Le conflit en cours en Ukraine semble nous entraîner tête
baissée vers une guerre majeure – peut-être une Troisième Guerre mondiale,
peut-être la première (et peut-être la dernière) guerre nucléaire.
Ici, il semble que la réalité
soit celle d'un lobby juif surpuissant,
s'exerçant (à nouveau) dans le sens de la guerre, pour des raisons de profit et
de vengeance contre un ennemi détesté. Il y a, en effet, une main juive à
l'œuvre ici, une main qui pourrait bien nous conduire à une autre guerre
mondiale, et même à une guerre nucléaire - une guerre qui, dans le pire des
cas, pourrait signifier la fin littérale d'une grande partie de la vie sur
cette planète. L'unanimité survient lorsque toutes les parties sont soumises,
de diverses manières, aux exigences du Lobby, et lorsque le public a été trompé
et même soumis à un lavage de cerveau par des médias juifs coordonnés pour avaler
le récit standard.
Les dirigeants ukrainiens et leurs partisans occidentaux semblent déterminés à se battre jusqu'au dernier Européen, et Vladimir Poutine semble tout aussi déterminé à aller de l'avant jusqu'à remporter la "victoire". La cause semble sans espoir pour l'Ukraine, qui ne peut raisonnablement s'attendre à l'emporter dans un conflit prolongé avec l'une des plus puissantes armées de la planète. Au mieux, les Ukis peuvent saigner la Russie sur une période de plusieurs mois ou années, mais seulement au prix d'une effusion de sang massive. Il semble que l'Ukraine sera perdante dans cette lutte, quoi qu'il advienne.
Dans les médias occidentaux, on nous présente un scénario remarquablement simplifié : Poutine est un méchant belliciste qui veut simplement étendre le territoire russe ; à cette fin, il exploite les événements en Ukraine, déployant son armée ostensiblement pour soutenir les districts russophones de Lougansk et de Donetsk dans la région du Donbass à l'est de l'Ukraine. Mais ce n'est qu'une couverture, disent-ils, pour sa folle quête de reconstruction de l'empire russe. Dans la poursuite de son objectif, il est prêt à infliger n'importe quelle quantité de dégâts matériels et à tuer n'importe quel nombre de civils. Heureusement, disent nos médias, Poutine a jusqu'à présent été largement contenu ; les courageux combattants ukrainiens « récupèrent » constamment des terres, l'avance de la Russie est « au point mort » et, en effet, la Russie semble en danger de perdre.
Par conséquent, les États-Unis et leurs alliés doivent faire tout ce qu'ils peuvent pour « aider » et « soutenir » les braves Ukrainiens et leur chef assiégé mais héroïque, Volodymyr Zelensky. Aucune somme d'argent, aucun assortiment d'armes meurtrières, aucun renseignement militaire, n'est de trop. Comme durant la Seconde Guerre mondiale, cette « guerre » est une lutte inconditionnelle du Bien contre le Mal ; par conséquent, l'Occident, en tant que parangon moral du monde, doit intensifier son aide, subir des sacrifices et veiller à ce que le Bien l'emporte.
Et en effet, le soutien financier des seuls États-Unis est à couper le souffle : début mai, le Congrès a approuvé une aide de 13,6 milliards de dollars, dont une grande partie pour le soutien militaire ukrainien direct. Et pourtant, cela ne couvrirait que les coûts jusqu'en septembre. Ainsi, le président Biden a récemment appelé à un paquet supplémentaire de 33 milliards de dollars, qui comprendrait plus de 20 milliards de dollars d'aide militaire et de sécurité, et, étonnamment, 2,6 milliards de dollars pour "le déploiement de troupes américaines dans la région", afin de "sauvegarder les alliés de l'OTAN". Incroyablement, le Congrès a répondu en approuvant 40 milliards de dollars, portant l'aide totale à ce jour à 54 milliards de dollars. Pour la perspective, cela représente plus de 80% du budget annuel de la défense de la Russie , de 66 milliards de dollars. (En revanche, les États-Unis allouent 1.000 milliards de dollars par an en dépenses militaires directes et indirectes. Soit 15 fois le budget russe !!)
Notamment, un tel soutien et une telle défense inconditionnels de l'Ukraine sont un point de vue pratiquement unanime dans tout l'éventail politique américain et européen. Droite et gauche, conservateurs et libéraux, classe ouvrière ou élite aisée, tous les secteurs de la société sont apparemment unis dans l'opposition au "diabolique" Poutine. À une époque où pratiquement aucune question ne fait l'unanimité, la cause ukrainienne se distingue comme un exemple extrêmement rare d'accord bipartite/multipartite et multisectoriel. Les rares dissidents, tels que Tucker Carlson de Fox News et une poignée de renégats de la droite alternative, sont régulièrement attaqués en tant qu'"activistes pro russes" ou "outils de Poutine". Il n'y a pas de place pour le désaccord, pas d'espace pour le débat. Il n’y a pas d'opinions opposées autorisées.
