Ce sont les gros banquiers juifs de New York qui ont fourni la première finance pour établir le communisme en Russie Soviétique. La preuve en fut donnée au monde par le Service Secret des États-Unis (bureau de la Deuxième Armée) dans un document qui fut communiqué à toutes les ambassades des pays Alliés. Ce sensationnel document a été reproduit depuis 1920 dans de nombreux journaux patriotiques de différents pays.
Voici les remarques du P. Fahey et le texte du document en question: ‘Le principal document qui traite de la façon dont a été financée la révolution russe, est celui qui fut publié par le Service Secret américain et transmis par le haut commissaire français à son gouvernement. Il fut publié par La documentation catholique de Paris, le 6 mars 1920, précédé des remarques suivantes : Nous garantissons l'authenticité dé ce document. En ce qui concerne l'exactitude des renseignements qu'il contient, le Service Secret américain en prend la responsabilité.''
Ce document fut publié en 1920 dans un supplément du journal La Vieille France, de Paris, qui ajoutait : Tous les gouvernements de l'Entente eurent connaissance de ce mémorandum, rédigé d'après les informations du Service Secret américain, et envoyé dans le temps au haut commissaire français et à ses collègues . On trouve aussi ce mémoire dans le livre de Mgr Jouin "Le Péril Judéo-Maçonnique", partie III, page 249-351. Avec la remarque additionnelle que les juifs ont fait obstacle à sa publication, en sorte que la grande majorité du public ne connaît pas son existence. Quoique l'origine juive de Kerensky qui provoqua la première révolution russe de 1917, ait été mise en doute, il semble à peu près certain qu'il était le fils du Juif Aaron Kerbis et de la Juive Adler. Le document est divisé en huit sections. Les sections I à IV et les sections VI à VIII sont reproduites ici.
LE DOCUMENT
Rapport du Service Secret américain
Section I : En février 1916, il fut d'abord découvert qu'une révolution était fomentée en Russie. On découvrit que les personnes ci-après nommées, ainsi que les banques mentionnées, étaient engagées dans ce travail de destruction : Jacob Schiff, Juif ; Guggenheim, Juif ; Max Breitung, Juif ; Kuhn, Loeb & Co., banque juive dont les personnes suivantes sont directeurs : Jacob Schiff, Félix Warburg, Otto Kahn, Mortimer Schiff, S. H. Hanauer (tous Juifs). Il ne fait aucun doute que la révolution russe qui éclata un an après que l'information ci-dessus ait été reçue fut fomentée et déclenchée par des influences distinctement juives. De fait, en avril 1917, Jacob Schiff fit une déclaration publique à l'effet que c'est lui avec son aide financière qui avait fait réussir la révolution russe.
Section II : Au printemps de 1917, Jacob. Schiff commença à fournir des fonds à Trotsky (Juif) pour amener la révolution sociale en Russie. Le New York Daily Forward, qui est un organe judéo-bolchevique, fit une souscription dans le même but. Par Stockholm, le juif Max Warburg fournissait de même des fonds à Trotsky & Compagnie. Ils reçurent aussi des fonds du Syndicat Wesphalien-Rhénan, qui est une importante entreprise bancaire juive, de même que d'un autre juif, Olaf Aschberg, de la banque Nya, de Stockholm, et de Givotovsky, un Juif dont la fille est mariée à Trotsky.
Capitalistes Juifs Unis aux Communistes
Ainsi fut fait le raccordement entre les multimillionnaires juifs et les prolétaires juifs.
