En 1920 l'écrivain anglais George Pitt-Rivers, du Worcester Collège, Oxford, publia un opuscule sous le titre de "The World Significance of the Russian Révolution". (La signification mondiale de la révolution russe) publié par Basil Blackwell, Oxford, deux shillings. Le Dr Oscar Levy, juif, très considéré dans les cercles littéraires écrivit pour cet ouvrage une préface dont voici des extraits.
Préambule
Presque soudainement le monde en général, et tous les pays en particuliers, ont été plongés dans un véritable enfer.
L'humanité est accablée... QUI EN EST LA CAUSE ?
Des guerres, des révolutions, des crises aiguës, des vagues de chômages,
des ruines gigantestques, des boulversement terribles. Des assassinats
politiques, des déchirement sociaux, des craintes et des angoisses, des
dépressions sans précédent ?
Un plan juif de conquête mondiale. Adrien Arcand 1938
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Le Dr Oscar Levy :
"Le
bolchevisme est une religion et une foi. Comment ces croyants demi-convertis
pouvaient-ils rêver de vaincre les "vrais" et les "fidèles"
de leur propre foi, ces saints croisés, qui s'étaient ralliés autour du drapeau
rouge du prophète Karl Marx, et qui avaient combattu sous la guidée audacieuse
de ces officiers expérimentés des dernières révolutions : les Juifs ?
"Il n'y a pas en ce monde DE RACE PLUS ÉNIGMATIQUE, PLUS FATALE, et PAR CONSÉQUENT
plus intéressante QUE CELLE DES JUIFS. "
Tout écrivain qui, comme vous, est oppressé par l'aspect du présent et
embarrassé par son angoisse devant l'avenir, doit chercher à élucider la
Question Juive et sa portée sur notre époque.
"Car la Question Juive et son influence sur le monde ancien et moderne
plonge à la racine même de toutes choses, et doit être discutée par tout
penseur honnête, si grandes soient les difficultés qu'elle comporte, si
complexes soient le sujet aussi bien que les individus de cette race ..
"Vous révélez, et avec une grande ferveur, les rapports qui existent entre
le collectivisme de la Finance Internationale immensément riche — la démocratie
des valeurs d'argent, comme vous l'appelez — et le collectivisme international
de Karl Marx et de Trotsky — la démocratie des et par les cris corrupteurs. Et
tous ces maux et ces misères, économiques aussi bien que politiques, vous en
remontez la trace à une seule 'source, une seule "fons et origo malorum"
(la source et l'origine du mal) :'les Juifs.
"Eh ! bien, d'autres Juifs pourraient vous outrager et vous crucifier pour
cette expression énergique de vos opinions. Pour ma part, je m'abstiendrai de
grossir le chœur de la condamnation
"Mais, tout d'abord, je dois dire ceci :
"Il ne s'est guère passé un événement, dans l'Europe
moderne sans qu'on puisse en remonter la trace jusqu'aux juifs .
"TOUTES LES IDÉES ET TOUS LES MOUVEMENTS DES TEMPS PRÉSENTS ONT JAILLI
D'UNE SOURCE JUIVE, pour la simple raison que l'idée sémitique a finalement
conquis et entièrement asservi notre univers...
"Il ne fait aucun doute que, dans tout ce qu'ils font, les Juifs
renchérissent en mieux ou en pire sur les Gentils, et il ne fait aucun doute
que LEUR INFLUENCE AUJOURD'HUI JUSTIFIE UNE TRÈS SOIGNEUSE ENQUÊTE, et il n'est
pas possible d'envisager cette influence sans sérieuses alarmes...
"Nous (les Juifs) nous sommes trompés, mon ami, nous nous sommes très
gravement trompés. Et s'il y. avait de la vérité dans notre erreur, il y a
3000, 2000, non, 100 ans, IL N'Y A PLUS . AUJOURD'HUI QUE FAUSSETÉ ET FOLIE, 'UNE
FOLIE QUI PRODUIRA UNE MISÈRE ENCORE PLUS GRANDE ET UNE ANARCHIE ENCORE PLUS
PROFONDE. Je vous le confesse, ouvertement et sincèrement, avec le chagrin dont seul un ancien psalmiste pourrait murmurer la profondeur et la
douleur en notre époque incendiée. Nous avons posé aux sauveurs du monde, nous
qui nous étions même vantés de vous avoir donné "le" Sauveur, nous ne sommes plus aujourd'hui que les séducteurs du monde,
ses destructeurs, ses incendiaires, ses exécuteurs. Nous avions promis
de vous conduire dans un paradis nouveau, et en fin de compte, nous ne vous
avons conduits que dans un enfer nouveau. Il n 'y a pas eu de progrès, au moins
de progrès moral. Et c'est seulement notre moralité qui a empêché tout progrès
réel et, ce qui est pis, qui obstrue la voie de toute reconstruction future et
naturelle- dans notre monde ruiné. Je regarde ce monde, et je frémis à la vue
de son horreur ; j'en frémis d'autant plus que je connais les auteurs
spirituels de toute cette horreur.
