Covid-19 est une guerre bioterroriste voulue par Fauci, l’armée
US, la CIA, les Chinois, la France, et les pharmaceutiques!
Fauci développe des armes de guerre biologiques, disposant d’un
budget de 6,1 milliards de dollars par an. Le virus du Covid-19 est bricolé par
les chinois sous la direction des Américains. En clair, si les Chinois ont
modifié (gain de fonction) le coronavirus naturel, ils l'ont fait sur l'ordre
de leurs partenaires américains et selon leurs instructions. Les chinois du
labo P4, Buzyn et l’INSERM jouent un rôle non négligeable dans cette histoire
incroyable.
Cet article propose une
histoire longue du Covid-19, remontant aux années 70 jusqu’à nos jours.
1-2°)-L’article majeur rédigé par Monika Karbowska, de Wikijustice Julian
Assange : “Comment en 20 ans la « pandémie grippale » Covid a été préparée
comme une guerre bioterroriste”, postée dans la lettre politique indépendante
du 12 juillet 2021 et rééditée à de nombreuses reprises, notamment le 10
septembre 2021. 1-3°)-L’article de blog rédigé par Israël Adam Shamir intitulé
La boite de Pandore, publié le 11/06/2021 sur le site “La plume et l’enclume”.
Et rebaptisé : “Le Covid est une création sino-franco-américaine”, repostée
dans la lettre politique indépendante du 10 septembre 2021.
Mon article est déjà très long. De ces trois articles, je n’ai retenu que les points les plus saillants, car ils se complètent les uns les autres : et ne peux bien sûr que vous recommander leur lecture intégrale. Sur le fond, que nous disent ces trois articles ? Malgré l’interdiction de Nixon en 1972 des armes biologiques, les Cheney et Bush testent en 2001 des simulations de guerre biologique mondiale : Dark Winter. On y teste l’état d’urgence, le couvre-feu, le confinement et surtout la vaccination massive obligatoire. Fauci développe des armes de guerre biologiques, disposant d’un budget de 6,1 milliards de dollars par an. Le virus du Covid-19 est bricolé par les chinois sous la direction des Américains. En clair, si les Chinois ont modifié (gain de fonction) le coronavirus naturel, ils l'ont fait sur l'ordre de leurs partenaires américains et selon leurs instructions. Les chinois du labo P4, Buzyn et l’INSERM jouent un rôle non négligeable dans cette histoire incroyable.
2°)- Article :
Il n’y a plus de pensée critique. Depuis le 15 mars 2020, date du premier confinement, la pandémie de covid-19 est présentée comme une épidémie “normale”, “allant de soi”. Du jour au lendemain, nous nous sommes tous confinés, afin de nous protéger de ce danger soi disant “extérieur”. Mais ce n’est pas vrai. D’où l’importance de déconstruire ce discours menteur, raconter la politicogenèse de cette guerre bio-terroriste voulue au départ par Fauci, l’armée US, la CIA et l’industrie pharmaceutique américaine. Comme analyse d’entrée de jeu Monika Karbowska, dans son article : “ Comment en 20 ans la « pandémie grippale » Covid a été préparée comme une guerre bioterroriste”, op. cit. : ”nous avons affaire à un discours planétaire uniforme porté par tous les grands groupes médiatiques les plus puissants du monde. Ce discours est très éloigné de ce que vivent alors les peuples d’Europe, la réalité d’une maladie dont l’analyse reste à écrire après une enquête citoyenne indispensable”(sic).
De son côté, Robert Kennedy junior, dans son ouvrage sur Fauci, montre comment la guerre biologique scandaleuse a été développée par les Etats-Unis jusque dans les années soixante. Un moment interdite, puis mise en oeuvre secrètement, notamment par le sieur Antony Fauci.
