mercredi 27 octobre 2021

Covid-Arnaque. L’Allemagne a trouvé son Edward Snowden

Le 22 septembre, Langemann Medien publiait sur sa chaîne YouTube un entretien - visionné à ce jour près de 500 000 fois - avec un jeune mathématicien et expert-informaticien dont on se souviendra peut-être comme l’Edward Snowden allemand. Nous l'appellerons “Eduard Schneeten” (pour des raisons évidentes, il souhaite rester anonyme).

Assisté de l’analyste politique Thomas Röper (Anti-Spiegel.deApolut.net), Eduard Schneeten a passé au crible depuis six mois plusieurs millions de documents grâce à des logiciels spécialisés. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite: "anti-anticovid", de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d'intérêts privés sous prétexte de “santé publique".

Ces réseaux sont désormais parfaitement identifiés grâce aux deux analystes.

Le vidéo de Langemann Medien présente en langue anglaise un premier document (169 pages) d’une série à paraître d’ici deux mois environ sous forme de livre, la présentation actuelle sous forme de tableaux Excel et graphiques étant de consultation peu aisée par des non-spécialistes.

L’analyse se divise ainsi :

- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;

- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;

- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.

Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L'attention des analystes a été attirée - pour ne donner qu'un exemple - par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.

- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.

Tous les documents consultés sont dans le domaine public et les logiciels utilisés, quoique coûteux et donc habituellement achetés par des gouvernements ou services secrets, sont également disponibles à l’achat par Monsieur Tout-le-monde. Ainsi, on ne peut reprocher ni acte d’espionnage, ni indiscrétion, ni illégalité à Thomas Röper et Eduard Schneeten. Les ouï-dire ou signalements d'initiés ont été rigoureusement écartés. Toutes de source originale, les données n'ont pas été retouchées.

Faut-il s'étonner qu'aucun journal, émission ou publication en ligne occidental bénéficiant des largesses financières de Gates – la BBC, Le Monde et al. - n'a souhaité entreprendre de près ou de loin des recherches telles que celles de Schneeten et Röper ?

Schneeten et Röper, qui ne se connaissaient pas jusqu’à il y a six mois, constatent en s'appuyant sur des données factuelles que la manœuvre dite anticovid est en préparation depuis au moins 2017, moment où l'on observe soudainement des flux de fonds empruntant des sillons bien définis et où les contacts au sein des réseaux identifiés se multiplient et se resserrent. De même, la majorité des ONG impliquées dans la manœuvre ont été fondées en 2017.

Le projet, dans sa manifestation actuelle, semble germer en 2016, quoique Heidi Larson, l'une des figures-clefs identifiées, épouse du Baron Peter Piot, avait dès 2010 fondé le Vaccine Confidence Project, aux côtés de GlaxoSmithKline, Johnson&Johnson, la Commission européenne, etc. Désormais Facebook, Chatham House, l'OMS, ou encore le Robert-Koch Institut et l'Hôpital de la Charité de Christian Drosten en sont partenaires, entre autres.

Le Dr Larson, professeur d'anthropologie et de “science des risques et des décisions” (sic) au London School of Hygiene and Tropical Medecine, se spécialise dans la “gestion des rumeurs (sic) et des risques depuis les essais cliniques jusqu'à la mise sur marché, et l'instillation de la confiance dans les populations” (sic).

Un aspect à souligner : à aucun moment Röper et Schneeten ne spéculent sur les origines du virus ou sur les objectifs plus ou moins occultes de ces réseaux. Ils se cantonnent à leur propre domaine d'expertise et au factuel, considérant d'ailleurs que l'on eût pu déclencher la même campagne hystérique au sujet de n'importe quelle maladie ex. “Grippe espagnole 2.0”, avec les mêmes conséquences.

Un exemple du pouvoir de ces réseaux : le 3 août 2021, une lettre ouverte au président Biden a été publiée, intimant à ce dernier des ordres et notamment, celui de convoquer un “Sommet global de la vaccination” avec comme objectif d'injecter 70% de la population mondiale avant le mois de septembre 2022. Le 22 septembre, soit six semaines plus tard, sans convoquer le Congrès ni consulter l'électorat (alors que c'est le contribuable qui finance), Biden obtempéra et annonça un partenariat UE-États-Unis pour une “offensive globale de vaccination”. Les signataires de la lettre ouverte y figurent comme représentant différentes ONG, or tous ont des conflits d'intérêts majeurs dans le privé, par exemple Scott Gottlieb, membre du Conseil d'Administration de Pfizer.

Au centre de la toile étudiée par Schneeten et Röper se trouve l'époux du Professeur Larson, le baron Peter Piot, originaire de Belgique et nommé directeur de la London School of Hygiene and Tropical Medecine en 2010. Senior Fellow de la Fondation Gates depuis 2009, il se présente comme universitaire désintéressé. En réalité, la London School of Hygiene and Tropical Medicine a en 20 ans reçu par 143 fois des “dons” de Bill Gates pour un montant total d'au moins $US 185 millions, auxquels il faut ajouter les $US 170 millions reçus du Wellcome Trust. Peter Piot est conseiller de la Commission européenne en matière de Covid (Advisory Panel on Covid-19), conseiller personnel en matière de Covid-19 de sa présidente Ursula Von Der Leyen, membre de l'Academie des sciences allemande Leopoldina, membre de CEPI, membre de Conseil de Novartis, membre de l'Académie française de médecine.

Pour saisir la structure du réseau, commencez par éplucher le rapport Netzwerkanalyse Corona Komplex, en langue anglaise, qui représente le premier volet des travaux de Schneeten et Röper. Ces derniers font œuvre de salut public. Il ne reste qu'à espérer que le public s'y intéressera de près puisqu'il y va de notre survie. 