"Mais ses auteurs eux-mêmes, inconscients en ceci, comme dans tout ce
qu'ils font, ne savent encore rien de cette étonnante révélation. Pendant que
l'Europe est en flammes, pendant que ses victimes gémissent, pendant que ses
chiens hurlent à la conflagration, et pendant que ses fumées descendent en
nappes plus épaisses et plus sombres sur notre continent, les Juifs, ou au
moins certains d'entre eux et non des moins dignes, essaient de s'échapper de l'édifice
en flammes, désireux de passer d'Europe en Asie, de la sinistre scène de notre
désastre vers le coin ensoleillé de la Palestine. Leurs yeux sont fermés aux misères,
leurs oreilles sont sourdes aux plaintes, leur cœur est endurci à l'anarchie de
l'Europe ; Ils ne ressentent plus que leurs propres chagrins, ils ne pensent
plus qu'à leur propre sort, ils ne soupirent plus que sous leur propre
fardeau."
Israël veut la guerre mais par les...goyim
Dans son numéro
du 24 septembre 1936, l'hebdomadaire
juif "The Sentinel", édité à Chicago, a publié: "La
conférence centrale des rabbins américains a pris la décision de s'adresser au
gouvernement américain pour lui demander de LIBÉRER DE TOUTE OBLIGATION
MILITAIRE LES JUIFS qui, par objection de conscience, sont opposés à la
guerre."
Donc ces Juifs rusés prennent déjà leurs précautions. En somme, ils veulent
pousser les États-Unis à faire la guerre, mais ils entendent que, seuls, les
Américains goyim aient le devoir de tirer les marrons du feu pour Juda. Le sang
goy s'affaiblira; les goyim perdront leur fortune. Juda veut être le maître.
[C'est toujours le cas aujourd'hui. Israël et le lobby juif n'arrêtent pas de pousser les Occidentaux en général et les Américains en particulier à attaquer l'Iran, après les avoir poussé à détruire l'Irak, la Syrie, la Libye, le Soudan et le Yémen, et à réduire la quasi totalité des autres pays arabes et / ou musulmans en pays compradores soumis à l'Empire anglo-sioniste. Seules la Syrie, l'Algérie et l'Iran continuent de résister grâce à la vaillance de leurs peuples et de leurs armées et au soutien russe. En France, le VRP du lobby juif est un rejeton d'une famille de bandits judéo-algériens, ce qui montre l'état de déliquescence avancée de l'extrême droite et de toute la classe politique française. H. G.].
THEODOR HERZL, grand chef juif, dans "La Nouvelle
Revue Internationale", janv. 1897 :
"La question agraire n'est qu'une question de machines. L'Amérique doit vaincre l'Europe, de même que LA GRANDE PROPRIÉTÉ ANÉANTIT LA PETITE... Le paysan est donc un type destiné à disparaître. Veut-on par conséquent demander au Juif qui est intelligent de devenir un paysan de vieille roche ?''..
Un rabbin plaide coupable et donne raison aux antijuifs !
Article publié par le rabbin Manfred Reifer huit mois après l’accession d'Hitler au pouvoir, dans le "Czernowirz Allgemeine Zeitung" édition du 2 septembre 1933. Cet article a grandement déplu à la juiverie qui a tout fait pour le faire disparaître, sans succès. La ville de Czernowirz est roumaine maintenant, mais elle était austro-hongroise avant la guerre.
