Nous savons que Daech/ISIS a récemment été fortement réarmée,
rééquipée et renforcée par la coalition anglo-sioniste : OTAN, Israël,
Turquie, Arabie. Maintenant, la CIA et la mafia khazare offrent aux djihadosionistes
une force aérienne destinée à effectuer, sous faux drapeau, des bombardements
contre les civils, les écoles et les installations hospitalières syriennes et
irakiennes. Voici comment la Triade de Malheur (Impérialisme,
Sionisme, Islamisme,
ou ISIS) opère.
Note de l'éditeur : cet article a été bloqué par la CIA depuis 3 mois. Apparemment, ce temps a été mis à profit par la CIA pour mettre en place ses bases aériennes et logistiques et choisir leurs pilotes, etc. Ils sont maintenant prêts à franchir la "ligne rouge" par des attaques sous fausse bannière, ce qui tuerait l'accord de cessez-le-feu en Syrie et placerait les États-Unis et la Russie sur un pied "très proche de la guerre". Dans cette affaire, la CIA travaille en réalité pour la Mafia Khazare, dont le capo di capi est Rothschild, qui, lui aussi, semble travailler pour ses amis d’Al-Qaïda et d'ISIS/Daech.
Note de l'éditeur : cet article a été bloqué par la CIA depuis 3 mois. Apparemment, ce temps a été mis à profit par la CIA pour mettre en place ses bases aériennes et logistiques et choisir leurs pilotes, etc. Ils sont maintenant prêts à franchir la "ligne rouge" par des attaques sous fausse bannière, ce qui tuerait l'accord de cessez-le-feu en Syrie et placerait les États-Unis et la Russie sur un pied "très proche de la guerre". Dans cette affaire, la CIA travaille en réalité pour la Mafia Khazare, dont le capo di capi est Rothschild, qui, lui aussi, semble travailler pour ses amis d’Al-Qaïda et d'ISIS/Daech.
En effet, Veterans
ToDay ont découvert l’existence d’une force aérienne secrète de la CIA opérant
sous « faux drapeau » syrien, composée de MiG-21 volés. Décollant des
aérodromes israéliens et turcs, ces Mig peints aux couleurs syriennes attaquent
les hôpitaux et les camps de réfugiés en Syrie et en Irak. Filmés par la CIA, les
vidéos de ces vrais bombardements par des faux avions syriens sont alors distribuées aux organes d’information/désinformation
occidentaux.
Retour en Mars de cette année. Certains médias indépendants
ont parlé d’une
affaire plutôt louche entre la Croatie et l'Ukraine, où une douzaine de bombardiers
MiG-21 ont disparu. La Croatie avait envoyé 7 MiG-21 en Ukraine pour être rénovés. Les Croates étaient censés
recevoir leurs 7 avions rénovés après leur remise à neuf, plus un autre lot de 5
avions rénovés à la même norme. En fait d’avions remis à neuf, les Croates ont obtenu
des vieux coucous qui ressemblaient à des MiG, mais qui étaient incapables de voler. Après examen, les
Croates ont découvert l'escroquerie : les Mig reçus ne sont pas ceux qu’ils
avaient envoyés pour rénovation. On leur a fourgué des vieux modèles, bricolés
à partir de pièces récupérées sur de vieux avions mis à la casse. Ainsi, par
exemple, l’un des avions avait un fuselage bulgare, des ailes algériennes et des
réservoirs de carburant anciens, datant de l’ère soviétique.
La première question qui se pose est donc : que sont
devenus les MiG Croates?
Réponse : Ils ont été rénovés en Ukraine puis
ont été vendus à la mafia russe.
Et que va faire la mafia russe avec une douzaine de MiG-21
rénovés?
Avant de répondre, voyons d’abord qui est en réalité
la Mafia Russe.
Elle est constituée à 100% de juifs, les descendants
directs des Khazars [1]. Les Khazars habitaient ce qui est maintenant le sud de
l'Ukraine et l'une des principales villes de leur empire était Odessa, le port
sur la mer Noire qui est aujourd'hui un important port de l'Ukraine. Odessa est
aujourd'hui dirigé par l'ancien président de la Géorgie, le trafiquant d'armes
international et ami proche d'Israël, Mikhaïl Saakachvili.