Section III : En octobre 1917, la révolution éclata en Russie. Grâce à cette révolution
les organisations soviétiques prirent la direction du peuple russe. Dans ces
Soviets les individus suivants, tous Juifs, se rendirent remarquables : Lénine
(de son vrai nom Oulianoff) ; Trotsky (Bronstein) ; Zinovieff (Apfelbaum) ;
Kameneff (Rosenfeld) ; Dan (Gourevitch) ; Ganetzky (Furstenberg) ; Parvus
(Helphand) ; Uritsky (Pademilsky) ; Larine (Lurge) ; Bohrine (Nathanson) ;
Martinoff (Zibar) ; Eogdanoff (Zilbarstein) : Garine (Garfeld) : Suchanoff
(Gimel) : Kamnleff (Goldmann) ; Sagersky (Krochmann) ; Riazanoff (Goldenbach) :
Solutzeff (Bleichmann) ; Piatnitszky (Ziwin) : Axelrod (Orbhodox) ; Glasunoff
(Schultze) : Zuriesain (Weinstein) ; Lapinsky (Lcswensôhn). '
Certains auteurs sont convaincus que la mère de Lénine était une Juive.
(Note des éditeurs : Lénine étudia avec des étudiants sionistes juifs en Suisse. Un correspondant anglais en Russie, Victor Marsden, déclara que Lénine était un Juif kalmouk marié à une juive (Kroupskaya) dont les enfants parlaient le Yiddish. Herbert Fitch, un détective de Scotland Yard qui avait épié Lénine en faisant le garçon de table, déclara qu'il était typiquement Juif).
Section IV : En même temps ; le Juif Paul Warburg qui avait été au Fédéral
Reserve Board, se fit remarquer par ses rapports actifs avec certains
bolcheviques notoires des États-Unis.
Ces circonstances, jointes à d'autres
points sur lesquels on avait obtenu des informations, furent cause qu'il ne fut
pas élu au comité ci-haut mentionné (Fédéral Reserve).
Travail Juif et Capital Juif
Section VI : D'un autre côté, Judas Mugnes, qui reçoit des subsides de Jacob Schiff, est en rapport étroit avec l'organisation sioniste mondiale Poale-Sion dont il est de fait le directeur. Le but final de cette organisation est d'établir la suprématie internationale du Mouvement Travailliste Juif. (1)
Ici encore nous voyons les relations entre les multimillionnaires Juifs et les Prolétaires Juifs.
Section VII : La révolution sociale avait à peine éclaté en Allemagne que la Juive Rosa Luxembourg en prit automatiquement la direction politique. Un des principaux chefs du mouvement bolchevique international était le Juif Haase. A ce moment-là, la révolution sociale en Allemagne se développa de façon parallèle à la révolution sociale en Russie.
Section VIII : Si nous tenons compte du fait que la Banque Juive Kuhn, Loeb & Co. est en rapport avec le Syndicat Westphalien-Rhénan, banque juive-allemande, et avec Lazare Frères, banque juive de Paris, et aussi avec la maison juive Gunsbourg de Petrograd, Tokyo et Paris ; si de plus nous remarquons que toutes les maisons juives ci-haut mentionnées sont en correspondance étroite avec la maison juive Speyer & Co., de Londres, New-York et Francfort-sur-le-Main, de même qu'avec la Nya Banken, établissement judéo-bolchevique à Stockholm, il apparaît manifeste que le mouvement bolchevique est dans une certaine mesure l'expression d'un mouvement général juif et que certaines banques juives sont intéressées à l'organisation de ces mouvements .
Capitalistes Juifs
Quelques remarques additionnelles sur certains des personnages ci-dessus mentionnés peuvent être intéressantes.
D'après L'Écho de Paris du 28 avril 1920, Max Warburg est le chef de la banque Max Wurburg & Co., de Hambourg. Il est le principal actionnaire de la Hamburg-America Line et de la Deutscher-Lloyd. Ses deux frères Paul et Félix, dont l'un est marié à la belle-sœur et l'autre à la fille de Jacob Schiff, né à Frankfort, sont avec Schiff à la tête de la banque Kuhn, Loeb & Co.
