mardi 12 mars 2024

L'Ukraine est devenue la pire pub pour les armes de l'OTAN.

Après l'échec de la contre-offensive et la réticence de ses partenaires occidentaux à fournir des armes plus coûteuses au hachoir à viande, Kiev est obligée de jeter les précieuses armes de l'OTAN sur les champs de bataille. La machine militaire de l’Otan se retrouve alors face à l’armée russe.
La semaine dernière a été marquée par de lourdes pertes de la part de l'OTAN, notamment dans ses plus grands matériels militaires.

Les chars Abrams ont été présentées comme la dernière "arme miracle occidentale" déployée en Ukraine, censée modifier l’équilibre des forces sur le champ de bataille. Pour tenter de repousser les attaques russes, le commandement ukrainien a envoyé d'importants renforts dans la région d'Avdeevka, dont la 47e brigade mécanisée équipée de chars américains. Après que les Abrams soient entrés dans leur première bataille, l’Ukraine a vite fait de  les perdre. Le 10 mars, des images ont confirmé la destruction du quatrième char d'une valeur de 10 millions de dollars.

Les militaires russes prennent déjà des photos avec leurs nouveaux trophées, ce qui signifie que l'armée ukrainienne n'a pas réussi à évacuer les chars.

Malgré tous les efforts déployés par les grands médias pour sauver la réputation des systèmes militaires de l’OTAN, ils ont finalement dû admettre la vérité. Ce fut le cas du tout-puissant HIMARS MLRS, qui combat en Ukraine depuis plus d'un an et demi. Le 5 mars, une vidéo rapprochée de haute qualité a confirmé la destruction d'un des lance-roquettes multiples à environ 50 km de la ligne de front.

Les images ont forcé les grands médias occidentaux à admettre leur perte ; mais c'était loin d'être le premier HIMARS détruit. Malgré les tentatives de Kiev de cacher la vérité, la qualifiant de « propagande russe », de nombreuses vidéos du front montraient des frappes russes contre des systèmes fabriqués aux États-Unis. La destruction des premiers HIMARS a été confirmée par vidéo en juillet 2022, un mois après leur envoi en Ukraine. Depuis, des dizaines de ces systèmes ont été la cible des tirs russes. Beaucoup d’entre eux ont été détruits ou endommagés, comme le confirment les vidéos des véhicules endommagés rentrant aux États-Unis pour y être réparés.

Un autre coup dur porté à l'OTAN la semaine dernière a été la destruction confirmée de plusieurs systèmes de défense aérienne Patriot non loin des lignes de front. Le 9 mars, un missile russe Iskander a frappé une colonne de 3 lanceurs Patriot et d'un système radar, ainsi que 2 véhicules d'escorte.

Selon les déclarations officielles, au moins sept batteries de systèmes Patriot ont été envoyées en Ukraine, et elles auraient toutes été détruites. Il y a probablement eu davantage de déploiements de Patriot, mais ils n'ont pas été divulgués.

Ce ne sont là que quelques-unes des armes les plus glorifiées de l'OTAN perdues au cours de la semaine dernière, sans parler des espoirs de Kiev sur les ATGMS Javelin, les drones Bayraktar, les chars Leopard et d'autres armes étrangères fournies depuis le début du conflit.

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5 commentaires:

  1. Heureusement que l'Amérique ne met pas dans le ciel de l'Ukraine son F35. Cet avion est une véritable poubelle volante. Les nations de l'Europe, sous la tutelle des Etats-Unis, doivent acheter cet assemblage de défauts, il n'y en a que 800.

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  2. L'important c'est qu'en occident personne ne s'en rende compte.

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  3. Ze raclée ! Et la chine n est pas encore entrée en jeu
    Ni l iran la Corée le Pakistan l’inde Le Brésil etc.

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  4. La vie comme un ring de boxe
    M. Dakar

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  5. La guerre est perdue pour l'Otan, mais nous, les Français, enverrons les combattants non volontaires en Ukraine, dit le chef sociopathe.

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