mercredi 23 mars 2022

Ukraine. l’alliance entre Juifs et néo-nazis est-elle contre nature ?

Cet article de Henry Laurens est important car il permet de comprendre l’alliance judéo-nazi ukrainienne. Il montre que cette alliance date depuis longtemps, et en particulier depuis l’avènement d’Hitler comme chancelier. Voir les démocraties de théâtre soutenir un tel régime dépasse l'entendement. La plus grande menace pour les peuples européens n'est pas la Russie de Poutine mais c'est ce clan mafieux qui a pris l'Occident en otage pour son plus grand malheur ! L'OTAN et l'Union européenne sont devenues des chaînes qui maintiennent les peuples en esclavage et qui les entraînent malgré eux, vers la guerre de tous contre tous.
H. Genséric

Février 1934. — Le premier groupe de juifs allemands
de la Jugend-Alija (immigration de la jeunesse)
débarque au port d’Haïfa.

À l’arrivée d’Adolf Hitler au pouvoir en janvier 1933, l’Allemagne est menacée par une campagne de boycott international. Pour tenter de la contrecarrer, le nouveau pouvoir va signer un accord avec le mouvement sioniste, qui survivra jusqu’à l’éclatement de la guerre en 1939. Et le sionisme sera le seul mouvement politique juif autorisé en Allemagne durant cette période.

 

Dès son origine à la fin du XIXe siècle, le mouvement sioniste se construisait contre deux ennemis, l’antisémitisme et l’assimilationnisme. Le second était considéré comme le plus dangereux à long terme puisqu’il aboutissait à une disparition progressive de l’identité juive par abandon du judaïsme, par mariages mixtes et éventuellement par conversion. Bien sûr, l’antisémitisme était honni quand il s’agissait d’actes de violence comme les terribles pogroms du Moyen Âge en Europe (France, Espagne, Russie, etc.), mais s’il se limitait à des faits d’opinion ou à des discriminations, il pouvait paradoxalement être vu comme positif, car il maintenait les juifs concernés dans leur identité spécifique.

Les premiers chefs du mouvement sioniste ont des relations plutôt bonnes avec les antisémites avoués, en tout cas en Europe de l’Ouest. Theodor Herzl1 fréquente à Paris des antisémites notoires, tandis que Chaim Weizmann2 joue constamment sur l’antisémitisme. Ainsi, lors de son premier entretien avec Lord Balfour, en décembre 1914 (avant que celui-ci entre au gouvernement britannique), il se déclare d’accord avec bien des points de vue des antisémites allemands : la tragédie est que les juifs allemands abandonnent le judaïsme sans être reconnus comme vraiment allemands par les autres Allemands. Durant toute son action politique, y compris dans les années 1920, il évoque le côté destructeur du judaïsme que seul le sionisme peut remettre sur la bonne voie.
Dans les premières décennies du mandat britannique sur la Palestine, les bâtisseurs du « foyer national juif » se heurtent à des difficultés presque insurmontables. L’émigration juive est conditionnée aux moyens financiers et ceux-ci sont insuffisants. On est fort loin de pouvoir espérer un jour constituer une majorité juive à même d’établir son État sur le pays. En 1929, la création de l’Agence juive qui associe au projet les juifs non sionistes permet d’espérer une amélioration de la situation financière, mais la crise mondiale entraîne plutôt un affaiblissement des contributions de la diaspora.
Il est difficile aujourd’hui d’aborder la question des juifs allemands sans avoir à l’esprit l’extermination de la seconde guerre mondiale. Ils étaient certes exposés à des formes plus ou moins ouvertes d’antisémitisme, avec des discriminations de fait dans la fonction publique, mais l’Allemagne restait un État de droit. Ils étaient particulièrement représentés dans les professions libérales et dans les milieux de la création culturelle. En ce qui concerne l’assimilation, dans les années qui précèdent 1933, la proportion de mariages avec des conjoints non juifs était supérieure à 33 %, plusieurs fois celle des juifs français « républicains » de la même période. Ceci combiné avec une faible natalité explique une stagnation, voire une diminution de la population juive par rapport aux dernières décennies du XIXe siècle (autour de 500 000 personnes). L’arrivée des juifs dit « étrangers » a compensé en partie ce déclin, mais on pouvait s’inquiéter du risque de voir la communauté juive disparaître par assimilation. Autour de 1930, on comptait approximativement une quarantaine de milliers de juifs convertis au christianisme et une centaine de milliers d’« étrangers ».
Depuis plusieurs décennies, les institutions communautaires combattent l’antisémitisme de différentes façons, tandis que les sionistes très minoritaires s’en abstiennent en concentrant l’essentiel de leur action sur l’émigration en Palestine, avec relativement peu d’effets (entre 1920 et 1932, 42 000 juifs quittent l’Allemagne dont seulement 3 000 pour la Palestine).