1°)- L’interdiction des armes biologiques par le traité de 1972 :
Dans les années 50, la CIA était très impliquée dans les armes biologiques, ainsi que l’industrie pharmaceutique. George W. Merck, qui était à l’époque également à la tête de Merck, avait la double casquette de chef de laboratoire d’armes biologiques et de responsable politique, développant des armes biologiques. Reprenant le triste mode opératoire nazi, où les compagnies pharmaceutiques allemandes et les responsables politiques produisaient des armes biologiques, des gaz utilisés pour tuer les juifs à Auschwitz et autres camps de la mort. Le chef du programme d’armes biologiques, David France, estimait que les Etats-Unis avaient des armes biologiques, qui pouvaient avoir le même impact qu’une bombe nucléaire.
En 1969, Richard Nixon a fermé le programme. Il s’est rendu à Fort Detrick, qui est l’endroit où se trouve le principal centre de recherche sur les armes biologiques aux États-Unis. Il l’a fermé et signé en 1972 le traité sur les armes biologiques, qui était une extension du traité de Genève. Les Etats-Unis ont accepté de ne pas stocker d’armes biologiques, et de ne plus les développer. Les États-Unis ont donc fermé Fort Detrick et d’autres laboratoires d’armes biologiques. Dans les années soixante-dix, les armes biologiques sont donc prohibées aux Etats-Unis. Mais les militaires, la CIA, certains hommes politiques voulaient recommencer. La contre offensive est lancée par Dick Cheney, Directeur de Cabinet de Georges W.Bush au début des années 2000.
2°)-Dark Winter, les préparatifs pour la guerre biologique mondiale :
Voilà ce qu’écrit Monika : Judit Miller est journaliste au New York Times au début des années 2000. Elle y rédige des articles et des livres affirmant prouver l’existence des armes de destructions massives de Saddam Hussein, premier mensonge planétaire de l’administration George W. Bush. Connue pour être proche de Dick Cheney, le directeur de cabinet de Georges W, Bush, elle participe à la propagande guerrière en affirmant avoir été victime d’une « attaque à l’anthrax » – l’affaire de l’anthrax a été le prélude aux bidonnages sur les armes de Saddam Hussein alors que les enveloppes prétendument reçues par les sénateurs et journalistes américains étaient soit vides de poison, soit sortis probablement de Fort Detrick laboratoire militaire américain désormais bien connu depuis la crise Covid. L’opinion américaine croit le mensonge sur les armes de destruction massive irakiennes. Finit par accepter la guerre contre Saddam. Or Judit Miller, « Madame Anthrax », participe depuis le début à ce qui deviendra « le storytelling Covid ». Elle s’est en effet « entrainée » en tant que journaliste à se préparer à une « guerre bactériologique » en participant à la simulation « réponse à une pandémie – Dark Winter », exercice militaire que le pouvoir militaire états-unien a organisé en juin 2001.« Dark Winter » met en scène une attaque avec le virus de la variole. Il s’agit d’un des premiers des nombreux exercices militaire que les Etats Unis murissent depuis 1999 et qu’ils imposeront au monde occidental à partir de 2002.
En 1997 l’armée américaine en quête de domination mondiale après la destruction de l’Union Soviétique élabore sous prétexte de lutte contre le terrorisme, des plans de « contre-attaque à une guerre bioterroriste » et crée le Center for Health Security (Centre pour la sécurité Sanitaire – en 1998 son nom est Center for Civilian Biodefense Strategy) subventionné par la fondation General Motors à l’Université John Hopkins.
