J’ai toujours été persuadé que tout le remue-ménage autour du
Caucase et les troubles en Ukraine étaient directement liés au problème
israélo-palestinien. La conquête coloniale de la Palestine est dans
l’impasse, et le sionisme se cherche des solutions alternatives cachées
sous d’épaisses couches de conflits géopolitiques, idéologiques ou
énergétiques. Il se pourrait même que certains dirigeants arabes comme
le roi d’Arabie Saoudite soient dans le coup ou le pressentent.
Le rôle joué par les personnalités
juives et l’État d’Israël dans la crise ukrainienne n’est pas passé
inaperçu, sachant que cette communauté représente moins d’un pour cent
de l’ensemble de la population. Cependant, l’administration Netanyahou a
en sa possession un rapport confidentiel confirmant que les juifs
ashkénazes ne sont pas originaires du Levant, mais sont les descendants
des Khazars, ce peuple mal connu fondateur d’un empire juif au dixième
siècle sur les rives de la mer Noire. Ceci explique pourquoi certains
sionistes voient en l’Ukraine un possible second Israël.
Le Times of Israel, journal israélien indépendant dont le comité de rédaction compte des anciens journalistes du quotidien Ha’aretz,
a publié un papier passionnant qui n’a pourtant pas fait grand bruit.
L’article en provenance de Jérusalem et Zhitomir, daté du 16 mars 2014
et écrits par Hirsh Ostropoler et I. Z. Grosser-Spass, correspondants
russes et ukrainiens du journal, fait mention d’un rapport confidentiel
remis au gouvernement israélien [1].
Ce rapport, établi par un comité d’experts en histoire juive et
reposant sur des sources universitaires, parvient à la conclusion que
les juifs européens descendent en réalité des Khazars, peuple guerrier
d’origine mongole et tatare ayant dominé l’Ukraine et la Russie
méridionale et s’étant converti en masse au judaïsme au VIIIè siècle.
Les sionistes prétendent depuis longtemps que la terre revendiquée
d’Israël revient de droit au peuple juif, que les conquêtes successives
de différents empires ont évincé et dispersé, ce que l’on a appelé la
diaspora. Apporter la preuve que les ashkénazes, qui forment l’essentiel
de la population israélienne, ne sont pas historiquement liés à la
Palestine remettrait en question le principe même d’Israël comme étant
la patrie millénaire du peuple juif.
Les journalistes israéliens ont souligné que toute discussion entre
Khazars et l’État d’Israël avait toujours été méprisée par les
responsables israéliens. Ils citent ainsi le Premier ministre Golda
Meir, qui aurait déclaré : « Khazar, Schmazar. Il n’y a pas de peuple
khazar. Je ne connais pas de Khazars à Kiev. Ni à Milwaukee. Montrez-les
moi, ces Khazars dont vous parlez. » Les preuves génétiques d’une
population khazare migrante venue d’Europe et qui revendique aujourd’hui
des origines ancestrales en Palestine disqualifient sérieusement les
prétentions sionistes sur cette terre.
L’établissement du fait que les juifs d’Europe centrale et d’Europe
de l’est n’ont pas de légitimité historique en ce qui concerne leurs
revendications sur la Palestine a créé bien des remous en Israël et
ailleurs. La Knesset se prépare à voter une loi présentée par le
gouvernement faisant d’Israël une « nation » juive. Le Premier ministre,
Benyamin Netanyahou, après avoir lu le rapport confidentiel au sujet
des Khazars, a déclaré qu’Israël était « l’État nation du peuple juif. »
Les prétentions ashkénazes en Israël étant diminuées, pour ne pas dire
plus, Netanyahou, ses amis du Likoud, ses alliés du parti orthodoxe juif
comme les colons de Cisjordanie n’ont pas d’autre choix que de jouer la
carte de la revendication nationaliste, non seulement pour Israël, mais
aussi pour la Cisjordanie (ou « Judée-Samarie », comme l’appelle les
nationalistes juifs).
