Zelensky craque enfin : prêt à accepter l’adhésion à l’OTAN pour un échange de territoire. Par Simplicius Le Penseur

Nous nous intéressons maintenant  à l’Ukraine, où des développements majeurs se préparent . La plus lourde de conséquences est la lente mise en péril des projets de cessez-le-feu de Trump et de l’Occident en Ukraine.

Lisez le surligné ci-dessous :

https://us.cnn.com/2024/11/29/europe/trump-new-ukraine-envoy-analysis-intl/index.html

CNN écrit sur le nouveau plan de paix de Trump. Son équipe propose un cessez-le-feu pour la durée des pourparlers de paix de janvier à février. Waltz, futur conseiller à la sécurité nationale, a déjà étudié le plan de paix du général Kellogg, que Trump a nommé envoyé spécial des États-Unis pour l’Ukraine et la Russie. Il y a plusieurs points. Le premier est le refus de l’Ukraine d’adhérer à l’OTAN pendant un certain temps, alors que la fourniture d’armes et d’équipements militaires en provenance des États-Unis ne s’arrêtera pas. La création de certaines « régions autonomes » en Ukraine et, à l'avenir, si l'Ukraine adhère à l'OTAN, le transfert du territoire de nouvelles régions à la Russie.

Donc : ils proposent d’imposer un cessez-le-feu immédiat en janvier, dès l’investiture de Trump, puis de passer aux pourparlers de paix. Ils proposent de lever les sanctions russes mais de taxer les exportations énergétiques russes pour financer la reconstruction de l’Ukraine.

Eh bien, que pouvons-nous dire ? La Russie ne s’inclinera certainement pas pour baiser la main du nouveau Roi de cette manière, mais il faut admettre qu’il s’agit au moins d’une incursion respectable.

L’envoyé de Trump en Ukraine, Kellogg, a au moins encore un peu de bon sens dans son cerveau, selon ceci :

Mais écoutez bien cela. Kellogg semble considérer la Russie comme rien de plus qu’une épine à jeter pour que les États-Unis puissent affronter confortablement leur « principal adversaire » qu’est la Chine. Il s’attend à un réveil brutal s’il pense que la Russie peut être ainsi traitée avec une pareille condescendance lors des négociations à venir :

L’article évoque également le placement éventuel de soldats de maintien de la paix européens en Ukraine ; plus à ce sujet dans un instant.

Aujourd’hui, dans la foulée de ce geste révélateur, Zelensky a révélé sa propre acceptation initiale de céder le territoire ukrainien en échange d’une invitation immédiate de l’OTAN.

https://news.sky.com/story/zelenskyy-suggests-hes-prepared-to-end-ukraine-war-in-return-for-nato-membership-even-if-russia-doesnt-immediately-return-seized-land-13263085

Regardez la « grosse surprise » ci-dessous alors que Zelensky craque enfin pour l’idole sacrée de l’adhésion à l’OTAN :

Eh bien, au moins, les choses avancent maintenant. Ce sont les toutes premières étapes nécessaires vers l’acceptation ultérieure d’autres réalités plus dures.

Pour être plus clair : Zelensky dit qu’il accepterait que la partie actuelle de l’Ukraine soit admise dans l’OTAN, sans reconnaître officiellement le contrôle russe de jure sur le Donbass, etc., mais simplement de facto.

