Trump s’est désormais révélé comme un menteur et un renégat.

Voici les promesses qu'il a faites aux électeurs américains : Dans son « Agenda 47 : le plan du président Trump pour démanteler l'État profond et rendre le pouvoir au peuple américain » du 21 mars 2023, Trump a déclaré : Voici mon plan pour démanteler l'État profond et récupérer notre démocratie de la corruption de Washington une fois pour toutes, je dis bien de la corruption.

Premièrement, je vais immédiatement rééditer mon décret exécutif de 2020 rétablissant l'autorité du président pour destituer les bureaucrates voyous. Et j'exercerai ce pouvoir de manière très agressive.

Deuxièmement, nous allons éliminer tous les acteurs corrompus de notre appareil de sécurité nationale et de renseignement, et ils sont nombreux. Les départements et agences qui ont été militarisés seront complètement remaniés afin que des bureaucrates sans visage ne puissent plus jamais cibler et persécuter les conservateurs, les chrétiens ou les ennemis politiques de la gauche, ce qu'ils font actuellement à un niveau que personne ne peut croire possible.

Troisièmement, nous allons réformer totalement les tribunaux FISA qui sont si corrompus que les juges ne semblent pas se soucier lorsqu'on leur ment dans les demandes de mandat. Tant de juges ont vu tant de demandes qu'ils savent qu'elles étaient fausses, ou du moins qu'ils devaient le savoir. Ils ne font rien à ce sujet, on leur ment.

Quatrièmement, pour dénoncer les canulars et les abus de pouvoir qui déchirent notre pays, nous établirons une Commission vérité et réconciliation pour déclassifier et publier tous les documents sur l'espionnage, la censure et la corruption du Deep State, et ils sont nombreux.

Cinquièmement, nous lancerons une répression majeure contre les fuites gouvernementales qui s'associent aux fausses nouvelles pour tisser délibérément de faux récits et pour subvertir notre gouvernement et notre démocratie. Lorsque cela sera possible, nous porterons des accusations criminelles.

Sixièmement, nous rendrons chaque bureau d’inspecteur général indépendant et physiquement séparé des départements qu’il supervise afin qu’ils ne deviennent pas les protecteurs de l’État profond.

Septièmement, je demanderai au Congrès d’établir un système d’audit indépendant pour surveiller en permanence nos agences de renseignement afin de garantir qu’elles n’espionnent pas nos citoyens ou ne mènent pas de campagnes de désinformation contre le peuple américain, ou qu’elles n’espionnent pas la campagne de quelqu’un comme elles ont espionné ma campagne.

Huitièmement, nous poursuivrons l’effort lancé par l’administration Trump pour déplacer des parties de la bureaucratie fédérale tentaculaire vers de nouveaux emplacements en dehors du marais de Washington. Tout comme j’ai déplacé le Bureau of Land Management au Colorado, jusqu’à 100.000 postes gouvernementaux peuvent être déplacés. Et je veux dire immédiatement hors de Washington vers des endroits remplis de patriotes qui aiment vraiment l’Amérique.

Neuvièmement, je m’efforcerai d’interdire aux bureaucrates fédéraux d’accepter des emplois dans les entreprises avec lesquelles ils traitent et qu’ils réglementent. Ils traitent donc avec ces entreprises et les réglementent, puis ils veulent prendre des emplois dans ces entreprises. Cela ne fonctionne pas comme ça : une telle démonstration publique ne peut pas se produire et elle se produit tout le temps, comme avec Big Pharma.

Enfin [dixièmement], je ferai pression pour un amendement constitutionnel visant à imposer des limites de mandat aux membres du Congrès.

C'est ainsi que je briserai l'État profond et restaurerai un gouvernement contrôlé par le peuple et pour le peuple.