Toutefois, certains juifs, en Israël comme ailleurs, ne souhaitent
pas prendre de risques. Une des raisons principales pour qu’Ihor
Kolomoïsky [a] —le richissime magnat juif ukrainien et gouverneur de la
province de Dnipropetrovsk, qui est aussi citoyen israélien et
chypriote— dépense des dizaines de millions de dollars pour recruter des
nationalistes ukrainiens de droite et des néo-nazis venus d’ailleurs en
Europe pour combattre la majorité russophone de la région du Donbass en
Ukraine orientale, c’est la peur de voir capoter le projet de
transformation de l’Ukraine en « Israël-bis ». Les mesures de protection
prises par la Russie vis-à-vis de la région du Donbass, tout comme son
intégration à la Crimée par voie référendaire (cette région étant
convoitée par les nationalistes khazars juifs renaissants) menacent la
transformation de l’Ukraine en deuxième patrie pour les juifs ashkénazes
qui, déjà, s’inquiètent au sujet de leur emprise sur la terre d’Israël.
Le papier retentissant du Times of Israel à propos des
origines khazares des juifs ashkénazes a aussi mis en lumière qu’Israël,
ayant conscience qu’un État palestinien est inévitable compte tenu des
pressions européennes en ce sens, se prépare à déplacer ses colons
ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. La recherche de pointe dans le
domaine de la génétique en Israël a permis d’établir un lien direct
entre les ashkénazes d’Israël et les Khazars qui se sont jadis dispersés
en Europe de l’est et en Europe centrale après la conquête de l’empire
khazar par la Russie au XIè siècle.
Les Israéliens et leurs alliés sionistes du monde entier ont toujours
accusé les tenants du lien génétique entre ashkénazes et Khazars
d’antisémitisme primaire. Cependant, les éléments de recherche génétique
contenus dans le rapport confidentiel israélien ne font que confirmer
ce qu’avait révélé l’historien juif Shlomo Sand dans son livre Comment le peuple juif fut inventé.
Le concept de descendance khazare, lui, avait été pour la première fois
évoquée en 1976 par l’historien hongrois Arthur Koestler dans son livre
La Treizième tribu.
Les journalistes du Times of Israel relayent les révélations
d’un assistant anonyme de Netanyahou au sujet des projets d’émigration
israélienne vers l’Ukraine. « Nous avons d’abord pensé que reconnaître
être des Khazars serait une façon pour nous de contrer l’inflexibilité
d’Abbas (le président de l’autorité palestinienne) sur l’impossibilité
d’une présence juive dans un État palestinien. Nous tentions sans doute
ce faisant de nous raccrocher à ce que nous pouvions. Mais son
incapacité à accepter la chose nous a poussés à chercher des solutions
plus ingénieuses. L’invitation au retour des juifs en Ukraine fut une
véritable aubaine. Mais le déplacement rapide de tous les colons
d’Israël n’irait pas sans poser problème au niveau logistique et
économique, et Il va de soi que nous ne souhaitons pas revivre une
expulsions des colons semblable au plan de désengagement de Gaza. »
Ostropoler et Grosser-Spass rapportent aussi les propos d’une source
israélienne anonyme selon laquelle « Il ne s’agit pas de renvoyer tous
les ashkénazes en Ukraine. Cela n’est, de toute évidence, pas faisable.