Hitler au pouvoir
La prise de pouvoir par les nazis en Allemagne à partir du 30 janvier 1933 constitue un terrible choc dans un monde déjà bien ébranlé par la crise mondiale. Les premiers actes de terreur du nouveau régime allemand visent en priorité non pas les juifs, mais les communistes pour qui les premiers camps de concentration sont ouverts. Les violences antijuives commencent en mars 1933. Les protestations internationales donnent ensuite prétexte à un boycott des commerces juifs. Les intellectuels juifs rejoignent les intellectuels de gauche dans l’exil.
Immédiatement se pose le problème des réactions internationales. Les dirigeants juifs allemands, y compris les sionistes, implorent les responsables juifs de l’extérieur de ne pas se lancer dans des actions hostiles à l’Allemagne, qui ne pourraient qu’aggraver la situation des juifs allemands. L’attitude est identique de la part de la direction du Foyer national qui envoie un télégramme à la chancellerie du Reich pour affirmer qu’aucun organisme sioniste n’avait appelé à un boycottage commercial de l’Allemagne. Néanmoins ces appels n’empêchent pas de fortes manifestations de protestation dans le monde, souvent de la part des anciens combattants juifs, alors que le boycott des commerçants juifs en Allemagne semble avoir été rapidement un échec.
Il n’en reste pas moins que les juifs sont chassés de la fonction publique et des fonctions juridiques ainsi que d’un grand nombre de professions. Beaucoup ont l’illusion de croire que c’est une crise temporaire et que tout rentrera dans l’ordre rapidement. Certains envisagent, comme les sionistes, une entente entre « nations » séparées. Après tout, ils considérent que les mariages mixtes sont bien plus dangereux que la persécution en cours.

Boycott ou transfert

Les premières mesures antijuives provoquent une forte réaction internationale. La droite sioniste dite « révisionniste » milite particulièrement contre les actions des nazis tandis que les notables dans les pays occidentaux ne veulent pas créer de troubles. Ils espèrent une action diplomatique de leurs gouvernements.
Le mouvement de boycott des produits allemands vient plutôt de la « base ». Pour les nazis, il rappelle le terrible blocus de la première guerre mondiale et entre dans le cadre de leur vision complotiste d’une puissance juive mondiale. Au moment où la dévaluation du dollar affaiblit encore plus les échanges mondiaux, la crise de change frappe particulièrement l’Allemagne, lourdement endettée envers les États-Unis. La chute du crédit allemand ne permet plus d’emprunter pour pouvoir rembourser les emprunts précédents. Durant l’été 1933, les réserves de change ne couvrent qu’un mois d’importations alors que le régime nazi a refusé de suivre le Royaume-Uni et les États-Unis dans une politique de dévaluation. De surcroît, l’Allemagne a suspendu le paiement de ses dettes envers l’étranger, puis l’a repris partiellement. Or les importations sont vitales pour faire tourner la machine économique : l’agriculture est loin de fournir la totalité des besoins alimentaires, l’industrie a besoin de minerai de fer et les transports dépendent du pétrole et du latex venus de l’étranger.
L’une des solutions envisageables est de se passer de la monnaie en échangeant de la marchandise contre de la marchandise, ce qui implique un équilibre entre les importations et les exportations, procédé de plus en plus courant dans les années 1930.
Il est certain que le mouvement de boycott lancé au printemps 1933 a eu un impact sur les exportations allemandes déjà atteintes par les dévaluations des compétiteurs et la baisse de la demande mondiale. Dans ce contexte, un homme d’affaires audacieux, Sam Cohen, propose dès mars 1933 un accord de transfert : les juifs qui voudraient émigrer en Palestine pourraient mettre sous séquestre leurs biens en Allemagne et recevoir en compensation la contrepartie en marchandises allemandes. On obtiendrait des visas dits « capitalistes » conditionnés à l’importation d’un capital d’au moins 1000 livres sterling. Après un certain nombre de péripéties, il est rejoint dans ce projet par des cadres de l’Agence juive. L’accord est finalisé en août 1933. Il est entendu que le mouvement sioniste mettra tout son poids pour mettre fin au boycott. C’est ce qui se passera dans les faits. Le troc sera très approximatif, les émigrants perdant une part de leur capital qui devient de plus en plus importante à fur et à mesure que l’on se rapproche de 1939.