Saakachvili, bien que non ukrainien, a été nommé gouverneur d'Odessa afin de
superviser les opérations de contrebande massive d’armes vers l’État islamosioniste :
armes de pointe, munitions et tous les
autres biens nécessaires pour mener une guerre d’usure de longue durée. La
route vers ISIS est en face de la mer Noire, dans le port de Batoumi, capitale
de la Géorgie qui se trouve à quelques miles au nord de la frontière turco-géorgienne.
De Batoumi, les fournitures sont transportées par camion vers la Turquie, puis vers
Daech, Al-Nosra et d’autres milices islamistes en Syrie. Tel a été le sort de
cette douzaine de MiG-21 disparus: ils ont été expédiés d'Odessa à Batoumi, puis par camion
jusqu'à Incirlik base aérienne dans le sud de la Turquie.
Trois schémas de couleurs utilisés sur les MiG-21 syriens |
Mais pourquoi la CIA et ses alliés saoudiens
fournissent-ils à leur « armée proxy » ISIS/Daech des vieux MiG-21
rénovés, alors qu’ils ont les moyens de leur offrir du matériel neuf et à l’état
de l'art ?
C’est là où la partie de la tromperie de l'opération
entre en jeu. La force aérienne syrienne fonctionne toujours avec des MiG-21,
il suffit donc de repeindre la douzaine de MiG CIA/Daéchiens aux couleurs syriennes,
de bombarder civils et hôpitaux syriens, et le tour est joué : on accusera Assad de toutes ces
vilénies.
Imaginez un peu les scénarios du chaos sous faux drapeau
que cette douzaine de MiG faussement 'syriens' vont réaliser. Alors, lorsque les médias
traditionnels vont écrire, vidéos à l’appui, que les méchants Syriens du vilain
Assad ont bombardé une cible civile, un hôpital de Médecins Sans Frontière ou
un camp de réfugiés du Croissant-Rouge, rassurez-vous, ce sera « le
travail bidon » de la force aérienne de la CIA/Daech peinte aux couleurs
syriennes. Pire encore, imaginez le raffut qui sera (et qui a été) lancé par les médias
traditionnels, les accusations de cruauté et d'inhumanité d'Assad. Voici « ses »
avions lançant des « bombes-barils » sur ses propres civils, avec les « preuves » fournies aux médias par la CIA
sous la forme de séquences vidéo montrant clairement ces MiGs «syriens» portant
ces vilaines attaques.
La guerre syrienne, loin d'approcher d’une phase
finale, comme cela apparaissait possible il y a quelques mois avant le soi-disant
cessez-le-feu, est en train de devenir un conflit de plus en plus dangereux et
intense, notamment parce que le cessez-le-feu a permis aux Américains, Turcs,
Israéliens, Saoudiens de réarmer les terroristes avec des armes plus
sophistiquées, d’en embaucher de nouveaux, de réorganiser leurs forces, faisant
émerger une force de frappe terroriste encore plus dangereuse qu’avant ce faux
cessez-le-feu. Ajoutez à cela les déploiements des armées de l’OTAN aux
frontières russes et chinoises, l’ouverture de nouvelles bases militaires,
comme ne Tunisie (afin de contrôler l’Afrique du Nord, Maghreb+Égypte), ce sont
des moments très inquiétants qui nous attendent.
Annexe :
LA MAFIA
JUIVE (interview)
Vous
publiez un quatrième livre sur le judaïsme, et c’est encore un livre de 400
pages. Qu’apporte-t-il de nouveau ? On pensait que vous aviez déjà tout dit ?
Hervé
Ryssen : C’est aussi ce que je pensais, figurez-vous ! Mais le judaïsme est un
monde très fermé, très secret, et vous voyez, après toutes ces années d’étude,
on en apprend encore des vertes et des pas mûres. Cette fois-ci, j’ai exploré
le monde criminel issu de la communauté juive internationale, et ce que l’on y
découvre est à proprement parler hallucinant. Le fait est que la mafia juive
est la principale mafia qui existe aujourd’hui sur cette planète : racket,
proxénétisme, trafic de drogues, trafic d’armes, trafic de diamants de
contrebande, trafic d’œuvres d’art, meurtres sous contrat, escroqueries en
bande organisée, vols à main armée, etc. La pornographie, les milieux des
casinos et des discothèques sont aussi largement tenus par ces mafieux
israélites.