Comme souvent, les médias exagèrent et font dans le sensationnel… C’est
bien pourquoi il faudrait une censure militaire. »
Le Projet conjoint d’Israël et de l’Ukraine consiste à déplacer les
colons de Cisjordanie en République Autonome de Crimée (Russe), et ce
après une éventuelle rétrocession de la péninsule à l’Ukraine, comme ils
l’espèrent. Pour les sionistes ukrainiens comme Kolomoïsky, ou leurs
alliés états-uniens tels que Victoria Nuland [b] (secrétaire d’État
adjointe, déléguée aux Affaires européennes et eurasiennes) et Geoffrey
Pyatt (ambassadeur US en Ukraine), l’objectif ultime consiste à établir
une région juive autonome en Crimée et à redonner à la péninsule son nom
khazar d’origine, Chazerai. Comme les Tatars qui vivent aujourd’hui en
Crimée, et ailleurs, sont en majorité musulmans, le projet de création
d’une nation khazare en Ukraine reposerait aussi probablement sur un
fort prosélytisme de la part des Israéliens et des Ukrainiens déterminés
à réinstaurer la Khazarie comme alternative à l’État d’Israël. Le
prosélytisme juif (qui se concentre actuellement sur les
« crypto-juifs » métis catholiques au Mexique, les chrétiens, hindous et
bouddhistes en Inde, les orthodoxes russes et les bouddhistes de
Birobidjan en Sibérie, les musulmans du Pakistan et d’Afghanistan, les
chrétiens, musulmans et animistes d’Ouganda, du Ghana, du Mali du
Nigeria du Zimbabwe, du Mozambique et du Malawi et sur quelque groupes
de descendants juifs supposés en Chine, à Sao Tomé-et-Principe, à
Tahiti, au Suriname, au Vietnam, au Brésil et au Pérou) traduit la
volonté d’Israël de renforcer la présence juive dans un but de
colonisation en dehors des territoires illégalement occupés que sont le
Cisjordanie et le plateau du Golan.
Outre l’Ukraine, le nord de l’Irak,
l’est de la Libye, la ville d’Alexandrie en Égypte, certaines parties de
la Turquie, la Patagonie en Argentine ainsi que l’Ouganda sont tous des
territoires qui ont été envisagés comme colonies juives en remplacement
ou en complément de la Cisjordanie.
Les Bnei Menashe des États de
Manipour et de Mizoram au nord-est de l’Inde, ces soi-disant « tribus
perdues d’Israël », sont considérées par la majorité des Indiens, non
comme des juifs, mais comme des migrants économiques à la recherche
d’une vie meilleure en Israël. Les expansionnistes israéliens veulent
tellement gonfler leurs rangs et développer leurs prétentions
territoriales qu’ils ont fait réaliser des études génétiques douteuses
en vue de classer comme « tribus perdues » d’Israël les Sorbes
d’Allemagne de l’est, l’ethnie Bantou Lemba (au Zimbabwe, Malawi et
Mozambique) et aussi certains Italiens du sud, certains Arméniens, et
certains Grecs.
En Ukraine, ce prétendu « deuxième Israël », Kolomoïsky et le pouvoir
de Kiev ont enrôlé des ex-membres des Forces de défense israéliennes
dans leurs bataillons de volontaires, notamment le bataillon Azov. Une
des unités israéliennes, commandée par un certain « Delta » est connue
sous le nom des « Casques bleus de Maidan » [2].
Si Israël n’avait pas un intérêt direct à développer son influence en
Ukraine, le pays pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre
sur place.
On trouve aussi en Cisjordanie des colons juifs sépharades qui sont
les descendants des juifs Marranos d’Espagne sous domination musulmane,
qui furent chassés de la péninsule ibérique au cours de l’inquisition
espagnole et portugaise du XVè siècle et qui n’ont aucun lien avec les
ashkénazes ou les khazars. Récemment, dans une démarche similaire à
l’invitation des ashkénazes de Cisjordanie à venir s’installer en
Ukraine, l’Espagne et le Portugal ont promulgué des lois permettant aux
juifs sépharades du monde entier en mesure d’attester de leurs origines
Marranos d’acquérir la nationalité dans les deux pays.
Certains russophones du Donbass en ont assez des intentions des
pro-Israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoïsky
a fait appel à un certain nombre de néo-nazis d’Ukraine occidentale et
d’Europe pour rejoindre les rangs de ses bataillons et il faut savoir
que les organisations droitistes auxquelles ils appartiennent ont
toujours défendu l’idée d’une « mêlée générale » opposant la Russie aux
descendants des Khazars d’Israël, d’Ukraine, de Pologne et de Géorgie
pour venger la victoire de l’Empire Russe sur l’empire khazar au XIè
siècle.
