ces peuples et tribus existaient déjà dans l'antiquité, certains depuis l'âge de fer voire avant et ne s'autodésignaient guère comme « gaulois ».
Bien que passés sous domination romaine⁵, d'où l'expression "gallo-romaine"⁶ répétée par les "historiens", ces peuples et tribus s'autodésignaient belges, aquitains et celtes qui, en sus d'un nombre effarant des leurs(1/3 massacrés, 1/3 crucifiés ou réduits en esclavage et 1/3 conservés pour mettre en valeur les terres conquises par Rome), perdirent, leurs identités et leurs langues originelles au profit de l'identité et de la langue romaine, le latin.
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RépondreSupprimerSi César a pu conquérir les territoires qu'il a nommé « la Gaulle », c'est aussi dû à la division des divers peuples et tribus qui y vivaient; certaines s'alliant - mal leur en prit !* - avec l'envahisseur qui ne rencontra pas de résistance sérieuse, jusqu'à l'avènement de Vercingétorix qui a su faire, malheureusement tardivement, alliance avec un certain nombre de tribus, mais pas suffisantes pour faire face aux légions romaines et à la trahison.
L'histoire donne à César plus de crédit et de gloire qu'il ne mérite, il doit beaucoup à ses capacités de division des autochtones et à la trahison de certaines tribus entraînées dans la collaboration par leurs élites "bourgeoises".
⇺ mal leur en prit !* : Il en fût de même pour la conquête des Incas par les Espagnols qui ont joué des tribus contre d'autres, Mais, une fois les Incas vaincus, les tribus autochtones qui s'étaient alliées aux Espagnols subirent le même mauvais sort que les Incas … et ce fut bien pire pour elles que du temps de la domination des Incas !
Ceci n'étant qu'un exemple du « diviser pour régner » qui a jalonné l'histoire de l'Europe et, par extension, de l'occident jusqu'à nos jours.
⇺ sous domination romaine⁵ : La fameuse et célèbre « Pax Romana » (paix romaine) qui précéda la « pax britannica » et la furtive « pax franca » toutes deux absorbées par « la pax americana » et, peut-être, la pax judaïca à venir (?) … en tout cas, ils y travaillent !
⇺ "gallo-romaine"⁶ : En conformité aux réalités humaines et historiques, il serait plus exact d'utiliser les expressions ‟belgo-romaine”, ‟aquitano-romaine” et ‟celto-romaine” lorsqu'il s'agit des uns et des autres.
À ce sujet, bien que mise sous le tapis, la meilleure description que nous connaissons de la « Gallia » préromaine se trouve dans le premier chapitre des Commentarii de Bello Gallico, (Guerre des Gaules) de Caius Julius Caesar, lui-même :
⇛ « Toute la Gaule est divisée en trois parties, dont l'une est habitée par les Belges, l'autre par les Aquitains, la troisième par ceux qui, dans leur langue, se nomment « Celtii », et dans la nôtre « Galli »⁷. Ces nations diffèrent entre elles par le langage, les institutions et les lois. Les Galli, (Gallus au singulier) sont séparés des Aquitains par la Garonne, des Belges par la Marne et la Seine.
Les Belges sont les plus braves de tous ces peuples, parce qu'ils restent tout à fait étrangers à la politesse et à la civilisation de la province romaine et, que les marchands, allant rarement chez eux, ne leur portent point ce qui contribue à énerver le courage.
D'ailleurs, voisins des Germains qui habitent au-delà du Rhin, ils sont continuellement en guerre avec eux. Par la même raison, les Helvètes surpassent aussi en valeur les autres Galli car ils engagent contre les Germains des luttes presque journalières, soit qu'ils les repoussent de leur propre territoire, soit qu'ils envahissent celui de leurs ennemis.
Le pays habité, comme nous l'avons dit, par les Galli (c'est-à-dire les Celtii. NdHomo Sapiens), commence au Rhône, et est borné par la Garonne, l'Océan et les frontières des Belges; du côté des Séquanes et des Helvètes, il va jusqu'au Rhin; il est situé au nord.
Celui des Belges commence à l'extrême frontière de la Gallia et est borné par la partie inférieure, et à cette partie de l'Océan qui baigne les côtes d'Espagne; elle est entre le couchant et le nord ».
Livre I.1 Collection Nisard, Biblioteca Classica Selecta.
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RépondreSupprimerAprès la conquête de la Gallia par Caius Julius Caesar, son organisation territoriale au sein de l'Empire fut conclue par l'empereur Auguste de 27 à 12 avant J.C.
Il créa 3 provinces romaines :
La Gallia Belgica (Gaule Belgique), la Gallia Lugdunensis (Gaule lyonnaise) et l'Aquitania. Au sud, l'ancienne Provincia romaine, à laquelle fut ajoutée Massilia, fut rebaptisée Gallia Narbonensis (Gaule narbonnaise) et les territoires bordant le Rhin furent regroupés en deux zones militaires qui devinrent sous Domitien les provinces de Germanie supérieure et de Germanie inférieure.
Pendant environ 200 ans, la Pax Romana se maintint, à l'exception de quelques troubles ici et là, jusqu'aux incursions germaniques du 3e siècle après J.C. qui marquèrent la fin du règne de la puissance militaire déclinante, de l'organisation romaine et l'avènement des tribus germaniques dont les francs, dont les véritables autochtones de ce territoire qu'on appelle la France, portent le nom … après avoir porté celui de Galli (c'est-à-dire de Gaulois) donné par leur premier envahisseur.
Les frontières de "la Gallia" définient par Caesar puis par Auguste ont, évidemment, variées au fil du temps et des aléas de l'histoire.
⇺ et dans la nôtre « Galli »⁷ : Les Celtii (celtes) n'étaient, donc, pas plus « Galli » (Gaulois) que les Akhaioí (Achéens) d'origine hittite d'après nombre de spécialistes, les Danaós ou Danaoí (Danaens) d'origine égyptienne et les Argolioí (Argiens), n'étaient grecs et que les Sioux, les Navajos, les Pueblos, les Cheyennes, les Cherokees, les Comanches, les Iroquois, les Apaches, les Omahas, les Cris, les Mohaves et tant d'autres n'étaient Indiens.
Ce sont des désignations, parfois péjoratives, imposées par leurs conquérants pour les uns et leurs grands remplaceurs génocidaires pour les autres.
En décembre 2024, des caméras automatiques installées dans la forêt tropicale brésilienne ont pris des images inédites d'un peuple indigène.
D'après les médias qui l'ont rapporté, il s'agit du peuple autochtone appelé Massaco⁸, qui n'a jamais été contacté auparavant.
⇺ Massaco⁸ : Si ce nom leur a été donné en raison de la rivière qui traverse leurs terres, personne ne sait réellement comment ils s'autodésignent entre eux.
Concernant les peuples autochtones de France, de Grèce, d'Amérique et d'autres, comme les berbères, par exemple, nous savons ! Et pourtant !
Ce n'est pas l'histoire des peuples qui nous est inculquée, mais l'histoire des régnants, celle qui protège et perpétue le pouvoir des puissants.
Entendons-nous bien, il n'y a ni mépris (ce serait un comble) ni dévalorisation ni provocation,… dans la version proposée, seulement relater des réalités historiques aisément vérifiables pour la plupart, pour qui exécre le mensonge et autres affabulations et s'en donne la peine.
Pour le reste de l'article, ce sera pour demain (?)
Hormis cela,
Là où il n'y a pas de vérité, il ne peut y avoir du bien.
Bonne fin de semaine à toutes et à tous.
Homo Sapiens
Merci pour le retour au réel.
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