Cependant, les choses ont désormais progressé . Dans la foulée de ce qui précède, l’Agence de Renseignement Extérieur russe SVR a publié une déclaration indiquant que l’Occident envisage d’envoyer une force de maintien de la paix de 100.000 hommes pour occuper l’Ukraine, au début de tout « cessez-le-feu ». En tant que tel, le SVR conclut naturellement qu’aucun cessez-le-feu n’est bénéfique à la Russie ; résumé:

L’Occident prévoit d’envoyer en Ukraine 100.000 « soldats de la paix » des pays de l’OTAN et de former au moins un million d’Ukrainiens aux affaires militaires, a déclaré le SVR.
Avant cela, il est prévu de geler le conflit afin d'avoir le temps de mettre en œuvre le plan. L'OTAN déploie déjà des centres de formation en Ukraine et travaille également activement avec le complexe militaro-industriel occidental, exigeant de sa part des investissements et envoyant des spécialistes et des équipements aux forces armées ukrainiennes.
La Russie a-t-elle besoin d’une telle option de règlement pacifique ? La réponse est évidente, conclut le SVR.

Version plus longue, notez les caractères gras ci-dessous :

Le bureau de presse du Service de renseignement extérieur (SVR) de la Fédération de Russie rapporte que, selon les informations reçues par le SVR, compte tenu du manque évident de perspectives d'infliger une défaite stratégique à la Russie sur le champ de bataille, l'OTAN est de plus en plus encline à la nécessité "geler" le conflit ukrainien. L’Occident considère la mise en œuvre d’un tel scénario comme une opportunité de restaurer la capacité de combat des forces armées ukrainiennes et de préparer minutieusement Kiev à une tentative de revanche. L'OTAN déploie déjà des centres de formation en Ukraine, à travers lesquels elle devrait entraîner au moins un million d'Ukrainiens mobilisés. Un autre domaine important du travail de l'alliance pendant la trêve sera la restauration du complexe militaro-industriel ukrainien. Un travail actif est en cours avec des entreprises militaro-industrielles occidentales, notamment l'allemand Rheinmetall, lesquelles sont tenues non seulement d'investir, mais également d'envoyer des spécialistes de premier plan et des équipements performants en Ukraine. Le quartier général de l'OTAN comprend que sans fournir aux forces armées ukrainiennes suffisamment d'armes et de munitions, il est irréaliste d'espérer que les Ukrainiens seront en mesure de mener des opérations de combat de haute intensité sur une longue période. Pour résoudre ces problèmes, l’Occident devra effectivement occuper l’Ukraine. Naturellement, cela se fera sous couvert du déploiement d’un « contingent de maintien de la paix » dans le pays. Les territoires censés être répartis entre les occupants ont été déterminés :
◾️ Côte de la Mer Noire – Roumanie ;
◾️Régions occidentales de l'Ukraine - Pologne ;
◾️le centre et l'est du pays - Allemagne ;
◾️Les régions du nord, dont la région de la capitale, sont le Royaume-Uni.
Au total, il est prévu d'introduire en Ukraine 100.000 soi-disant soldats de la paix. Selon des informations reçues, l'armée allemande s'est déjà tournée vers l'expérience des envahisseurs nazis qui ont établi un régime d'occupation en Ukraine pendant la Grande Guerre patriotique. Dans le même temps, la Bundeswehr est parvenue à la conclusion qu’il serait impossible d’exercer ses fonctions de police sans les Sonderkommandos de nationalistes ukrainiens. Ils trouveront un nouveau nom, mais ce seront en fait les mêmes nervis de Bandera. La Russie a-t-elle besoin d’une telle option de règlement pacifique ? La réponse est évidente.

Rappelez-vous que ce n’est pas seulement ce dont la France et le Royaume-Uni auraient discuté récemment, ce que j’ai mentionné dans le dernier rapport, mais ce que Boris Johnson lui-même a déclaré ouvertement hier encore - écoutez :

Notez également son aveu que l’Occident mène une guerre par procuration contre la Russie et avec quelle allégresse il lance des chiffres ahurissants : « Nous devrions leur donner un demi-billion (million de millions ou 10¹² ) ou « peu importe » ». Ouah! Il est si facile de dépenser des milliers de milliards d’argent durement gagné par les contribuables, sans aucune responsabilité.