Israël a mis à disposition du gouvernement géorgien de Mikheil
Saakachvili (dont un certain nombre de représentants ont la double
nationalité israélo-géorgienne et sont d’origine khazare) une aide au
niveau militaire comme au niveau du renseignement dans la guerre de 2008
contre l’Ossétie du sud et L’Abkhazie. Les Israéliens ont également
tissé des liens étroits avec l’Azerbaïdjan, pays qui, à l’instar de la
Géorgie et de l’Ukraine, est historiquement lié à la Khazarie par le
biais des Subbotniks, un groupe indigène de juifs azéris.
Les journalistes du Times of Israel racontent aussi pourquoi,
selon l’assistant anonyme de Netanyahou, le gouvernement israélien
s’efforce de mettre en place une implantation israélienne massive en
Ukraine : « Comme l’a dit le Premier ministre, personne ne saurait dire
aux juifs où ils doivent vivre en tant que peuple souverain. Il est prêt
à faire d’importants sacrifices au nom de la paix, même si cela
implique de renoncer à notre terre biblique de Judée-Samarie. Par
contre, il faut s’attendre à ce que nous fassions valoir nos droits
historiques ailleurs. Nous avons décidé que cela se ferait sur les rives
de la mer Noire, là où nous fûmes un peuple autochtone pendant plus de
2.000 ans. L’historien non-sioniste Simon Dubnow lui-même a déclaré que
nous étions en droit de coloniser la Crimée. Tous les livres d’histoire
en parlent. Vous pouvez vérifier par vous-même. »
Cet anonyme a aussi révélé aux deux journalistes que Netanyahou avait
beaucoup d’estime pour la vigueur des anciens Khazars et rapporte ces
propos, qu’il aurait tenu : « Nous sommes un peuple ancien et fier dont
l’histoire remonte à 4 000 ans. » Mais l’assistant ajoute : « On peut
dire la même chose des Khazars… en Europe, mais pas sur une période
aussi étendue. Mais jetez un œil à la carte : les Khazars n’ont pas eu à
vivre dans les « frontières d’Auschwitz »….
Pour les personnes mal renseignées, dont font apparemment partie le
président Barack Obama et son secrétaire d’État juif John Kerry, l’actuelle
volonté de créer une nouvelle identité nationale israélienne est
directement liée aux activités des dirigeants ukrainiens (Petro
Porochenko, Arseni Iatseniouk, Ihor Kolomoïsky) et à celles de leurs
soutiens états-uniens (Victoria Nuland et Geoffrey Pyatt), occupés à
préparer une terre d’accueil, temporaire ou pas, pour les ashkénazes de
Cisjordanie.
Grâce aux révélations du Times of Israel au sujet du
rapport confidentiel sur les Khazars et l’Israël contemporain, les
manœuvres des États-uniens et de l’Union Européenne visant à
déstabiliser l’Ukraine sont à présent on ne peut plus évidentes.
Le
Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk (Thetan opérant de niveau 6
au sein de l’Église de scientologie) en pleine discussion avec le
mafieux Ihor Kolomoïsky, qu’il a nommé gouverneur de l’oblast de
Dnipropetrovsk. Ce dernier est impliqué dans le massacre d’Odessa du 2
mai 2014 à la tête de sa propre armée, le bataillon Dnipro-1. Il s’est
attaché les services de R. Hunter Biden (fils du vice-président
états-unien Joe Biden) et de Devon Archer (président du Comité de
soutien à la campagne présidentielle de l’actuel secrétaire d’État, le juif John
Kerry) en tant que membres du conseil d’administration de sa holding
d’infrastructures gazières.
NOTES de H. Genséric
[a] Ihor Kolomoïsky
Si Poutine cherchait en fait un Juif
ukrainien méga-riche et influent opérant au sein de la cabale et coupable
d'avoir perpétré des violences contre les Russes, il n'aurait pas à chercher
beaucoup plus loin Ihor
Kolomoyskyi. Cela ne m'a pas surpris lorsque j'ai lu il y a
quelques jours que la commission d'enquête de la Fédération de Russie (le FBI
russe) avait engagé
plus de 400 poursuites pénales visant des responsables ukrainiens, des
militaires et des combattants volontaires, et que Kolomoyskyi était sur le
liste.
|
Ihor Kolomoïsky |
La Russie tente de mettre la main sur
Kolomoyskyi depuis 2014. Kolomoyskyi, qui possède la plus grande banque
d'Ukraine, ainsi que des compagnies aériennes, d'énormes participations dans
les médias ukrainiens et d'autres sociétés, a été accusé en juillet 2014
d'avoir fondé et financé la police de patrouille Dnipro-1 Special Tasks Patrol Police Battalion.
