Au "Pays de Cocagne" des Grands Merdias : la Russie est vaincue et Poutine est assassiné !

L'intervention militaire de la Russie en Ukraine amène la guerre à un nouveau niveau de guerre de l'information jamais connu  auparavant. Au cours des trois dernières semaines, les médias grand public occidentaux (alias Grands Merdias Menteurs ou GMM) ont déclenché un tsunami de fausses informations et de distorsions qui ont bouleversé de nombreuses personnes.

De manière appropriée, sinon réellement intentionnelle, le 15 mars – les Ides de mars rien de moins – nous avions des premières pages criant que les troupes russes risquaient la défaite dans deux semaines. Les forces du régime de Kiev soutenues par l'OTAN « avaient mis les troupes russes en fuite », nous a-t-on dit.[1]

Le même jour – célèbre pour ses prédictions inquiétantes – le président ukrainien Vladimir Zelensky a , selon les médias occidentaux, exhorté les soldats russes à se rendre, car pour eux la situation était désespérée [2].

Alors notez-le. D'ici la fin de ce mois, selon les messages des médias occidentaux, la Russie sera vaincue par les brigades néonazies ukrainiennes soutenues par l'OTAN. Non seulement cela, mais comme le sénateur américain Lindsey Graham et les sociétés américaines de médias sociaux ont laissé entendre que le président russe Vladimir Poutine pourrait être assassiné.

La concoction de Shakespeare et de Jules César comme moyen de dépeindre le conflit en Ukraine trouve un chiffre pratique sous la forme du Zelensky d'Ukraine, l'homme qui était autrefois un acteur de comédie avant de devenir président en 2019 [3]. Zelensky s'est adressé la semaine dernière à la British House of Parlement par vidéo aux ovations debout, avec des mots émouvants canalisant le célèbre barde anglais et aussi héros de guerre Winston Churchill [4]. C'était du théâtre politique écrit par les gestionnaires de Zelensky à la CIA et au MI6.

L'acteur-politicien est assez convaincant aussi. Il a mis en avant sa prétendue ascendance juive et ses proches de l'Holocauste comme un moyen de saper les affirmations de la Russie selon lesquelles les paramilitaires néonazis envahiraient l'Ukraine. Les informations de la Russie sur le bataillon Azov et d'autres formations fascistes sont corroborées et bien documentées par des sources indépendantes.

Zelensky a été à la fois un homme aux multiples facettes. Certains médias occidentaux remarquent ses apparitions publiques très médiatisées ralliant les Ukrainiens à la résistance, mais en même temps, de manière incongrue, il a également été occupé à faire des discours provocants vêtus de treillis militaires depuis ce qui semble être un bunker secret. Cette prétendue précaution, nous dit-on (sic), est d'empêcher l'armée russe de découvrir son emplacement exact et de l'assassiner par une frappe aérienne.

Un pépin dans le drame – apparemment inaperçu par les médias flatteurs – était des rapports sur les Premiers ministres de Pologne [5], de République tchèque et de Slovénie se rendant à Kiev le 15 mars pour rencontrer Zelensky et faire preuve de solidarité européenne.

Vraiment? Si Zelensky se cachait dans des bunkers par peur pour sa vie des missiles russes et si Kiev était une telle zone de guerre à cause de prétendues frappes aériennes aveugles – comme le rapportent mordicus les médias occidentaux– ces dirigeants européens s'aventureraient-ils vraiment dans la capitale ukrainienne ?

Le conflit en Ukraine ne ressemble à aucun autre en termes de fausses informations rampantes et de réalités virtuelles utilisées par les médias occidentaux. Cela rappelle l'hystérie occidentale sur la Syrie et le "siège d'Alep" fin 2016 qui s'est avéré être libéré par l'armée syrienne et ses alliés russes des terroristes soutenus par l'Occident. Des images d'explosions et de victimes civiles attribuées aux forces russes ont été identifiées comme étant extraites d'autres guerres, lieux et années. Des frappes aériennes à Gaza par les forces israéliennes ont été signalées comme se produisant dans des villes ukrainiennes. Même les films catastrophe hollywoodiens ont fourni des images recyclées pour des «rapports» de prétendues violations russes.

Il ne fait aucun doute que l'intervention militaire russe en Ukraine a causé des souffrances et des déplacements. Quelle guerre ne l’a pas fait ? Un programme d'information russe a été interrompu lorsqu'une employée a organisé une manifestation anti-guerre à l'antenne.

Mais cette guerre aurait pu être évitée si les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN avaient tenu compte des préoccupations sécuritaires de longue date de la Russie. La militarisation de l'Ukraine depuis le coup d'État orchestré par la CIA en 2014 et le déchaînement des forces néonazies contre les russophones devaient déboucher sur la guerre. La goutte qui a fait déborder le vase a été lorsque les efforts russes de négociation se sont heurtés à l'intransigeance implacable des puissances de l'OTAN.