Dans la "German-Bolshevik Cospiracy", p.27, publié par le Committee of Public Information, Washington. D. C. En octobre 1918, nous apprenons que Max Warburg avançait de l'argent aux bolcheviques. Le message suivant y apparaît : Stockholm, 21 septembre 1917 : Mr. Raphaël Scholak, Haparand : Cher Camarade — En conformité avec un télégramme du Westphalian Rhineland Syndicate, la banque Max Warburg & Co. nous- informe qu'un crédit a été ouvert à l'entreprise du Camarade Trotsky . (Signé) J. Furstenberg.
D'après une information de source française, Jacob Schiff paraît avoir donné $12.000.000 pour la révolution russe de 1917.
Si maintenant nous lisons le livre de Nest H. Webster, "The Surrender of an Empire", p. 74-79, nous trouvons des renseignements additionnels sur la montée du bolchévisme.
La Révolution est un Placement Juif
11 semble que le nom véritable de l'individu mentionné dans la section III ci-dessus sous la désignation de Parvus, est Israël Lazarevitoh Helphand, un Juif de la province de Minsk, en Russie blanche.
Vers la fin du siècle dernier, Il prit part à un travail révolutionnaire à Odessa.
En 1886, il s'en alla à l'étranger et finalement, après plusieurs pérégrinations, s'en vint à Copenhague où il amassa une grande fortune comme agent en chef de la distribution du charbon allemand au Danemark, travaillant par l'entremise du parti socialiste danois.
Le Dr Ziv, dans sa Vie de Trotsky, relate que, lorsqu'il était en Amérique, en 1916, il demanda à Trotsky : Comment est Parvus ?, à quoi Trotsky répondit laconiquement : Il est en train de compléter son douzième million .
C'est ce Juif multimillionnaire qui, après Karl Max, fut le plus grand inspirateur de Lénine. Ce fut par l'intervention de Parvus que Lénine fut envoyé en Russie.
La Russie n'est pas le triomphe des travailleurs, mais ne semble être qu'un gigantesque placement des capitalistes juifs pour leurs propres fins.
Et le livre du R. P. Fahey expose une abondante documentation qui le fait conclure que les Juifs seuls sont la cause et les profiteurs du communisme. Et notons que les financiers ci-haut nommés ne sont pas des Juifs athées détaches de la Synagogue, mais des talmudisants très orthodoxes souvent cités en modèles par les grands rabbins
UN GRAND BANQUIER JUIF FAIT DE SENSATIONNELS AVEUX !
A la fin de 1936, le Comte de Saint-Aulaire, ambassadeur de France, publiait un livre intitulé Genève contre la Paix (Librairie Pion, Paris, 15 francs). Dans ce livre, il rapportait les déclarations faites devant lui par un grand banquier juif de New-York dans un café de Budapest, capitale de la Hongrie que le Juif Bela-Kuhn venait d'ensanglanter dans une affreuse révolution communiste. La banque dont il est question dans les déclarations ci-dessous est tout probablement la banque Kuhn, Loeb & Co., de New-York, dont les directeurs étaient alors les Juifs Jacob-H. Schiff, Otto-H. Kahn, les frères Paul et Félix Warburg. . Voici ce qu'on lit à la page 85 (et pages suivantes) du livre de l'ambassadeur de France:
Cette situation explique comment les alliés masqués de Bela Kuhn étaient demeurés à Budapest après sa déroute et comment on pouvait les rencontrer à la table des missions interalliées dont certains, d'ailleurs, étaient membres, ce qui leur était très commode pour l'accomplissement de leur autre mission. Ils sablaient aussi joyeusement le Tokay chez les alliés que chez Bela Kuhn et, quand ils avaient bu plus que les petits enfants, leurs protégés officiels n'avaient que du lait, leurs langues se déliaient. Nombre de révolutionnaires israélites, expulsés de Hongrie, y étaient revenus après l'armistice, sous l'uniforme américain, et ce sont leurs rapports à Wilson qui inspiraient la politique du Conseil suprême dans l'Europe centrale. J'ai retenu les propos d'un de ces augures dont je fus le voisin de table à un de ces dîners internationaux qui sont la meilleure école et le plus dangereux écueil de la diplomatie. Il était devenu un des directeurs d'une grande banque de New-York,, une de celles qui finançaient la révolution bolchéviste. Mais ce n'était pas un de ces banquiers scellés au sol comme un coffre-fort, selon le mot de Louis-Philippe sur Casimir Périer. Il avait du plafond dans sa spécialité et le crevait volontiers pour atteindre des régions supérieures. En bon Oriental, il s'exprimait par images auxquelles, en cérébral, il donnait des prolongements intellectuels.
