La Cabale juive explique que le Saint-Serpent est
celui qui doit élever la nation juive à la divinité.
Texe Marrs a été professeur assistant d'études
aérospatiales, l'enseignement de la politique américaine de défense, des
systèmes d'armes stratégiques, et des sujets connexes à l'Université du Texas à
Austin pendant cinq ans. Il a également enseigné les affaires internationales,
sciences politiques, la psychologie et de deux autres universités. Diplômé de
College Park, Kansas City, Missouri, il a obtenu sa maîtrise à l'Université
d'État de Caroline du Nord.
Comme officier de carrière à l’USAF (maintenant à la
retraite), Marrs commandé les unités de communications-électroniques et de
l'ingénierie. Il est titulaire d'un certain nombre de décorations militaires, y
compris la Médaille du Service au Vietnam et « Presidential Unit Citation ».
Il a servi en Allemagne, en Italie et dans toute l'Asie. Marrs a écrit des
livres pour les grands éditeurs comme Simon & Schuster, John Wiley,
Prentice Hall, McGraw-Hill, et Dow Jones-Irwin. Ses livres se sont vendus à des
millions d'exemplaires. Il est l'auteur de livres tels que Carrières Avec
Robots, Carrières en Informatique: Le Guide d'emploi en High-tech, Comment
se préparer pour le test des forces armées, l'ADN des sciences et de la
Lignée juive, etc.
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Alexis: Je suis
heureux que vous vous approchiez de cette question non pas d'une base métaphysiquement
raciale, mais du point de vue du judaïsme rabbinique lui-même. Le judaïsme
rabbinique, comme nous le savons tous, constitue le fondement de l'Etat
d'Israël lui-même et celui de l'idéologie politique des mouvements tels que le
néoconservatisme. Ceci a été documenté dans de nombreuses études scientifiques.
[1]
Donc, nous sommes tous les deux d'accord pour dire que le
judaïsme rabbinique est une idéologie malfaisante, et l’«Utopie juive» [2]
comme vous le dites, découle inexorablement de cette idéologie. D'autres
personnes au cours des siècles ont parlé de cette «utopie juive» d'une manière
ou d'une autre.
Dans un discours prononcé au B'nai B'rith en 1902,
Salomon Ehrmann, un Juif viennois, envisage un avenir dans lequel "toute
l'humanité aura été judaïsée et aura rejoint en union le B'nai B'rith."
. Lorsque cela se sera produit, "non seulement le B'nai B'rith, mais
tout le judaïsme aura rempli sa tâche." [3].
Selon l'historien Albert S. Lindemann de l'Université de Californie,
pour Ehrmann, "judaïsation = illumination." [4]
Dans la même veine, Baruch Levy, l'un des correspondants de
Karl Marx, a déclaré que : «Le peuple juif, pris collectivement, sera
son propre Messie ... Dans cette
nouvelle organisation de l'humanité, les fils d'Israël dispersés maintenant sur
toute la surface du globe ... deviendront partout l'élément de décision sans partage
ni opposition ...
«Le gouvernement des nations formant l’Univers ou la République-Mondiale
passeront ainsi, sans aucun effort, aux mains juives grâce à la victoire du
prolétariat ... .Ainsi sera accomplie la promesse du Talmud [20], car, lorsque
l'époque Messianique sera arrivée, les Juifs contrôleront les richesses de
toutes les nations de la terre. [5]
C'est, évidemment, ce que les Rothschild et Goldman Sachs sont
en train de faire. Ils volent les gens par l'usure et par leur activité
secrète. En fait, Goldman Sachs est le directeur exécutif et le chef des
activités de la firme « États-Unis » en Europe, au Moyen-Orient et en
Afrique. C’est pour cette raison que Greg Smith, a quitté Goldman Sachs. Smith
a écrit de la société:
"Quels sont les trois moyens rapides pour devenir un leader?
- a) Exécuter sur «les axes,» de l'entreprise Goldman, parler pour convaincre vos clients d'investir dans des stocks options ou d'autres produits dont nous voulons nous débarrasser parce qu'ils n’ont pas beaucoup de potentiel de profit.
