Les nombreuses gaffes de JOE BIDEN sont devenues une caractéristique déterminante de ses 16 mois en tant que président américain. Express.co.uk a rassemblé certaines de ses gaffes les plus mémorables, allant de trébucher dans les escaliers et de jurer lors de conférences de presse à somnoler en public. "En plus de sa verbosité incontrôlable, Biden est une machine à gaffes", écrivait le Los Angeles Times en 2007, qui titrait son article "Joe Biden est juste un baril de gaffes". Il existe même des tops des plus grosses erreurs du président américain. En voici quelques exemples.
"Debout Chuck, laisse moi te voir", avait-il lancé en 2008 à Chuck Graham, sénateur du Missouri, alors que ce dernier était en chaise roulante.
"Le président a un gros stick ("bâton" en français), je vous le promets", avait lancé Joe Biden en 2012, alors que le mot "stick" en anglais, est aussi familièrement utilisé pour désigner le sexe masculin.
En septembre 2020, Joe Biden annonçait par exemple que 200 millions d'Américains étaient morts du Covid-19, alors que le chiffre correct était de 200.000. Il s'est à de nombreuses reprises trompé de mots, de termes, voire de personnes dans ses déclarations.
Dans une vidéo de campagne aux côtés de sa femme en octobre, Joe Biden commence une phrase par "quatre années supplémentaires de George...", semblant confondre l'ancien président George W. Bush et Donald Trump.
Lors de la dernière semaine de l'élection, il a présenté une de ses petites-filles à une foule de Philadelphie comme étant son fils Beau Biden, décédé en 2015. Il se reprend ensuite, mais se trompe de prénom en l'appelant Natalie, alors que c'est Finnegan Biden qu'il montre
Une phrase prononcée par Joe Biden dans une interview fin octobre 2020 a également beaucoup fait parler. Un passage isolé tourne en boucle chez les partisans de Trump, dans lequel on entend clairement Joe Biden dire (à 19:20): "Nous avons mis en place, je pense, la plus large et la plus inclusive organisation de fraude électorale dans l’histoire de la politique américaine".
Vulgarité
En répondant à une question sur l'inflation lors d'une interview, Biden a répondu à un journaliste de Fox News avec vulgarité et a déclaré: "Quel stupide fils de pute"
"Président Harris"
Tout en prononçant un discours à la
South Carolina State University lors de sa cérémonie d'ouverture à l'automne
2021, Biden a qualifié le vice-président américain Kamala Harris de «président
Harris». Le président des États-Unis a déclaré : " … plaisanterie à part, bien
sûr, la présidente Harris, qui est une fière ancienne élève de Howard, pourrait
avoir quelque chose à dire sur l'État du Delaware. "
'58e' anniversaire
Dans une interaction avec des journalistes après avoir subi son premier examen physique de routine au pouvoir, le président le plus âgé de l'histoire américaine a déclaré qu'il allait célébrer son "58e" anniversaire alors que c'était son "79e" le 20 novembre 2021.
Histoire déroutante
Lors d'une célébration de l'allumage de la menorah à la Maison Blanche pour Hanoucca, le président a semblé oublier l'histoire arabo-israélienne en faisant une confusion entre la guerre des Six jours de 1967 et la guerre du Kippour de 1973.
Confondre la Syrie avec la Libye
Biden a également semblé confondre la Syrie avec la Libye lors d'une conférence de presse après le sommet du G7 au Royaume-Uni l'année dernière.
Assoupi
Le président américain s'est également assoupi lors des séances d'ouverture du sommet sur le climat COP26 à Glasgow, en Écosse.
Peuple «iranien» au lieu d'ukrainien
Le président Biden a qualifié les Ukrainiens d'Iraniens tout en critiquant l'agression russe lors de son premier discours sur l'état de l'Union le 2 mars.
« Poutine peut encercler Kiev avec
des chars, mais il ne gagnera jamais le cœur et l'âme du peuple iranien », a
déclaré Biden lors de son discours.
Quelqu'un pourrait expliquer, pourquoi l'homme le plus important/puissant du monde entier, capable de déclencher une Troisième guerre mondiale, est-il pris en charge à l'aéroport par Uber ?
