dimanche 24 juillet 2016

Les Protocoles des Sages de Sion sont-ils authentiques ?


Malgré les dénégations trop intéressées d’Israël, les Protocles restent l’expression vivante de la situation actuelle du monde, que le péril  sioniste mène infailliblement à la ruine totale, s’il n’est pas conjuré sans atermoiements ni complaisance. Les Protocoles des Sages de Sion viennent, en effet, de dévoiler dans le monde entier que le péril khazare sioniste est aujourd’hui une question de vie ou de mort pour tous les peuples. Ces « Protocoles » sont une partie notable des procès-verbaux des vingt-quatre séances tenues au premier Congrès Sioniste à Bâle, en 1897, sous la présidence du Dr Theodor Hertzl, appelé par les Juifs « le Prince d’Exil ».
Ces conférences résument le plan de domination mondiale élaboré par la Mafia Khazare [1] depuis sa dispersion, lors de la destruction de la Khazarie par les Russes. Il serait puéril de croire que les « Protocoles » soient la première rédaction des aspirations d’Israël et de ses efforts séculaires ; ils n’en sont que l’expression plus développée, comme aussi plus actuelle, parce que les événements contemporains en confirment la réalisation (2).
Ces documents furent dérobés à l’instigation de hauts fonctionnaires russes, et une des copies fut remise à Serge Nilus en 1901 par le maréchal de la noblesse de Chern (Russie centrale), Alexis Nicolajevitch Souchotin. Une autre copie tomba entre les mains d’un célèbre écrivain et polémiste russe, C. Butmi. Nilus et Butmi traduisirent les «Protocoles» dans la langue russe. Les traducteurs et les éditeurs qui ont reproduit ces Procès-verbaux se sont servis de préférence de la traduction de Nilus, parce qu’elle suit fidèlement les comptes-rendus des vingt-quatre séances sionistes.
  1. Les principales éditions de Serge Nilus datent de 1902. 
  2. Puis, 1905, c’est celle du British Museum que nous avons fait collationner. 
  3. Ensuite en 1911, sur laquelle M. Gottfried zur Beek, le directeur éminent de l’Auf Vorposten, a fait la traduction allemande. 
  4. Une édition de 1917 reproduite par les traductions américaine de Boston et polonaise de Varsovie. 
    Enfin, une dernière édition russe de Nilus parut en 1920 à Berlin ; nous la possédons.
Les Juifs nient l’authenticité de ces « Protocoles ». Il fallait s’y attendre. Mais leurs arguments ne sont pas des preuves. Les uns ont voulu faire passer Nilus pour un moine exalté et sans autorité. Or Serge Nilus était un professeur estimé qui habitait encore l’Ukraine ( l'ex Khazarie, justement) au début de la guerre, et nous avons de ceci le témoignage de Russes actuellement à Paris, qui l’ont fréquenté dans ces dernières années. D’ailleurs nous avons dit que Nilus n’est pas l’unique traducteur des « Protocoles ».
D’autres ont prétendu que les premières éditions n’ont produit aucun effet en Russie. C’est vrai. Mais il faut ajouter que les Juifs les ont fait disparaître à peu près complètement, qu’en particulier l’édition de 1917, chargée sur un wagon, fut jetée sur le quai de la gare et brûlée par une troupe d’hommes qui disparurent ensuite ; que le juif Kerenski, arrivé au pouvoir, fit rechercher tous les exemplaires des « Protocoles » à Petrograd et à Moscou ; qu’il suffit enfin, en Russie, d’être trouvé possesseur de ce document pour être mis à mort. A la suite d’articles du Morning Post, la première édition anglaise fut également boycottée à Londres par les Juifs.
Or, quel intérêt auraient-ils à agir de la sorte si ces comptes-rendus étaient une œuvre apocryphe et sans apparence de vérité ? (2)
La grande objection porte sur l’invraisemblance de transcrire de tels projets dont les manuscrits peuvent toujours tomber dans des mains ennemies. L’objection est plus spécieuse que probante. Tout plan ne saurait être mis au point que par l’écriture. Les deux grands complots maçonniques qui préparèrent les « Protocoles » furent assurément les écrits des lluminés de Weishaupt en Bavière et l’Instruction de la Haute-Vente en Italie. Tous les deux furent rédigés dans les moindres détails ; tous les deux furent trouvés et plus tard livrés à la publicité.
