« Quand
j'étais enfant, quand nous nous disputions les uns avec les autres dans la cour
de récréation, nous disions : ′′ Quoi que vous disiez [des autres], c'est ce
que vous êtes vous-même." » Poutine vient juste - poliment - de
renvoyer Bidon jouer dans son bac à sable sénile.
Poutine a tenu une réunion, par vidéoconférence, avec des
représentants de la République de Crimée et de la ville d’importance
fédérale de Sébastopol. Transcription complète de sa réponse.
Transcription de la vidéo:
[...] Polina Bolbochan, Coordinatrice des bénévoles du Festival international de musique et représentante de l'Université fédérale de Crimée : Monsieur le Président, j'ai une question un peu personnelle pour vous. Hier, le Président Biden a été assez dur dans son entretien, y compris à votre égard. Que lui diriez-vous ?
Vladimir Poutine : En ce qui concerne la remarque de mon homologue américain [qui a qualifié Poutine de « tueur » à qui il ferait « payer cher ses actions »], nous nous sommes effectivement, comme il l’a dit, rencontrés en personne. Que lui répondrais-je ? Je dirais « Restez en bonne santé ! ». Je lui souhaite une bonne santé. Je dis cela sans ironie ni arrière-pensée. C'est mon premier point.
Deuxièmement, en adoptant une approche plus large de cette question, je voudrais dire que les événements difficiles, dramatiques et sanglants abondent dans l'histoire de chaque nation et de chaque État. Mais lorsque nous évaluons d'autres personnes, ou même d'autres États et nations, nous semblons toujours être face à un miroir, nous nous voyons toujours dans le reflet, car nous projetons notre for intérieur sur l'autre personne.
Vous savez, je me souviens que quand nous étions enfants et que nous jouions dans la cour de récréation, nous avions des disputes de temps en temps et nous disions [en réponse à une insulte] : « C'est celui qui le dit qui l'est ». Ce n’est pas une coïncidence ou juste une blague d’enfants. Ce propos exprime une vérité psychologique très profonde. Nous nous voyons toujours dans une autre personne et pensons qu’elle est comme nous, et évaluons les actions de l’autre en fonction de notre propre vision de la vie.
En ce qui concerne le gouvernement américain, la classe dirigeante –je ne parle pas du peuple américain, qui est majoritairement composé de gens honnêtes, dignes et sincères qui veulent vivre en paix et en amitié avec nous, une chose dont nous avons conscience et que nous apprécions, et nous comptons sur lui pour l'avenir–, mais pour ce qui est de la classe dirigeante américaine, son état d'esprit s'est formé dans des circonstances plutôt difficiles dont nous sommes tous conscients. Après tout, la colonisation du continent américain par les Européens est allée de pair avec l'extermination des populations locales, le génocide, comme on dit aujourd'hui, le génocide pur et simple des tribus indiennes [1] suivi d'une période très dure, longue et difficile de l'esclavage [2], une période très cruelle. Tout cela a fait partie de la vie en Amérique tout au long de l'histoire des États-Unis et jusqu'à ce jour. Sinon, d'où viendrait le mouvement Black Lives Matter ? Jusqu'à ce jour, les Afro-Américains sont confrontés à l'injustice et même à l'extermination.
La classe dirigeante des États-Unis a tendance à aborder les questions de politique intérieure et étrangère en se basant sur de telles considérations [racistes et criminelles]. Après tout, les États-Unis sont le seul pays à avoir utilisé des armes nucléaires, qui plus est contre un État non nucléaire, le Japon, à Hiroshima et à Nagasaki à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il n'y avait absolument aucun besoin militaire justifiant ce bombardement. Ce n'était rien d'autre que l'extermination de civils. J'en parle, car je sais que les États-Unis et leurs dirigeants sont déterminés à maintenir certaines relations avec nous, mais sur des sujets qui intéressent les États-Unis et selon leurs propres termes. Même s'ils croient que nous sommes comme eux, nous sommes différents ! Nous avons un code génétique, culturel et moral différent. Mais nous savons comment défendre nos intérêts. Nous travaillerons avec les États-Unis, mais dans les domaines qui nous intéressent et à des conditions qui nous semblent bénéfiques pour nous. Ils devront en tenir compte malgré leurs tentatives visant à arrêter notre développement, malgré les sanctions et les insultes. Ils devront en tenir compte et reconnaître [qu'ils doivent traiter avec nous sur un pied d'égalité et non depuis une position de domination, de pression et de coercition].
