Rencontrez Blobamacron : trois narcissiques goyim qui n'ont qu'un seul programme : le programme juif

Mutato nomine, de te fabula narratur . C’est un dicton latin qui s’applique à un trio de grandes nations occidentales : la Grande-Bretagne, l’Amérique et la France. Le dicton signifie « Tu ris ? change le nom, ce sera ton histoire. ».. [1]  Alors racontons l'histoire. Ça donne ceci:

Un homme politique jeune et charismatique éblouit l'électorat avec des promesses de changement et de renouveau national. Il surfe sur une vague de reconnaissance populaire pour accéder à la plus haute fonction du pays. Il dispose désormais du pouvoir qu’il recherchait, mais le renouveau national tarde à arriver. Les critiques commencent à l'accuser de narcissisme et de tromperie. Des rumeurs circulent sur sa sexualité [2]. Il semble être marié et heureux, mais sa femme est particulière et des rumeurs persistantes courent selon lesquelles il est secrètement gay ou bisexuel. Quelle que soit la vérité, une chose est sûre : il est profondément amoureux du son de sa propre voix. Heureusement pour lui, il a toujours les médias avec lui et il gagne encore gros lorsqu'il se présente aux élections. Hélas, son deuxième mandat ne s’avère pas plus efficace que le premier. Ses promesses ont définitivement perdu de leur éclat. Lorsqu’il quitte ses fonctions, les électeurs qu’il éblouissait autrefois sont désormais profondément désillusionnés.

 

Rencontrez Blobamacron : les trois narcissiques goyim rampants
Blair, Obama et Macron

C’est bien entendu l’histoire de Tony Blair en Grande-Bretagne. Mais c'est aussi celle de Barack (à frites) Obama en Amérique ,et d'Emmanuel Macron en France. Ces trois hommes politiques se ressemblent tellement qu’on pourrait leur donner un seul nom : Blobamacron [3]. C'est comme si Clown World avait appliqué trois fois le même scénario dans trois pays différents et trouvé trois acteurs presque identiques pour jouer le rôle principal. Un narcissique trompeur qui, selon la rumeur, serait secrètement gay, éblouit d'abord, puis désillusionne. Après cela, il quitte ses fonctions et devient très riche. Le scénario n’est pas tout à fait terminé en France, car Macron n’a pas quitté ses fonctions, mais il est déjà au plus profond de la désillusion. Les électeurs qu’il éblouissait autrefois comprennent désormais qu’ils ont été trompés.

Tony Blair le goy rampant, supervisé
par le suprémaciste juif et  violeur d'enfants Greville Janner

C'est pourquoi les Blancs en France pourraient réagir au scénario de Clown World de la même manière que les Blancs en Amérique : en élisant ensuite quelqu'un que Clown World déteste. Aux États-Unis, Barack Obama a promis la guérison raciale et la fin des divisions nationales. Il nous a livré le contraire. Les Blancs ont donc élu Donald Trump. En France, Macron a promis la même chose qu’Obama et, comme Obama, il a livré le contraire... Les Gaulois français désillusionnés pourraient donc ensuite élire Marine Le Pen (née en 1968)  « l’extrême droite », comme présidente. J’espère que ce sera le cas, mais je crains que Marine ne se révèle aussi décevante au pouvoir que Meloni l’a été en Italie. Il s'agit de Giorgia Meloni, la leader de « l'extrême droite » qui est arrivée au pouvoir en promettant haut et fort d'inverser la vague de migration et qui a, au contraire, permis à celle-ci de monter encore plus haut . On la traitait de tigresse fasciste ; elle se révèle être le chien de poche de Clown World.

La question la plus importante du monde

Marine Le Pen prouvera-t-elle la même chose ? Nous verrons. Une chose est sûre : elle a fait de son mieux pour prendre ses distances avec son père, Jean-Marie Le Pen (né en 1928). C'était un ancien parachutiste coriace qui disait ce qu'il pensait lorsqu'il était leader du Front National. C’est ce qui a détruit ses chances de devenir président, car l’une des choses sur lesquelles il exprimait son opinion était l’Holocauste. Il a dit que c’était un « détail de l’histoire ». Diabolisé comme antisémite, Jean-Marie a été détruit en tant qu'homme politique. Sa fille a compris le message haut et fort. Elle sait qu’elle doit apaiser les Juifs pour avoir une chance de pouvoir. C'est pourquoi elle est si déterminée à prouver que sa présidence répondra par l'affirmative à la question la plus importante du monde.

