Medvdev vient de dévoiler une nouvelle carte de l'Ukraine divisée entre la Pologne, la Russie, la Roumanie et la Hongrie, déclarant :
« L’Ukraine fait sans aucun doute partie de la Russie ! « Les territoires situés sur les deux rives du Dniepr constituent une partie inaliénable des frontières historiques stratégiques russes », a-t- il déclaré, utilisant son terme préféré pour désigner ce que l'on appelle habituellement « sphère d'influence » en géopolitique. "Toutes les tentatives visant à les modifier par la force, à couper son corps vivant, sont vouées à l'échec."
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La carte projetée derrière l’ancien président montre que la majeure partie de l’Ukraine actuelle est divisée entre la Russie, la Pologne, la Hongrie et la Roumanie. Toutefois, il serait surprenant que les pays membres de l’UE veuillent annexer une partie de l’Ukraine, mais tout le monde sait que ces trois pays lorgnent avec gourmandise sur cette possibilité.
Dans ce partage, la Russie s’approprierait la majeure partie du gâteau :
toute la moitié occidentale de l’Ukraine et la côte méridionale avec
ses importants ports de la mer Noire. La Roumanie obtiendrait un morceau
au sud-ouest de Kiev et la Pologne l’autre moitié occidentale du pays, y
compris la ville de Lviv.
Les pourparlers de paix exclus
Plus radical que Vladimir Poutine
Ce collaborateur du président russe n'en est pas à son coup d'essai en ce qui concerne les déclarations fortes. Il a, par exemple, menacé à plusieurs reprises d'utiliser les armes nucléaires contre l'Occident. Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, il s'est montré partisan de la ligne dure et est même considéré par certains experts comme plus radical que Poutine.
Hannibal Genséric
Il manque la partie qui revient de droit à la Hongrie.
RépondreSupprimerEffectivement, il est très étonnant que Medvedev n'en tienne pas compte, déjà pour la paix à venir, et de plus vu l'attitude la plus russophile des pays européens qu'a eu la Hongrie.
SupprimerLa partie qui revient à la Hongrie figure sur la carte. C'est un petit morceau en vert. Regardez les lignes des frontières : le petit morceau d'Ukraine qui est en vert, entre le jaune de la Pologne et le vert de la Hongrie actuelle, c'est le territoire qui sera rattaché à la Hongrie.
SupprimerCe fief de nazis si cette carte devient réelle, ne sera plus une menace de conflits en Europe. Il faudrait aussi éradiquer une autre source de problèmes, c'est l'Etat Suisse; ce pays sous une fausse neutralité, est à l'origine de biens des tensions dans le monde. Il faudrait scinder cette nation en trois parties.
RépondreSupprimerCa c'est du délire ou un delirium tremens.
SupprimerQuel intérêt d’étendre la Pologne sur la frontière sud de la Biélorussie et de rapprocher l’OTAN encore plus près de la Russie? La Russie a plutôt intérêt à aller jusqu’à Lvov et d’avoir une frontière avec la Hongrie ce qui permettrait de pouvoir soutenir la Serbie plus facilement.Medvedev emploi souvent des propos orduriers qui me font douter du bonhomme.
RépondreSupprimerOn peut expliquer ça par le fait que Medvedev était très proche (quasi-allié) des Occidentaux . Et que ces derniers l' ont salement déçu.
SupprimerBrocs vs Otan = une psy OP juive sous faux nez américain. Tout comme les tensions entre la Russie et Israël. Le point commun a tous ces sujets et acteurs (Poutine - Trump .Netanyaou Hitler sans prépuce = les Loubavitt...allez sur le canal Telegram Ictv... C'est très instructif...
SupprimerLoubavitch
SupprimerMonsanto et Black Rock and co n auront plus leurs terres
RépondreSupprimerMoi je prends la belgique.
RépondreSupprimerCITATION: "Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie".
RépondreSupprimerCOMMENTAIRE: C'est complètement faux .
Les mots ont un poids similaire aux pierres, dans ce cas là, aux bombes, surtout dans une guerre acharnée de propagande comme celle d'aujourd'hui.