Un convive lui
ayant demandé comment la haute finance pouvait protéger le bolchévisme
ennemi de la propriété immobilière, condition de l'industrie bancaire, comme de
la richesse immobilière qui lui est non moins nécessaire, notre homme, préposé
au ravitaillement des sans pain, vida un grand verre de Tokay, prit un temps,
en tirant une bouffée de son énorme cigare (à cinq francs-or l'un) et dit :
Ceux qui s'étonnent de notre alliance
avec les Soviets oublient que le peuple
d'Israël est le plus nationaliste de
tous les peuples, car il est le plus
ancien, le plus uni, le plus exclusif. Ils
oublient que son nationalisme est le plus
héroïque, car il a résisté aux plus terribles persécutions. Ils oublient que c'est aussi le nationalisme le plus pur, le plus immatériel, puisqu'il a subsisté à travers les siècles et
en dépit de tous les obstacles sans le
support d'un territoire. Il est
œcuménique et spirituel comme la
papauté. Mais il est tourné vers l'avenir
au lieu de l'être vers le passé, et son
royaume est ici-bas. C'est pourquoi il est
le sel dé la terre, ce qui ne l'empêche pas d'être, comme on dit sur le boulevard, le
plus dessalé des nationalismes,
c'est-à-dire le plus décanté, le plus dépouillé
Quelques convives ayant accueilli ce .dernier mot par un sourire mal réprimé, ce sage de Sion y répliqua par cette glose :
Quand je dis le plus dépouillé, j'entends que notre nationalisme est le plus buvable de tous, celui qui a le plus de .bouteille, celui que les autres peuples absorbent le plus facilement, avec délices et sans mal aux cheveux. Pour en venir au sel, connaissez-vous le précepte des saleurs de morue? Je l'ai appris sur le banc de Terre-Neuve, le voici: trop de sel brûle la chair, pas assez la corrompt. De même pour l'esprit et pour les peuples. Nous appliquons ce précepte sagement, ainsi qu'il convient, le sel étant l'emblème de la sagesse. Nous le mêlons discrètement au pain des hommes; nous ne l'administrons à dose corrosive que dans les cas exceptionnels, quand, il s'agit de brûler les débris d'un impur passé comme par exemple, dans la Russie des tsars. Gela vous explique déjà un peu pourquoi le bolchevisme nous agrée: c'est un admirable saloir, pour brûler, non pour conserver. Mais, en dehors et au-dessus de ce cas particulier, nous communions avec le marxisme intégral dans l'Internationale, notre religion, parce qu'il est l'arme de notre nationalisme, arme tour à tour défensive et offensive, le bouclier et le glaive.
Le marxisme,
direz-vous, est aux antipodes du
capitalisme qui nous est également sacré.