1. Situation. "La situation actuelle des Juifs d'Allemagne est l'aboutissement d'un processus historique. C'est un développement dont le début peut être retracé au temps de Bismarck. Il fallait qu'il aboutisse ainsi, si l'on comprend la profonde importance historique de ce mouvement antisémitique, dont Hitler est la plus forte expression. Celui qui ne pouvait prévoir cela était aveugle. On essayait de fermer les yeux sur les événements et on agissait suivant l’axiome vulgaire: "Ce que l'on né désire pas, on n'y croit pas". C'était un moyen commode d'éviter des questions fondamentales, de regarder le monde à travers des lunettes à verres roses. Les prédicants de l'assimilation juive tentaient de jeter, un voile sur la réalité des choses et ils jouaient, comme dernière carte, le libéralisme, mort depuis longtemps. Ils ne comprirent pas le cours de l'histoire et crurent qu'ils pourraient y échapper en se déclarant "Allemands de foi mosaïque", en niant l'existence d'une nation juive, en coupant tous les fils qui les reliaient à la Juiverie, en effaçant le mot "Sion" de leurs livres de prières, et en inaugurant le Sunday Service. Bs regardaient l'antisémitisme comme un phénomène passager qui pourrait être éliminé par une propagande intensive, par l'organisation de sociétés fondées en vue de le combattre. Telles étaient les pensées d'un grand nombre de Juifs d'Allemagne. De là l'immense désappointement, la profonde résignation devant la. victoire d'Hitler, de là le désespoir sans nom, la psychose grandissante culminant jusqu'au suicide, la démoralisation complète.
"Mais celui qui juge les événements d'Allemagne suivant les principes de causalité, jugera le mouvement Nazi comme le point culminant d'un développement naturel; il comprendra aussi que l'Histoire ne connaît pas d'accidents, que chaque époque est le résultat de l'époque précédente. C'est là qu'est la clé de la compréhension de la situation actuelle. La lutte contre la Juiverie a été conduite en Allemagne avec intensité depuis un demi-siècle, avec une précision toute allemande. L’antisémitisme scientifique a pris racine dans le sol même de l'Allemagne.
"Tout cela, les Juifs d'Allemagne refusèrent de le voir. Ils se nourrissaient de faux espoirs, ignoraient la réalité et rêvaient de cosmopolitanisme de l'époque de Dohm, Lessing, Mendelssohn. Les Juifs déracinés se livrèrent à des idées fantastiques et se leurrèrent de rêves cosmopolites. Et cela se manifesta d'une double-façon. Ou ils acclamèrent le libéralisme général ou ils se firent les porte-étendards du socialisme. Les deux champs d'activité fournirent un aliment nouveau à l'antisémitisme. "
2. LE DESTIN
"En toute bonne foi, désirant servir leur cause et l'humanité, les Juifs commencèrent à s'infiltrer activement dans la vie du peuple allemand. Avec leur passion juive si caractéristique, ils se lancèrent dans tous les champs des connaissances. ILS S'EMPARÈRENT DE LA PRESSE, ILS ORGANISÈRENT LES MASSES DES TRAVAILLEURS, et ils s'efforcèrent d'influencer toute la vie spirituelle dans le sens du libéralisme et de la démocratie. Cela devait, naturellement, occasionner une profonde réaction dans le peuple qui les hébergeait. Quand les Juifs, par exemple, prirent le contrôle des disciplines soi-disant internationales, lorsqu'ils se distinguaient dans les champs de la physique, de la chimie, de la médecine, de l'astronomie et, jusqu'à un certain point dans le champ de la philosophie, ils pouvaient tout au plus inspirer de l'envie à leurs collègues aryens, mais non une haine générale de toute la nation. On n'aimait pas à voir des Juifs obtenir les prix Nobel, mais on acceptait la chose en silence. Maie dans les champs des disciplines nationales, c'est tout autre chose. Ici chaque nation s'efforce de développer ses forces originales et de transmettre aux générations présentes et futures les fruits des travaux spirituels de la race. Ce n'est pas une affaire indifférente pour le peuple de savoir qui écrit les articles sur Noël, qui célèbre la messe, qui demande de fréquenter l'église. Le peuple de toute nation veut que ses jeunes soient éduqués dans son propre esprit. Mais pendant que de grandes sections du peuple allemand luttaient pour le maintien de leur espèce, nous les Juifs, avons rempli de nos clameurs les rues de Germanie. Nous avons posé aux réformateurs du monde et nous avons pensé à influencer la vie publique par nos idées. Nous avons sonné les cloches et avons lancé l'appel à la prière silencieuse, nous avons préparé le "repas du Seigneur" et avons célébré la résurrection.
"Nous avons joué avec les possessions les plus saintes du peuple et avons tourné en dérision tout ce qui était sacré pour la nation. Nous nous sommes fiés aux droits impérissables de la démocratie et nous nous sommes sentis des citoyens égaux de l'Etat dans la communauté allemande. Nous avons posé aux censeurs de la morale du peuple, et avons versé des coupes pleines de satire sur le Michel allemand. Nous avons voulu être des prophètes dans "lés champ? "païens de la Germanie", et nous nous sommes oubliés jusqu'au point d'oublier que tout cela devait attirer la destruction sur nous.
