Les 22 pays arabes, qui comptent 360 millions de personnes, ne produisent ensemble que 40% des brevets
déposés par Israël, qui ne compte que 8 millions de personnes. Autrement dit, 1 million d'Arabes produisent 14 brevets, alors qu'un million d'Israéliens en produisent 1595, soit 112 fois plus!
L'article ci-dessous donne les chiffres du sous-développement intellectuel et scientifique des "arabo-musulmans" tout en omettant d'en donner la principale cause, à savoir la religion islamique, puisqu'on part du principe que le Coran contient l'Alpha et l'Oméga de ce que le bon musulman doit savoir.
Les statistiques en matière de propriété intellectuelle
constituent un outil important pour comprendre les tendances commerciales et
technologiques dans les différents pays.
Du moment que le Coran contient "TOUT" , pourquoi faire des recherches scientifiques ? à quoi sert le Savoir ? |
L'historien Ibn Khaldoun, écrit dans sa Muqaddima (XIIIe siècle), à propos de la bibliothèque de de Ctésiphon en Irak actuel : « Cependant, quand les musulmans eurent conquis la Perse et mis la
main sur une quantité innombrable de livres et d'écrits scientifiques,
Sa'd Ibn Abî Waqqâs écrivit à 'Omar Ibn al-Khattâb pour lui demander des
ordres au sujet de ces ouvrages et de leur transfert aux musulmans ?
'Omar lui répondit : « Jette-les à l'eau. Si leur contenu indique la
bonne voie, Dieu nous a donné une direction meilleure. S'il indique la
voie de l'égarement, Dieu nous en a préservés. » Ces livres furent donc
jetés à l'eau ou au feu, et c'est ainsi que les sciences des Perses
furent perdues et ne purent parvenir jusqu'à nous. »
— Ibn Khaldoun, Le Livre des Exemples, T. I, Muqaddima VI, texte traduit et annoté par Abdesselam Cheddadi, Gallimard, novembre 2002, p. 944.
Il ne serait donc pas étonnant que le sort de la bibliothèque d'Alexandrie ait été analogue à celui de la bibliothèque irakienne [1].
Cela veut dire que l'Islam a commencé par effacer et détruire le savoir accumulé pendant des millénaires par toutes les civilisations antérieures : égyptienne, sumérienne, punique, phénicienne, berbère, grecque, persane, indienne, chinoise, etc.
Ce qui nous rappelle le triste comportement des islamistes actuels : destruction de tout le patrimoine ancien et récent non conforme à leur vision nihiliste et à leur culte de la mort : mort physique, intellectuelle, spirituelle.
Toujours est-il que les diverses sectes islamistes, dont Al-Nosra et Daech en SYRAK, et Ennahdha en Tunisie, considèrent le calife Omar comme un exemple à suivre.
D’après l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), le nombre de brevets, excepté ceux afférents aux marques, dessins et modèles industriels, déposés en 2013 par les Chinois est de (734.081), devançant les Américains (501.128), Japonais (473.137), Coréens du Sud (223.517), Allemands (184.475), Français (71.073) Russes (34.065) et Israéliens (12.767).
Chine
|
734081
|
USA
|
501128
|
Japon
|
473137
|
Corée Sud
|
223517
|
Allemagne
|
184475
|
France
|
71073
|
Russie
|
34065
|
Israël
|
12767
|
Le nombre de brevets arabes enregistrés en 2013 se répartit
comme suit: Arabie saoudite (3124), Égypte (760), Émirats arabes-unis (416),
Maroc (354), Tunisie (218), Jordanie (212), Algérie (138), Qatar (84), Yémen
(43), Bahreïn (19), Djibouti (1), Libye (0), Irak (0), Koweït (0), Liban (0),
Mauritanie (0), Oman (0), Syrie (0), Somalie (0), Soudan (0). Si nous
additionnons tous les brevets arabes, nous arrivons à seulement 5.108.
Cas particulier de l'Arabie Saoudite
Sur la population active saoudienne de travailleurs il y a 56 % d'étrangers ! Deux tiers des
emplois du secteur privé sont occupés par des étrangers, et les Saoudiens du
dernier tiers sont souvent engagés parce qu'un décret oblige les entreprises à employer
au moins 35 % de travailleurs saoudiens, bien que ceux-ci soient en
général moins qualifiés et surtout moins travailleurs.
Ce qui explique pourquoi la quasi totalité des brevets saoudiens sont relatifs à des chercheurs étrangers !