- b) « Chasser les éléphants », c'est-à-dire obtenir de vos clients - dont certains sont sophistiqués, et d’autres pas - pour commercer dans tout ce qui peut apporter le maximum de profit pour Goldman. Je suis peut être vieux jeu, mais je ne veux pas vendre à mes clients un produit qui est mauvais pour eux.
- c) Trouvez-vous assis dans un siège où votre travail consiste à marchander tout produit opaque et non liquide, avec un acronyme de trois lettres.
- a) Exécuter sur «les axes,» de l'entreprise Goldman, parler pour convaincre vos clients d'investir dans des stocks options ou d'autres produits dont nous voulons nous débarrasser parce qu'ils n’ont pas beaucoup de potentiel de profit.
- b) « Chasser les éléphants », c'est-à-dire obtenir de vos clients - dont certains sont sophistiqués, et d’autres pas - pour commercer dans tout ce qui peut apporter le maximum de profit pour Goldman. Je suis peut être vieux jeu, mais je ne veux pas vendre à mes clients un produit qui est mauvais pour eux.
- c) Trouvez-vous assis dans un siège où votre travail consiste à marchander tout produit opaque et non liquide, avec un acronyme de trois lettres.
«Aujourd'hui, beaucoup de ces leaders affichent une culture Goldman
Sachs avec un quotient de zéro pour cent. J’ai participé à des réunions de
vente dans lesquelles pas une seule minute n’est consacrée à poser des
questions sur la façon dont nous pouvons aider les clients. Elles sont exclusivement
consacrées aux méthodes par lesquelles on peut leur soutirer un maximum d'argent. Si vous étiez un martien qui assiste
à l'une de ces réunions, vous verriez que le succès ou les progrès d'un client
ne font pas partie du processus de pensée du tout.
"Cela me rend malade de voir des gens parler cyniquement
de la meilleure façon de dépouiller leurs clients. Au cours des 12 derniers
mois, j’ai vu cinq différents directeurs généraux se référer à leurs propres
clients comme des «Muppets », y compris dans leurs emails internes .... La
question la plus commune que je reçois des analystes juniors à propos des
dérivés est: «Combien d'argent avons-nous soutiré au client? Cela me dérange
chaque fois que je l'entends, car c’est une réflexion claire de ce qu'ils
observent de la part de leurs dirigeants concernant la façon dont ils doivent
se comporter. " [6]
Le Journaliste Matt Taibi, de Rolling Stones, a dit à peu près la
même chose en 2010, deux ans seulement avant que Smith ne quitte Goldman Sachs:
«La première chose que vous devez savoir sur Goldman
Sachs est qu'il est partout. La banque d'investissement la plus puissante du
monde est un grand calmar vampire enroulé autour du visage de l'humanité, brouillant
sans relâche de son entonnoir de sang tout ce qui sent l'argent.
«En fait, l'histoire de la récente crise financière,
qui se double d'une histoire du déclin rapide et de la chute de l'empire
américain soudainement escroqué et mis à sec, se lit comme un « Qui est
Qui » des diplômés de Goldman Sachs." [7]
On peut dire la même chose sur les oligarques comme George
Soros, qui a contribué à détruire l'économie russe dans les années 1990. [8]
Vladimir Poutine doit avoir été au courant des activités
secrètes de Soros, car il a bouté ce Seigneur des Ténèbres Soros hors de la
Russie des années plus tard.
Quelle est votre réflexion sur toutes ces questions?
Marrs: Tout d'abord, à
propos de Goldman Sachs. Je suis d'accord avec Matt Taibi de Rolling Stone.
L’influence de Goldman Sachs est partout. Nous trouvons son contrôle des politiciens
dans tous les pays, y compris aux États-Unis, en Grande-Bretagne, et en Chine.