Par  Moufid Azmaïesh. Sur FranceSoir.

Evo Morales: “Je suis convaincu que cette pandémie fait partie d’une guerre biologique”

Le seul leader socialiste qui a eu le courage de le dire tout haut avec Loukashenko, rappelle que  les prêts du FMI sont les outils que la classe dirigeante utilise pour imposer les mesures autoritaires synchronisées à travers le monde (comme Loukachenko l’a révélé), et que la Bolivie a remboursé son prêt.

On assiste avec la complicité de la gauche à l’érosion de la démocratie libérale et à la mise en place d’une classe impériale qui cherche à régner dans une technocratie corporatiste de biosécurité.

L’ancien président bolivien a estimé que “pour le capitalisme, les pauvres sont inutiles pour l’État” et a blâmé le “Nouvel ordre mondial” pour avoir imposé COVID-19 et ses vaccins tueurs.

Lors d’une conférence de presse, l’ancien président bolivien a déclaré :

 « Avec la pandémie à laquelle nous sommes confrontés, je suis convaincu que cela fait partie d’une guerre biologique. Qu’exporte le capitalisme, des armes nucléaires, des armes biologiques ? Cela doit faire il y a 5 ou 6 ans que le FMI a affirmé que la politique du Nouvel Ordre Mondial indiquait qu’une planification de réduction de la population inutile était importante », a-t-il déclaré.

 « Je suis un défenseur non seulement des droits collectifs, mais des personnes les plus humbles. Pour le capitalisme, les pauvres sont inutiles pour l’Etat et cette pandémie tue d’abord les personnes qui en sont les moins riches et les personnes handicapées. Je suis convaincu que cette pandémie fait partie d’une guerre biologique », a- t-il déclaré.

L’ancien président bolivien a indiqué que, selon son expérience, la “nationalisation” et la “redistribution des richesses” étaient importantes pour sa gestion économique au sein de son gouvernement.

« La meilleure façon de changer la partie politique dans notre expérience est l’Assemblée constituante, la refondation de nos républiques depuis 200 ans ; et dans la partie économique la nationalisation qui est si importante ; et dans la partie sociale la redistribution des richesses » a-t-il déclaré lors d’une conférence devant la Fédération nationale des travailleurs de l’éducation du Pérou (Fenatep), un syndicat fondé par Pedro Castillo.

Le syndicat fondé par Castillo Terrones a invité l’ancien président bolivien à intervenir au forum “Le rôle des organisations populaires dans les changements politiques, économiques et sociaux en Amérique latine”.

Source: https://gestion.pe/ 

POUR INFO : Nombre et provenance des visiteurs de ce Blog

PAYS

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Pourcentage

France

12,6 M

47,8%

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4,7%

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1,18 M

4,5%

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1,14 M

4,3%

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1,8%

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1,3%

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323 k

1,2%

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213 k

0,8%

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150 k

0,6%

région indéterminée

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0,5%

Allemagne

86,7 k

0,3%

Pays-Bas

54,2 k

0,2%

Maurice

43,4 k

0,2%

Ukraine

23,8 k

0,1%

Turquie

14,9 k

0,1%

Suède

13,1 k

0,0%

Burkina Faso

12,2 k

0,0%

Autre

5,53 M

21,0%

TOTAL

26,36 M

100%

Le Maghreb ne totalise que 10% des visiteurs, ce qui est décevant. Plusieurs explications sont possibles :

1- Les francophones sont de plus en plus rares. L'arabisation de l'enseignement, à la suite du retrait par la France de ses coopérants (depuis Giscard, qui n'avait "rien à cirer" de la francophonie, et qui a été suivi en cela par ses successeurs) d'une part, et de la politique anti-arabe et pro-américano-israélienne de la France (sauf durant la parenthèse Chirac) d'autre part.

2- Les Maghrébins arabisés  n'apprécient pas qu'on leur démontre qu'ils ne sont pas Arabes, mais des Berbères arabisés. C'est comme si les Français voulaient à tout pris être qualifiés de  des "Latins" ou de "Romains" et surtout pas de Gaulois. Il faut préciser qu'à la différence de la France, le Maghreb compte une forte minorité de berbérophones, sauf en Tunisie, dans laquelle, depuis l'indépendance, la langue berbère a été non seulement marginalisée, mais  quasiment détruite.

Hannibal Genséric

2 commentaires:

  1. L'argent trône la politique. Les responsables des Etats sous la domination des puissances financières mondiales, pour qui les pauvres n'ont plus de place sur cette planète. La démocratie n'est plus qu'une vilaine farce.

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  2. Depuis le « changement de régime » qui a consisté à mettre les voleurs islamistes au pouvoir en 2011, ces derniers ne se sont pas gênés pour piller la Tunisie. Ils se sont octroyés des millions d’euros pour chaque chef islamo-terroriste qu’ils ont planqués chez leurs protecteurs occidentaux (USA, France, GB, essentiellement). Chaque année, si ce n’est chaque mois, le Tunistan tend la main à ces occidentaux et aux autres démocraties amies (Arabie Saoudite, EAU) pour pouvoir payer ses fonctionnaires (Les islamistes avaient embauché tous leurs agents comme fonctionnaires bras cassés, qui empêchent les vrais fonctionnaires de travailler.)
    Les suzerains (Usa-Banque Mondiale, et l’UE) ont depuis 2020 décrété que la Tunisie (et le Maroc) n’aura plus un kopek tant qu’elle n’aura pas vacciné systématiquement tous ses habitants zombies. Le pauvre président, qui marche à côté de ses pompes funèbres, a du ravaler ses airs de Robocop et se soumettre au diktat occidental-émirati. Pass sanitaire pour tous = liquidation d’un maximum de Tunisiens.

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