C'est précisément parce qu'ils sont aux antipodes l'un et l'autre qu'ils
nous livrent les deux pôles de la
planète et nous permettent d'en être
l'axe. Ces deux contraire^ trouvant,
comme le bolchevisme et nous, leur identité dans l'Internationale. Et ces deux contraires qui sont aux antipodes de la Société comme de la doctrine se rejoignent dans l'identité de la même fin: la rénovation du monde par en haut, c'est-à-dire par le contrôle de la
richesse, et par en bas, c'est-à-dire par la révolution. Pendant des
siècles, Israël a été séparé de la chrétienté, refoulé dans le ghetto afin de montrer aux fidèles ce qu'on appelait les témoins de l'ancienne loi dans un abaissement
qui, disait-on, était l'expiation du déicide. C'est ce qui nous a sauvés et,
par nous, sauvera l'humanité. Nous avons
ainsi conservé notre génie et notre mission divine C'est nous aujourd'hui les vrais fidèles. Notre
mission consiste à promulguer la loi nouvelle et à créer un Dieu, c'est-à-dire épurer la
notion de Dieu et à la réaliser quand les temps seront révolus. Nous l'épurons en l'identifiant
à la notion d'Israël, devenu son propre Messie, ce qui en facilitera l'avènement par notre
triomphe définitif. C'est notre nouveau Testament.
Nous y
réconcilions les rois et les prophètes, comme David, le prophète-roi ou le
roi-prophète, les réunissait dans sa personne. Nous sommes rois pour que les prophéties
s'accomplissent et nous sommes prophètes pour ne pas cesser d'être rois.
Là-dessus, ce roi-prophète but un autre verre de Tokay.
Un sceptique lui fit cette objection: Ce Messie dont vous êtes les prophètes et les apôtres, ne risquez-vous pas d'en être aussi les martyrs? Car, enfin, si dépouillé que soit votre nationalisme, il dépouille parfois les autres peuples. Si vous méprisez la richesse, vous ne la dédaignez pas, ne serait-ce que comme moyen, non de jouissance, mais de puissance. Comment le triomphe de la Révolution universelle, destructrice et négatrice du capitalisme, peut-il préparer le triomphe d'Israël, arche sainte de ce même capitalisme?
Je n'ignore pas
que Jéroboam a fondé, à Dan et à Bethel,
le culte du veau d'or. Je 'n'ignore pas non plus que la Révolution est, dans les temps modernes, la grande prêtresse de ce culte, la plus diligente pourvoyeuse de ses tabernacles. Si le veau d'or est
toujours debout, son piédestal le plus
confortable est le tombeau des Empires.
Cela pour deux raisons.
D'abord la Révolution' n'est jamais qu'un déplacement de privilèges, partant de
richesses. Or, ce qui nourrit notre veau
d'or, ce n'est pas la création des
richesses, ni même leur exploitation,
c'est surtout leur mobilisation, âme de
la spéculation. Plus elle change de mains,
plus il en reste dans les nôtres. Nous sommes
des courtiers qui touchent des commissions sur tous les échanges ou, si vous préférez, des péagers qui contrôlent les
carrefours du globe et perçoivent une taxe sur
tous les déplacements de la richesse anonyme et vagabonde, que ces déplacements soient des transferts d'un pays à un autre, ou des oscillations entre les cours. A la
calme et monotone chanson de la prospérité, nous préférons les voix passionnées et alternées
de la hausse et de la baisse. Pour les
éveiller, rien ne vaut la révolution, si
ce n'est la guerre qui est aussi une
révolution. En second lieu, la
révolution affaiblit les peuples, les met en
état dé moindre résistance contre les entreprises étrangères. La
santé de notre veau d'or exige la maladie
de certaines nations, celles qui
sont incapables de se développer par
elles-mêmes. Nous sommes, au contraire, solidaires
des grands États modernes comme la France, l'Angleterre, les États-Unis,
l'Italie, représentés à cette table, qui nous ont accordé une généreuse hospitalité et avec qui nous collaborons pour le progrès de la
civilisation. Mais prenez, par exemple, la Turquie d'avant-guerre, l'homme malade, comme l'appelaient les
diplomates. Cet homme malade était un
élément de notre santé, car il nous
prodiguait les concessions de toute nature,
banques, mines, ports, chemins de fer, ''etc. Toute sa vie économique nous
était confiée. Nous l'avons si bien soigné qu'il en est mort, du moins en Europe. En nous plaçant au point de vue terre à terre de l'accumulation
des richesses, en vue de l'accomplissement de notre mission, nous avons
besoin d'un autre homme malade.