Et quelle est la question la plus importante du monde ? Simple. Cela ressemble à ceci : « Est-ce bon pour les Juifs ? Marine Le Pen veut que les Juifs de France regardent son parti renommé et disent « Oui ! En d’autres termes, elle a interprété le gay-rampant [le goy rampant]:

Lorsque plus de 100 000 personnes ont défilé à Paris contre l'antisémitisme le 12 novembre [2023], une participante a particulièrement attiré l'attention : Marine Le Pen, leader du Rassemblement national d'extrême droite . Comme beaucoup s'en souviennent , le fondateur du parti, et son père Jean-Marie, était un antisémite déclaré et comptait des vétérans de la Waffen SS parmi ses premiers cadres. . Était-il possible que le groupe de Marine se soit présenté à la mauvaise porte ?

En fait, la leader du RN dénonce depuis de nombreuses années un « nouvel antisémitisme » et tente de susciter le soutien des Juifs à son parti. Elle a provoqué la plus grande rupture du parti avec son propre passé en 2015 lorsqu'elle en a expulsé Jean-Marie et s'est de plus en plus présentée comme le « bouclier des Juifs français contre l'idéologie islamiste », selon les mots de son co-dirigeant, Jordan Bardella. Mais pour une grande partie de la France, l’extrême droite est toujours bâtie et entachée d’antisémitisme. Le changement de position de Le Pen est certainement stratégique ; qu’il s’agisse d’un véritable changement d’avis est une autre question. (« Marine Le Pen défendra-t-elle les Juifs français ? », Unherd , 23 novembre 2023)

Il y a eu une « marche contre l’antisémitisme » à Paris pour la même raison qu’il y a eu une « marche contre l’antisémitisme » à Londres. Comme je l’ai souligné dans « Israel über Alles », les Juifs ont importé des musulmans et d’autres non-Blancs comme « alliés naturels » » dans la guerre juive contre l’Occident chrétien blanc. Depuis le 7 octobre et les attaques du Hamas contre Israël, les Juifs réalisent avec consternation que leurs « alliés naturels » sont en fait leurs ennemis naturels. L’antisémitisme a atteint des niveaux effroyables partout en Occident et les élites politiques britanniques, américaines et françaises l’ont dénoncé plus haut que jamais. Parce que Marine Le Pen veut rejoindre l'élite politique, elle le dénonce aussi.

« Le premier président juif »

Elle a appris la nécessité d'apaiser les Juifs grâce à ce qui est arrivé à son père. Mais elle aurait aussi pu l'apprendre de Blobamacron. Tony Blair, Barack Obama et Emmanuel Macron ont tous accédé à de hautes fonctions en servant les intérêts juifs et en se livrant souvent et avec empressement au goy-rampant. Le secrétaire de presse machiavélique et voyou de Blair, Alastair Campbell, a déclaré un jour au Jewish Chronicle que Blair « était conscient de la nécessité d'avoir de très, très bonnes relations » avec « la communauté juive ». Blair était entouré de Juifs avant et après avoir accédé à de hautes fonctions, tout comme Obama en Amérique :

L’écrivain Toni Morrison a surnommé Bill Clinton [l’éminemment sujet au chantage – en raison de son association étroite avec Jeffrey Epstein] « le premier président noir » – un titre qu’il a adopté avec ferveur. [Un thème ici est que les Blobamacron sont éminemment susceptibles de chantage de la part du Mossad ; il en va de même pour Clinton en raison de son association étroite avec Jeffrey Epstein et Joe Biden en raison de sa corruption financière avec les Chinois.] Abner Mikva, pilier du Parti démocrate de Chicago et ancien avocat de Clinton à la Maison Blanche, propose une variation sur ce thème. « Si Clinton a été notre premier président noir, alors Barack Obama est notre premier président juif », déclare Mikva, qui a été parmi les premiers à repérer le potentiel de ce jeune diplômé en droit au nom étrange.

« J'utilise une expression yiddish, yiddishe neshuma , pour le décrire », explique Mikva. « Cela signifie une âme juive. C'est une expression que ma mère utilisait. Cela signifie une personnalité sensible et sympathique, quelqu’un qui comprend d’où vous venez. … « Au fur et à mesure que les Juifs ont appris à le connaître, ils ont reconnu une âme sœur, et non quelqu'un descendu de Mars », a déclaré Mikva. Le rabbin Arnold Wolf, de la synagogue KAM Isaiah Israel, située en face de la maison d'Obama à Chicago, a été un autre des premiers partisans du projet. Comme Mikva, il voit ce qu’il appelle le « côté juif » d’Obama.