En gardant à l’esprit nos intérêts nationaux, nous développerons nos relations avec tous les pays, y compris les États-Unis. C'est en gros tout ce que je veux dire à ce sujet. [...]
Source : kremlin.ru ; Traduction : lecridespeuples.fr
Poutine lance un défi à Biden : débattons devant les caméras !
Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=bw4i5j6ClS0
Transcription :
Vladimir Poutine : Pour ne pas seulement parler par médias interposés, nous devons continuer notre relation. De plus, je viens de penser à quelque chose. La dernière fois, l'initiative de la conversation téléphonique est venue du Président Biden. Je voudrais suggérer au Président Biden de poursuivre notre discussion, mais à condition que nous le fassions réellement en direct, sans aucun délai, directement dans une discussion ouverte et diffusée en direct. Je pense que ce serait intéressant pour le peuple russe et le peuple des États-Unis et de nombreux autres pays.
Il me semble qu’en tant que plus grands pays nucléaires, nous avons une responsabilité particulière en matière de sécurité stratégique mondiale. Nous pourrions parler de nos relations bilatérales, de cette stabilité stratégique, de la solution aux conflits régionaux (et il y en a beaucoup), ainsi que des autres problèmes auxquels l'humanité est confrontée, y compris la lutte contre la pandémie. C'est bien connu, c'est une situation difficile aux Etats-Unis, où ils sont encore loin de résoudre ces problèmes. Pour notre part, nous sommes plus confiants pour aller de l'avant avec la question. Nous avons beaucoup de choses à discuter, des opinions à partager...
Je répète une fois de plus, à condition que ce soit une conversation ouverte et franche, qui soit diffusée en direct.
Journaliste : À tout moment ? Que suggère le côté américain ?
Vladimir Poutine
: Je ne voudrais pas repousser cela trop longtemps. Je veux aller dans
la taïga (forêt) le week-end pour me reposer, mais nous pourrions le
faire demain (vendredi), ou disons lundi. Comme il leur plaira. Nous
sommes prêts à tout moment qui convient à la partie américaine. Après
notre échange, je donnerai des instructions en ce sens au ministère des
Affaires étrangères. [...]
Traduction : lecridespeuples.fr
-----------------------------------------------------------------
Les difficultés de Merkel et Macron incitent Biden à attaquer Poutine et Xi
Biden ? Un démocrate, comme chacun le sait. Cette définition est suffisante pour exclure toute surprise face à l'attaque sordide lancée par le nouveau Président américain contre Poutine. Parce que, contrairement à ce que les médias et les historiens de service disent aux Italiens crédules, les démocrates américains ont toujours été des bellicistes. Beaucoup plus belliciste que les Républicains. Mais en Italie, ils évitent soigneusement de relier les "saints" Kennedy ou Lyndon Johnson à l'escalade de la guerre au Vietnam.
Il était donc évident que Biden allait accroître la tension internationale. Les insultes contre Poutine vont de pair avec les attaques contre la Chine. Un appel aux armes qui conduira à de nouvelles sanctions contre Moscou, poussant inévitablement la Russie dans les bras de Xi Jinping.
Biden, cyniquement mais aussi logiquement (car il a été chargé d'être président pour protéger les intérêts des grands groupes américains), profite de la situation de crise lourde qui affecte l’Europe. Ce n'est pas une coïncidence s'il a lancé son attaque contre la Russie immédiatement après la confirmation de la défaite de la CDU d'Angela Merkel dans deux élections régionales importantes en Allemagne. La chancelière quittera la scène après l'été, son leadership s'affaiblit et l'Allemagne est en proie à l'indécision, exacerbée par le mécontentement des Allemands face aux confinements répétés qui handicapent les activités économiques et la vie sociale.
Macron, qui jusqu'à présent a été très actif en politique étrangère, en partie parce qu'il se sentait soutenu par Merkel, ne fait pas mieux. Maintenant, cependant, Macron doit faire face au mécontentement interne pour sa mauvaise gestion de la pandémie. Et les Français, contrairement aux moutons italiens, ne se contentent pas de bêler quand ils sont en colère. Le président de l'Hexagone se retrouve donc en difficulté sur la scène internationale. Mais sans Berlin et Paris, la politique étrangère européenne n'existe pas. Avec ‘’l'Italie de Sa Divinité’’ qui reçoit des ordres directement de Washington et refuse le vaccin Spoutnik V aux Italiens pour ne pas contrarier les multinationales américaines du médicament.
