La journée a commencé par une nouvelle salve de discours alarmistes et hystériques de la part de l'hydre totalitaire OTAN-UE. Rutte a déclaré d'un ton sombre que la Russie avait apporté la guerre à l'Europe et que les Européens devaient se préparer à une guerre d'une ampleur comparable à celle qu'ont subie leurs « grands-parents » pendant la Seconde Guerre mondiale.
Ces propos furent rapidement suivis des déclarations péremptoires d'autres bureaucrates non élus :
Le même jour, la mafia bruxelloise a franchi l'ultime étape de son autodestruction en votant illégalement pour modifier la condition d'unanimité concernant la restitution des « avoirs gelés » russes, afin de les geler indéfiniment et de servir de filet de sécurité aux « réparations » ukrainiennes. Elle a procédé ainsi en invoquant une clause relative aux « urgences économiques », prétextant en substance que l'UE subit de graves dommages économiques du fait de la « guerre menée par la Russie ».
Viktor Orban a réagi avec véhémence à cette occasion, dans laquelle – utilisant un langage particulièrement virulent – il a qualifié cet acte de « viol » pur et simple du droit européen :
Aujourd'hui, les Bruxellois franchissent le Rubicon. À midi, un vote écrit aura lieu, susceptible de causer un préjudice irréparable à l'Union.
Le sujet du vote : les avoirs russes gelés, sur lesquels les États membres de l'UE se sont jusqu'à présent prononcés tous les six mois à l'unanimité. Avec la procédure d'aujourd'hui, les Bruxellois suppriment d'un trait de plume l'exigence d'unanimité, ce qui est manifestement illégal.
Cette décision sonne le glas de l'État de droit au sein de l'Union européenne, et les dirigeants européens se placent au-dessus des règles. Au lieu de garantir le respect des traités européens, la Commission européenne bafoue systématiquement le droit européen. Elle agit ainsi pour poursuivre la guerre en Ukraine, une guerre manifestement perdue d'avance. Tout cela se déroule au grand jour, moins d'une semaine avant la réunion du Conseil européen, principal organe décisionnel de l'Union, qui rassemble les chefs d'État et de gouvernement. L'État de droit au sein de l'Union européenne cède ainsi la place à la bureaucratie. En d'autres termes, une dictature de type bruxellois s'est instaurée.
La Hongrie proteste contre cette décision et fera tout son possible pour rétablir l'ordre public.
Cette décision a naturellement été « accueillie favorablement » par les deux principaux porte-parole mondialistes qui orchestrent la destruction de l'UE :
AUJOURD'HUI, LE CONSEIL DE L'UE A DÉCIDÉ D'INTERDIRE TEMPORAIREMENT TOUT TRANSFERT D'ACTIFS VERS LA BANQUE CENTRALE DE RUSSIE, QUI ONT ÉTÉ IMMOBILISÉS DANS L'UE.
CETTE DÉCISION A ÉTÉ PRISE EN URGENCE AFIN DE LIMITER LES DÉGÂTS POUR L'ÉCONOMIE DE L'UE.
— COMMUNIQUÉ DU CONSEIL DE L'UE
L'UE n'a pas l'intention de céder les avoirs russes alors que l'Europe traverse des difficultés économiques.
Le problème, comme je l'ai exposé dans mes deux articles précédents, est que les États-Unis ont intensifié leur offensive contre l'actuelle superstructure de l'UE de manière aussi surprenante que logique. Selon de nouvelles informations, les États-Unis envisagent de retirer l'Autriche, la Hongrie, l'Italie et la Pologne de l'UE, ce qui fragiliserait considérablement ce bloc vieillissant.
Les États-Unis souhaitent obtenir le retrait de l'Autriche, de la Hongrie, de l'Italie et de la Pologne de l'Union européenne.
C’est ce qu’affirme la publication Defense One, citant une version non publiée de la stratégie de sécurité nationale américaine, qui aurait été envoyée à titre privé à des journalistes.
Pour reprendre une autre analogie, c'est le moyen idéal de « défaire » les liens de l'UE et de démanteler tout ce projet miteux et rongé par les mites en le fracturant le long de lignes de faille clés.
