vendredi 15 juillet 2016

Syrak. Des avions de la CIA pour saboter le cessez-le-feu et provoquer une guerre russo-américaine



Nous savons que Daech/ISIS a récemment été fortement réarmée, rééquipée et renforcée par la coalition anglo-sioniste : OTAN, Israël, Turquie, Arabie. Maintenant, la CIA et la mafia khazare offrent aux djihadosionistes une force aérienne destinée à effectuer, sous faux drapeau, des bombardements contre les civils, les écoles et les installations hospitalières syriennes et irakiennes. Voici comment la Triade de Malheur (Impérialisme, Sionisme, Islamisme, ou ISIS) opère.
Note de l'éditeur :  cet article a été bloqué par la CIA depuis 3 mois. Apparemment, ce temps a été mis à profit par la CIA pour mettre en place ses bases aériennes et logistiques et  choisir  leurs pilotes, etc. Ils sont maintenant prêts à franchir la "ligne rouge" par des attaques sous fausse bannière, ce qui tuerait l'accord de cessez-le-feu en Syrie et placerait les  États-Unis et la Russie sur un pied  "très proche de la guerre". Dans cette affaire, la CIA travaille en réalité pour la Mafia Khazare, dont le capo di capi est  Rothschild, qui, lui aussi, semble travailler pour ses amis d’Al-Qaïda et d'ISIS/Daech.
En effet, Veterans ToDay ont découvert l’existence d’une force aérienne secrète de la CIA opérant sous « faux drapeau » syrien, composée de MiG-21 volés. Décollant des aérodromes israéliens et turcs, ces Mig peints aux couleurs syriennes attaquent les hôpitaux et les camps de réfugiés en Syrie et en Irak. Filmés par la CIA, les vidéos de ces vrais bombardements par des faux avions syriens  sont alors distribuées aux organes d’information/désinformation occidentaux.

Retour en Mars de cette année. Certains médias indépendants ont parlé d’une affaire plutôt louche entre la Croatie et l'Ukraine, où une douzaine de bombardiers MiG-21 ont disparu. La Croatie avait envoyé 7 MiG-21 en Ukraine pour  être rénovés. Les Croates étaient censés recevoir leurs 7 avions rénovés après leur remise à neuf, plus un autre lot de 5 avions rénovés à la même norme. En fait d’avions remis à neuf, les Croates ont obtenu des vieux coucous qui ressemblaient à des MiG,  mais qui étaient incapables de voler. Après examen, les Croates ont découvert l'escroquerie : les Mig reçus ne sont pas ceux qu’ils avaient envoyés pour rénovation. On leur a fourgué des vieux modèles, bricolés à partir de pièces récupérées sur de vieux avions mis à la casse. Ainsi, par exemple, l’un des avions avait un fuselage bulgare, des ailes algériennes et des réservoirs de carburant anciens, datant de l’ère soviétique.
La première question qui se pose est donc : que sont devenus les MiG Croates?
Réponse : Ils ont été rénovés en Ukraine puis ont été vendus à la mafia russe.
Et que va faire la mafia russe avec une douzaine de MiG-21 rénovés?
Avant de répondre, voyons d’abord qui est en réalité la Mafia Russe.
Elle est constituée à 100% de juifs, les descendants directs des Khazars [1]. Les Khazars habitaient ce qui est maintenant le sud de l'Ukraine et l'une des principales villes de leur empire était Odessa, le port sur la mer Noire qui est aujourd'hui un important port de l'Ukraine. Odessa est aujourd'hui dirigé par l'ancien président de la Géorgie, le trafiquant d'armes international et ami proche d'Israël, Mikhaïl Saakachvili.
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Saakachvili, bien que non ukrainien, a été nommé gouverneur d'Odessa afin de superviser les opérations de contrebande massive d’armes vers l’État islamosioniste : armes de pointe, munitions et  tous les autres biens nécessaires pour mener une guerre d’usure de longue durée. La route vers ISIS est en face de la mer Noire, dans le port de Batoumi, capitale de la Géorgie qui se trouve à quelques miles au nord de la frontière turco-géorgienne. De Batoumi, les fournitures sont transportées par camion vers la Turquie, puis vers Daech, Al-Nosra et d’autres milices islamistes en Syrie. Tel a été le sort de cette douzaine de MiG-21 disparus: ils ont été   expédiés d'Odessa à Batoumi, puis par camion jusqu'à Incirlik base aérienne dans le sud de la Turquie.