Seul mouvement juif autorisé

Il y a incontestablement là une convergence d’intérêts entre le mouvement sioniste qui manque de capitaux et d’émigrants (l’ensemble est indissociable) et le nazisme qui veut une Allemagne vide de juifs. Cette dimension explique pourquoi l’accord de transfert fonctionnera pleinement jusqu’au début de la seconde guerre mondiale en septembre 1939. L’accord de troc sera élargi à l’ensemble de l’économie palestinienne, juive et arabe. L’Allemagne deviendra un importateur majeur d’agrumes palestiniens en échange des marchandises allemandes.
Il y aura ainsi durant toute cette période une relation de travail entre les sionistes et les nazis. Le sionisme sera le seul mouvement juif politique autorisé dans l’Allemagne nazie. L’immigration dite « capitaliste » permet par le mouvement économique induit d’obtenir des visas conditionnés par la capacité d’absorption qui ont bénéficié surtout à des juifs polonais. L’idée d’un sauvetage in extremis d’une population en danger de mort est une illusion rétrospective. La détérioration de la situation en Palestine à partir de l’été 1936 conduit à une forte réduction de l’émigration, mais le mouvement sioniste s’oppose fermement à la conclusion d’un accord équivalent de transfert de juifs dans d’autres pays. Pour les responsables sionistes, le transfert doit s’étaler sur une vingtaine d’années.
Environ 53 000 juifs allemands émigrent en Palestine, des gens jeunes pour la plupart ; 140 000 d’entre eux périront dans la Shoah, ce qui veut dire qu’au moins 300 000 ont pu se sauver par d’autres moyens.

Des polémiques qui durent

Pour réintégrer l’accord de transfert dans son contexte historique, il faut rappeler que la violence politique est endémique en Allemagne durant cette période. Il y a probablement plus de morts dus à des actes politiques de 1918 à 1932 que de 1933 à 1938. Aussi répugnant que le régime nazi puisse paraître, il n’a fait « que » quelques milliers de victimes jusqu’au déclenchement de la seconde guerre mondiale quand le stalinisme dans le même moment en faisait des millions. La rupture de 1933 est ainsi moins importante pour les contemporains que pour nous.
Les tentatives d’accommodement du sionisme avec le nazisme étaient de même nature que celle de l’Église catholique, qui a conclu un concordat, et celles des politiques d’apaisement des démocraties. La discussion sur l’efficacité du boycott confond deux éléments essentiels. Le boycott n’aurait pas en soi entravé la reprise économique intérieure allemande qui avait déjà commencé en 1932 et qui ensuite a été relayée par la politique de réarmement à outrance. C’est la thèse générale des défenseurs de l’accord dans l’historiographie actuelle. Elle ne prend pas en compte la question du change. Durant l’été 1934, la couverture des importations est tombée à une seule semaine : un mouvement de boycott en Amérique du Nord et en Europe éventuellement soutenu par les syndicats ouvriers constituait bien un risque majeur pour l’économie allemande. On ne peut pas aller plus loin dans le contre-factuel.
Il faut ajouter que dans la même période les milieux dirigeants sionistes évoquaient aussi un « transfert » d’au moins une partie de la population arabe en dehors de la Palestine.
À un moment où une école pseudo-historique évoque les relations entre le nazisme et les nationalistes arabes, qui sont pratiquement nulles dans les années 1930, il est bon de rappeler que c’est le mouvement sioniste qui a une relation de travail avec les nazis, y compris les SS. Il ne s’agit pas d’assimiler l’un à l’autre, mais de remettre les uns et les autres dans leurs cadres historiques.

Par  Henry Laurens  25/2/2019

Agrégé d’histoire et diplômé d’arabe littéraire de l’Institut national des langues et civilisations orientales. Henry Laurens est depuis 2004 professeur au Collège de France, où il est titulaire de la chaire d’histoire contemporaine du monde arabe.