Comme vous pouvez le constater ci-dessus, les contours des plans occidentaux pour mettre fin à la guerre commencent à se matérialiser devant nous. Le dernier problème persiste : l’Occident continue de partir du principe erroné selon lequel la Russie a subi bien plus de pertes que l’Ukraine et est donc impatiente, voire désespérée, de conclure un cessez-le-feu urgent. Rien de tel : récemment, pratiquement toutes les personnalités du Kremlin ont réaffirmé que la Russie n’était pas intéressée par des cessez-le-feu qui ne respectent pas les conditions déjà énoncées par Poutine et bien connues de tous. Bien entendu, l’effondrement du rouble russe via une nouvelle série soudaine de sanctions vise probablement à « faire plier la Russie » et à préparer son économie à l’espoir de l’allègement des sanctions, précisément pour tomber dans le « piège à araignée » occidental de gel du conflit.

Peskov répond :

Et hier, Poutine a de nouveau été interrogé sur sa position sur les négociations :

"Nous sommes toujours prêts pour le processus de négociation et, bien sûr, aux conditions que j'ai exposées dans mon discours devant les dirigeants du ministère des Affaires étrangères en juin de cette année à Moscou."

Le discours complet auquel il fait référence se trouve ici, et ici comme lien de sauvegarde.

Le point clé du discours :

Permettez-moi de souligner le point clé : l’essence de notre proposition n’est pas une trêve ou un cessez-le-feu temporaire, comme l’Occident pourrait le préférer, pour permettre au régime de Kiev de se rétablir, de se réarmer et de se préparer à une nouvelle offensive. Je le répète : nous ne parlons pas du gel du conflit, mais de sa résolution définitive.
Et je le répète : une fois que Kiev aura accepté la ligne d'action proposée aujourd'hui, y compris le retrait complet de ses troupes de la RPD, de la LPR, des régions de Zaporozhye et de Kherson, et aura entamé ce processus avec sérieux, nous serons prêts à entamer les négociations rapidement et sans délai. .
Je réitère notre position ferme : l’Ukraine doit adopter un statut neutre et non aligné, être dénucléarisée et se soumettre à la démilitarisation et à la dénazification. Ces paramètres ont été largement convenus lors des négociations d’Istanbul en 2022, y compris des détails spécifiques sur la démilitarisation tels que le nombre convenu de chars et d’autres équipements militaires. Nous sommes parvenus à un consensus sur tous les points.
Il est certain que les droits, libertés et intérêts des citoyens russophones d’Ukraine doivent être pleinement protégés. Les nouvelles réalités territoriales, notamment le statut des républiques populaires de Crimée, de Sébastopol, de Donetsk et de Lougansk, ainsi que des régions de Kherson et de Zaporojie, comme parties de la Fédération de Russie, doivent être reconnues. Ces principes fondamentaux devront à l’avenir être formalisés par des accords internationaux fondamentaux. Naturellement, cela implique également la suppression de toutes les sanctions occidentales contre la Russie.
Je crois que la Russie propose une option qui permettra de mettre un terme réel à la guerre en Ukraine, c'est-à-dire que nous appelons à tourner la page tragique de l'histoire et, bien que difficilement, progressivement, étape par étape, à rétablir les relations de confiance et de bon voisinage entre la Russie et l'Ukraine et l’Europe dans son ensemble.

Quoi qu’il en soit, en ce qui concerne la question des pertes ukrainiennes, The Economist a encore une fois résisté à la tendance en révélant finalement que l’Ukraine compte 500 000 victimes au total, dont 100.000 tués et 400.000 blessés irrémédiables, qui ne peuvent plus se battre :

https://www.economist.com/graphic-detail/2024/11/26/how-many-ukrainian-soldiers-have-died

L’Occident se rapproche enfin de plus en plus de la révélation des véritables pertes de l’Ukraine.