"NOUS AVONS FAIT DES RÉVOLUTIONS, et, comme des éternels chercheurs de Dieu, nous nous sommes élancés à la tête des masses populaires. Nous avons donné une deuxième bible au prolétariat international, une bible en rapport avec l'époque, et nous avons soulevé les passions du tiers-état. De l'Allemagne, le Juif Karl Marx déclara la guerre au capitalisme, et le Juif Lasalle organisa les masses du peuple en Allemagne même. Le Juif Edouard Bernstein popularisa l'idée, les Juifs Karl Liebknecht et Rosa Luxembourg donnèrent la vie au mouvement Spartaciste. Le Juif Kurt Eisner créa la République Soviétique de Bavière, et en fut le premier président. Et contre tout cela la nation allemande se souleva, se révolta. Elle voulait forger sa propre destinée, déterminer elle-même l'avenir de ses enfants et elle ne devait pas être blâmée de le vouloir.
"Ce à quoi je me suis d'abord objecté fut la citoyenneté mondiale, le cosmopolitanisme, qui avaient des Juifs aux premiers rangs de leurs troupes. Ces déracinés s'imaginaient qu'ils possédaient-la force de transplanter les idées d'Isaïe dans les plaines de Germanie, et de prendre d'assaut la Valhalla avec Amos. Par moments, ils y réussirent, mais ils s'engloutirent eux-mêmes avec tout le peuple juif sous les ruines d'un monde qui a croulé. "
3. LES CHERCHEURS DE DIEU EN SOVIÉTIE.
"Il faut savoir examiner la lutte du régime hitlérien sous un angle différent, et apprendre à le comprendre. Nous, les Juifs, ne nous sommes-nous pas révoltes et n'avons-nous pas fait des guerres sanguinaires contre tout ce qui était étranger?. Que furent donc les guerres des Maccabées, sinon des protestations contre une manière de vivre étrangère et non juive ? Et en quoi donc consistèrent les éternelles batailles des prophètes ? Sûrement en nulle autre chose qu'en l'élimination des éléments étrangers, des dieux étrangers, et en la conservation sacrée de la nature originale du. Juivisme. Ne nous sommes-nous pas révoltés contre les rois racialement mêlés de la maison des Iduméens? Et n'avons-nous pas exclu de notre communauté les Samaritains parce qu'ils pratiquaient le mariage mixte ? Pourquoi les nationalistes allemands ne feraient-ils pas de même, lorsqu'un Kurt Eisner s'approprie personnellement les prérogatives des Wittêlsbaoher ? Nous devons apprendre à regarder la vérité bien en face et a tirer les conclusions finales.
"Je désirerais être un faux prophète, mais écarter les faits tangibles ne résoudra pas le problème. Ce qui arrive aujourd'hui en Allemagne arrivera demain en Russie. Pour tous les crimes qui ont découlé du système communiste, les Juifs de la Russie Soviétique auront à souffrir un jour. Nous aurons à payer chèrement le fait que Trotski, Joffe, Sinovieff ont joué des rôles prépondérants en Russie Soviétique.
"N'a-t-on pas péché plus gravement contre la forme démocratique en Russie Soviétique qu'en Allemagne ? Alors qu'en Allemagne Hitler était élu par la majorité du vote donné dans une élection, rien de la sorte n'a eu en Russie. Dans ce pays-là, une petite minorité — qui aujourd'hui ne compte à peine que quatre millions de personnes après 16 ans d'organisation — a proclamé la dictature du prolétariat... En Russie Soviétique les Juifs ont aussi essayé d'être les précurseurs et les proclamateurs d'une nouvelle Vérité absolue, ils multiplient leurs efforts pour interpréter la Bible bolcheviste et pour influencer la pensée du peuple russe. C'est un procédé qui appelle la plus vive résistance et qui, même aujourd'hui, conduit à la disruption antisémitique. Que se passera-t-il lorsque le gouvernement soviétique sera tombé et que la démocratie célébrera en Russie son entrée solennelle ? Les Juifs auront-ils un meilleur sort que celui qu'ils subissent aujourd'hui eh Allemagne ? Derrière les Trotski, les Kameneff, les Sinovieff, etc., est-ce que le peuple russe ne découvrira pas leurs vieux noms juifs et ne fera pas souffrir les enfants pour les crimes de leurs pères ? Ou même le régime durera-t-il si peu longtemps que les pères aient eux-mêmes à expier ? N'y a -t-il pas des exemples de cela ?