- Où est la sécurité ?
- Où sont les services secrets ?
- Pourquoi porte-t-il ses propres bagages ?
Une personne s'approche pour lui parler, regardez la peur dans ses yeux... vous avez compris maintenant nous sommes gouvernés par des marionnettes usurpatrices des gouvernements et aux ordres d'autres puissances, ces pions, Biden Trudeau, Macron, Zelensky etc... ne sont que des acteurs de cette grande tragédie qu'ils nous font subir, croyez-vous que nous ne pouvons rien faire ? Non, bien au contraire.
Hannibal Genséric
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Le lapsus pénitentiel du criminel de guerre Georges W. Bush
Georges W. Bush, comme la majorité des dirigeants républicains et de la droite américaine, est un fervent chrétien. Comme chacun sait, il n’a jamais fait mystère de son attachement à la foi chrétienne. C’est même au nom de Dieu qu’il mena sa croisade contre l’Irak. Sa guerre contre le «Mal». Historiquement, la prépondérante position occupée par la droite chrétienne américaine a commencé dans les années 1920 (curieusement à l’époque de la crise), pour culminer avec l’élection de Georges W. Bush à la Maison Blanche. Le jour du scrutin, 80 % des électeurs évangéliques avaient voté pour lui. C’est dire l’importance de la dimension religieuse qu’avait revêtu l’élection Bush. Georges W. en 2000.
Pour autant, Bush n’a pas été ce fervent impénitent chrétien décrit par les médias. Comme c’est souvent le cas avec les politiciens religieux, quelle que soit leur obédience (y compris islamique), avant de (re)découvrir la foi à l’âge de 40 ans, Bush avait eu une jeunesse dissolue, une vie d’adulte marquée par l’alcoolisme et la dépression. Probablement, ce sont les séquelles de ces deux maladies pathologiques qui lui donnent toujours cet air de débile mental et de déficient intellectuel, illustré notamment par ses multiples bourdes, perles, lapsus et autres formules alambiquées. Au point qu’aux États-Unis la langue anglaise s’est enrichie d’un nouveau terme : le « bushisme », pour désigner les erreurs et les approximations de langage fréquemment prononcées par Georges W. Bush au cours de ses deux mandats. Pour rire des perles bushiniennes, on peut citer quelques unes : «les Gréciens» en lieu et place des Grecs ou les «Kosoviens» pour désigner Kosovars. Ou « Est-ce que nos enfants apprend…? » « Je suis gracieux que mon frère Jeb se préoccupe aussi de l’hémisphère…». Ou cette autre perle : « La troisième priorité est de donner la première des priorités à l’enseignement.» Certaines dénotent d’évidentes lacunes de culture générale : « Depuis maintenant un siècle et demi, l'Amérique et le Japon ont formé l’une des plus grandes et des plus fortes alliances des temps modernes. De cette alliance est née une ère de paix dans le Pacifique », omettant la Deuxième Guerre mondiale marquée par les affrontements barbares et le génocide nucléaire.
En 1999, alors gouverneur du Texas, déterminé à devenir le sauveur suprême des États-Unis, d’égaler Dieu dans toute sa puissance, Bush décide de briguer les suffrages des chrétiens américains pour se hisser à la plus haute magistrature (qui rime avec dictature du capital). Avant de lancer sa campagne électorale, il réunit dans sa résidence quelques pontifes de la droite chrétienne pour leur annoncer qu’il se sent « appelé » par Dieu à occuper (c’est un mot qu’il vénère tellement qu’il le mettra au cours de ses deux mandats successifs souvent à exécution (autre terme qu’il n’hésite pas régulièrement à matérialiser, en particulier à l’étranger, lors de ses guerres où des centaines de milliers d’innocentes victimes son massacrées) la fonction présidentielle (pour mettre en œuvre sa mission civilisatrice pestilentielle). C’est au cours de cette campagne électorale de 1999 qu’à la question sur son philosophe préféré, en grand intellectuel au savoir encyclopédique, Bush avait répondu sans hésitation : « Jésus, parce qu’il a sauvé mon âme. »
Au reste, pour gouverner, tout au long de son méphistophélique règne criminel, Bush ne se fiera qu’aux prédicateurs et à la Bible.