En réalité, l'équipe de Trump a eu des idées surprenantes ces derniers temps, comme le nouveau C5 (Core Five) destiné à remplacer le G7, jugé obsolète. Les pays du C5 seraient les cinq plus grandes superpuissances économiques : la Chine, les États-Unis, l'Inde, la Russie et le Japon. Il est un peu humiliant pour l'Allemagne d'être exclue d'un tel groupe, mais la réalité n'est ni « polie » ni agréable.
Trump irait même plus loin, selon certaines sources :
Une autre annexe présente la vision à grande échelle des États-Unis pour sortir l'économie russe de l'isolement, avec des entreprises américaines investissant dans des secteurs stratégiques allant de l'extraction de terres rares au forage pétrolier dans l'Arctique, et contribuant à rétablir les flux énergétiques russes vers l'Europe occidentale et le reste du monde.
Cela a incité le pouvoir en place à lancer une salve de propagande délicieusement virulente :
Certes, aucune de ces mesures ne sera probablement mise en œuvre, mais elles constituent des attaques indirectes indispensables contre le monstre européen. Elles contribueront à abattre la bête une fois pour toutes en alimentant la dissidence et en érodant la crédibilité des bureaucrates bruxellois, dont le nombre ne cesse de diminuer.
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Les négociations entre l'Ukraine et ses sponsors, quant à elles, ont atteint des sommets de surréalisme.
Longtemps, les sceptiques ont raillé les aspects les plus spéculatifs des théories du complot concernant « BlackRock » et l'Ukraine — selon lesquelles BlackRock aurait joué un rôle déterminant dans la vente et le pillage des actifs du pays, etc. Aujourd'hui, il semble que ces rumeurs aient atteint un aboutissement absurde, puisque Zelensky lui-même a publié le contenu d'une réunion avec Witkoff, Kushner et Larry Fink — par visioconférence — sur la « reconstruction de l'Ukraine » :
Bloomberg écrit :
Larry Fink, le PDG de BlackRock Inc., est de retour dans les discussions sur la reconstruction de l'Ukraine — cette fois-ci avec l'administration Trump.
Le rôle de Fink dans les pourparlers sur l'avenir de l'Ukraine a été rendu public mercredi lorsque le président Volodymyr Zelenskiy a publié un message sur les réseaux sociaux indiquant qu'il s'était joint au secrétaire au Trésor Scott Bessent et à Jared Kushner pour des discussions sur la reconstruction de l'économie du pays.
« Il s’agit en fait de la première réunion du groupe qui travaillera sur un document relatif à la reconstruction et au redressement économique de l’Ukraine », a écrit Zelensky. Une image accompagnant la publication montrait Fink, dans une pièce avec Kushner, participant à la conversation par vidéoconférence.
Voici le message en question publié par Zelensky sur les réseaux sociaux, Fink supervisant le déroulement de l'appel vidéo :
Bien sûr, les personnes réellement informées savent que ce n'est pas nouveau. Voici un article du site officiel du président ukrainien datant de 2022 :
Zelensky envisagerait désormais d'organiser un référendum sur la cession du Donbass afin d'apaiser Trump et son nouveau « plan de paix ». Le problème est que la question du Donbass ne représente qu'un aspect mineur des désaccords plus larges liés aux exigences de la Russie. Il pourrait toutefois s'agir d'une manœuvre pour contraindre la Russie à un cessez-le-feu, puis sceller la guerre avec l'intervention de l'OTAN, étant donné que Poutine a déclaré qu'il mettrait fin aux hostilités si l'Ukraine se retirait des territoires restants du Donbass. Certains se souviendront peut-être que j'avais qualifié cette initiative de coup de maître de Poutine, mais Zelensky, aux abois, pourrait être tenté de le prendre au mot en organisant un référendum.
Cela dit, le Kremlin a immédiatement réagi par l'intermédiaire d'Ushakov, conseiller de Poutine :
Le Kremlin a réagi aux propos de Zelensky concernant la tenue d'un référendum sur les questions territoriales
: « Le Donbass est russe. Entièrement. C'est inscrit dans la Constitution », a déclaré Youri Ouchakov, conseiller de Poutine.