"Des milliers de Juifs n'ont-ils pas perdu leur vie, en Hongrie, parce que Bela Kun avait donné une république soviétique sur la terre de saint Etienne ? (Note : on sait que Bela Kun avait fait massacrer plus de 25000 chrétiens en moins de cent jours). Les Juifs de Hongrie ont payé chèrement pour avoir voulu être des prophètes. Au sein des Internationales, les Juifs apparaissent comme les éléments les plus radicaux. Les Allemands, les Français, les Polonais, les Tchèques ont une patrie et leur internationalisme se résorbe en Allemagne, en France, en Pologne, en Tchécoslovaquie. Ils sont autochtones, sous un pouvoir national. Cela est démontré dans la vie pratique. En 1914, les Allemands brûlèrent leurs drapeaux rouges dans le Tiergarien de Berlin et coururent à la guerre avec des refrains patriotiques sur les lèvres. Le socialiste polonais Daszinski fut au premier rang de la lutte pour la résurrection de la Pologne, et les socialistes tchèques chantèrent avec enthousiasme leur "Kde domov muj"; seuls les Juifs ne voulaient rien entendre à propos de patrie, et ils tombèrent en prophètes ostensibles sur le champ de bataille de la liberté. (1) Karl Liebknecht, Rosa Luxembourg, Kurt Eisner. Gustave Landauer : pas de Kaddosh ne sera récité, aucune messe ne sera dite !
"Eux, et dans une certaine mesure, les enfants du Libéralisme, tous ces poètes, auteurs, artistes, journalistes (juifs) ont préparé les temps présents, ont nourri l'antijuiverie, ont fourni la base et les matériaux pour une ère de Nazisme. Ils ont vraiment tous désiré le mieux, mais ils n'ont atteint que son contraire. La malédiction de l'aveuglement les avait frappés, ils ne virent pas approcher la catastrophe, ils n'entendirent point les pas du Temps, les pas lourds du Destin, les pas très lourds de la Némésis de l'histoire".
(1) Ces quatre révolutionnaires juifs furent tués au cours de
Par Adrien Arcand La clé du mystère Québec, 1938 |
NOTES de H. Genséric
- La
clé du Mystère (Partie 1)
- La
Clé du Mystère (Partie 2). Le Terrible Complot
- La Clé du Mystère (Partie 3). Société juive de Paris : "Pour asservir les chrétiens, il faut détruire l’église catholique"
- La
Clé du Mystère (Partie 4). LE COMMUNISME, MOYEN DE CONQUÊTE JUIVE
- La
Clé du Mystère (Partie-5). Document du Service Secret américain : le communisme
a été soutenu et financé par banquiers juifs
- Vladimir
Poutine : « 80 à 85% des bolcheviques au pouvoir en URSS étaient juifs. »
- Russie.
Le "meurtre rituel juif" de la famille impériale russe
- Russie.
Les atrocités inimaginables commises par les Juifs bolcheviques contre les
Gentils : des preuves irréfutables.
Les Juifs fomenteurs de la Shoah
russe
:
Ceux qui ouvrirent la voie :
- Gesya
Gelfman (juive) : criminelle responsable de l'assassinat du Tsar
Alexandre II.
- Jacob
Schiff (juif) : le banquier américain qui finança la révolution russe
de 1917.
- Olaf
Aschberg (juif) : banquier.
- Evno
Azev (juif) : agent double.
- Grigori Guerchouni : assassin professionnel.
- Alexandre
Parvus (juif) : révolutionnaire professionnel.
- Jacob Ganetski (Jacob Furstenberg) (juif) : larbin de Lénine.
Les moteurs de la révolution de 1917 :
- Léon
Trotski (juif) : révolutionnaire professionnel.
- Lev
Kamenev (juif) : révolutionnaire professionnel.
- Grigory
Zinoviev (juif) : L'apôtre de la terreur socialiste.
- Iakov
Sverdlov (juif) : Assassin du Tsar et de sa famille.
- Grigori Sokolnikov (juif) : ministre des finances de Juifs
bolcheviques.
- Karl
Radek (juif) : dirigeant socialiste.
- Maxim
Litvinov (juif) : issu d'une famille de banquiers juifs, ministre des
Affaires étrangères bolchevique.