Le problème le plus grave du pays, celui qui
empêche la grande majorité de ses jeunes Saoudiens d'être qualifiés pour un travail, est
l'instruction. Les enfants, garçons et filles, vont bien à l'école. Mais
l'enseignement, confié aux religieux, est basé sur le Coran et comprend très peu de connaissances scientifiques ou techniques : le pays ne
forme donc qu'une infime partie des cadres et techniciens dont son économie a
besoin, et il doit confier les postes correspondants à des étrangers. Deux
tableaux issus de l'Arab Human Development Report 2004 illustrent la situation :
Nombre de centres de recherche scientifique non universitaires dans les pays arabes |
On voit que l'Arabie Saoudite ne fait
pratiquement pas de recherche scientifique.
Ces capsules seraient pasteurisées et disponibles dans
les supermarchés. La doctoresse Fâten Khorsheed précise que ses recherches ont fait l’objet d’un brevet dans les pays du Golfe,
aux USA, en Chine et en Europe (cf le journal saoudien Okaz). Déposés depuis
bientôt deux ans, aucun brevet n’aurait encore été agréé à ce jour.
Brevet saoudien : Le pipi du chameau est un remède miracle
C’est
la question que s’est posée une chercheuse dans ce domaine, Docteure Faten
Abderahmane Khorsheed, au Centre de recherche médicale du Roi Fahd, à Jeddah. La
scientifique évoque la découverte incroyable de l’urine de chameau comme un
possible remède pour les cancéreux. Elle décrit son étonnante composition moléculaire.
Ainsi, elle explique qu’en très petite quantité, l’urine contient de l’or, de
l’argent, du platine, autant d’éléments qui sont toxiques pour l’homme mais qui,
en nanoparticules, se dirigent vers les cellules cancéreuses et pour n’attaquer
qu’elles. Les cellules saines qui sont autour ne sont donc pas touchées. Pour
l’instant, la recherche n’est encore qu’au stade de l’expérimentation mais des tests
sur des patients "bénévoles" (mais ayant opté volontairement pour la vie en prison) et sur des souris leucémiques s’avèrent être
positifs.
La chercheuse participe à l’élaboration de capsules composées d’urine
séchée. Les recherches sont encore en cours, mais elle espère que l’urine de
chameau contribuera à soigner de graves maladies telles que le cancer, le sida,
l’hépatite, des maladies du foie, etc.
Pipi de chameau = énergie et vitalité du Saoudien qui déteste travailler |
Selon Dr Ahlaam d’Arabie saoudite, le nouveau produit à
base de l’urine du chameau peut être utilisé pour traiter les maladies
de peau comme l’eczéma, les allergies, les plaies, les brûlures, l’acné, les
infections des ongles, le cancer, l’hépatite et l’hydropisie, sans
effets secondaires nocifs.
Commercialisées au Yémen, ces urines de chamelle auraient réussi à faire repousser les
cheveux des femmes, ainsi que les poils de leurs pubis, ce qui pose un grave
problème, car les mâles Yéménites, contrairement aux mâles ibériques, préfèrent les pubis imberbes.
Peut-être que, sournoisement, la doctoresse saoudienne a fait exprès de donner
à son invention un effet répulsif afin d'éloigner les mâles, et d'avoir ainsi un effet contraceptif halal ? Toujours est-il que l'OMS a fortement recommandé aux pays arabes du Golfe d'éviter de toucher ou de boire du pipi de chameau car celui nuit gravement à la santé.
Ainsi, les pays arabes, qui disposent d’un potentiel humain,
géographique et financier énorme, ne produisent collectivement que 40% des
brevets déposés par Israël et 1% des brevets américains.
Israël affecte 4,7% de son PIB total à la recherche
scientifique, ce qui est le ratio le plus élevé au monde, contre 0,2% pour
l’ensemble des pays arabes. D’où une grande mobilité et une capacité
d’innovation surprenante chez les Israéliens.
Le drame arabe contemporain est résumé dans ces chiffres. Les
Arabes devraient en étudier soigneusement les causes, dont la principale réside dans une religion sclérosée et immuable depuis plus de mille ans.
S’ils veulent vraiment atteindre des seuils d’innovation
supérieurs, les Arabes doivent impérativement réviser leur système de formation
et d’enseignement, de recherche et d’innovation pour les rendre viables et
capables de s’adapter à un environnement en pleine mutation. Ils doivent, en priorité, supprimer les écoles coraniques, les banques islamiques, et promulguer des lois imposant la construction d'écoles publiques laïques en lieu et place de mosquées qui ne servent à rien d'autre qu'à maintenir la population sous le joug implacable et mafieux des islamistes de tout poil.
Pour le moment, les Arabes restent les cancres du monde en
matière de créativité et d’innovation.
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[1] La destruction de la bibliothèque d'Alexandrie
L’article Bibliothèque d’Alexandrie. Destructions sur Wikipédia présente la plupart des hypothèses ainsi qu’une importante bibliographie.