Three colour schemes used on Syrian MiG-21s
Trois schémas de couleurs utilisés sur les MiG-21 syriens
Mais pourquoi la CIA et ses alliés saoudiens fournissent-ils à leur « armée proxy » ISIS/Daech des vieux MiG-21 rénovés, alors qu’ils ont les moyens de leur offrir du matériel neuf et à l’état de l'art ?
C’est là où la partie de la tromperie de l'opération entre en jeu. La force aérienne syrienne fonctionne toujours avec des MiG-21, il suffit donc de repeindre la douzaine de MiG CIA/Daéchiens aux couleurs syriennes, de bombarder civils et hôpitaux syriens, et le tour est joué : on accusera Assad de toutes ces vilénies.
Imaginez un peu les scénarios du chaos sous faux drapeau que cette douzaine de MiG faussement  'syriens' vont réaliser. Alors, lorsque les médias traditionnels vont écrire, vidéos à l’appui, que les méchants Syriens du vilain Assad ont bombardé une cible civile, un hôpital de Médecins Sans Frontière ou un camp de réfugiés du Croissant-Rouge, rassurez-vous, ce sera « le travail bidon » de la force aérienne de la CIA/Daech peinte aux couleurs syriennes. Pire encore, imaginez le raffut qui sera (et qui a été) lancé par les médias traditionnels, les accusations de cruauté et d'inhumanité d'Assad. Voici « ses » avions lançant des « bombes-barils »  sur ses propres  civils,  avec   les « preuves » fournies aux médias par la CIA sous la forme de séquences vidéo montrant clairement ces MiGs «syriens» portant ces vilaines attaques.
La guerre syrienne, loin d'approcher d’une phase finale, comme cela apparaissait possible il y a quelques mois avant le soi-disant cessez-le-feu, est en train de devenir un conflit de plus en plus dangereux et intense, notamment parce que le cessez-le-feu a permis aux Américains, Turcs, Israéliens, Saoudiens de réarmer les terroristes avec des armes plus sophistiquées, d’en embaucher de nouveaux, de réorganiser leurs forces, faisant émerger une force de frappe terroriste encore plus dangereuse qu’avant ce faux cessez-le-feu. Ajoutez à cela les déploiements des armées de l’OTAN aux frontières russes et chinoises, l’ouverture de nouvelles bases militaires, comme ne Tunisie (afin de contrôler l’Afrique du Nord, Maghreb+Égypte), ce sont des moments très inquiétants qui nous attendent.

Vous publiez un quatrième livre sur le judaïsme, et c’est encore un livre de 400 pages. Qu’apporte-t-il de nouveau ? On pensait que vous aviez déjà tout dit ?
Hervé Ryssen : C’est aussi ce que je pensais, figurez-vous ! Mais le judaïsme est un monde très fermé, très secret, et vous voyez, après toutes ces années d’étude, on en apprend encore des vertes et des pas mûres. Cette fois-ci, j’ai exploré le monde criminel issu de la communauté juive internationale, et ce que l’on y découvre est à proprement parler hallucinant. Le fait est que la mafia juive est la principale mafia qui existe aujourd’hui sur cette planète : racket, proxénétisme, trafic de drogues, trafic d’armes, trafic de diamants de contrebande, trafic d’œuvres d’art, meurtres sous contrat, escroqueries en bande organisée, vols à main armée, etc. La pornographie, les milieux des casinos et des discothèques sont aussi largement tenus par ces mafieux israélites.
Vous prétendez que le trafic de drogue international est en grande partie entre les mains de la mafia juive. Êtes-vous bien certain de ne pas trop vous focaliser sur votre sujet ?