« Obama vient de nulle part et de partout – tout comme les Juifs. Il est noir, il est blanc, il est américain, il est asiatique, il est africain – et nous aussi », a déclaré Wolf.

Certes, Obama est à l’aise avec les Juifs, en particulier avec les Juifs de Chicago. Axelrod restera à ses côtés en tant que conseiller principal, et le représentant Rahm Emanuel sera chef de cabinet de la Maison Blanche. La milliardaire Penny Pritzker, qui connaît Obama depuis le milieu des années 1990 et a été sa présidente du financement de la campagne, aurait été envisagée pour le poste de secrétaire au Commerce jusqu'à ce qu'elle se retire de la course. ( Barack Obama : Le premier président juif ? Le cercle de Chicago l'a nourri jusqu'au sommet , The Chicago Tribune , 12  décembre 2008)

Et tandis qu’Obama flirtait avec les Juifs en Amérique, Macron faisait de même en France : en 2008, il devient banquier d’affaires à la Banque Rothschild & Cie. Il a exécuté le gay-rampant et a été récompensé par la présidence. Il n'a jamais cessé de ramper. En fait, il a tellement rampé en décembre 2023 que même certains Juifs en ont été embarrassés. Au mépris flagrant de la longue tradition française de laïcité, Macron s’est tenu aux côtés du grand rabbin de France alors que le rabbin allumait une bougie de Hanoukka lors d’une cérémonie au Palais de l’Élysée, résidence du président français et cœur supposé de la démocratie française. Yonathan Arfi, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), s'est joint à la tempête de protestation qui a suivi. Arfi a estimé que Macron avait commis une "erreur" et que "ce n'est pas le lieu, au sein de l'Élysée, d'allumer une bougie de Hanoukka, car l'ADN républicain est de se tenir à l'écart de tout ce qui est religieux".

Le Mossad et Macron

En d’autres termes, Arfi craignait que Macron ne rende trop évident son asservissement aux Juifs. Le yiddish a une expression pour cela : shande far di goyim , « honte devant les gentils ». Cela signifie que quelque chose de nuisible ou d’embarrassant pour les Juifs a été révélé aux gentils. Mais le contrôle juif sur Macron réside peut-être précisément dans leur capacité à lui faire honte devant le monde. Comme je l’ai souligné plus haut, l’une des similitudes entre Blair, Obama et Macron est que, selon la rumeur, tous trois seraient secrètement gays ou bisexuels. Cette similitude est peut-être essentielle, et non fortuite, car le fait d'être secrètement gay rendrait les trois goyim très vulnérables au chantage. L'épouse de Macron [4], Brigitte, a 24 ans de plus que lui et un documentaire sur BFM, "la chaîne d'information la plus populaire de France", a déclaré qu'elle avait "reçu un jour un appel téléphonique anonyme alléguant que son mari, le président Emmanuel Macron, était avec un amant gay". Que cette allégation soit vraie ou non, les renseignements israéliens ont presque certainement fait la même chose en France qu’ils l’ont fait en utilisant Jeffrey Epstein en Amérique [5]. Epstein a rassemblé des documents de chantage contre l’élite américaine pour Israël. C’est en partie pourquoi le contrôle juif sur la politique et les médias américains est si complet.

Macron viole la laïcité : le grand rabbin de France allume une bougie de Hanoukka
au palais de l’Élysée sous le regard sournois de Macron

Le Mossad possède-t-il des vidéos et des enregistrements de Macron voyageant sur la Hershey Highway ? Si c’est le cas, cela expliquerait certainement son dévouement servile au service des intérêts juifs. Mutato nomine , « avec un changement de nom », il en serait de même pour Blair et Obama, qui seraient secrètement gays [6]. L'espionnage et le chantage sont des spécialités juives. C'est en partie pourquoi tant de gens se méfient de « l'attaque surprise » du Hamas contre Israël. Avant l’attaque, la bande de Gaza était l’un des territoires les plus étroitement surveillés et contrôlés au monde. Les agences d’espionnage israéliennes comme l’Unité 8200 espionnent régulièrement les Palestiniens homosexuels et les font chanter pour qu’ils travaillent contre leur propre peuple. Israël a-t-il appliqué les mêmes techniques de chantage à Blobamacron ? Je le soupçonne fortement [7]. Je soupçonne également qu'Israël a appliqué ces techniques à l'un des prédécesseurs de Tony Blair en tant que Premier ministre britannique et chef du parti travailliste. Pendant l'hystérie juive autour de « l'antisémitisme » de Jeremy Corbyn, un historien juif appelé Robert Philpot a publié un article dans le Times of Israel qui revenait sur une époque plus heureuse :