Les journaux hongrois du mois d’août 1920 apprenaient de Maramarossziget (située dans le territoire hongrois occupé par les Roumains) que les Juifs [Khazars] y sont consternés. Des mains inconnues ont dérobé les archives de la Société locale israélite sur la politique mondiale. Naturellement, il s’agit d’un vol politique par lequel les auteurs ont voulu se documenter sur les intrigues internationales d’Israël. Aussi les Juifs [Khazars] de Maramarossziget sont-ils effrayés et ont-ils promis plus d’un demi-million de couronnes aux autorités roumaines si celles-ci réussissaient à faire restituer les lettres si compromettantes de ce ghetto.
Ce dernier cas est singulièrement semblable à celui des « Protocoles ». Encore est-il que si leur authenticité ne peut se prouver rigoureusement, elle est puissamment appuyée par les événements qu’ils prédisaient, dont nous sommes les témoins aujourd’hui [ qui ravagent le Moyen-Orient, qui contrôlent totalement la plupart des pays occidentaux ] et qui menacent de nous faire les victimes de demain.
Le traducteur anglais écrit dans sa Préface : « Il est impossible de lire aujourd’hui aucune des parties de ce volume sans être frappé de la forte note prophétique qui les remplit toutes, non seulement en ce qui concerne la Sainte Russie d’autrefois, mais encore au point de vue de certains développements sinistres qui se peuvent observer dans le monde entier à l’heure actuelle. Gentils, prenez garde ! ».
Nous lisons aussi dans l’édition allemande : « Ce qui s’est passé depuis la publication de Nilus : la guerre mondiale et le renversement des trônes en Russie, en Autriche-Hongrie et en Allemagne ; le Chaos, but désiré des Francs-Maçons, d’où sortira la Ligue humanitaire, sous la direction judéo-maçonnique projetée depuis deux cents ans, tout cela apparaît aujourd’hui dans une clarté si terrible, qu’il n’est nullement besoin d’expliquer pourquoi nous traduisons et publions les « Protocoles » des Sages de Sion. Nous espérons que leur publication fera ouvrir les yeux sur les dangers de la Franc-Maçonnerie et de la Juiverie, et incitera à prendre les mesures définitives avant que notre patrie et la culture germanique soient complètement anéanties. »
Le Morning Post du 19 juillet 1920, fait remarquer que les « Protocoles » ajoutent à la prédiction du grand mouvement révolutionnaire en Russie, en Allemagne et en Hongrie, les moyens qui devaient l’amener : les guerres, la vie chère, la corruption des gouvernements, l’emploi des agents juifs qu’on retrouve partout et dont les principaux sont désormais connus.
Relevons enfin le passage suivant de l’Épilogue du traducteur polonais : « Les causes et les buts de la Grande Guerre qui a ébranlé la terre presque entière, le développement du bolchevisme en Russie, le mouvement spartakiste en Allemagne, même certaines clauses spéciales du traité de paix, tout cela trouve ici sa raison, tout cela apparaît comme la conséquence logique de l’action de cette mystérieuse main qui dirige les destinées du monde. Et cette main, ce sont les Juifs. »
Ce que nous avons dit est une preuve suffisante à l’appui de notre affirmation que les secousses et les bouleversements dont souffre de nos jours le monde entier sont l’œuvre des Juifs sionistes, les Khazars, et la réalisation d’un plan bien déterminé dont tous les détails ont été étudiés avec soin et qui tend à un but nettement spécifié. Tous ceux qui l’ont découvert ont jeté un cri d’alarme.
 
Par Mgr Ernest Jouin – Le péril judéo-maçonnique (1932)
Mgr Ernest Jouin, (1844,  1932) est un prêtre catholique, journaliste et auteur français.
Téléchargez les Protocoles


[1]  VOIR :
 
(2) Nous tenons de source sûre que les « Protocoles » étaient rédigés en langue hébraïque, et que la traduction française qui fut remise à Nilus fut faite à cause de l’ignorance de cette langue hébraïque par un grand nombre des congressistes sionistes à Bâle en 1897, à commencer par Theodor Hertzl et Max Nordau.


(3) Le grand éditeur de New-York, M. Putnam, avait déjà chez le relieur plusieurs milliers d’exemplaires des « Protocoles » traduits en anglais. Les Juifs empêchèrent cette publication par la menace de ruiner l’éditeur.