Vous
prétendez que le trafic de drogue international est en grande partie entre les
mains de la mafia juive. Êtes-vous bien certain de ne pas trop vous focaliser
sur votre sujet ?
Hervé
Ryssen : Je ne prétends pas que la mafia juive contrôle la majeure partie du
business international de la drogue, puisqu’il n’y a pas de statistiques sur le
sujet, mais la chose ne me paraît pas invraisemblable, à en juger par toutes
les informations que j’ai pu réunir. Le fait est que depuis le trafic de
l’opium dans la Chine du XIXe siècle jusqu’à nos jours, cette mafia est très
entreprenante dans ce domaine. Pour le trafic d’ecstasy, on peut affirmer avec
certitude que la mafia juive est en position de monopole. L’ecstasy est la
drogue qui fait le plus de ravage actuellement dans la jeunesse européenne. Une
pilule d’XTC donne une sensation de force et de bien-être pendant quelques
heures, mais c’est surtout une véritable poubelle chimique. Ses effets, sur le
long terme, sont effrayants, car irréversibles : pertes de mémoire, troubles du
comportement, du sommeil, de la concentration, lésion cérébrale chez les
enfants des mères droguées. Le premiers pays producteur est la Hollande, mais
les gros trafiquants qui ont été arrêtés depuis une dizaine d’années en France,
en Belgique, aux États-Unis ou en Australie, possèdent tous là encore, des
passeports israéliens. Le business d’ecstasy est à 100 % entre les mains de
mafieux juifs, qui ne sont pas tous originaires de Russie, puisque l’on trouve
aussi des trafiquants séfarades. Si vous achetez une pilule d’XTC, en tout cas,
vous pouvez être certains de financer la mafia juive. Certains gros trafiquants
sont aussi très impliqués dans le business de l’héroïne. En décembre 1986, par
exemple, on apprenait dans de petits articulets de la presse française, que le
juge d’instruction italien Giovanni Falcone avait quitté Palerme pour Israël
pour y enquêter sur le trafic de drogue surnommé “French Connection”. Il devait
interroger à Tel-Aviv deux hommes arrêtés en 1985 à Miami, ainsi que le commandant
du navire sur lequel ils transportaient huit kilos d’héroïne. L’enquête avait
impliqué une vingtaine de personnes, qui opéraient entre la Sicile, Marseille
et les États-Unis. La “French Connection” avait été mise sur pied par Meyer
Lansky, un juif originaire de Russie qui était l’un des principaux organisateur
de la mafia américaine avant la guerre. C’était une mafia très “frenchy”, comme
vous pouvez le constater.
La mafia
juive est-elle en lien avec les fameux cartels de la drogue colombiens ?
Hervé
Ryssen : Cela ne fait aucun doute. Voici un seul exemple : Le 16 février 1993,
les policiers russes de Viborg, près de la frontière russo-finlandaise, à côté
de Saint-Pétersbourg, mettaient la main sur plus d’une tonne de cocaïne
colombienne dissimulée dans des boîtes de conserve de corned-beef. C’est un
Israélien résident à Bogota, Elias Cohen, marié à une Colombienne en cheville
avec l’un des clans liés au cartel de Cali, qui assurait l’approvisionnement de
la filière aux côtés d’un certain Yuval Shemesh. Le destinataire final de la
cocaïne était un groupe de trafiquants israéliens implantés aux Pays-Bas. La
tête du réseau était un certain Jacob Korakin. Korakin était un juif religieux,
portant la kippa, et il était respecté dans le quartier diamantaire d’Anvers.
Certains
diamantaires d’Anvers, de New York et Tel-Aviv semblent effectivement avoir un
rôle important, et notamment dans le blanchiment de l’argent sale.
Hervé
Ryssen : Les diamantaires sont au centre des opérations de blanchiment de
l’argent de la drogue des cartels colombiens. A Manhattan, la 47e rue, qui est
le cœur de leur activité, est aussi la plus grosse blanchisserie d’argent de la
drogue. Le rabbin Yosef Crozer avait été arrêté en février 1990, alors qu’il se
rendait à Brooklyn avec des valises et des sacs bourrés de billets de banque en
petites coupures. Il y en avait chaque jour pour 300 000 dollars. Sa
coopération avec les policiers avait permis d’arrêter le mois suivant une
trentaine de personnes dans les milieux juifs orthodoxes, dont Avraham Sharir,
un autre juif pieux, propriétaire d’une boutique de vente d’or sur la 47e rue,
et qui s’avéra être l’un des personnages clef du blanchiment de l’argent de la
drogue à New York. Avraham Sharir, citoyen israélien de 45 ans, confessa par la
suite avoir blanchi 200 millions de dollars pour le compte du cartel de Cali.