Un autre petit rappel des thèses en présence dans le paragraphe La destruction de la Bibliothèque d’Alexandrie, dans Les inventeurs de dictionnaires, par Jean-Claude Boulanger
La thèse de la destruction par Omar des livres d’Alexandrie semble aujourd’hui controversée et parfois même pas évoquée ou pour être aussitôt révoquée :
« Peut-on parler de la bibliothèque d'Alexandrie sans évoquer sa triste fin? Comment alors faire la part du mythe et de la réalité? Revenons un instant à J. Lipse: au lieu d'imputer à César l'incendie qui brisa définitivement le rêve des Ptolémées, l'érudit flamand accuse l'empereur chrétien Théodose (388-395) qui, par intolérance religieuse, aurait mis le feu à la bibliothèque. Mais que dit-on de César? Qu'il aurait incendié l'une des deux bibliothèques d'Alexandrie, celle du Musée, la plus importante, alors que celle du Sérapéion, où auraient été entreposés les textes hébreux, et qui comptait tout de même 42800 papyrus, aurait été sauvegardée. Ces éléments que l'on doit à Tertullien et à Plutarque sont sujets à caution.
Suivons en effet L. Canfora (Préfaces 1989) dans son argumentation: la légende de la destruction apocalyptique d'une bibliothèque unique au monde, celle du Musée, lors de la guerre alexandrine (48-47 av. J.-C.) est démentie essentiellement par le fait que Strabon y travaille en 25-20 av. J.-C. et qu'il donne une description du Musée dans sa Géographie. La destruction est en réalité plus tardive: 270-275 ap. J.-C. probablement, au cours du conflit qui opposa Aurélien à Zénobie et qui se déroula entre autres dans les rues d'Alexandrie. »
Source : La bibliothèque d’Alexandrie, Yvette Auriac, CNDP
Voir Luciano Canfora, qui semble faire référence, notamment ce texte en ligne :
La véritable fin de la bibliothèque d’Alexandrie, dans La Bibliothèque d’Alexandrie et l’histoire des textes, Luciano Canfora, Cahiers du CEDOPAL et La véritable histoire de la Bibliothèque d’Alexandrie.
« Destruction de la bibliothèque
Peu d’éléments permettent de dater la disparition de la grande bibliothèque d’Alexandrie. Selon certaines sources, elle fut ravagée par un incendie pendant la campagne de Jules César en 48 avant J.-C. D’autres auteurs font remarquer que le don de Marc Antoine est la preuve manifeste que la bibliothèque a survécu à cette campagne et suggèrent qu’elle fut détruite lors des batailles livrées par l’empereur Aurélien, en 270 après J.-C. D’autres encore émettent l’hypothèse d’une destruction par les envahisseurs arabes en 641, lors de la conquête de la ville par l’émir Amr ibn al-As. […]
Cette histoire ressort probablement de la propagande chrétienne. Les papyrus ne durent pas des siècles, surtout dans l’atmosphère humide d’Alexandrie. A moins que la Bibliothèque ait employé des équipes de scribes pour recopier les livres en permanence, ils ont dû se désagréger peu à peu. C’est certainement ce qui explique la disparition de la grande bibliothèque d’Alexandrie. L’Empire romain perdant son pouvoir au fil du temps, les crédits de fonctionnement se sont sans doute taris et la bibliothèque, souffrant de négligence, s’est délabrée progressivement. L’hypothèse la plus plausible est que ce qu’il en restait a tout simplement pourri. »
Source : Bibliothèques, une histoire mondiale, James W. P. Campbell, Will Pryce.
Cette hypothèse est due notamment à Roger S. Bagnall dans Alexandria : library of dreams, 2002
A lire aussi le chapitre Apogée et fin de la bibliothèque d’Alexandrie dans Histoire universelle de la destruction des livres, Fernando Baez p. 71 à 84.
Rappelons que dés 1923, P. Casanova dénonce le « mythe » de la destruction par les Arabes dans L’incendie de la Bibliothèque d’Alexandrie par les arabes. Il parle aussi de la « légende » qui attribuerait à Omar d’avoir voulu jeter les livres perses à l’eau.
Le texte La bibliothèque d’Alexandrie lors du califat Rashidun d’Omar ibn al-Khatab est le même que celui de Wikipedia mais permet d'isoler les références à votre sujet. Vous trouverez en ligne la recension par Martine Poulain du livre d’El-Abbadie qui est cité après la note 17.
L’article Bibliothèque d’Alexandrie. Destructions sur Wikipédia présente la plupart des hypothèses ainsi qu’une importante bibliographie.