« Jusqu'à présent, Zelensky s'est opposé au retrait de ses troupes du Donbass, et c'est l'une des exigences que lui présentent les Américains. [...] Quoi qu'il en soit, quelle que soit la situation, ce territoire fait partie de la Fédération de Russie et sera administré par nos autorités, tôt ou tard », a-t-il déclaré aux journalistes.
Selon Ouchakov, l'ensemble du territoire du Donbass passera sous contrôle russe total, « si ce n'est par la négociation, alors ce sera par la force ».
Passons maintenant aux dernières nouvelles du front.
La principale information du jour est que Seversk est finalement tombée entièrement aux mains des forces russes.
Les 6e, 7e, 123e et 1102e brigades de fusiliers motorisés de la Garde séparée de la 3e armée combinée de la Garde ont libéré la ville de Seversk dans la région de Donetsk, a déclaré le ministère de la Défense de la Fédération de Russie.
La 3e armée combinée de la Garde est l'ancienne 2e armée des forces armées de la République populaire de Lougansk.
Poutine a même reçu un rare compte rendu direct de la situation sur le terrain de la part du commandant du 3e bataillon de la 6e brigade de fusiliers motorisés :
À noter qu'à la fin, le commandant déclare que l'opération a impliqué « 28 groupes d'assaut pour un effectif total de 84 hommes », ce qui montre que les groupes d'assaut russes sont maintenant composés précisément de trois personnes.
À Gulyaipole, les troupes russes ont percé les lignes ennemies jusqu'au centre-ville et semblent avoir capturé au moins 35 à 40 % de la ville jusqu'à présent, voire plus :
Sur cette vue élargie, on peut constater le chemin parcouru par les forces russes depuis Vugledar et Marinka, qui semblent pourtant si proches :
Le rouleau compresseur avance en direction du Dniepr.
Un message sur X résumait bien la situation :
Les partisans de l'Ukraine tenteront de minimiser cette perte, mais voici les faits :
au cours du seul mois écoulé, l'Ukraine a perdu cinq villes fortifiées du Donbass et de Kharkiv — Koupiansk, Pokrovsk, Mirnograd, Volchansk et maintenant Seversk. Dans le cas de Seversk, les troupes russes ont pu passer de la périphérie de la ville à son contrôle total en un peu plus d'une semaine. Il ne reste plus à l'Ukraine que deux grandes villes fortifiées dans le Donbass — Slaviansk et Kramatorsk. La perte de Seversk complique la logistique entre ces villes. La Russie va maintenant utiliser sa supériorité aérienne, son artillerie et ses drones pour paralyser la logistique ukrainienne autour de ces deux forteresses et épuiser les effectifs déjà réduits de l'Ukraine. Parallèlement, elle exercera une pression accrue sur le réseau électrique ukrainien. Et ce, alors même que l'Ukraine peine à obtenir de nouveaux financements des États-Unis et de l'Ukraine. À vous de tirer vos propres conclusions, mais il devient de plus en plus évident que l'Ukraine perdra le reste du Donbass prochainement.
Certes, il est un peu prématuré de tirer des conclusions de ce qui précède concernant Kupyansk, où les forces ukrainiennes ont lancé une importante contre-attaque qui leur a permis de reprendre une portion significative de la ville aux forces russes – même si ce n'était que temporairement. Cependant, selon certains rapports, quasiment « tout » a été mobilisé lors de cette contre-offensive, qui a coïncidé avec la visite de Zelensky dans la ville assiégée. Cette opération de propagande visait à démontrer que l'Ukraine pouvait « reconquérir » au moins une de ces villes importantes, presque tombées aux mains de la Russie.