Ses employés, qui comptaient les billets de banque, étaient régulièrement
obligés de sortir s’aérer, parce que nombre des billets de banque, en petites
coupures, avaient été roulés et avaient servis à “sniffer” de la cocaïne.
Certains
juifs religieux ne s’embarrassent pas trop de scrupules, on dirait…
Hervé
Ryssen : Des juifs hassidiques sont même très impliqués dans les trafics. En
2001, la police avait démantelé un réseau dirigé par un autre juif hassidique,
Sean Erez, qui avait investi le trafic d’ecstasy. La drogue était passée en
fraude dans les chapeaux ou encore dans les rouleaux de prières de ces juifs
pieux, que les douaniers n’étaient pas censés soupçonner. En juillet 1998, la
petite communauté des diamantaires d’Anvers en Belgique, avait aussi été
fortement secouée après une série d’arrestations chez les Loubavitchs. On avait
découvert que le business du diamant dans la ville flamande couvrait un trafic
international d’héroïne. Quinze kilos avaient été saisis. Un juif orthodoxe,
Dror Hazenfratz, était à la tête du réseau. Né à Haïfa, Hazenfratz avait un
passeport israélien ainsi qu’une carte d’identité belge. Devant le tribunal, il
apparaissait en habit traditionnel, caftan noir, chapeau et papillotes, ce qui
ne l’empêcha pas d’être condamné à onze années de prison. Il existe de nombreux
autres exemples.
Vous êtes
remonté jusqu’aux gangsters “américains” des années trente…
Hervé
Ryssen : Oui, je me suis intéressé aussi à ces gangsters mythiques qui avaient
travaillé avec les malfrats siciliens. Les gangsters juifs étaient notamment
impliqués dans la “Murder Incorporated”, une sorte de mutuelle de l’assassinat
grâce à laquelle un chef local pouvait bénéficier des services de tueurs venant
d’une autre localité et éviter ainsi l’inculpation. Murder Incorporated était
un gang composé de malfrats principalement juifs, qui se chargeaient des basses
besognes du Syndicat du crime. On estime que, de 1933 à 1940, l’organisation
fut responsable de plus de 700 assassinats, mais certains parlent de 2000. Les
exécutions par armes à feu étant trop facilement identifiables, on préférait la
noyade, l’arme blanche, la batte de base-ball, la corde à piano, et surtout, le
pic à glace. Tout cela fait aussi partie de l’histoire du peuple juif.
Comment
expliquez-vous que l’on n’en entende jamais parler ?
Hervé
Ryssen : C’est toujours ce fameux réflexe de projection dont j’ai parlé dans
mes deux livres précédents. Les intellectuels juifs projettent toujours sur les
autres ce dont ils se sentent coupables. Ils se disent victimes du communisme,
par exemple, alors qu’ils en étaient les principaux instigateurs. De la même
manière, Freud a projeté un problème propre au peuple juif – l’inceste – sur un
plan universel, et tout le monde est tombé dans le panneau. Dans les années
1990, les médias nous parlaient de la terrible “mafia russe”. Mais la vérité
oblige à dire que tous les mafieux “russes” qui ont été arrêtés étaient aussi en
possession de passeports israéliens. Le principal d’entre eux, Semion
Mogilevitch, un gros trafiquant d’armes qui faisait aussi travailler des
centaines de filles russes et ukrainiennes à Prague et Budapest, a été arrêté à
Moscou en janvier 2008. En France, le Courrier international a été le seul
journal à en parler, mais bien évidemment, la judéité du personnage
n’apparaissait pas : c’était un “russe” ! Dans le cinéma hollywoodien,
pareillement, les trafiquants de drogue, les malfrats, les “méchants”, quand
ils ne sont pas siciliens, sont très souvent des hommes blancs de type nordique
: jamais des juifs ! Les réalisateurs cosmopolites sont sans doute pour quelque
chose dans ces tours de passe-passe.
[1] VOIR :
Hannibal GENSERIC