Le danger caché derrière Trump : pourquoi Peter Thiel est la véritable menace

Trump a tenté de calmer le jeu en annonçant que Nikki Haley et Mike « Kansas » Pompeo ne reviendraient pas dans son équipe. C’est une décision intelligente : Haley et Kansas, avec leurs éloges pour les guerres éternelles et les changements de régime, leurs va-t-en-guerre et leurs marionnettes mondialistes, incarnent le marais que Trump prétend assécher. Mais voici le hic : assis juste à côté de Trump, souriant comme le chat du Cheshire, se trouve Peter Thiel, un personnage bien plus insidieux que Haley ou Pompeo ne l’ont jamais été.

 

Thiel n’est pas un milliardaire influent comme les autres ; c’est un faucon sioniste déguisé en libertaire de la Silicon Valley. Depuis des années, son empire, et notamment Palantir, est à l’avant-garde de la fusion des prouesses technologiques de la Silicon Valley avec l’État de sécurité nationale, alimentant les réseaux de renseignement américains et israéliens avec des capacités d’exploration de données qui feraient rougir Orwell. Ce n’est pas non plus un développement récent : Palantir a été conçu dès sa création comme un outil de surveillance étatique, une vision qui s’est parfaitement alignée avec l’agenda sioniste. En Israël, la technologie de Thiel a été utilisée pour surveiller les populations palestiniennes, imposant une occupation brutale sous couvert de « sécurité ».

L’influence de Thiel ne s’arrête pas là. Il est profondément enraciné dans le complexe militaro-industriel américain, et s’est rapproché de la CIA grâce à son investissement initial dans In-Q-Tel, la branche capital-risque de la CIA. Dès le début, Palantir a été intégré dans la structure de l’infrastructure de renseignement américaine, vendu comme un outil de « défense », tout en développant discrètement un appareil de surveillance à travers le monde, des territoires occupés aux centres-villes des États-Unis. La vision sioniste du contrôle et de la surveillance a trouvé son outil ultime dans l’empire de Thiel – un cheval de Troie qui érode les libertés civiles en toute discrétion.

Il y a ensuite le paradoxe : Thiel, qui critique ouvertement le « wokisme », a discrètement injecté de l’argent dans des initiatives (woke) qui attisent la guerre culturelle aux États-Unis. C’est une stratégie impériale ancienne : garder les masses distraites par des batailles idéologiques pendant que le véritable programme, qui renforce les intérêts d’Israël et consolide un État de surveillance numérique, avance sans opposition. En finançant des causes qui divisent et en regardant l’Amérique se déchirer, Thiel ne se contente pas de couvrir ses arrières, il s’assure que son propre programme ne soit jamais sous les projecteurs.

Pour que Trump s’aligne véritablement sur l’idée de souveraineté américaine, il ne s’agit pas d’une suggestion, mais d’une nécessité de se distancer de Thiel. Thiel ne représente pas un programme populiste et patriotique ; il représente le sommet des intérêts sionistes des grandes entreprises, une élite technocratique qui a l’intention de resserrer son emprise sur la politique et le contrôle. Si Haley et Pompeo étaient des symboles du marais néoconservateur, Thiel est l’ombre qui se cache, la main cachée d’une cabale sioniste des grandes entreprises qui a tout intérêt à manipuler le cours des choses de l’Amérique.

Trump, il s’agit de bien plus que de simplement assécher le marais, il s’agit de drainer l’infiltration sioniste ancrée dans la Silicon Valley et dans les services de renseignements. L’art de l’accord consiste cette fois à s’assurer que les États-Unis ne restent pas une marionnette des ambitions sionistes de la Silicon Valley. Si vous voulez vraiment reconquérir votre souveraineté, vous garderez Thiel à distance, pas sur le siège à côté de vous.

Par par Gerry Nolan via @TheIslanderNews

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Hannibal Genséric