Les témoignages divergent quant à l'étendue exacte des territoires repris par l'Ukraine, mais comme c'est souvent le cas — et comme on l'a constaté à maintes reprises près de Pokrovsk-Mirnograd, notamment dans les régions voisines de Rodynske et de Dobropillya — les forces russes procèdent fréquemment à des replis stratégiques lors des contre-attaques ukrainiennes majeures afin d'attirer les malheureux Ukrainiens dans une sorte de reconquête semblable à celle d'Hannibal lors de la célèbre bataille de Cannes, pour ensuite repartir à l'attaque peu après avoir anéanti les unités trop zélées de l'AFU. Par exemple :
L'aviation russe a neutralisé un groupe de 40 mercenaires brésiliens des forces armées ukrainiennes près de Kupyansk, selon la chaîne Telegram SHOT. D'après cette source, 300 étrangers avaient pour mission de reprendre le contrôle d'une partie de la ville aux forces armées russes. Le ministère russe de la Défense n'a pas commenté ces informations.
Un autre rapport de RvVoenkor :
Contre-offensive sanglante sur Kupiansk : l'ennemi lance des forces pour pénétrer dans la ville
Sur ordre de Zelensky, le commandement des forces armées ukrainiennes déploie de nouvelles unités pour pénétrer dans Kupiansk et sa banlieue, dans l'espoir d'obtenir une victoire médiatique. Comme nous l'avons indiqué, l'ennemi n'a pas réussi à gagner de terrain significatif, mais poursuit ses attaques.
▪️Dans la vidéo, les combattants des forces armées ukrainiennes sont parvenus à pénétrer dans le quartier de Yubileyny, au sud de la ville. Ils ont atteint les ruines d'immeubles, où ils ont été accueillis par des drones de combat.
« En règle générale, les nazis ne font pas long feu. Le déploiement de groupes de saboteurs est repéré à l’avance, même aux abords les plus reculés. Une traque est alors lancée à l’aide de drones et d’artillerie », affirment nos militaires.
Les combattants des forces armées ukrainiennes qui courent dans les rues et se cachent dans les maisons ont peu de chances de survivre. Leur seule chance de salut est de se rendre.
▪️Dans le même temps, la situation est tendue, l'ennemi continue ses attaques depuis les directions de Kupiansk-Uzlovoe et Blagodatovka, près de Moskovka et Radkovka, les violents combats ne cessent pas.
Mais il nous faudra voir dans les prochains jours à quel point les gains de l'Ukraine sont importants, ou si l'AFU a simplement créé une « zone grise » temporaire de captures fantômes, comme c'est généralement le cas lors de ses contre-attaques médiatiques de courte durée.
Enfin, Mirnograd se passe de commentaires, comme le montre la carte de la situation :
En résumé, les troupes russes mènent les dernières opérations de ratissage pour retrouver les soldats ukrainiens piégés dans des caves et autres abris. De nombreux nouveaux prisonniers de guerre sont faits.
RIA Novosti a publié des images d'ambiance de Krasnoarmeysk (Pokrovsk) libérée :
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Par ailleurs, la situation énergétique de l'Ukraine reste catastrophique, selon les informations disponibles :
D'après mes contacts, la situation à Kiev est catastrophique. L'électricité est coupée quatre heures par jour, à partir d'une heure du matin. De ce fait, de nombreuses personnes ne peuvent ni tirer la chasse d'eau ni prendre de douche en dehors de ces créneaux horaires.
Les créneaux horaires varient, mais chacun est limité à environ 4 heures par jour...
Au moment où nous écrivons ces lignes, de nouvelles frappes sur Odessa auraient entraîné une perte d'électricité de 95 % dans la région.
La presse traditionnelle, en revanche, rapporte que les attaques d'Urkaine contre les pétroliers de la « flotte fantôme » russe n'ont prouvé rien de plus que leur propre désespoir :
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Enfin, une affiche appropriée vue en Hongrie :
Pour faire court.
RépondreSupprimerLa Russie a gagné.
L'Ukraine va devoir capituler.
L'UE/ l'OTAN/ le MI6 sont aux abois.
Le hourvari (en vénérie, gesticulations inutiles vouées à l'échec pour les salons) de ces derniers se finiront immanquablement par la curée. Reste a savoir qui recevra les pattes.