Hillary Rodham Clinton, la candidate démocrate à la présidence, a bénéficié d’honoraires
anormalement surestimés de (675.000 $). Elle a été payée pour trois brefs
discours qu’elle a donnés aux dirigeants de Goldman Sachs [9].
Son mari, Bill, a reçu 175.000 $ pour un discours prononcé Goldman
Sachs. [10]
Du côté du Parti Républicain, le sénateur Ted Cruz, candidat
à la présidentielle, a admis qu'il avait récemment reçu un million de dollars de
"prêt" de la banque mondiale [11].
Sa femme, Heidi, quant à elle, est employée en tant que gestionnaire
d'investissement de richesse par Goldman Sachs. [12]
Avec les mains de Goldman dans tant de calepins, le PDG de
la banque, Lloyd Blankfein, a été questionné par un journaliste pour qui il a
travaillé. Blankfein a répondu : «je fais le travail de Dieu». [13]
De quel «Dieu» pourrait-il s’agit-il? Eh bien, c’est du dieu
juif qu’il s’agit, comme je le prouve dans mon nouveau livre, le Saint-Serpent
des Juifs, est Léviathan. Le serpent? Est-ce que c’est cela, le dieu de Lloyd
Blankfein?
Il est important de comprendre que, comme Baruch Levy le
disait à Karl Marx, "Le peuple juif, pris collectivement, est son
propre Messie."
La Cabale juive explique que le Saint-Serpent est celui qui doit élever la nation juive à la divinité.
Ce sera leur niveau de l'utopie juive.
Puis viendra le jour de la Purification, lorsque les richesses et les trésors du monde entier seront donnés aux Juifs, et le Saint-Serpent traitera avec les Gentils. Les Gentils qui renoncent à leurs idoles (Jésus et Mahomet sont tous deux considérés comme des «idoles» par le Talmud et la Cabale) et acceptent de servir les maîtres juifs comme esclaves, doivent être épargnés. Tous les autres seront tués par décapitation.
La Cabale juive explique que le Saint-Serpent est celui qui doit élever la nation juive à la divinité.
Ce sera leur niveau de l'utopie juive.
Puis viendra le jour de la Purification, lorsque les richesses et les trésors du monde entier seront donnés aux Juifs, et le Saint-Serpent traitera avec les Gentils. Les Gentils qui renoncent à leurs idoles (Jésus et Mahomet sont tous deux considérés comme des «idoles» par le Talmud et la Cabale) et acceptent de servir les maîtres juifs comme esclaves, doivent être épargnés. Tous les autres seront tués par décapitation.
Quant aux Juifs, comme dieux humains, ils vont gouverner et
régner sur la terre. Le Saint-Serpent qui a si généreusement récompensé les
Juifs quittera la terre et passera à d'autres étoiles et planètes.
Qu'en est-il du «Dieu» suprême des Juifs? Les chrétiens
évangéliques et les chrétiens ordinaires, et sans aucun doute la plupart des
musulmans, des hindous, et d'autres qui croient que les Juifs adorent Jéhovah,
le « Grand Je Suis » de l'Ancien Testament, peuvent être surpris de
découvrir que la divinité du judaïsme est appelée par un autre nom. Il / elle
est Ein Sof, et Ein Sof est un mystérieux «Dieu» qui n'a pas
d'émotion.
Vous ne pouvez pas communiquer avec Ein Sof, ni prier
pour lui / elle. Mais Ein Sof a des «émanations», des étincelles de
lumière émise [14].
Le Saint-Serpent est une telle lumière, et il y en a beaucoup d'autres.
En fait, selon la Kabbale, il y a au moins dix autres
émanations-dieux et déesses- que les Juifs, à divers moments, aiment, adorent,
et ont même des relations sexuelles avec eux/elles. Il y a Shekinah, un type de
Déesse Mère, Chokmah ; il y a un dieu mâle, et il y a une fille, Malkuth.
Il y a même un dieu masculin nommé Hesod, le phallus [15].
Mon livre, le Saint-Serpent des Juifs, examine ces
nombreuses divinités et cite de nombreux rabbins dédiés à leur culte et à leur
vénération.