- Adolf
Joffé (juif) : commissaire du peuple aux Affaires étrangères.
- Moïsseï Ouritski (juif) : chef de la Tcheka de
Petrograd et grand criminel.
- Moïse Volodarski (juif) : assassin en gros.
- Lazare
Kaganovitch (juif) : assassin en gros.
Les exécuteurs zélés :
- Guenrikh
Iagoda (juif) : le plus grand meurtrier juif du 20è siècle.
- Martyn
Latsis : l'exterminateur de la bourgeoisie.
- Jacob Agranov (juif) : "S'il n'y a pas d'ennemi, il faut en
créer".
- Iakov Iakovlev (juif) : exterminateur de la paysannerie.
- Semyon
Dimanstein (juif) : rabbin promoteur de la région juive
"autonome", donc sioniste.
- Alexandre Lozovski (juif) : chef syndicaliste et fondateur du Comité
antifasciste juif.
- Jacob
Yourovski (juif) : criminel ordonnant le massacre de la famille
impériale.
- Yakov
Davydov (juif) : chef du Département des affaires étrangères de la
Tchéka 1921-1922, le premier chef du renseignement extérieur soviétique.
- Solomon
Mogilevsky (juif) : chef du service de renseignement extérieur.
- Mikhail
Trilisser (juif) : espionnage et contre-espionnage en tous genres.
- Abram
Slutsky (juif) : celui qui traquait les opposants à l'étranger.
- Sergey
Spigelglas (juif) : chef par intérim du service de renseignement
extérieur soviétique.
- Grigori
Maïranovski : chimiste assassin.
- Isaï Berg (juif) : inventeur des chambres à gaz ambulantes.
Au Goulag :
- Naftali
Frenkel (juif) : organisateur de l'esclavage dans l'institution du
Goulag.
Bien-sûr tous les Juifs ne furent pas bolcheviques et tous les bolcheviques
n'étaient pas des Juifs. Cependant incontestablement tout une génération de
Juifs fut cancérisée par le pouvoir et donc participa à la Shoah anti russe qui
fut commise à très grande échelle et jusqu'aux "grandes purges
staliniennes" soviétiques de la fin des années 1930.
Des Juifs massacreurs sont parmi les plus
grands criminels de tous les temps, et ils se moquaient totalement de leur
religion.
Cette génération de Juifs joua un rôle essentiel, pourtant ils n'étaient qu'environ 4% de la population russe.
De plus, cette génération de criminels
bénéficia, surtout aux États-Unis, d'un fort soutien et d'une réelle sympathie
de la diaspora juive.
- LE TALMUD révélé. 2. La haine raciste envers les non-juifs et envers Jésus et Marie
- LE TALMUD révélé. 3è partie. Les non-juifs ne sont pas humains, génocides, racisme, pédophilie, zoophilie,...
- Le Talmud révélé. Voici comment les juifs doivent traiter les Goyim
- Que dit le judaïsme rabbinique sur ce qui différencie les Juifs et les Gentils?
Hannibal Genséric
Cette secte maudite qui se prétends un peuple s’ est emparé de la création monétaire avec les Rothschild . Ces banksters sont derrière toutes les guerres depuis des années . Ils ont financé Karl Marx pour assassiner le tsar qui ne voulait pas participer á leurs magouilles bancaire et ensuite des millions de Russes . Ils ont financé Hitler dont ils avaient besoin comme épouvantail pour favoriser l’ émigration en Palestine une idée pas populaire dans la communauté juive de l’ époque, etc etc …
RépondreSupprimerRaison de plus pour insulter Drumont, pas vrai ?
RépondreSupprimerJe ne connais pas Drumont dont parle Antoine Perraud. C'est à ce dernier que vous devriez écrire si vous estimez qu'il insulte Drumont en le comparant à Moïse Zemmour.
RépondreSupprimerhannibal ...quel travail ! une véritable mine aux vérités ...je te partage quand les circoncis n'envoient pas mes pages vk devant les tribunaux rabbiniques et les font sauter du net ...facebook j'ai essuyé 30 blocages dont 29 scratch de profils . merci à toi Hannibal !
RépondreSupprimerFaut pas mettre tous les juifs dans le même panier.
RépondreSupprimerDrumont c'est ici Hannibal (et vous comprendrez, puisque vous ne le connaissez pas, pourquoi les abrutis MSM de Médiapart le pourfendent) : https://fr.wikisource.org/wiki/La_France_juive/Texte_entier/Tome_premier
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