Puis, le 19 juillet 2023 dans sa vidéo Trump Social de 36 secondes sans titre, il a déclaré (qui ressemble davantage à de la gauche politique démocratique progressiste qu'à quelque chose de droite) :

« C'est la bataille finale. Avec vous à mes côtés, nous démolirons l'État profond, nous expulserons les fauteurs de guerre de notre gouvernement, nous chasserons les mondialistes, nous chasserons les communistes, les marxistes et les fascistes, nous nous débarrasserons de la classe politique malade qui déteste notre pays, nous mettrons en déroute les médias de fausses nouvelles et nous libérerons l'Amérique de ces méchants, une fois pour toutes. »

Voici ce qu'il va réellement faire en tant que président des États-Unis :

https://x.com/mtracey/status/1860427126429696053

23 novembre : Michael Tracey  @mtracey

Sebastian Gorka, que Trump vient de nommer directeur de la politique de sécurité nationale à la Maison Blanche, dit que la stratégie de Trump pour mettre fin à la guerre en Ukraine inclura la menace qui sera faite à Poutine de fournir à l'Ukraine une « aide » militaire exponentiellement plus importante ;

« Je vais vous révéler une chose que le président a mentionnée : il dira à cet ancien meurtrier Colonel du KGB, ce voyou qui dirige la Fédération de Russie : « Vous allez négocier maintenant, ou l’aide que nous avons apportée à l’Ukraine jusqu’à présent ressemblera à des cacahuètes. » C’est ainsi qu’il forcera ces messieurs à parvenir à un arrangement qui mettra fin à l’effusion de sang. »

https://www.politico.com/news/2024/11/24/trump-national-security-adviser-waltz-sullivan-00191412

https://archive.is/mAvJF

Le choix de Trump en matière de sécurité nationale : je suis d’accord avec Jake Sullivan sur « nos adversaires »

« Nous sommes main dans la main. Nous formons une seule équipe avec les États-Unis dans cette transition », a déclaré le représentant Mike Waltz.

24 novembre 2024

Rep. Michael Waltz (R-Fla.), il a déclaré dimanche avoir rencontré le conseiller à la sécurité nationale du président Joe Biden, Jake Sullivan, et que les deux administrations travaillent en collaboration sur les questions de sécurité nationale pendant la transition.

« Jake Sullivan et moi avons eu des discussions, nous nous sommes rencontrés », a déclaré Waltz dans une interview avec Gillian Turner sur « Fox News Sunday ». « Pour nos adversaires qui pensent que c’est une période d’opportunité, qu’ils peuvent jouer une administration contre l’autre, ils ont tort. »

Il a ajouté : « Nous sommes main dans la main. Nous sommes une seule équipe avec les États-Unis dans cette transition. »

Le président élu Donald Trump a choisi Waltz, un membre du Congrès de Floride et le premier béret vert à siéger au Congrès, pour être son conseiller à la sécurité nationale dans la prochaine administration. Il s’agissait de la première apparition télévisée de Waltz depuis qu’il a été choisi, bien que Waltz soit actuellement le membre du Congrès avec le plus d’apparitions sur Fox News.

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MON COMMENTAIRE :

Les Américains n’ont désormais plus que deux options :

1. une deuxième révolution américaine.

2. Une troisième guerre mondiale : une guerre nucléaire d’annihilation globale

Les révolutions ne peuvent pas se dérouler pacifiquement, mais elles sont certainement beaucoup plus pacifiques que ne le serait la troisième guerre mondiale – et la première guerre nucléaire de l’histoire. Un autre avantage d’une deuxième révolution américaine serait qu’elle ne serait pas du tout une guerre mondiale. C’est l’affaire de l’Amérique, et elle ne devrait donc pas être imposée au monde entier. En outre : les véritables ennemis de l’Amérique sont ici même, chez nous, et il ne s’agit pas d’une guerre nucléaire – les armes nucléaires seraient inutiles dans cette guerre. Elle se déroulerait entièrement en Amérique. De plus : ce ne serait pas une guerre civile, car aucune partie de l’Amérique ne se séparerait de l’Amérique – ce serait plutôt la deuxième révolution américaine.

En 1776, les Américains se sont révoltés contre les agents américains d’une aristocratie des super-riches britanniques imposée de l’étranger et les ont remplacés.

En 2024, les Américains se révolteront contre les agents américains de l’aristocratie américaine et de ses propres super-riches et les remplaceront.

Ce sera maintenant ou jamais.

Et si ce n’est jamais le cas, alors tout le monde aura droit à la troisième guerre mondiale à la place.

Ce problème est ici, chez nous. Il doit être traité de cette façon.

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Eric Zuesse

25 NOVEMBRE 2024