Cette étrange série de divinités dans le judaïsme rappelle
les dieux et les déesses des anciens Religions mystérieuse, à Babylone, en
Grèce et à Rome (Zeus, Athéna, Hercule, Vénus, Vulcain et ainsi de suite). [16]
Quand un Juif parle de «Dieu», il faut lui demander de
préciser, quel dieu?
Pourquoi les Juifs ont-ils tant de divinités? En fin de
compte, ces dieux et déesses sont considérés comme de simples aides,
conseillers ou guides. Le Dieu suprême derrière eux tous, Ein Sof, est
mystérieux, ineffable, non communicatif. Le Juif ne peut pas prier Ein Sof.
Comme le note l’académicien Israël Shahak dans son livre classique, Histoire
juive, religion juive, les Juifs deviennent souvent confus quant à savoir
pour qui prier. [17]. Certains
prient simplement Satan! [18]
Il faut dire aussi que les Juifs jouissent souvent des
relations sexuelles mentales avec ces dieux et déesses. En effet, ils croient
que le sexe est ce qui produit l'énergie cosmique qui fait fonctionner l'univers.
En réalité, le judaïsme est l'un des plus grands cultes du
sexe dans le monde [19].
Voilà exactement ce que je prouve dans les pages de mon livre récent, Le
Saint-Serpent des Juifs.
Jonas E. Alexis
Traduction : Hannibal GENSERIC
Traduction : Hannibal GENSERIC
[1] See for example Michael A. Hoffman, Judaism Discovered (Coeur D’Alene: Revisionist History, 2008); see also Marissa Newman, “Netanyahu reported to say legal system based on Talmud,” Times of Israel, May 8, 2014.
[2] Texe Marrs, The Holy Serpent of the Jews (Austin, TX: RiverCrest Publishing, 2016), 9.
[3] Abert S. Lindemann, Esau’s Tears: Modern Anti-Semitism and the Rise of the Jews (Cambridge: Cambridge University Press, 1997), 331.
[4] Ibid.
[5] Quoted in E. Michael Jones, The Jewish Revolutionary Spirit and Its Impact on World History (South Bend: Fidelity Press, 2008), 1066.
[6] Greg Smith, “Why I Am Leaving Goldman Sachs,” NY Times, March 14, 2012.
[7] Matt Taibbi, “The Great American Bubble Machine,” Rolling Stone, April 5, 2010.
[8] See E. Michael Jones, Barren Metal: A History of Capitalism as the Conflict Between Labor and Usury (South Bend: Fidelity Press, 2014), 1351-1354.
[9] Nicholas Confessore and Jason Horowitz, “Hillary Clinton’s Paid Speeches to Wall Street Animate Her Opponents,” NY Times, January 21, 2016.
[10]
For further study on how much money the Clintons have accumulated over
the years, see for example Simon Head, “The Clinton System,” NY York Review of Books, September 22, 2011.
[11]
Tom Huddleston, “Ted Cruz is obviously an agent of the New World Order.
See for example Ted Cruz Did Not Disclose Citi and Goldman Loans During
Senate Campaign,” Fortune, January 14, 2016; John Cassidy, “Ted Cruz’s Goldman Sachs Problem,” New Yorker, January 14, 2016.
[12]
David Sirota, “At Goldman Sachs, Ted Cruz’s Wife Heidi Worked In
‘Wealth Management,’ Not ‘Helping Lift People Out Of Poverty,’” International Business Times, February 18, 2016; Nick Gass, “Cruz rails against ‘crony capitalism,’ praises wife’s Goldman Sachs career,” Politico, March 25, 2016; Martha T. Moore, “Who is Heidi Cruz?,” USA Today, March 24, 2015.
[13] Quoted in Matt Phillips, “Goldman Sachs’ Blankfein on Banking: ‘Doing God’s Work,’” Wall Street Journal, November 9, 2009; “Blankfein Says He’s Just Doing ‘God’s Work,’” NY Times, November 9, 2009; “Goldman Sachs chief says ‘we do God’s work’ as he defends the bank’s mega profits,” Daily Mail, November 8, 2009.