Source

VOIR AUSSI :

-   La Collaboration entre Nazisme et Sionisme (I)
-   La collaboration entre Nazisme et Sionisme (II)
-   Les origines juives d'Adolf Hitler
-   Les Accords de Munich ou comment l'Ouest voulait -déjà-exterminer les Russes
-   Israël n’est pas gêné de collaborer avec des nazis anti-juifs
-   Les racines nazies et anti-russes de l’Union européenne
-   American Pravda : Juifs et Nazis
-   Quand les néo-nazis volent au secours de l’État sioniste
-   Le "Manifeste anti-juif" de Dresde de 1882 expliquait déjà le Nouvel Ordre Mondial

Hannibal GENSÉRIC

 

11 commentaires:

  1. LES DEUX HOLOCAUSTES

    Il semble que le père d'Hitler était un fils illégitime né d'une relation délibérée d'un Rothschild avec la grand-mère du futur Furher, qui était femme de chambre chez lui. Hitler avait donc du sang juif Rothschild dans les veines. et probablement aussi la syphilis, qui affecte gravement le cerveau. C'est plausible, car les Rothschild, qui ont financé la creation des Illuminati de Bavière (1776) et qu'ils adorent lucifer/satan, recourent à des expédients diaboliques similaires pour créer des marionnettes à surveiller en permanence et les pousser à agir comme des automates (voir aujourd'hui Mk-ultra) d'une manière qui est presque complètement incompréhensible pour l'homme "ordinaire", comme dans le cas présent, où la haine d'Hitler à moitié juif (et des hiérarques nazis juifs ou d'origine juive) envers les Juifs, en vue de la création du mythe de l'Holocauste. Probablement, ni Hitler ni les hiérarques étaient pleinement conscients qu'ils étaient des marionnettes Rothschild. Il est évident qu'il y a eu des victimes juives (comme avec le Covid d'aujourd'hui en Israel) dans les camps de concentration, comme il y en a peut-être eu en plus grand nombre, des victimes d'autres ethnies ou catégories sociales, mais seuls les juifs (evidemment les chefs religieux/politiques, qui n'ont aucun scrupule à sacrifier meme leur camarades ordinaires), ont pu créer une sorte de religion dogmatique et intouchable, qui est l'Holocauste, sur la croyance mondial du quel, selon le professeur Faurisson, est basé le pouvoir énorme et démesuré que le monde judaique exerce sur l'humanité, surtout des derniers deux ou trois siècles. Le professeur Faurisson a été « crucifié » par les Juifs durant toute sa vie pour avoir démontré avec des preuves scientifiques accablantes que les chambres à gaz n'ont jamais existé et que le nombre de six millions est une ahurissante absurdité.

    Pour établir la vérité une fois pour toutes il suffirait de mener des enquêtes, des études, des recherches, avec des scientifiques et des spécialistes du plus haut niveau mondial, mais cela n'arrivera jamais (exactement comme pour la fausse Pandemie) car, en claire confirmation des conclusions de Faurisson, les chefs religieux, politiques ne veulent pas de la manière la plus absolue. Cette attitude objectivement inacceptable d'un membre du consortium humain dont le judaïsme evidemment fait partie, est pourtant passivement et lâchement acceptée par un monde pratiquement au bord d'un VRAI Holocauste, auquel le judaïsme lui-même est en train de le conduire. Car oeuvrer à la destruction de la Russie (revenue avec Poutine au Christianisme), comme l'Occident sioniste/mondialiste/sataniste est en train de faire, equivaut à provoquer une guerre nucleaire inimaginable.

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    1. Ne pas oublier non plus comme victime de la communauté juive (une partie) le pianiste Français Stéphane Bley réfugié à Istanbul, et suicidé à Genève dernièrement.

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    2. Stéphane Blet défenestré à Genève.
      Ancien membre de la loge maçonnique, il avait quitté l’organisation et avait dénoncé « l’imposture de cette société secrète ». Ses prises de position lui avaient valu un harcèlement par certains groupes et des menaces de mort de la part de la Ligue de Défense Juive (LDJ).
      Le célèbre pianiste français Stéphane Blet est mort à Genève, vendredi 7 janvier.
      Stéphane Blet, pianiste et compositeur de renommée internationale, auteur de “Kontre Kulture” et 12 rapsodies ottomanes-turques, vivait en Turquie depuis 2016.
      Stéphane Blet était à Genève « lorsqu’il est tombé » du balcon d’un appartement privé. D’après ses proches « certains voudraient le faire passer pour un suicide ».
      Or, pour ses proches « Stéphane était en pleine forme et avait prévu de diffuser une vidéo en direct le soir de sa mort ».
      Alors qu’il était membre de l’Ordre des Arts et des Lettres depuis 2005, il avait été exclu pour ses idées en 2019.
      En avril 2021, Dieudonné avait annoncé son intention de demander l’asile politique en Turquie pour ouvrir un centre culturel français avec Stéphane Blet.
      Récemment, il avait signé la préface de l’ouvrage « Réponse à Zemmour » de Dieudonné et apportait régulièrement son soutien aux “Gilets jaunes” et la Palestine. Ce qui est impardonnable pour la LDJ et consorts.
      Dans sa dernière vidéo publiée, le soir du nouvel an, il avait souhaité une « excellente année 2022 » à tous les Français et avait critiqué la politique française en matière de lutte contre la Covid-19 et notamment l’obligation vaccinale. Ce qui est tout aussi impardonnable pour les « autorités »