Assurément, Bush maîtrise mieux les règles évangéliques que celles de la grammaire. En bon chrétien, crétin devrait-on écrire à son propos tant le crétinisme est sa véritable religion, il doit savoir que dans la tradition chrétienne l’acte de pénitence consiste à reconnaître ses fautes au cours de la confession, et à accepter la punition déterminée, par le pécheur lui-même ou par le prêtre, pour les expier. « Pitié pour moi, mon Dieu (…) / selon ta grande miséricorde, efface mon péché/lave-moi tout entier de ma faute, purifie-moi de mon offense » (Psaume 50).
Comment pourrait-on considérer la dernière saillie médiatique de l’ancien président américain George W. Bush, sinon comme une forme profane de confession pénitentielle. En effet, à l’occasion d’un discours prononcé mercredi 18 mai à Dallas, durant lequel il critiquait le système politique russe, Bush a offert à ses spectateurs un pénitentiel lapsus. Sa langue (ou son inconscient) l’a trahi. « Le résultat est une absence de freins et de contrepoids en Russie, et la décision d’un seul homme de lancer une invasion totalement injustifiée et brutale de l’Irak », a déclaré George W. Bush, avant de se reprendre et de secouer la tête. « Je veux dire, de l’Ukraine. » Il a mis son erreur sur le compte de son âge – 75 ans –, faisant rire son auditoire.
D'aucun y ont vu un satané aveu, échappé de sa petite cervelle sénile tourmentée par la culpabilité,19 ans après le lancement criminel de l'offensive militaire américaine en Irak. On se souvient que cette intervention impérialiste fut justifiée par la présence d’armes de destructions massives dans le pays, armes qui n’ont jamais été trouvées. De même, les assertions du gouvernement Bush selon lesquelles les autorités irakiennes s’organisaient avec Al-Qaïda se sont également révélées fausses. En tout cas, cette invasion américaine a fait des centaines de milliers de morts et un nombre incommensurable de déplacés.
D’autres diraient qu’il s’agit là d’un lapsus pénitentiel, c’est-à-dire d’une confession pénitentielle commise malgré soi.
Selon la définition chrétienne, il existe deux formes de péchés. Le péché véniel et le péché mortel. Le péché véniel ne fait pas perdre la grâce, et ne nécessite pas forcément une pénitence. En revanche, les péchés mortels, ces actes graves contre la loi divine ou la loi naturelle, commis avec la connaissance du mal causé et avec consentement délibéré, conduisent à la mort spirituelle, c’est-à-dire à la séparation avec Dieu. Si on meurt sans confession, sans pénitence, le risque encouru est la damnation éternelle.
C’est sûrement mû par ce sentiment de culpabilité de mourir sans s’être repenti de ses crimes commis en Irak (et ailleurs), autrement dit obtenir l’absolution de ses péchés mortels, que Bush, pour le salut de son âme damnée, s’est livré malgré lui à une confession pénitentielle publique dictée par son inconscient tourmenté sous forme de lapsus.
Une chose est sûre, à l’ère du numérique, les déclarations de George W. Bush sont vite devenues virales sur les réseaux sociaux, récoltant plusieurs millions de vues sur Twitter. Elles ont surtout fait réagir. Hussain Nadim, un spécialiste de la géopolitique originaire du Pakistan, a tweeté : « Dans l’histoire américaine, pendant l’espace de deux brèves secondes, la vérité a prévalu ! ». « Le spectre de l’invasion de l’Irak et de sa destruction poursuit Bush fils. Son subconscient l’a exposé quand il a pris le pas sur sa langue », a tweeté le journaliste irakien Omar Al-Janabi. « Oui, c’est une invasion brutale et injustifiée qui restera ton pire cauchemar », a-t-il ajouté.
Au États-Unis, ce lapsus pénitentiel a provoqué également de nombreuses réactions. « Si j'étais George W. Bush, j'éviterais de donner des discours à propos d'un homme lançant une invasion totalement injustifiée et brutale », a tweeté l'ancien élu républicain du Michigan Justin Amash. « George W. Bush est un criminel de guerre », a écrit l'ancienne élue démocrate de l'Ohio Nina Turner.
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