Un autre petit rappel des thèses en présence dans le paragraphe La destruction de la Bibliothèque d’Alexandrie, dans Les inventeurs de dictionnaires, par Jean-Claude Boulanger
La thèse de la destruction par Omar des livres d’Alexandrie semble aujourd’hui controversée et parfois même pas évoquée ou pour être aussitôt révoquée :
« Peut-on parler de la bibliothèque d'Alexandrie sans évoquer sa triste fin? Comment alors faire la part du mythe et de la réalité? Revenons un instant à J. Lipse: au lieu d'imputer à César l'incendie qui brisa définitivement le rêve des Ptolémées, l'érudit flamand accuse l'empereur chrétien Théodose (388-395) qui, par intolérance religieuse, aurait mis le feu à la bibliothèque. Mais que dit-on de César? Qu'il aurait incendié l'une des deux bibliothèques d'Alexandrie, celle du Musée, la plus importante, alors que celle du Sérapéion, où auraient été entreposés les textes hébreux, et qui comptait tout de même 42800 papyrus, aurait été sauvegardée. Ces éléments que l'on doit à Tertullien et à Plutarque sont sujets à caution.
Suivons en effet L. Canfora (Préfaces 1989) dans son argumentation: la légende de la destruction apocalyptique d'une bibliothèque unique au monde, celle du Musée, lors de la guerre alexandrine (48-47 av. J.-C.) est démentie essentiellement par le fait que Strabon y travaille en 25-20 av. J.-C. et qu'il donne une description du Musée dans sa Géographie. La destruction est en réalité plus tardive: 270-275 ap. J.-C. probablement, au cours du conflit qui opposa Aurélien à Zénobie et qui se déroula entre autres dans les rues d'Alexandrie. »
Source : La bibliothèque d’Alexandrie, Yvette Auriac, CNDP
Voir Luciano Canfora, qui semble faire référence, notamment ce texte en ligne :
La véritable fin de la bibliothèque d’Alexandrie, dans La Bibliothèque d’Alexandrie et l’histoire des textes, Luciano Canfora, Cahiers du CEDOPAL et La véritable histoire de la Bibliothèque d’Alexandrie.
« Destruction de la bibliothèque
Peu d’éléments permettent de dater la disparition de la grande bibliothèque d’Alexandrie. Selon certaines sources, elle fut ravagée par un incendie pendant la campagne de Jules César en 48 avant J.-C. D’autres auteurs font remarquer que le don de Marc Antoine est la preuve manifeste que la bibliothèque a survécu à cette campagne et suggèrent qu’elle fut détruite lors des batailles livrées par l’empereur Aurélien, en 270 après J.-C. D’autres encore émettent l’hypothèse d’une destruction par les envahisseurs arabes en 641, lors de la conquête de la ville par l’émir Amr ibn al-As. […]
Cette histoire ressort probablement de la propagande chrétienne. Les papyrus ne durent pas des siècles, surtout dans l’atmosphère humide d’Alexandrie. A moins que la Bibliothèque ait employé des équipes de scribes pour recopier les livres en permanence, ils ont dû se désagréger peu à peu. C’est certainement ce qui explique la disparition de la grande bibliothèque d’Alexandrie. L’Empire romain perdant son pouvoir au fil du temps, les crédits de fonctionnement se sont sans doute taris et la bibliothèque, souffrant de négligence, s’est délabrée progressivement. L’hypothèse la plus plausible est que ce qu’il en restait a tout simplement pourri. »
Source : Bibliothèques, une histoire mondiale, James W. P. Campbell, Will Pryce.
Cette hypothèse est due notamment à Roger S. Bagnall dans Alexandria : library of dreams, 2002
A lire aussi le chapitre Apogée et fin de la bibliothèque d’Alexandrie dans Histoire universelle de la destruction des livres, Fernando Baez p. 71 à 84.
Rappelons que dés 1923, P. Casanova dénonce le « mythe » de la destruction par les Arabes dans L’incendie de la Bibliothèque d’Alexandrie par les arabes. Il parle aussi de la « légende » qui attribuerait à Omar d’avoir voulu jeter les livres perses à l’eau.
Le texte La bibliothèque d’Alexandrie lors du califat Rashidun d’Omar ibn al-Khatab est le même que celui de Wikipedia mais permet d'isoler les références à votre sujet. Vous trouverez en ligne la recension par Martine Poulain du livre d’El-Abbadie qui est cité après la note 17.
Hannibal GENSERIC
RépondreSupprimerAm jeremiah, je témoigne au sujet d'un grand homme aux plantes médicinales qui a guéri ma femme de l'hépatite B et d'une cirhose du foie. Il s'appelle Dr oniha. Ma femme a reçu un diagnostic d'hépatite il y a deux ans, j'ai presque dépensé tout ce que j'avais alors, jusqu'à ce que je voie la recommandation du Dr oniha en ligne, et je l'appelle, puis il m'a dit comment obtenir l'herbe. Vous pouvez l'appeler au +2347089275769 ou lui envoyer un courriel à dronihaspell@yahoo.com