Moscou affirme que son opération militaire lancée le 24 février se poursuivra jusqu'à ce que le régime de Kiev accepte de renoncer à rejoindre l'OTAN, d'éradiquer ses paramilitaires néonazis et de reconnaître la revendication historique de la Russie sur la Crimée ainsi que les républiques séparatistes de Donetsk et de Lougansk.

Zelensky a répondu de manière erratique comme la marionnette sur une ficelle qu'il est indubitablement. Il y a eu quatre cycles de négociations entre ses représentants et la Russie. La marionnette ukrainienne de la CIA-MI6 a parfois parlé de renoncer à l'adhésion à l'OTAN et d'accéder aux revendications territoriales de la Russie. Puis il se retourne en prononçant des discours de résistance provocants et en appelant à la reddition de la Russie. La conclusion est que Zelensky et son régime ne sont pas sérieux au sujet de la négociation d'une résolution. Leur fonction est de faire durer le conflit le plus longtemps possible afin de saper la Russie et de prolonger la misère de la population ukrainienne – dont beaucoup se réjouissent de voir les forces russes se débarrasser de ce régime corrompu.

Les reportages occidentaux sur le conflit en Ukraine comme Zelensky et son régime sont en quelque sorte une chimère de propagande élaborée. On nous dit que la guerre est entièrement due aux divagations folles d'un méchant tyran russe appelé Vladimir Poutine - qui, ridiculement, est comparable à Hitler. Les tabloïds occidentaux trash ainsi que des personnalités intello comme le Bulletin of Atomic Scientists basé aux États-Unis nous avertissent que "Mad Vlad" est prêt à utiliser des armes nucléaires ou des armes chimiques et biologiques de destruction massive. Cela vient des médias occidentaux dont les gouvernements et les établissements militaires dirigent des laboratoires de guerre biologique en Ukraine et qui forment des escadrons de la mort néonazis.

En effet, on peut se méfier des Ides de mars.
La propagande occidentale prédit la chute de la Russie.
Les médias donnent l'impression que la Russie est désespérée et dépravée, prête à utiliser des armes de destruction massive.
Pourquoi? Une prophétie apparemment auto-réalisatrice où ils jouent le rôle du sauveur de l'Ukraine ?
Le côté vraiment désespéré est le côté occidental.

Source : MSM Wonderland: Russia Defeated and Putin Assassinated?!

by Finian Cunningham
Strategic-Culture

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Poutine : "C'est la fin de la domination mondiale de l'Occident à la fois politiquement et économiquement "

via RT

Le président russe Vladimir Poutine a estimé que la dernière série de sanctions sans précédent imposées à la Russie par les États-Unis et leurs alliés au cours de la campagne militaire du Kremlin en Ukraine, marque la fin d'une époque. Selon Poutine, l'Occident va désormais perdre sa « domination mondiale », tant sur le plan politique qu'économique.

S'exprimant mercredi, le chef de l'Etat russe a proclamé que "le mythe de l'Etat-providence occidental, du soi-disant milliard doré est en train de s'effondrer".
De plus, c'est "la planète entière qui doit payer le prix des ambitions de l'Occident et de ses tentatives de conserver à tout prix sa domination en voie de disparition", a affirmé Poutine.

Le président russe a prédit des pénuries alimentaires dans le monde, car les sanctions occidentales contre la Russie avaient nui à l'ensemble de l'économie mondiale.

Abordant la décision de plusieurs puissances occidentales de geler les actifs de la banque centrale russe, Poutine a affirmé que cela ne servirait qu'à saper irrémédiablement la confiance dans ces nations et à faire réfléchir les autres pays à deux fois avant de confier leurs réserves à ces pays. Selon le président russe, près de la moitié des actifs de Moscou ont été "simplement volés" par l'Occident.

S'adressant aux Occidentaux, le dirigeant russe a déclaré que les sanctions massives imposées à la Russie se retournaient déjà contre les États-Unis et l'Europe eux-mêmes, les gouvernements s'efforçant de convaincre leurs citoyens que c’était la Russie qui était à blâmer et non pas leurs propres dirigeants.

Poutine a averti les gens ordinaires en Occident que les tentatives de présenter Moscou comme la principale source de tous leurs malheurs étaient des mensonges, beaucoup de ces problèmes étant le résultat direct des « ambitions » et de la « myopie politique » des gouvernements occidentaux.

Les élites occidentales, selon Poutine, ont transformé leur pays en « empire du mensonge », mais la Russie continuera à présenter au monde entier sa propre position, quoi qu'il arrive. [6]

NOTES de H. Genséric

[1] On a même vu des généraux français sur les chaînes TV nous expliquer comment les soldats Russes et leurs équipements lourds sont patauds et incapables d’avancer, enlisés devant la résistance héroïque des soldats ukrainiens, et comment Poutine est un dictateur, quasi fou, assoiffé des destructions et de massacres.  