La russie qui possede 4000 tetes nucleaire et qui se fait racketté des centaine de milliard si ca se n est pas un aveu de faiblesse sans compter les attaques via l ukraine on dira ce que on veut mais il faut tirer le chapeau bas au gang de la city de londre il sont silencieux et discret ils ont des armes diabolique que personne d autre ne possede ce sont eux qui mettront la hola a israel mais avant il vont s occuper des russes et croyez moi sa prendra le temps qu il faut mais il ne les lacherons pas . Apres la mort du bottoxer mou de la gachette le travail d usure continura en terme d enculerie ce sont les maitres du jeu
RépondreSupprimerTout ce qui reste à ces perfides c'est le terrorisme, le chef du MI6 c'est une ukrainienne, Blaise Metreweli, un article de ce réseau l'explique, dont le grand-père Constantin Dobrowolski, collaborateur nazi ukrainien, qui a tué des partisans ukrainiens et juifs.....La Llyod of London a perdu plus de 30% de CA depuis qu'ils n'assurent plus les cargaisons russes, la Russie a créé sa propre assurance maritime.Quelles sont les industries britanniques qui produisent ? il y a encore des industries d'armements, drones marins dont certaines sont en Ukraine, ceux qui s'enrichissent sont Rheinmetall avec un CA augmenté de 308% à cause de la guerre en Ukraine ! Leonardo italien partenaire avec MBDA consortium qui produit les missiles Scalp, et BAE system partenaire pour le sous-marin "Kronos" en cours de construction pour la marine de Kiev ! Il y a de nombreuses industries d'armes installées en Ukraine ! ce sont eux qui vont bénéficier du plan "REARMS" de 800 milliards d'euros lancé par la commission européenne, le ministre italien de la défense, Guido Crosetto, ancien consultant et président à Leonardo, payé par le biais de transactions bancaires louches....De Golman à UBS derrière l'industrie allemande Rheinmetall part historique de Raytheon, fond d'investissement US....Contrôlé par des fonds d'investissement US gérés par des militants du lobby sioniste qui a soutenu la réélection de Trump, partenaire historique de l'Italie par l'intermédiare de RWM Italia SPA avec une usine à Domusnovas en Sardaigne, le siège social à Ghedi, où se trouve l'aéroport militaire italien accueillant des armes nucléaires US. Leonardo Rheinmetall Military Vehicles (LRMV), la banque européenne UNICREDI SPA principaux actionnaires, les mêmes spéculateurs que le RHM allemand, Fidelity management et Researsh et Blackrock. Des enquêtes de journalistes italiens écrits dans Veteran today foreign Policy, le journaliste italien Andy Roccheli a était tué en Ukraine...comme le journaliste Gonzalo Lira, d'autres journalistes ont étaient tués en Ukraine, c'est devenu dangereux pour eux d'exercer leur métier....Les occidentaux, britanniques ne savent pas faire des missiles hypersoniques qui peuvent changer leurs trajectoires conçu par les ingénieurs russes, en avance sur les technologies militaires US ! par contre, les britanniques sont des terroristes, ils sont des bombes nucléaires fournies récemment par les USA de Trump ! alors je n'ai pas confiance du tout car il serait possible que le gazoduc Nordstream aurait été détruit par une mini bombe nucléaire..
SupprimerCroyez vous vraiment que la Russie va se laisser racketter par cette madame Van Der Leyen ?
SupprimerLa Russie a très certainement un "dossier" complet sur elle, son parcours, son maris, ses comptes en banque, les Sms Pfizer. Il est vraisemblable que les USA aient un dossier similaire.
La City de nos bons amis philanthropes ne sont pas assez débiles (encore que ?) pour faire exploser leur système en faisant pratiquer par cette dame de Bruxelles ce qui ruinerait totalement l'élément clé de la grande tromperie monétaire : la confiance (ou la croyance) dans la valeur de la monnaie imprimée ou d'une existence plus ou moins probable faite d'une ligne d'écriture dans des ordinateurs ?
Un désastre à tous points de vue, surtout, quand on sait le degré de corruption de l'ukraine.
RépondreSupprimerLa conséquence c'est sera dans quelques semaines une perte de confiance des investisseurs dans la zone euro et la dégringolade de cette monnaie qui sera suivie par une hyper-inflation et une récession sans précédent.
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