Hervé Ryssen : Je ne prétends pas que la mafia juive contrôle la majeure partie du business international de la drogue, puisqu’il n’y a pas de statistiques sur le sujet, mais la chose ne me paraît pas invraisemblable, à en juger par toutes les informations que j’ai pu réunir. Le fait est que depuis le trafic de l’opium dans la Chine du XIXe siècle jusqu’à nos jours, cette mafia est très entreprenante dans ce domaine. Pour le trafic d’ecstasy, on peut affirmer avec certitude que la mafia juive est en position de monopole. L’ecstasy est la drogue qui fait le plus de ravage actuellement dans la jeunesse européenne. Une pilule d’XTC donne une sensation de force et de bien-être pendant quelques heures, mais c’est surtout une véritable poubelle chimique. Ses effets, sur le long terme, sont effrayants, car irréversibles : pertes de mémoire, troubles du comportement, du sommeil, de la concentration, lésion cérébrale chez les enfants des mères droguées. Le premiers pays producteur est la Hollande, mais les gros trafiquants qui ont été arrêtés depuis une dizaine d’années en France, en Belgique, aux États-Unis ou en Australie, possèdent tous là encore, des passeports israéliens. Le business d’ecstasy est à 100 % entre les mains de mafieux juifs, qui ne sont pas tous originaires de Russie, puisque l’on trouve aussi des trafiquants séfarades. Si vous achetez une pilule d’XTC, en tout cas, vous pouvez être certains de financer la mafia juive. Certains gros trafiquants sont aussi très impliqués dans le business de l’héroïne. En décembre 1986, par exemple, on apprenait dans de petits articulets de la presse française, que le juge d’instruction italien Giovanni Falcone avait quitté Palerme pour Israël pour y enquêter sur le trafic de drogue surnommé “French Connection”. Il devait interroger à Tel-Aviv deux hommes arrêtés en 1985 à Miami, ainsi que le commandant du navire sur lequel ils transportaient huit kilos d’héroïne. L’enquête avait impliqué une vingtaine de personnes, qui opéraient entre la Sicile, Marseille et les États-Unis. La “French Connection” avait été mise sur pied par Meyer Lansky, un juif originaire de Russie qui était l’un des principaux organisateur de la mafia américaine avant la guerre. C’était une mafia très “frenchy”, comme vous pouvez le constater.
La mafia juive est-elle en lien avec les fameux cartels de la drogue colombiens ?
Hervé Ryssen : Cela ne fait aucun doute. Voici un seul exemple : Le 16 février 1993, les policiers russes de Viborg, près de la frontière russo-finlandaise, à côté de Saint-Pétersbourg, mettaient la main sur plus d’une tonne de cocaïne colombienne dissimulée dans des boîtes de conserve de corned-beef. C’est un Israélien résident à Bogota, Elias Cohen, marié à une Colombienne en cheville avec l’un des clans liés au cartel de Cali, qui assurait l’approvisionnement de la filière aux côtés d’un certain Yuval Shemesh. Le destinataire final de la cocaïne était un groupe de trafiquants israéliens implantés aux Pays-Bas. La tête du réseau était un certain Jacob Korakin. Korakin était un juif religieux, portant la kippa, et il était respecté dans le quartier diamantaire d’Anvers.
Certains diamantaires d’Anvers, de New York et Tel-Aviv semblent effectivement avoir un rôle important, et notamment dans le blanchiment de l’argent sale.
Hervé Ryssen : Les diamantaires sont au centre des opérations de blanchiment de l’argent de la drogue des cartels colombiens. A Manhattan, la 47e rue, qui est le cœur de leur activité, est aussi la plus grosse blanchisserie d’argent de la drogue. Le rabbin Yosef Crozer avait été arrêté en février 1990, alors qu’il se rendait à Brooklyn avec des valises et des sacs bourrés de billets de banque en petites coupures. Il y en avait chaque jour pour 300 000 dollars. Sa coopération avec les policiers avait permis d’arrêter le mois suivant une trentaine de personnes dans les milieux juifs orthodoxes, dont Avraham Sharir, un autre juif pieux, propriétaire d’une boutique de vente d’or sur la 47e rue, et qui s’avéra être l’un des personnages clef du blanchiment de l’argent de la drogue à New York. Avraham Sharir, citoyen israélien de 45 ans, confessa par la suite avoir blanchi 200 millions de dollars pour le compte du cartel de Cali. Ses employés, qui comptaient les billets de banque, étaient régulièrement obligés de sortir s’aérer, parce que nombre des billets de banque, en petites coupures, avaient été roulés et avaient servis à “sniffer” de la cocaïne.