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  2. Si vous êtes honnête et que vous dites la vérité, vous devez vous attendre à perdre la vie.
    C'est à la communauté juive de s'opposer à leurs détracteurs sionistes pour ainsi éviter l'antisémitisme générée par ces derniers.
    Herztl avait les pires discours contre les juifs, il imitant Hitler, voir en pire.
    C'est également ce que dit V. PUTIN pour l'Ukraine.

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  3. A mon humble avis il serait plus juste de designer ces personnes comme des sionistes et non pas comme des Juifs. Et toutes les écritures discriminatoires ne peuvent absolument pas etre l’oeuvre de Dieu mais seulement de quelques sionistes ségrégationnistes…..

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  4. Pour le vivre tous les jours, je peux vous dire que la communauté Juive a le bras long, extrêmement long, j'avoue que parfois je suis littéralement scotché par ce que je vois (uniquement avec des post-it, facilement décollables).

    J'ajouterais à ce constat parfaitement factuel : tant mieux pour eux si ça peut faire avancer leur schmilblick.

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  5. Nous avançons progressivement vers une étape ultime de l’humanité, guidés par une certitude semblable à celle que nous donnerait une loi de la nature. Ce but de l’histoire,
    c’est le développement de l'Esprit ou de la Raison à travers les peuples.
    « La conviction générale que la Raison a régné et règne dans le monde aussi bien que dans l’histoire ».
    L’Histoire, selon moi, n’est pas autre chose que l’Absolu en devenir. L’Absolu n’est pas transcendant, mais immanent et l’Histoire est Dieu en marche. Mon fils unique

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  6. Toutes les traditions qui réagissaient leur zone de rayonnement et qui tenaient encore à peu près debout jusqu'au début du 20eme ont toutes été détruites dans leur mode opératoire apparent.

    La grande catastrophe internationale, la sionista, est passée par là !

    Un hadith de la tradition musulmane nous renseigne peut-être sur cela, il y est dit que pas une terre ne sera pas foulée par le Dajjal, sauf une, c'est Médine dont les portes sont gardées par les anges.

    Ceux qui ne connaissent pas le mal qu'ils ont commis au Moyen-Orient devraient lire cette enquête. Les wahhabites, les frères musulmans et tous les dérivés comme les takfiris sont engendrés et fabriquées par ces mouvances ainsi que par la franc-maçonnerie anglo-saxonne.



    Il y a un siècle les confréries mystiques musulmanes combattaient déjà ces mouvances, à tel point qu'ils comparaient les wahhabites et les frères musulmans comme les deux pieds du sheitan dans l'islam.

    https://counter-currents.com/2012/04/les-donmeh-le-secret-le-plus-chuchote-du-moyen-orient/

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    1. La religion est une boite dans laquelle un esprit s'enferme et donc de ce fait, se pense à l'abri...à l'abri de quoi ? aucune idée, je n'ai jamais éprouvé ce besoin, le besoin de me mettre à l'abri.

      La religion, pardonnez moi l'expression mais, la religion c'est de la merde en branche sur un arbre de vie.

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  7. Le président el-Assad répond justement à la question !
    https://twitter.com/HTTP_404_NotF/status/1506562507363782660?ref_src=twsrc^tfw|twcamp^tweetembed|twterm^1506562507363782660|twgr^|twcon^s1_&ref_url=https%3A%2F%2F

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  8. ”religieusement” le vrai juif (pure et dur) sera toujours enclin à tuer tout ce qui n’est pas (juif pur et dur), même ”ses” frères de même ”race” !

    D’ailleurs, presque tous les shoahtiques étaient de mauvais juifs.
    Et les bons juifs, leurs gardiens et bourreaux.

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