La première « simulation» a lieu en février 1999 à la John Hopkins University. Les représentants de 10 pays y étaient conviés pour élaborer « une Stratégie de Santé Publique Nationale en réponse à une attaque bioterroriste ». Comme l’attaque bioterroriste doit être « mondiale », la réponse doit être mondiale et les solutions élaborées sonnent de manière étrangement familière à nos oreilles aujourd’hui : état d’urgence, couvre-feu, confinement et vaccination massive imposée, le business du Big Pharma n’étant pas oublié. Dès cette première simulation les gouvernements occidentaux se familiarisent avec l’idée d’utiliser la police pour enfermer les populations dans des quarantaines forcées. Avec l’arrivée de Georges W Bush au pouvoir les projets de domination prennent de l’ampleur : le président Bush et son secrétaire d’Etat Dick Cheney ainsi que James Woolsley chef de la CIA, participent à l’exercice de simulation « Dark Winter », du 22 au 25 juin 2001 qui a lieu à la base militaire Andrew près de Washington. Les médias sont à l’honneur pour apprendre à bien « gérer » la population et soutenir l’effort de guerre américain. Le New York Times, la NBC, le CBC, Fox News et la BBC sont présents – tous ceux qui lanceront la propagande anti-irakienne après le 11 septembre.
Surtout, l’exercice militaire prépare déjà minutieusement la « gestion » de la population civile : que la vaccination de masse obligatoire soit imposée comme le seul remède possible ne nous étonnera plus aujourd’hui. “Dark Winter”, c’est déjà la prohibition de toute vie sociale, la fermeture des écoles et des universités, la suppressions des événements culturels, des activités associatives et politiques, des loisirs et des sports…Tout ce que nous vivons aujourd’hui présenté comme “forcé”, “obligé”, “inévitable”, “incontournable” : alors que cette stratégie de Dark Winter n’est jamais que la stratégie des faucons imaginée par les Bush, Cheney, et chef de la CIA de l’époque : James Woolsley.
Les ministres de la santé des pays occidentaux glissent de façon déconcertante de l’attaque biochimique à une épidémie naturelle comme si des deux phénomènes devaient être gérées à la manière militaire avec état d’urgence, enfermement des populations rebelles, couvre-feu et vaccination forcée. La CIA, bien sûr, est très impliquée dans les armes biologiques et l’industrie pharmaceutique. En 1993, il y eut la première attaque du World Trade Center. Tout l’argent, destiné à l’éducation et à l’usage civil a soudainement disparu. Les intérêts acquis poussèrent à dépenser cet argent dans la lutte contre le terrorisme. En 2001, il y eut les attaques du 11 septembre. A ce moment-là, des milliards, des dizaines de milliards de dollars se sont déversés pour développer les armes biologiques, car l’idée était de combattre le terrorisme islamique.
Fauci développa des armes de guerre biologiques, malgré les traités. Tony Fauci a un budget de 6,1 milliards de dollars par an. En plus de cela, il reçoit 1,6 milliard de l’armée. Tony Fauci a financé un scientifique appelé Ralph S. Baric, à l’Université de Caroline du Nord. Il a commencé à construire des laboratoires de biosécurité, ce qu’ils appellent des laboratoires BSL, quatre laboratoires, au plus haut niveau de biosécurité. Il a réouvert le laboratoire de Fort Detrick et en a construit un nouveau là-bas. Il en a construit un à Galveston, au Texas. La Chine a un de ces laboratoires. Il y en a une dizaine aux États-Unis.
Mais, vers 2014, un tas d’accidents se sont produits dans ces laboratoires, des microbes se sont échappés. Trois cents scientifiques ont envoyé une pétition au président Obama le suppliant d’arrêter Tony Fauci et ses expériences avant de causer une pandémie mondiale. Le président Obama a réagi et a ordonné à Tony Fauci et au NIH d’arrêter les études sur le gain de fonction. Fauci a transféré ces études sur le gain de fonctions à Wuhan.