[14] See Gershom Scholem, Kabbalah (Philadelphia: Jewish Publication Society, 1974).
[15] Black magician Aleister Crowley discussed some of these issues in many of his books. Aleister Crowley, 777 And Other Qabalistic Writings (York Beach, ME: Red Wheel/Weiser, 1973); The Book of Lies (York Beach, ME: Red Wheel/Weiser, 1981); Magic: In Theory and Practice (New York: Dover, 1976); see also Dion Fortune, The Mystical Qabalah (San Francisco: Red Wheel/Weiser, 2000).
[16] For detailed studies on these issues, see E. R. Dodds, The Greeks and the Irrational (Berkeley: University of California Press, 1951); Charles Segal, Dionysiac Poetic and Euripides’ Bacchae (Princeton: Princeton University Press, 1982); John Burt Foster, Heirs to Dionysus: A Nietzschean Current in Literary Modernism (Princeton: Princeton University Press, 1981); Martin Persson Nilsson, The Dionysiac Mysteries of the Hellenistic and Roman Age (New York: Arno Press, 1979); Carl Roebuck, The Muses at Work: Arts, Crafts, and Profession in Ancient Greece and Rome (Boston: MIT Press, 1969); Eric Csapo and Margaret C. Miller, ed., The Origins of Theater in Ancient Greece and Beyond (New York: Cambridge University Press, 2007); John Bartholomew O’Connor, Chapters in the History of Actors and Acting in Ancient Greece (New York: Haskell House, 1966); Ismene Lada-Richards, Initiating Dionysus: Ritual and Theater in Aristophanes’s Frogs (New York: Oxford University Press, 1999).
[17] Israel Shahak, Jewish History, Jewish Religion: The Weight of Three Thousand Years (New York and London: Pluto Press, 1994).
[18]
This should be no surprise. In fact, Freemasonry, which inexorably is
an offspring of Judaism, is the worship of Satan. For an examination on
this, see Jones, The Jewish Revolutionary Spirit, 539-550.
[19] If this seems bizarre, see Daniel Boyarin, Carnal Israel: Reading Sex in Talmudic Culture
(Berkeley: University of California Press, 1995). This also is an
explanation of why Jewish revolutionaries have flooded the cultural
landscape with pornography. As Nathan Abrams himself puts it in his
study The New Jew in Film: “Older generation of Jewish
filmmakers and actors, here [Woody] Allen, [Stanley] Kubrick and [Ron]
Jeremy, arguably not only increased the Jewishness of their work, but
updated it to match the new post-1990 sensibility by defining it in
increasingly sexualized (and pornographic) terms.” Nathan Abrams, The New Jew in Film: Exploring Jewishness and Judaism in Contemporary Cinema (New Brunswick: Rutgers University Press, 2012), 72.
[20] Les racines talmudiques du sionisme
Israël : l'armée désigne un grand rabbin ayant justifié le viol en temps de guerre
La nomination du nouveau grand
rabbin des armées d'Israël a suscité de vives réactions dans le pays,
l'homme ayant sous-entendu par le passé que la Torah autorisait les
militaires juifs à violer des femmes non-juives.
Mauvaise pioche :
l'homme que Tsahal a choisi de nommer grand rabbin des armées, le
colonel Eyal Karim, a sous-entendu il y a 14 ans qu'en temps de
guerre, le viol de femmes non-juives par des soldats juifs était
légitime. Des propos qui, à l'époque, avaient suscité une ample
polémique.Sans surprise, l'annonce de cette nomination n'est pas passée inaperçue : le leader du parti de gauche Meretz, «Energie» en hébreu, a pressé le premier ministre Benjamin Netanyahou d'intervenir, tandis que le principal journal du pays, Yedioth Ahronoth, a titré Nouveau grand rabbin de l'armée : «le viol est admissible en temps de guerre».
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Un éclaircissement théologique
Source : International
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