Donc Biden a le champ libre. Et l'interview éminemment subversive de Meghan Markle a également fait comprendre aux Britanniques que leur rôle était celui d'alliés, mais d’alliés d'importance secondaire. Une interview qui mine l’idée du Commonwealth lui-même, car pour les démocrates américains, il ne peut y avoir qu'un seul empire, l'empire américain.
Difficile d'imaginer la réaction de Moscou et de Pékin au-delà des déclarations officielles. Il ne peut évidemment pas s'agir d'une réaction militaire, mais les deux pays sont démunis en termes de soft power et cela les pénalise considérablement car cela limite leurs possibilités de réaction.
Par Augusto Grandi; https://www.kulturaeuropa.eu/
Notes de H. Genséric
[1] La race parfaite ;
par Mohawk Nation News
[2]
Le livre «Les
Juifs vendent des Noirs» suscite un mouvement de demandes de réparations
- Les suprémacistes blancs juifs et le Ku Klux Klan
- USA. Assaut juif contre les intellectuels noirs
- Dostoïevski et la "question juive"; Le Journal
d'un écrivain, mars 1877
"Sleepy Joe", "Corrupt Joe", "China Joe"... Les 10 surnoms pas très aimables que Donald Trump a donnés à Joe Biden
"Joe Biden ? Connais pas…" Pour désigner son adversaire à la présidentielle américaine, Donald Trump l'appelait rarement par son prénom et son nom. Il utilise à la place un tas de surnoms qui visent toujours un point précis de la personnalité, de l'attitude ou des idées de son rival..
"Sleepy Joe"
"Joe
l'endormi" ou "Joe le somnolent". C'est LE surnom que l'on entend le plus dans la bouche
de Trump. Il le dégaine quand il souhaite se moquer de l'âge de son rival de
78 ans, alors que Donald Trump affiche 74 ans.
C'est d'ailleurs ainsi qu'il a salué l'annonce de la candidature à la
présidentielle de Joe Biden au printemps 2019. "Bienvenue dans la
course Sleepy Joe, écrit-il sur Twitter, le 25 avril. J'espère
seulement que vous aurez l'intelligence, ce dont on doute, (...)
pour mener une campagne réussie."
"Joe Hiden"
"Joe le planqué". Elle fait référence au fait que Joe Biden s'est retranché, ou "caché" ("hidden", en anglais) selon Donald Trump, dans sa maison du Delaware pendant deux mois à cause de l'épidémie de coronavirus. "Le gars s'est endormi dans son sous-sol", répète régulièrement le candidat républicain, pour rappeler que lui multiplie les déplacements.
"Slow Joe"
"Joe
la lenteur". Là encore, inutile d'être bilingue pour deviner le
sens de ce surnom, qui a pour but de railler le manque de
vivacité de son adversaire. Donald Trump estime que Joe Biden est un vieil
homme hésitant, incapable de terminer une phrase. "Il a l'air différent
de ce qu'il avait l'habitude de faire, il agit différemment de ce qu'il faisait
auparavant, il est encore plus lent qu'avant", déclarait-il en juin
2019 depuis les jardins de la Maison
Blanche.
Samedi 12 septembre, lors d'un meeting dans le Nevada, Donald Trump a carrément
imaginé une discussion entre le candidat démocrate et son épouse (à partir de 24'30),
toujours pour se moquer du peu d'énergie qu'il aurait. Voici la teneur de
l'échange fictif :
- Chérie, s'il te plaît, je veux aller au lit. Je suis épuisé, j'ai fait un
discours hier...
- Mais chéri, ils t'ont donné les questions et les réponses à l'avance...
- Je sais, mais c'était fatigant pour mes yeux...
"1% Joe"
"Joe
1%". Si
vous n'avez pas la carrière politique de Joe Biden en mémoire, vous n'aurez pas
la référence. L'ancien vice-président de Barack Obama s'est déjà présenté
à deux reprises aux primaires démocrates par le passé... Sans grand succès. En
1988, il est contraint d'abandonner en route après avoir été accusé de
plagiat lors d'un discours. Vingt ans plus tard, en 2008, il se retire
encore de la course après avoir mis en doute la capacité de Barack
Obama à être président. Ce qui ne l'empêchera pas, quelques mois plus
tard, de devenir le vice-président de... Barack Obama.