L'unité a été tenue pour responsable par Amnesty International en décembre de
la même année d'avoir bloqué l'aide alimentaire et d'avoir tenté d'affamer les
populations russophones des républiques de Donetsk et Louhansk. Opérant sous le
masque du patriotisme ukrainien, Kolomoyskyi, qui offrait
des primes de milliers de dollars aux séparatistes russes pour les acheter,
tentait en fait d'endiguer le mouvement séparatiste afin qu'il ne s'étende pas
au cœur de ses intérêts commerciaux et de sa ville natale de Dnipropetrovsk. . Avec son
compatriote juif Hennadiy Korban, qui a ensuite fait l'objet d'une enquête pour
détournement de fonds et s'est évidemment exilé en Israël , le couple "a non seulement gagné un
capital politique en sauvant [Dnipropetrovsk] de la guerre, mais a utilisé
cette émergence de Dnipropetrovsk en tant que ville "pro-ukrainienne"
pour protéger intérêts commerciaux de [Kolomoyskyi].
Le « patriotisme » ukrainien et les
attitudes anti-russes de Kolomoyskyi avaient déjà été considérablement
enflammés par la saisie en 2014 de ses avoirs en Crimée par les nouvelles
autorités russes. En 2016, RT a rapporté
que les autorités vendraient les actifs afin d'indemniser les résidents de
Crimée qui avaient été exploités/ruinés par la PrivatBank de Kolomoyskyi :
Vingt entreprises anciennement détenues par l'oligarque ukrainien
Igor Kolomoisky vont être vendues par les autorités de Crimée. Le gouvernement
de la région cherche à indemniser les personnes qui ont perdu de l'argent dans
les banques ukrainiennes, principalement la PrivatBank de Kolomoisky. Le
vice-président de Crimée, Konstantin Bakharev, a déclaré que les actifs de
l'oligarque seront vendus d'ici la fin de l'année pour 2 milliards de roubles
(environ 30 millions de dollars). "L'argent sera transféré au fonds de protection
des déposants pour les paiements d'indemnisation aux résidents de Crimée, dont
les dépôts dans les banques ukrainiennes ont dépassé 700 000 roubles (10 500
dollars)", a-t-il déclaré.
Lorsque le président de l'époque, Petro
Porochenko, a nationalisé la PrivatBank de Kolomoyskyi (qui était également
exploitée par son compatriote juif Gennadiy (Zvi Hirsch) Bogolyubov en 2016, Kolomoyskyi a jeté son influence sur son
compatriote juif et acteur populaire Volodymyr Zelenskyy,
aujourd'hui héros et chéri des médias occidentaux. La campagne de Zelenskyy,
assez étrangement, a commencé avec son apparition sur la chaîne médiatique de
Kolomoyskyi en tant que vedette de la série télévisée Servant of the People,
où il jouait le rôle du président de l'Ukraine. Dans la série, le personnage de
Zelenskyy était un professeur d'histoire au lycée dans la trentaine qui a
remporté l'élection présidentielle après qu'une vidéo virale l'ait montré en
train de dénoncer la corruption du gouvernement en Ukraine. Rétrospectivement,
le spectacle était un chef-d'œuvre d'ingénierie sociale et d'art imitant la vie . Reuters a rapporté
plus tard :
L'une des chaînes de télévision les plus populaires d'Ukraine, 1+1,
détenue par l'oligarque juif Ihor
Kolomoisky, a donné à Zelenskiy une plate-forme puissante ces derniers mois
lors de son ascension fulgurante au bord de la présidence . Samedi, un jour avant que Zelenskiy ne
remporte le premier tour du concours présidentiel et n'organise un second tour
avec le titulaire Petro Porochenko, 1+1 a rempli son programme avec des
spectacles consécutifs du comédien et acteur.