La Russie n'a envahi rien du tout. C'est comme si on rentre chez soi, on trouve des voleurs dans la maison, on cherche de les neutraliser, meme de les tuer si strictement nécessaire car il font une résistance qui exclue tout autre choix.,
Ceux qui appellent la défense de sa propre maison par le mot INVASION de la part des légitimes propriétaires, ils ne savent, dans le meilleur des cas, ce qu'ils disent ou écrivent.
Malheureusement la plupart des media officiels et non officiels (y compris les réseaux sociaux), ne savent, en grande mesure, ce qu'ils disent ou écrivent. C'est aussi pour cela que nous sommes au bord du precipice.
Au contraire! Le choix des mots est volontaire justement parceque les mots ont un poids. Il s'agit de manipulation mentale par repétition. Faites le test. Demandez à quelques personnes ce qu'ils pensent de "l'axe de la résistance" et vous vous apercevrez qu'ils, pour la plupart, vont l'assimiler à "l'axe du mal". Le mot "axe" a été choisi afin d'ajouter une réminiscence négative à la compréhension de l'expression.
SupprimerConnaissant l'auteur, ce n'est pas ce qu’il a voulu dire. De toute façon, ce n'est pas le mot "invasion" lui-même qui est en cause, c'est l'intention de celui qui l'utilise. Si c'est pour faire le constat objectif qu'une armée d'un pays pénètre dans un autre pays, c'est ok. Mais si c'est pour dire que cette intrusion d'une armée dans un autre pays est illégitime en soi, ce n'est pas la même chose car il s'agit alors d'une condamnation morale qui ne prend pas en compte le contexte du conflit et les raisons du conflit. Le terme « annexion » (par exemple quand on parle d’« annexion » de la Crimée) a la même valeur d’usage que le terme « invasion » : condamner l’ennemi en mentant directement ou par omission, empêcher les gens de penser en provoquant en eux des réactions émotionnelles et en les maintenant dans l’ignorance de l’histoire et dans la bêtise.
SupprimerLe problème du terme "invasion" c'est qu'il occulte les raisons de l'invasion. Sont-elles fondées ou pas ? Sont-elles légitimes ou pas ? Techniquement, c’est une invasion. Mais que met-on derrière ce mot « invasion » ?
Dans le langage militaire, il y a deux termes qui permettent de mieux comprendre ce que je veux dire : la stratégie et la tactique. Une stratégie peut être défensive, et en même temps utiliser des tactiques offensives. Par exemple, une ville en état de siège peut mener des offensives pour percer le siège. Dira-t-on que c'est la ville en état de siège qui est l'agresseur ? A priori non. Mais comment le savoir si on ignore le contexte ? Peut-être s’agit-il d’une contre-offensive ? d’une reconquête ? Peut-être l’assiégé est-il en réalité l’agresseur ? On peut par exemple penser à l’invasion du royaume khazar par les Russes au début du XIe siècle. Il y a eu invasion, et pourtant c’était une guerre défensive.
Ce n’est pas en répétant à tout bout de champ, comme un mantra, que cette guerre est une guerre non provoquée que ça va se transformer en vérité. Quant à l’objection qui consiste à s’indigner des annexions, c’est très simple à réfuter. Les gains territoriaux ne sont que la conséquence du refus de l’OTAN de négocier. En l’absence de négociations, la Russie poursuit militairement ses objectifs, ce qui entraîne, par la force des choses, l’avancée de l’armée russe et donc la prise de territoires.
Les grandes guerres sont menées par les dirigeants sous l'emprise du peuple JF ...et sont de véritables holocaustes de Goyims...
RépondreSupprimerRappelez vous les leviers utilisés : financement, dette, chantage sexuel, avec le soutien d'une partie de la haute franc maçonnerie (Super loges).et des services secrets... C'est une guerre sans faille contre l'occident Edom / Rome
RépondreSupprimerMalheureusement, de nos jours, si un mensonge est répeté deux fois, il devient une vérité. Merci au ministére de l'endoctrinement nationale.
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