Aujourd’hui, l’Occident plaide désespérément pour que l’Ukraine recrute ses jeunes de 18 ans :

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Malheureusement, c'est pour l'Ukraine que le temps presse, pas pour la Russie. Hier, la Russie a de nouveau secoué l’Ukraine avec une vague massive de frappes sur les infrastructures, paralysant les stations de transfert de gaz et les infrastructures électriques.

Ce fil d'analyse détaille les frappes et précise quels transformateurs, sous-stations, installations, etc. ont été ciblés et touchés ; on dirait vraiment qu'il y en avait beaucoup. Version lecteur de fil de discussion.

Aujourd’hui, lors du forum annuel de l’OTSC, Poutine a fait un certain nombre de déclarations inquiétantes concernant de futures frappes, y compris potentiellement contre les dirigeants ukrainiens.

Tout d’abord, il donne une brève explication du « fonctionnement d’Oreshnik », soulignant qu’il est composé de dizaines d’ogives à visée automatique qui atteignent une température incroyable de 4.000 °C :

Il est intéressant de noter qu’il note spécifiquement que tout ce qu’Oreshnik frappe est littéralement atomisé en « poussière ». Vous souvenez-vous des nombreux récits de témoins oculaires de l’usine Yuzhmash qui ont vu les ateliers « se transformer en poussière » ? Maintenant, c’est devenu un thème :

Je dirais que «Générateur de poussière» est un meilleur nom pour Oreshnik – ou peut-être Atomiseur.
Écoutez également ce corollaire, où Poutine compare Oreshnik à un « météore » qui tombe :

Il confirme en outre nos spéculations presque mot pour mot sur le fonctionnement du système, expliquant son essence comme un destructeur de bunker qui traverse de nombreuses couches bétonnées souterraines. Un groupe d’Oreshniks utilisés ensemble, ajoute-t-il, aurait l’effet d’une détonation nucléaire.
Plus important encore, il confirme qu’Oreshnik sera à nouveau « testé », cette fois potentiellement sur les centres de décision de Kiev – c’est la première fois que j’entends Poutine menacer cela directement et publiquement. Il affirme que le ministère de la Défense russe est déjà en train de choisir des cibles pour la prochaine frappe d'Oreshnik.
En fait, il le répète lors de la mêlée de presse qui a suivi – écoutez la fin :

On lui demande de préciser ce qu’il entend par centres de décision, militaires ou politiques ?

Le plus intéressant dans cette possibilité est que même l’idée même lointaine qu’elle existe semble répondre à la question de l’exactitude des dires sur Oreshnik. La Russie ne risquerait pas que des ogives cinétiquement puissantes frappent le centre de Kiev, avec tout autour des infrastructures civiles, si elle n’était pas absolument certaine que ces systèmes avaient une précision chirurgicale. S’il s’agissait simplement des mêmes MIRV CEP de 100 à 300 m que ceux de la version nucléaire, il serait impossible de frapper des bâtiments individuels avec précision sans faire de nombreuses victimes civiles. En tant que tel, même la simple suggestion de cela semble indiquer que Poutine est assez confiant dans la précision d’Oreshnik.
Soit dit en passant, aujourd'hui encore, la Russie a lancé avec succès un nouveau satellite espion électro-optique haut de gamme Kondor-FKA, qui ajoute des capacités supplémentaires à la flotte spatiale croissante et facilitera l'acquisition de cibles et les BDA post-attaque.
Enfin, dans une déclaration menaçante des plus inhabituelles, Poutine révèle ce qui se passerait si Kiev osait acquérir des armes nucléaires, de l’Occident ou d’ailleurs : nous utiliserions toutes nos capacités pour les neutraliser, prévient-il ; il n’est pas nécessaire de dire à quelle capacité il fait évidemment référence :

Et hier à l'ONU, le premier représentant adjoint de la Russie, Polyanskiy, a confirmé que la Russie se réserve le droit de frapper les pays occidentaux qui permettent à l'Ukraine de frapper la Russie avec leurs armes :