Il y avait d'abord un certain malaise que
tout cela pourrait être trop évident. « Il y a des raisons légitimes de
s'inquiéter pour l'avenir de la communauté juive ukrainienne », a déclaré
le juif Vladislav Davidzon, rédacteur en chef du magazine Odessa Review. "Avoir
un président juif, qui est également soutenu par un oligarque juif picaresque,
pourrait faire en sorte que les magouilles et les échecs soient dirigés contre
la communauté juive." Il n'avait pas besoin de s'inquiéter. Zelenskyy
a pris de l'importance et l'une de ses premières mesures a été de nommer son
compatriote juif Volodymyr Groysman au poste de Premier ministre et de descendre
en flammes Porochenko, déclenchant une séquence d'événements qui entraîneraient
l'annulation
de la nationalisation de PrivatBank et le retour de la banque à Kolomoyskyi.
Bien que se présentant comme un populiste anti-corruption, les liens de
Zelenskyy avec Kolomoyskyi ont continué à le poursuivre, et en octobre 2021, il
a été
révélé via les Pandora Papers que Zelenskyy, qui a constamment nié être une
«marionnette» de l'oligarque juif, et son associés avaient reçu 40 millions de
dollars sur des comptes offshore provenant de fonds liés à Kolomoyskyi.
Kolomoyskyi et sa création
La majeure partie de cet argent a été
prélevée sur le peuple ukrainien. Kolomoyskyi, qui a agi en tant que président
de la Communauté juive unie d'Ukraine, a généreusement partagé sa richesse
acquise frauduleusement avec les Juifs du monde entier et a fondé l'Union juive
européenne avec Vadim Rabinovich. Il a fait l'objet d'enquêtes pendant des
années par le FBI et le ministère américain de la Justice, en particulier pour
avoir poursuivi un "vaste stratagème pour voler des millions de dollars
à la plus grande banque d'Ukraine et transférer l'argent aux États-Unis pour
acheter des aciéries et des gratte-ciel, sans parler des milliards d’argent
sale transférés en Israël". Dans une
enquête spéciale, le Pittsburgh Post-Gazette a rapporté la semaine
dernière que les efforts de Kolomoyskyi pour blanchir l'argent ukrainien volé
aux États-Unis, via ses associés juifs du sud de la Floride, tels que Mordechai
"Motti" Korf et Uriel Laber, ont
laissé un sillage de dévastation économique :
L'un des hommes les plus riches d'Ukraine, l'oligarque de 59 ans est
accusé d'avoir créé des sociétés fictives, nettoyé l'argent sale au moyen des
propriétés américaines et finalement laissé un ensemble de bâtiments condamnés, d'installations
sidérurgiques défaillantes et de millions d'impôts fonciers impayés, comme le
montrent les archives judiciaires. Alors que de l'argent était transféré dans
le pays pour l'une des sociétés de l'oligarque, ses opérateurs ont fermé Warren
Steel dans l'Ohio en 2016, devant des millions en taxes foncières, factures
de services publics et fournitures. Pendant des semaines, les travailleurs se
sont retrouvés sans couverture médicale parce que la prime d'assurance n'a pas
été payée, selon les dossiers et les entretiens. "Beaucoup de gens sont
partis d'ici très en colère", a déclaré Nancy Waselich, ancienne
responsable informatique de l'usine. "Les gens ont sué sang et eau pour cet
endroit." Bien que personne n'ait été
inculpé jusqu'à présent, les procureurs ont engagé des poursuites
judiciaires pour saisir des propriétés qui, selon eux, ont
été achetées avec de l'argent volé à la banque ukrainienne, dont M.
Kolomoisky était l'un des principaux actionnaires.
