Barak-à-frites Obama a signé, la
semaine dernière, une ordonnance demandant à la NSA de fournir à la CIA les
enregistrements des conversations téléphoniques privées et des messages
textuels du président élu Donald Trump et de son équipe de transition (GreatAgain), afin que la
CIA les diffuse discrètement aux médias de propagande et de «fausses nouvelles»,
dans le but de détruire la capacité des nouveaux dirigeants à diriger la nation
américaine dans la paix et à la prospérité.
En effet, et pour la
première fois dans l'histoire américaine, le président Obama a ordonné tranquillement [parce que
les médias traditionnels américains n'ont rien dit aux Américains à ce sujet] à
la NSA de commencer
à distribuer ses enregistrements (faits clandestinement) anti-Trump à la CIA et à d'autres agences de
renseignement.
Dans les 4 heures suivants cette ordonnance, le Washington
Post (la Voix de son Maître) a publié un article basé sur des soi-disant «sources
anonymes de haut niveau du gouvernement américain», disant que le conseiller à la Sécurité National
désigné par Trump, le général
Michael Flynn, avait échangé des messages textuels et des appels
téléphoniques avec l'Ambassadeur russe en Amérique, Sergey Kislyak.
La «Electronic Frontier Foundation» (EEF), a auparavant prévenu que la NSA, en collusion
avec les entreprises de télécommunications privées américaines, «a entrepris une surveillance massive
et illégale des communications de millions d'Américains ordinaires depuis au
moins 2001 ».
En 2008, la véritable et horrifiante portée de ce que
cette agence d'espionnage massif américain a été révélé lors d'une
interview télévisée avec l'acteur américain Shia LaBeouf , qui a révélé, par
inadvertance, que lorsqu'il travaillait avec un conseiller du FBI sur son film
"Eagle Eye", il lui avait rejoué des
enregistrements NSA des appels téléphoniques qu'il avait faits en 2006.
Il faut savoir qu’avant qu’Obama ne signe cette ordonnance
du 12 janvier, la CIA n'a pu obtenir de la NSA que des données filtrées sur le
président élu Trump et son équipe de transition, car la NSA avait
enlevé des noms et des renseignements personnels non pertinents.
Mais
maintenant que
la guerre de l’État Profond de la CIA contre leur nouveau président
s'intensifie, et qu'ils ont un accès complet à tous les enregistrements
téléphoniques et textuels de Trump, un nouveau «niveau d'hostilité» a été
atteint aux États-Unis. On se rapproche de la réalité de l'avertissement de
l'ancien porte-parole de la défense allemande Willy Wimmerau président
Poutine: «il y
a un réseau de résistance contre le président (Trump) qui sera en fonction le
20 janvier ... et ce qui se passe à
Washington semble être le début d'une guerre civile».
Et pour mesurer à quel point nous sommes près d’une guerre
civile entre le président élu Trump et ses adversaires dirigés par le
"Deep State" de la CIA, il faut savoir que Trump a ordonné au commandant
militaire de l'armée américaine de superviser sa sécurité lors de
l'inauguration du 20 janvier, et de démissionner
exactement 60 secondes après que Trump ait prêté serment. D'ailleurs, comme nous l'avons déjà signalé,
le président Trump
a fait venir 370 soldats d'élite de Russie pour protéger sa vie et celle de sa famille.
Obama étant de facto le leader de l’élite mondialiste satanique aux
États-Unis, il a intensifié encore plus l’escalade contre le président élu Trump après avoir reçu des
informations que le réseau d’infos CNN
télévision va être vendu à AT&T-Time Warner si la nouvelle Administration
Trump l’approuve. L'acheteur est soupçonné d'être un consortium
d'investisseurs privés dirigé par Sheldon Adelson,
magnat juif des casinos. Ce multimilliardaire ultra sioniste a déjà donné
à Trump plus de 100 millions de dollars pour
acheter le soutien de Trump à Israël dans ses guerres génocidaires
contre les Palestiniens et ses voisins arabes [1].
Le réseau de télévision CNN est largement connu aux États-Unis comme
le «Clinton News Network». Et l'un de
ses journalistes, Jim Acosta,
a été publiquement contraint au silence par le président élu Trump lors d'une
conférence de presse, qui a appelé à juste titre ce «réseau de fausses nouvelles».
Avec le président Obama, hier également, étendant les sanctions illégales contre la Russie
pour une autre année, ce rapport
conclut, le président élu Trump ne montre aucun signe de soumission aux comploteurs du "Deep State" de
la CIA. IL vient d’ailleurs de déclarer "Si
vous vous entendez et si la Russie nous aide réellement, pourquoi y aurait-il
des sanctions si quelqu'un nous aide vraiment?.
NOTE
[1] Sheldon Adelson, le milliardaire qui veut acheter la Maison-Blanche, la Knesset et bombarder l’Iran
Il n’y a qu’aux États-Unis où l’on peut assister à un tel
spectacle : un multi milliardaire – en l’occurrence Sheldon Adelson, qui se
targue d’être le juif le plus riche du monde, 8ème fortune mondiale, roi des
casinos-hôtels (Las Vegas, Macao, Singapour) – organisait, en 2014,
à huis clos un examen de passage pour choisir son favori républicain à la
prochaine présidentielle. Conditions posées : (1) s’engager à soutenir Israël envers et contre tout,
(2) refuser la création d’un Etat palestinien et (3) bombarder l’Iran.
En octobre 2013, Adelson suggérait aux dirigeants américains de faire exploser
une bombe atomique dans une zone iranienne désertique et de menacer d’en lancer
une sur Téhéran si le régime ne renonçait pas au développement de son programme
nucléaire.
Parallèlement, Adelson fait tout pour renforcer les faucons
du Likoud. Il a mis à leur service Israël Hayom (Israël aujourd’hui), quotidien
gratuit le plus lu d’Israël qui lui appartient. Il a acheté le Maariv (Le
Soir, fondé en 1948) et son site Internet NRG, ainsi que Makor Rishon (De première source),
un quotidien religieux conservateur. Cerise sur le gâteau offert à son ami
Benjamin Netanyaou : Adelson a donné 16,4 millions de $ à Israeli Space IL pour envoyer un engin sur la Lune et
faire de l’État dit hébreu une puissance spatiale.
Le journaliste israélien pacifiste Uri Avnery se demande
comment les Américains ordinaires réagissent au « spectacle
d'un milliardaire juif qui choisit leur
futur président à leur place ».
On
nous dit que l’antisémitisme est en hausse en Europe et dans le monde. Et nous avons
ici un Juif, sorti tout droit des pages des Protocoles des Sages de Sion, qui
essaie de nommer le dirigeant du pays le plus puissant de la Planète… , et qui achète...ses dirigeants de droite, du centre et de gauche. C'est ça, le pays le plus exceptionnel et le plus grand du monde, après Israël.
Hannibal GENSERIC