Rappelons que le NOTAM de Kapustin Yar s'étend jusqu'à la fin du 30 novembre, et certaines sources ukrainiennes affirment que la Russie pourrait encore en faire une grande démonstration :

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Alors, que pouvons-nous retenir de tout cela ?
Les plans tant attendus sur lesquels nous avons théorisé et réfléchi depuis l'année dernière sont enfin en train de se concrétiser, où l'Occident croit pouvoir geler la guerre à la manière de la Corée-DMZ, puis insérer ses troupes d'occupation de la KFOR pour s'assurer que la Russie ne pourra jamais prendre Odessa, etc. . Comme nous l'avons dit la dernière fois, ils envisagent même des contorsions extravagantes et absurdes pour satisfaire les exigences de Poutine, comme « stationner le gros de l'armée ukrainienne quelque part en Europe » afin d'atteindre les objectifs de « démilitarisation » énoncés dans les négociations de Poutine à Istanbul, qui ont déclaré ce qui suit : L’Ukraine était autorisée à avoir « sur son territoire », techniquement parlant.
Le problème est que la Russie est aux commandes et ne se permettra pas de tentatives aussi mesquines pour convaincre et obtenir une victoire mineure pour l’Ukraine. En tant que tel, le seul danger auquel nous pouvons désormais nous attendre est que l’Occident prenne une escalade effrontée s’il réalise enfin que la Russie ne mord pas à l’hameçon. Mais nous savons que l’Europe stérilisée n’a ni autorité politique ni consensus pour agir unilatéralement, et qu’à ce stade, elle ne peut fonctionner comme une meute de hyènes que si les autres grands États européens se soutiennent mutuellement dans leurs initiatives « audacieuses ».
Trump devra marcher sur une corde raide, car diriger les efforts visant à enfoncer imprudemment les portes avec les troupes américaines le laissera passer pour un belliciste, tandis que ne rien faire du tout souille son héritage avec une marque de faiblesse semblable à la débâcle du retrait afghan de Biden. La meilleure chose que Trump puisse faire, bien sûr, est de se débarrasser de l’Ukraine et de rejeter la faute sur l’Europe pour sauver son « héritage ». Selon certaines rumeurs, il pourrait lancer un audit ukrainien qui révélerait une grave corruption, ce qui lui donnerait une justification pour blanchir son nom. Je serais très surpris si Trump était assez stupide pour faire plaisir au pays qui était au cœur du mouvement central visant à le détruire. Rappelez-vous, pratiquement tout ce qui concerne la conspiration du « scandale ukrainien » post-RussiaGate visant à détruire Trump provenait d’Ukraine, qu’il s’agisse du colonel Vindman, né en Ukraine, ou des liens Burisma-Hunter Biden, etc. C'était la fosse aux serpents et le terrain fertile pour toutes les vipères qui voulaient l'attraper. Il s'en souvient sûrement ?

Le fait est que plus le conflit ukrainien se prolonge, plus l’Union européenne se rapproche du bord de l’effondrement. Le conflit tue carrément l’Europe en exposant ses dirigeants traîtres achetés comme des crétins haineux envers leur population, provoquant un mécontentement de masse et un effondrement politique, stimulant de nouvelles impulsions révolutionnaires qui feront bientôt ressortir les fissures dans les fondations :

https://www.ft.com/content/b7d0280e-1f1f-479f-8f11-372ebf33abbe

Ce qui est tragiquement drôle dans tout cela, c’est qu’une déclaration non publiée de Merkel a montré qu’elle savait précisément en 2017 quelle trajectoire les choses allaient prendre:

Lisez ce qui précède, puis écoutez cette toute nouvelle déclaration de Poutine issue des discussions d’hier :

À quel point cela pourrait-il être évident ?

Eh bien… « tant que nous serons l’un pour l’autre », comme le dit la chanson… main dans la main, à la poubelle de l’histoire.

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