Très peu d’information a été consacrée aux températures européennes ces derniers temps…
Les données officielles montrent qu’avril a été un mois froid et enneigé sur de grandes parties du continent, en particulier les régions du centre et de l’est, avec des conditions froides qui débordent maintenant sur mai.
Avril 2023 en Allemagne s’est terminé avec une anomalie de -1,37°C en dessous de la moyenne multidécennale.
Les précipitations sont 147,1% au-dessus de la normale.
Des conditions encore plus froides ont balayé l’Autriche, où les anomalies de température, selon ZAMG, se sont maintenues à -2°C en dessous de la moyenne.
Les précipitations, qui sont tombées sous forme de neige abondante sur les hautes altitudes du pays, ont été supérieures de 88% à la normale.
Alors qu’en Suisse le mois d’avril a terminé -1,2°C sous la norme multidécennale :
Un froid anormal a balayé de nombreux autres pays européens, y compris, mais sans s’y limiter, les Pays-Bas (-1,1°C en dessous) et également la Belgique (-1,4°C en dessous) :
Tout aussi gênant, le mois d’avril s’est terminé par des chutes de neige énormes sur les Alpes.
La narrative continue de montrer un manque de foi en Mère Nature, notamment en sa capacité à rechercher et à toujours retrouver son équilibre. Cette neige de fin de saison poursuit une tendance pluriannuelle établie dans les Alpes, de chutes de neige printanières de plus en plus lourdes, neige qui cette année persiste maintenant jusqu’en mai, s’intensifiant même.
Tignes et Val d’Isère, qui restent ouverts, ont signalé plus d’un pied de neige fraîche lundi, les flocons persistant mardi. Tandis que Val Thorens, également toujours ouverte, et Les 2 Alpes, qui ont rouvert mardi après que les conditions aient permis de skier sur son glacier jusqu’à la fin du printemps/début de l’été (jusqu’en juin au moins) et ont enregistré des totaux encore plus importants.
Cependant, en raison du volume impressionnant des accumulations récentes, qui ont confortablement dépassé 2 mètres à des altitudes de 2000 à 3000 mètres, de nombreuses pistes ont été contraintes de fermer en raison des risques d’avalanche élevés.
Pour l’avenir, les dernières sorties GFS (illustrées ci-dessous) appellent encore PLUS de neige abondante à mesure que le mois de mai avance, pour les Alpes, les Pyrénées ainsi que les hauteurs de la Scandinavie et même l’est de l’Ukraine/le nord de la Roumanie, ce qui s’avérerait historique.
Un autre mois plus froid que la moyenne
Poursuivant une tendance familière, avril 2023 a été un autre mois glacial.
Selon les données officielles du Bureau of Meteorology (BoM), le mois dernier s’est terminé avec une anomalie de température moyenne de -0,7°C en dessous de la norme multidécennale.
Cela prolonge la tendance au refroidissement du continent et s’ajoute aux étés, automnes et hivers plus froids que la moyenne. Cela contredit davantage encore ces appels officiels à un « automne plus chaud que la moyenne », qui ne sont rien d’autre que des radotages nécessaires à l’agenda.
Avril a été plus froid en Australie-Occidentale, selon la BoM, et chaud pour l’extrême nord du Queensland.
Les précipitations ont été supérieures de 35,7% à la moyenne, ce qui en fait le mois d’avril le plus humide en 17 ans, il a été particulièrement humide dans l’Ouest.
La carte de température officielle de la BoM pour avril 2023 est intégrée ci-dessous :
Mais comme cela a été établi à maintes reprises, si vous croyez au BoM, vous croirez n’importe quoi.
Baisse de l’activité solaire, baisse des températures mondiales, augmentation des glaces de l’Arctique
L’activité solaire et les températures mondiales ont chuté en avril, tandis que la banquise arctique s’est redressée…
Le nombre de taches solaires, tel que compilé par SILSO, a connu une forte baisse le mois dernier :
Alors que les températures troposphériques inférieures mondiales, mesurées par 15 satellites NASA/NOAA AMSU, ont baissé de 0,02°C le mois dernier, passant de 0,20°C à 0,18°C :
Et pour finir avec la banquise arctique, les alarmistes parmi nous notent que l’étendue est actuellement la 13ème plus faible jamais enregistrée, ce qui, en termes de reformulation basée sur les données, équivaut à plus de 20 000 km² au-dessus de la moyenne des années 2010.
source : Electroverse via L’Échelle de Jacob
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Christian Gerondeau est polytechnicien, essayiste et ancien haut fonctionnaire français. Auteur de 21 livres, il nous présente aujourd’hui son dernier ouvrage en date, Le climat par les chiffres (ed. L'artilleur). Notre invité tente de démontrer dans ses écrits que la problématique du climat est actuellement mise en exergue de façon artificielle, sur la base d’argumentations fausses.
Malgré les discours catastrophistes tenus par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), l’auteur prétend qu’en réalité, cela fait 9 ans que la température n’augmente plus. Quant au phénomène de montée des eaux de la mer, il relèverait du fantasme.
Christian Gerondeau reconnait que le discours qu’il tient reste difficile à entendre pour une majorité de gens. C’est pour cela qu’il souhaiterait ouvrir le débat sur le climat dans la presse. Comment faire autrement pour que le “château de cartes du mensonge” entourant les théories climatiques s’effondre ?
Source: France Soir.
Pourquoi alors, certains parlent de réchauffement climatique inquiétant ?
RépondreSupprimerle pseudo réchauffement est là pour instaurer le crédit social,controle accru et limitations des déplacements un peu comme pour le covid. ce sont deux escroqueries similaires basées sur la peur collective.
SupprimerBsr. Encore un prétexte, fait pour servir .... QUI?, est la question . Ou QUOI ? Les subterfuges ne mourront jamais ... Les marionnettes non plus ! mais nous payerons TOUJOURS, si nous le voulons bien ! Ciao ...
RépondreSupprimerHello
RépondreSupprimerSi l'on devait mesurer les variations de la température à la surface du globe terrestre depuis 4.4 milliards d'années d'existence, on s'apercevrait que cette dernière n'a pas variée d'un тарифы