Deux tentatives, deux échecs, qui amusent beaucoup Donald Trump. "Bon,
j'ai écouté Biden, qui est un perdant. Joe n'a jamais obtenu plus de 1%,
sauf qu'Obama l'a sorti de la poubelle", déclare-t-il, en juin 2019.
"Wacko"
"Cinglé". Au moins, les choses sont claires. "C'est un cinglé depuis des années et tout le monde le sait, a tweeté le président américain, le 7 octobre. Les médias se retrouvent coincés avec lui et essaient juste de le protéger. Vous avez remarqué comme toutes les choses négatives, comme son très faible QI, ne sont plus jamais mentionnées ? Fake News !".
"Corrupt Joe"
"Joe le corrompu". Ici, la référence est, disons-le, moins limpide, voire légèrement fourre-tout. Donald Trump estime que son rival démocrate est corrompu, et il le répète (sans avancer de preuves concrètes) dès qu'il le peut, comme sur le plateau de Fox News, le 25 juin 2020 (à partir de 5') : "Je l'appelle Corrupt Joe, il est corrompu", déclare-t-il, sans en dire beaucoup plus. Enfin si : pêle-mêle, il l'accuse avec Barack Obama d'avoir espionné sa campagne, ou encore d'avoir minimisé les violences dans certaines villes quand il était vice-président des Etats-Unis. Rappelons qu'en 2016, Donald Trump avait déjà baptisé son adversaire Hillary Clinton "Crooked Hillary", soit "Hillary la corrompue".
"China Joe"
"Joe la Chine". Donald Trump dégaine ce surnom quand il veut rappeler que Joe Biden (et plus globalement l'administration Obama) a toujours été, selon lui, et contrairement à lui, trop gentil avec la Chine.
"O'Biden"
"O'Biden". Ce surnom, contraction de "Obama" et "Biden", Donald Trump l'emploie dès qu'il veut dire tout le mal qu'il pense du bilan de l'ancien locataire de la Maison Blanche et de son vice-président. Pratique, les reproches faits à l'un valent aussi pour l'autre, puisqu'ils ont travaillé ensemble pendant huit ans.
"Crazy Joe Biden"
"Joe Biden
le fou". Ce surnom
remonte à mars 2018 : à l'époque, Joe Biden s'en prend violemment à celui
qui n'est pas encore son adversaire après que des commentaires obscènes à
l'égard des femmes lui ont été attribués. "Si nous étions au lycée, je
l'emmènerais derrière le gymnase et je lui mettrais une rouste", déclare
le démocrate dans une prise de parole depuis l'Université de Miami.
Donald Trump contre-attaque quelques heures plus tard sur Twitter. "Crazy
Joe Biden essaie d'agir comme un dur à cuire, écrit-il. En fait, il est
faible, à la fois mentalement et physiquement, et pourtant il me menace, pour
la deuxième fois, d'agression physique. Il ne me connaît pas. Mais
il tomberait vite et fort en pleurant tout le temps. Ne menaces pas
les gens, Joe !"
"Sleepy Creepy Joe"
"Joe l'endormi vicelard". C'est ainsi que Donald Trump rappelle régulièrement que son rival est accusé d'agression sexuelle par une ancienne assistante. Révélés en mars 2020, les faits remontent à 1993, lorsqu'il était sénateur et qu'elle travaillait pour son équipe à Washington. Sans véritable "échanges de mots", a raconté la victime, Joe Biden "m'a mise contre le mur", embrassée et "il m'a pénétrée avec ses doigts".
Je trouve que la réponse de Poutine est très douce envers un usurpateur de la fonction à la Maison Blanche un criminel toutes catégories.
RépondreSupprimerProchaine président français Audrey Tcherkoff Hannibal
RépondreSupprimerhttps://odysee.com/@PhilippeWEBER:3/Pre%CC%81sidentielles-2022---SCOOP-(21-mars):b
usa terre volee aux indiens
RépondreSupprimerisrael terre volee aux palestiniens
ce peuple d'amerloques et juifs sont tous sataniques adorateurs de lucifer et criminels de naissance.