C’eut été déjà une raison suffisante, en dehors de considérations plus hautes, pour inoculer le bolchevisme à l'ancienne Russie. Elle est maintenant
l'homme malade d'après-guerre, beaucoup plus
nourrissant que l'Empire ottoman et qui se défend encore moins. La voici à point pour un nouveau festin. Ce sera bientôt un
cadavre: nous n'aurons plus que la peine de le
dépecer
A l’autre bout de la table, un coreligionnaire, enfant terrible de la synagogue, guettait le moment de placer son mot. Il s'écria: On nous prend pour des rapaces, nous sommes plutôt des charognards !
Oui, si vous y tenez, réplique le confesseur de la loi nouvelle. Mais ajoutez que nous le sommes pour le bien de l'humanité, pour sa santé morale, comme, dans les pays où la voirie, est rudimentaire, d'autres oiseaux le sont pour la salubrité publique. Ajoutez aussi que notre dynamisme essentiel utilise les forces de destruction et les forces de création, mais utilise les premières pour alimenter les secondes. Qu'étaient des pays comme l'ancienne Turquie, l'ancienne Russie et même, à une moindre échelle, l'ancienne Hongrie avec son régime féodal et ses latifundia? C'étaient des membres paralysés qui gênaient tous les mouvements du monde; c'étaient plutôt des embolies de l'Europe qui pouvait en mourir, les caillots de sang oblitérant des vaisseaux vitaux. En les dissolvant, nous les restituons au torrent circulaire du corps tout entier. Si, au cours de l'opération, giclent quelques gouttes de ce sang liquéfié, pourquoi nous en émouvoir? C'est le prix infime d'un immense bienfait. Un autre a dit que nous sommes révolutionnaires, parce que nous sommes conservateurs de nous-mêmes. Dans l'aménagement du monde nouveau, nous prouvons notre organisation pour la révolution et pour la conservation par cette destruction, le bolchevisme et par cette construction, la S. D.N. (ancêtre de l’ONU) qui est aussi notre œuvre, l'une étant l'accélérateur, l'autre le frein de la mécanique dont nous sommes le moteur et la direction. Le but? Il est marqué par notre mission. Israël est une nation synthétique et homogène; elle est formée d'éléments épars dans toutes les parties du monde, mais fondus à la flamme de notre foi en nous-mêmes. Nous sommes une S. D. N. qui résume toutes les autres. C'est ce qui nous qualifie pour les unir autour de nous. On nous accusé d'en être le dissolvant. Nous ne le sommes que sur les points réfractaires à cette synthèse dont là nôtre est l'exemple et le moyen. Nous ne dissocions la surface que pour réveiller dans les profondeurs les affinités qui l'ignorent. Nous ne sommes le plus grand commun diviseur des peuples que pour en devenir le plus grand commun fédérateur. Israël est le microcosme et le germe de la Cité future /
(1) .Judas Mugiifes était alors rabbin à New-Yorlt ; il fut ensuite envoyé à Jérusalem pour y diriger l'université Juive. Le Paole-Sion, organisation marxiste militant, a une puissante et très active filiale à Montréal.
VOIR AUSSI :
- La
clé du Mystère (Partie 1)
- La
Clé du Mystère (Partie 2). Le Terrible Complot
- La Clé du Mystère (Partie 3). Société juive de Paris : "Pour asservir les chrétiens, il faut détruire l’église catholique"
- La Clé du Mystère (Partie 4). LE COMMUNISME, MOYEN DE CONQUÊTE JUIVE
-
Comment les juifs de Harvard pillent la Russie
- Israël Shamir : Appelons les juifs "juifs", et
n'utilisons pas les euphémismes idiots comme les «globalistes» ou "la
cabale"
- Le rôle juif dans la révolution bolchevique
- Poutine et ses juifs (partie 3 et fin)
Hannibal Genséric
On a plutot financé Trotsky mais pas la révolution russe conduite par Lénine.
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