[2] Les mêmes chaînes TV nous ont bassiné avec ces mères ukrainiennes branchées, qui ont pu hacker des sites internet russes, récupérer les numéros de téléphones des babouchkas russes pour leur téléphoner et les inciter à appeler leurs fils militaires à refuser de combattre en Ukraine.

[3] Quand Zelensky jouait du piano avec son sexe

[4] Le vrai Winston Churchill (i)
-  Le vrai Winston Churchill (II): un infâme salopard, un raciste et un criminel de guerre
-   Seconde Guerre mondiale. Churchill voulait «noyer» de gaz mortel les civils allemands

[5] Le Premier ministre polonais est, comme son compère Zelensky,  un crypto-juif sataniste

Les faits sont les suivants:
1) Le 8 décembre 2017, JTA (Jewish Telegraphic Agency) titrait : « En Pologne, un ex-banquier aux racines juives est devenu Premier ministre » ;
2) Ceci est expliqué par son père, Kornel Morawiecki, sur le site Fronda.pl : "Les rumeurs sur les racines juives sont venues des paroles de Mateusz Morawiecki lui-même, qui a dit un jour qu'une de ses tantes, Irena, avait été sauvée pendant l'Holocauste , tandis que l'autre, Roma, vit aujourd'hui en Israël.";
3) Morawiecki a placé ses enfants à l'école Chabad Jewish Lauder, comme cela a été déjà mentionné par Szewach Weiss dans une interview pour Gazeta Prawna le 1er mars 2018 ;
4) Les enfants plus âgés de Morawiecki ont commencé à fréquenter cette école juive il y a plus de 15 ans, date à laquelle Morawiecki a commencé sa carrière dans la banque ;
5) En mars 2018, Morawiecki a rencontré à Bruxelles Ronald Lauder lui-même (qui est également le président du Congrès juif mondial). Les informations dans les médias sur cette réunion étaient très rares.
Tout ce qui précède s'est produit pour propulser soudainement Mateusz Morawiecki à la plus haute position en Pologne. Mais quels événements ont conduit à cette date ?
6) En septembre 2017, Morawiecki s'est envolé pour New York où il a rencontré le rabbin Shmuley Boteach, l'un des dirigeants de Chabad, appelé "le rabbin le plus célèbre des États-Unis". En 1988 (alors qu'il avait 22 ans), Boteach a été envoyé par le septième "rabbin" de Chabad lui-même, MM Schneerson, à Oxford, en Angleterre, où il a été étudiant rabbin pendant 11 ans. À la suite de son travail missionnaire, 5000 étudiants non juifs ont rejoint l'organisation étudiante qu'il a fondée;
7) Le 24 novembre 2017, un dîner sabbatique casher auquel assistaient Mateusz Morawiecki a été organisé avec la participation du ministre israélien des télécommunications Ajjub Kara ;
8) Le 7 décembre 2017, et donc 13 jours après le dîner, "La loi et la justice ont officiellement annoncé que Beata Szydlo démissionnait de son poste de Premier ministre et devait être remplacée par le ministre des Finances et du Développement Mateusz Morawiecki."
Le Premier ministre polonais, est, semble-t-il comme Donald Trump, un autre crypto-juif cachant ses racines dans son pays pour sauver les apparences. C’est un mondialiste.

Avant de vous demander si un dirigeant occidental est authentiquement défenseur des intérêts de son pays et de sa population, considérez ceci : Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, ancien militant anticommuniste et maintenant grand défenseur du christianisme dans l'UE, a également envoyé ses enfants à l'école Chabad, Jewish Lauder.

[6]  Dévastation de la base militaire de Yavorov

Le 13 mars 2022, l’armée russe a dévasté le camp ukrainien de Yavorov (photo). Il s’agit du plus grand camp d’entraînement militaire en Europe. Il a été construit par les Soviétiques pour simuler le déploiement en formation de combat et l’attaque d’une division de chars, puis légué à l’Ukraine. Il était utilisé depuis huit ans par l’Otan pour former les soldats de la Défense territoriale ukrainienne, c’est-à-dire les bandéristes (ou « néo-nazis » selon la terminologie russe).

Depuis le début du conflit, il était devenu la plaque tournante d’approvisionnement en hommes et en matériel de l’armée ukrainienne. Une gigantesque livraison venait d’avoir lieu, depuis la Pologne et la Roumanie, le 12 mars.

Selon l’armée russe, au moins 180 mercenaires étrangers ont été tués, ce que le gouvernement ukrainien dément sans convaincre.

Cette affaire atteste que
-  Contrairement à ce que prétendait l’Otan jusqu’à présent, des soldats de l’Otan étaient bien présents en Ukraine depuis huit ans. Quantité de photographies viennent d’être publiées sur internet à ce sujet.
-  Les armes détruites valaient probablement plusieurs centaines de millions de dollars. Elles étaient offertes par l’Union européenne et les États-Unis.

Hannibal GENSÉRIC