Harold Wilson est peut-être moins connu internationalement que Margaret Thatcher ou Tony Blair, mais il a dominé la politique britannique pendant une grande partie des années 1960 et 1970 – et reste le seul Premier ministre des temps modernes à remporter quatre élections générales. … Connu pour son pragmatisme – selon les critiques sans scrupules – le nom de l'ancien Premier ministre est devenu pour un temps synonyme de magouilles et de jeux politiques dans lesquels il se délectait sans aucun doute. Comme l'a suggéré un chroniqueur de journal contemporain, l'image de Wilson était « un sombre serpent rampant, sournois et traînant, sournois, indigne de confiance, constant uniquement dans la poursuite de son auto-préservation et de l'avantage étroit du parti ». Pour l’historien Dominic Sandbrook, Wilson était « un brillant opportuniste ».

Il y avait cependant une limite au prétendu opportunisme de Wilson. Comme l'a un jour déclaré Ian Mikardo, député travailliste sioniste de gauche et vétéran : « Je ne pense pas qu'Harold… [avait] la moindre croyance doctrinale. Sauf une, que je trouve totalement incompréhensible, qui est son dévouement à la cause d’Israël. » La direction de Wilson a sans doute marqué le point culminant des relations entre les travaillistes et les juifs britanniques, un lien qui est aujourd'hui mis à rude épreuve par l'antisionisme véhément de Jeremy Corbyn et les allégations d'antisémitisme qui continuent de secouer le parti. (« Quand le Premier ministre britannique de gauche était l’un des amis les plus proches d’Israël », The Times of Israel , 30 mars 2019)

Harold Wilson, « sournois », « indigne de confiance »
et un fervent ami d'Israël

Pourquoi le « sioniste vétéran » Ian Mikardo pensait-il que le « dévouement » de Wilson envers Israël était « totalement incompréhensible » ? Mikardo était lui-même juif et se rendit probablement compte que Wilson n'était pas un philosémite naturel. Mais peut-être que ce sionisme inébranlable n’était « incompréhensible » que pour ceux qui ne connaissaient pas tous les faits. Mais si Israël faisait chanter Wilson, « sournois » et « indigne de confiance », son dévouement devient parfaitement compréhensible. Tony Blair est également « sournois », « indigne de confiance » et un fervent ami d’Israël. Et comme Blair, Wilson avait un proche associé juif qui fut impliqué dans un scandale financier. L'associé de Blair, Lord Levy , a fait l'objet d'une enquête, mais n'a pas été poursuivi ni emprisonné, pour avoir prétendument vendu des honneurs à de riches juifs qui faisaient des dons secrets au parti travailliste. L'associé de Wilson, Lord Kagan, [8] a en fait été emprisonné pour fraude lorsqu'il a été « forcé de retourner en Angleterre » après avoir cherché refuge (saurez-vous deviner où ?) en Israël.

Les parallèles entre Blair et Wilson ne s’arrêtent pas là. Tous deux ne sont devenus dirigeants du parti travailliste qu’après le décès inattendu et prématuré du précédent dirigeant. Comme le dit Wikipédia : « Le choc de la mort de [Hugh] Gaitskell [en 1963] était comparable à celui de la mort soudaine du futur leader du Parti travailliste, John Smith, en mai 1994, alors que lui aussi semblait être sur le point de [ devenir premier ministre]. Imaginez ça ! Ces fidèles amis d’Israël, Wilson et Blair, ont tous deux atteint la plus haute fonction du pays grâce à un heureux accident. Bien sûr, cela n’a pas été une chance pour Hugh Gaitskell ou John Smith. Mais c'était une chance pour Wilson et Blair. Et encore plus chanceux pour Israël, qui avait des amis chaleureux au pouvoir au lieu de Gaitskell et Smith, plus éloignés.

La transformation toxique du parti travailliste

Alors, Israël a-t-il assassiné Gaitskell et Smith pour ouvrir la voie au pouvoir à ses shabbos goyim Wilson et Blair ? Eh bien, j'ai commencé cet article avec un peu de latin, donc je vais le terminer et répondre à la question avec un peu d'italien : se no è vero, è ben trovato . Cela signifie en gros : « Si ce n’est pas vrai, c’est bien trouvé. » L’histoire prouve clairement que Wilson et Blair ont fait preuve d’un « dévouement servile à la cause d’Israël ». Mais cela prouve aussi qu’aucun d’eux n’a fait preuve d’un quelconque dévouement à la cause de la classe ouvrière blanche. Sous Harold Wilson, le parti travailliste, fondé pour défendre la classe ouvrière blanche, a commencé à se transformer en un ennemi dévoué de la classe ouvrière blanche.