Fedin Shandor, professeur à l'Université
d'Uzhgorod et conseiller du gouvernement en matière de développement
touristique, a
décrit Kolomoyskyi comme "une sangsue qui suce notre sang ici et le
planque en Suisse". Cette «sangsue» a également insulté pendant des
années Vladimir Poutine, déclarant
publiquement en 2014 que Poutine était “un
minable schizophrène. Il est complètement incompétent. Il a complètement perdu
la tête. Sa volonté messianique de recréer l'empire russe de 1913 ou l'URSS de
1991 pourrait plonger le monde dans la catastrophe.
”
[b] Une
revenante : Victoria Nuland
Victoria Nuland a un parcours impérial de
toute beauté.
Mariée au néo-con Robert Kagan , elle a d'abord été adjointe de
Madeleine "Kosovo" Albright, puis ambassadrice permanente de Bush Jr
à l'OTAN,
conseillère pour la politique étrangère de Dick Cheney, envoyée
spéciale de l'hilarante
Clinton et enfin secrétaire d’État assistante pour l'Europe
et l'Eurasie sous l'administration
Obama. Démocrates, Républicains, tout y
passe du moment que c'est pour la cause supérieure.
Elle connaît son Grand jeu
sur le bout des doigts...
HOLOCAUSTE UKRAINIEN, supervisé par
l'ancêtre de Robert KAGAN
Source : Toronto Sun - 13 décembre 1998
En 1932, le dirigeant soviétique Josef Staline a déclenché un génocide en
Ukraine.
Staline, était déterminé à forcer des millions d'agriculteurs
indépendants en
Ukraine – appelés koulaks – à entrer dans l'agriculture
soviétique collectivisée .
Face à la résistance à la collectivisation, Staline a déclenché la terreur et
envoyé
25.000 jeunes militants fanatiques du parti de Moscou pour forcer 10
millions
de paysans ukrainiens à fermes collectives. Les unités de police
secrètes de l’OGPU
ont commencé à exécuter agriculteurs récalcitrants.
Lorsque l'OGPU n'a pas atteint les quotas hebdomadaires d'exécution, Staline
a
envoyé un homme de main, Lazar Kaganovitch (ancêtre de Robert Kagan)
pour détruire la résistance ukrainienne. Kaganovitch a rempli son quota en
tuant
10.000 Ukrainiens chaque semaine. Quatre-vingt pour cent de tous les
intellectuels ukrainiens
ont été exécutés. Un membre du parti ukrainien, nommé
Nikita Khrouchtchev
a aidé à superviser le massacre.
Kaganovitch et de nombreux officiers supérieurs de l'OGPU (plus tard, NKVD)
étaient juifs.
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSÉRIC
Enquête centrale, il faut en faire le fer de lance pour faire éclater la bulle du narratif émotionnel sur l'Ukraine dans la population, revenir à la raison.En suisse, lors de la votation sur le covid, les amis de la constitution avaient mis sur pieds un système de souscription pour financer les journaux et imprimés. Vous pouviez financer l'envoi des journaux par canton, selon vos moyens. Cela a eu un impact énorme et a limité fortement la propagande gouvernementale.
RépondreSupprimerIl faudrait faire pareil, imprimer cet article avec tous les compléments nécessaires, lancer une souscription,imprimer, et faire des envois ciblés. Ça à l'air de rien, mais ça aura un impact certain.
C'est intéressant parce que la Crimée avait déjà été convoitée par Lénine pour y mettre en place son État juif. Ça avait été modérément apprécié par le peuple soviétique… entendu que la Crimée est un peu la « Côte d'Azur » locale. Elle est certainement plus attractive que le Birobidjan, qui n'a jamais eu beaucoup de succès (1 % de juifs).
RépondreSupprimerSinon, la victoire de l’empire russe sur l’empire khazar a déjà été généreusement vengée au XXe siècle ! Une nouvelle vengeance me paraîtrait un peu superfétatoire…
Une mobilisation populaire en Europe contre la propagande, des vassaux de l'OTAN qui nous servent de gouvernement, serait une nécessité absolue. Cela demanderait une mobilisation
RépondreSupprimerencore plus grande que pour la période programmée du covid. Malheureusement les troupes sont fatiguées et l'Ukraine c'est bien loin. Mauvaise idée, ce qui s'en vient est, à mon avis, beaucoup plus violent.