3°)- Le Covid-19, création sino-franco-américaine :
Que nous dit Israël Adam Shamir ? “Le virus mortel du Covid-19 a été bricolé par des gâte-sauce chinois sous la direction des Américains. Les mains étaient chinoises, mais la voix était celle de l'Oncle Sam. En clair, si les Chinois ont modifié (gain de fonction) le coronavirus naturel, ils l'ont fait sur l'ordre de leurs partenaires américains et selon leurs instructions. Il est encore plus probable que la contribution chinoise ait été secondaire, car ils ne possèdent pas le savoir-faire nécessaire pour modifier un virus. Qu'il s'agisse d'une fuite accidentelle d'une arme biologique ou d'un déploiement intentionnel de bioterrorisme (comme l'a exposé au grand jour Ron Unz), dans les deux cas, les États-Unis sont le principal acteur de l'histoire”(sic). Fauci dans la boîte de Pandore du virus à gain de fonction – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/264559 Le CDC américain a déposé une demande de brevet sur le SARS-CoV en 2004 ; il a été accordé en 2007. Ils ont continué à modifier le virus pendant quelques années, en essayant de le rendre plus infectieux et plus mortel. Après que la recherche sur le gain de fonction a été interdite par le gouvernement américain en 2014, elle a été rapidement délocalisée au laboratoire de Wuhan.
La recherche a été discrètement poursuivie avec des subventions américaines provenant (en partie) du célèbre Dr Fauci via le non moins célèbre Peter Daszak et son EcoHealth Alliance, d'une subvention de 39 millions de dollars du Pentagone. Laboratoires militaires de développement d’armes virales de tuerie de masse – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/266370
La conclusion que le virus a été fabriqué par des Chinois sous instructions américaines a également été validée il y a plus d'un an, en avril 2020, par Tsarfat, un blogueur franco-juif, qui a affirmé que Ralph S. Baric était l'homme qui a militarisé le virus en 2015, "et a décrit sans aucune inhibition comment il a pris ce qui semble être une souche naturelle d'un virus de chauve-souris et a modifié ses propriétés en ajoutant des souches de VIH (la protéine Spike en question)"
L'institut de Wuhan, dit Glazyev, travaillait en étroite collaboration avec un laboratoire américain plus avancé. Les scientifiques chinois qui travaillaient à Wuhan avaient auparavant suivi une formation et mené des recherches aux États-Unis. Les États-Unis sont le seul pays au monde à disposer des compétences nécessaires pour créer un tel virus.Comme écrit Dick Ma : “Tu oublies l’implication de la France par le biais de l’INSERM d’Yves Lévy et de sa femme Agnès Buzyn. Sans oublier aussi toute la Hollandie, pour avoir donné accès aux technologies de labo P4 dans ces cas là.
Et Gérard Luçon d’ajouter : “je ne comprends pas pourquoi on cache le rôle de la France et notre présence forte à Wuhan. On a créé ce laboratoire. On y a envoyé 50 chercheurs en 2017 pour une durée de 5 ans. Ils sont rentrés en avion fin janvier 2020. Et l'institut Pasteur est mouillé jusqu'au cou dans tout ce qui est arrivé à Wuhan ! Il ne pouvait rien se passer dans le P4 de Wuhan à l'insu des français”. Résultats de recherche pour « laboratoire » –
Tout ce que nous vivons donc aujourd’hui, et depuis le dernier trimestre de l’année 2019, relève donc du Grand Mensonge. Et de la manipulation meurtrière des Peuples de la Planète, afin de diminuer drastiquement le nombre d’êtres humains, en ligne droite du rapport Kalergi. En particulier, la supposée “nécessité” de la vaccination obligatoire, qui pre-existait au Covid-19, a été imposée comme incontournable par des politiques (Bush, Cheney), ignorant tout de la virologie, lors des exercices de simulation de “Dark Winter” de 2001. Le rappel de l’histoire longue du Covid-19 donne pleinement raison aux manifestants anti dictature vaccinale, présents par millions dans la rue (3,9 millions le 11 septembre 2021, chiffre du collectif Antipasssanitaire) depuis le 17 juillet 2021. Notre colère est justifiée par le récit historique précis de la politique faite au nom de la “santé” des américains de ces 40 dernières années.
Par Brigitte Bouzonnie.
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