Au moment où Tony Blair est entré dans Downing Street, cette transformation de champion en ennemi était terminée. La transformation a été supervisée par les Juifs et réalisée par les Shabbos Goyim. C’est pourquoi ce serait une histoire parfaite si Israël assassinait effectivement Gaitskell et Smith pour mettre Wilson et Blair au pouvoir. Les Juifs détestent les Blancs et leurs chabbos goyim savent qu’ils doivent nuire aux Blancs une fois au pouvoir. Nuire aux Blancs, c’est précisément ce qu’ont fait Harold Wilson et Blobamacron.

Par Tobias Langdon • 1er mars 2024

Source : The Occidental Observer

--------------------------------------------------------------------

NOTES de H. Genséric

[1] Horace (liv. I, satire Ire., v. 69), après avoir peint la folie de l’avare, qu’il compare à Tantale, s’interrompt pour dire à son interlocuteur supposé : Quid rides ? Mutato nomine, de te fabula narratur(Tu ris ? Change le nom, ce sera ton histoire). En fait cela signifie « C’est toi qui es représenté dans ce récit »

[2]

 

[3] Physarum polycephalum, plus couramment appelé blob, est une espèce unicellulaire de myxomycète de l'ordre des Physarales, vivant dans les milieux frais et humides tels que les tapis de feuilles mortes des forêts ou le bois mort.
Le blob est une cellule qui apprend : ni animal, ni végétal, ni champignon, le blob est une cellule géante. Dépourvu de cerveau, il peut se déplacer et même apprendre !

[4] Brigitte Macron serait Jean-Michel Trogneux  Jean-Michel Trogneux qui serait un trans déguisé en femme,  aurait violé son jeune élève Emmanuel.
-  L'épouse [présumée] de Macron voulait "un phallus et des boules d'or" pour Notre-Dame - Déclare une ex-ministre
-  Affaire Jean-Michel Trogneux : l’État d’Israël fait-il chanter la France ?

[5] French Pedogate : les liens entre Macron et le réseau pédocriminel américain
-  Le lobby sioniste-LGBT gouverne la France
-  Xavier Poussard – Les liens occultes de la Macronie :
« Il y a un sur-tropisme autour de la pédocriminalité et quand on lit mon dossier "Jeunesse, éducation et sexualité en Macronie", on se rend compte qu’on dépasse la pédocriminalité et que le tropisme qui ressort, c’est l’inceste. »
« En racontant la vie de l’entourage des Macron, on peut raconter toute l’histoire de la pédocriminalité en France sur ces quarante dernières années. »

[6] Obama, le premier président gay des États-Unis
-  Michelle Obama a voté en tant qu'homme en 1994
-  Barak Obama a-t-il épousé un homme ?
-  ENFIN, UNE PREUVE CONCLUSIVE! "Michelle" Obama est vraiment "Big Mike"
-  Tucker Carlson interviewe un homme ayant eu des relations sexuelles et consommé de la cocaïne avec Barack Obama

[7] French Pedogate : les liens entre Macron et le réseau pédocriminel américain
-  Le scandale pédophile de PizzaGate comme dernière étape de la décadence politique de l'Occident
-  Mega Group, Maxwell et Mossad : l’histoire d’espionnage au cœur du scandale Epstein
-  Affaire Epstein: nouvelles révélations sur le vilain visage de l'élite
-  Voici les 180 noms ayant profité du trafic sexuel de Jeffrey Epstein
-  USA. Résumé global de l’Affaire Epstein

[8] Le nom juif Kagan est généralement considéré comme une variante du nom hébreu Cohen, Kohen, Kohn, Kogan. Le remplacement du g par le h original dans l’hébreu Kohen est courant et est décrit linguistiquement par la loi de Grimm. Plus précisément, en russe et en ukrainien, le h devient un g dans d'autres noms juifs ashkénazes tels que Hirsch à Gersh, Horowitz à Gorevitz.
-  Kaganisme : le clan juif qui nous dirige vers une autre guerre mondiale
-  Ukraine vs Russie. Chris Hedges, Victoria Nuland et les Khazars

Hannibal Genséric