Certains juifs religieux ne s’embarrassent pas trop de scrupules, on dirait…
Hervé Ryssen : Des juifs hassidiques sont même très impliqués dans les trafics. En 2001, la police avait démantelé un réseau dirigé par un autre juif hassidique, Sean Erez, qui avait investi le trafic d’ecstasy. La drogue était passée en fraude dans les chapeaux ou encore dans les rouleaux de prières de ces juifs pieux, que les douaniers n’étaient pas censés soupçonner. En juillet 1998, la petite communauté des diamantaires d’Anvers en Belgique, avait aussi été fortement secouée après une série d’arrestations chez les Loubavitchs. On avait découvert que le business du diamant dans la ville flamande couvrait un trafic international d’héroïne. Quinze kilos avaient été saisis. Un juif orthodoxe, Dror Hazenfratz, était à la tête du réseau. Né à Haïfa, Hazenfratz avait un passeport israélien ainsi qu’une carte d’identité belge. Devant le tribunal, il apparaissait en habit traditionnel, caftan noir, chapeau et papillotes, ce qui ne l’empêcha pas d’être condamné à onze années de prison. Il existe de nombreux autres exemples.Scrivi tag
Vous êtes remonté jusqu’aux gangsters “américains” des années trente…
Hervé Ryssen : Oui, je me suis intéressé aussi à ces gangsters mythiques qui avaient travaillé avec les malfrats siciliens. Les gangsters juifs étaient notamment impliqués dans la “Murder Incorporated”, une sorte de mutuelle de l’assassinat grâce à laquelle un chef local pouvait bénéficier des services de tueurs venant d’une autre localité et éviter ainsi l’inculpation. Murder Incorporated était un gang composé de malfrats principalement juifs, qui se chargeaient des basses besognes du Syndicat du crime. On estime que, de 1933 à 1940, l’organisation fut responsable de plus de 700 assassinats, mais certains parlent de 2000. Les exécutions par armes à feu étant trop facilement identifiables, on préférait la noyade, l’arme blanche, la batte de base-ball, la corde à piano, et surtout, le pic à glace. Tout cela fait aussi partie de l’histoire du peuple juif.
Comment expliquez-vous que l’on n’en entende jamais parler ?
Hervé Ryssen : C’est toujours ce fameux réflexe de projection dont j’ai parlé dans mes deux livres précédents. Les intellectuels juifs projettent toujours sur les autres ce dont ils se sentent coupables. Ils se disent victimes du communisme, par exemple, alors qu’ils en étaient les principaux instigateurs. De la même manière, Freud a projeté un problème propre au peuple juif – l’inceste – sur un plan universel, et tout le monde est tombé dans le panneau. Dans les années 1990, les médias nous parlaient de la terrible “mafia russe”. Mais la vérité oblige à dire que tous les mafieux “russes” qui ont été arrêtés étaient aussi en possession de passeports israéliens. Le principal d’entre eux, Semion Mogilevitch, un gros trafiquant d’armes qui faisait aussi travailler des centaines de filles russes et ukrainiennes à Prague et Budapest, a été arrêté à Moscou en janvier 2008. En France, le Courrier international a été le seul journal à en parler, mais bien évidemment, la judéité du personnage n’apparaissait pas : c’était un “russe” ! Dans le cinéma hollywoodien, pareillement, les trafiquants de drogue, les malfrats, les “méchants”, quand ils ne sont pas siciliens, sont très souvent des hommes blancs de type nordique : jamais des juifs ! Les réalisateurs cosmopolites sont sans doute pour quelque chose dans ces tours de passe-passe. 

[1] VOIR  :

Hannibal GENSERIC