En fait, cependant, c'est encore un autre cas de ce que je pourrais appeler la « malédiction de l'unanimité » : lorsque toutes les parties de la société américaine/européenne sont unies sur un sujet, n'importe quel sujet, alors nous devons vraiment nous inquiéter. Ici, il semble que la réalité soit celle d'un lobby juif puissant, s'exerçant (à nouveau) dans le sens de la guerre, pour des raisons de profit et de vengeance contre un ennemi détesté. Il y a, en effet, une main juive à l'œuvre ici, une main qui pourrait bien nous conduire à une autre guerre mondiale, et même à une guerre nucléaire - une guerre qui, dans le pire des cas, pourrait signifier la fin littérale d'une grande partie de la vie sur cette planète. L'unanimité survient lorsque toutes les parties sont soumises, de diverses manières, aux exigences du Lobby, et lorsque le public a été trompé et même soumis à un lavage de cerveau par des médias juifs coordonnés pour avaler le récit standard.
Le meilleur remède à cette situation catastrophique est la liberté d'expression sans restriction. Le Lobby le sait cependant et prend donc toutes les mesures possibles pour empêcher la liberté d'expression. Normalement, une telle lutte va et vient selon les enjeux et les époques ; mais maintenant, la situation est désastreuse. Maintenant plus que jamais, un manque de liberté d'expression pourrait être fatal à une société civilisée.
Contexte et lancement
Pour bien comprendre la main juive dans le conflit russo-ukrainien, nous devons revoir une histoire pertinente. Au cours des siècles, il y a eu des batailles constantes sur les terres de l'Ukraine actuelle, avec des dominations de Polonais, d’Austro-Hongrois, ou de Russes. La Russie a pris le contrôle de la majeure partie de l'Ukraine à la fin des années 1700 et l'a conservée plus ou moins continuellement jusqu'à l'éclatement de l'Union soviétique en 1991 ; c'est pourquoi Poutine déclare que le pays fait « partie de la Russie ».
Pour
leur part, les Juifs ont vécu une relation particulièrement tumultueuse avec la
Russie, qui oscillait entre dégoût / détestation, et une haine brûlante.
En l'occurrence, les Juifs ont migré vers la Russie au 19ème siècle, atteignant
finalement environ 5 millions. Ils étaient une force perturbatrice et
agitatrice au sein de la nation, ce qui leur a valu l'aversion des tsars
Nicolas Ier (règne de 1825 à 1855), Alexandre II (1855 à 1881, lorsqu'il fut
assassiné par un gang anarchiste en partie juif), et surtout Nicolas II. (1894
à 1917) - ce dernier a été assassiné, avec sa famille, par un gang de
bolcheviks juifs en 1918.[a]
Déjà en 1871, l'activiste russe Mikhaïl Bakounine pouvait désigner les Juifs
russes comme "une seule secte exploitante, une sorte de suceur de sang, un
parasite collectif ». [1] L'assassinat
d'Alexandre a déclenché une série de pogroms qui ont duré des décennies et qui
ont ouvert la voie à une haine juive persistante de tout ce qui est russe. [2]
Pour les besoins actuels, cependant, nous pouvons passer à l'élection présidentielle ukrainienne de 2004 (je note que l'Ukraine a également un Premier ministre, mais contrairement à la plupart des pays européens, il a généralement des pouvoirs limités). En 2004, il s'agit des « deux Viktors » : le pro-occidental V. Iouchtchenko et le pro-russe V. Ianoukovitch. Le premier tour était presque à égalité, et ils sont donc allés à un deuxième tour dans lequel Ianoukovitch l'a emporté d'environ trois points de pourcentage. Mais au milieu des allégations de fraude électorale, les Ukrainiens occidentaux ont lancé une «révolution orange» - soutenue par la Cour suprême ukrainienne - qui a annulé ces résultats et a ordonné un nouveau second tour. La deuxième fois, les rôles ont été inversés et les pro-Ouest Iouchtchenko ont gagné par huit points. L'Occident était ravi, et Poutine furieux.
Les années suivantes ont été marquées par des turbulences financières et, sans surprise, un harcèlement constant de la part de la Russie. En 2010, les Ukrainiens étaient prêts pour un changement, et cette fois Ianoukovitch l'emporta haut la main sur une concurrente juive, Ioulia Timochenko, notamment parce qu'elle avait « codirigé la Révolution Orange ». La Russie, pour une fois, était satisfaite du résultat.
Mais bien sûr, en Occident, l'Europe et les États-Unis étaient fortement mécontents, et ils ont rapidement entrepris des efforts pour inverser les choses une fois de plus. Entre autres stratégies, ils ont apparemment décidé de déployer les dernières nouveautés en matière de haute technologie et de médias sociaux. Ainsi, en juin 2011, deux des plus hauts dirigeants de Google - Eric Schmidt et un parvenu juif de 30 ans nommé Jared Cohen - sont allés rendre visite à Julian Assange au Royaume-Uni, alors assigné à résidence. Il est bien connu, soit dit en passant, que Google est une entreprise juive, dirigée par les fondateurs juifs Sergei Brin et Larry Page. [3]
Le but nominal du voyage était de mener des recherches pour un livre sur lequel Schmidt et Cohen travaillaient, concernant l'intersection de l'action politique et de la technologie - en termes clairs, comment fomenter des révolutions et orienter les événements dans la direction souhaitée. Comme Assange le raconte dans son livre de 2014 When Google Met Wikileaks, il n'était initialement pas au courant des intentions et des motivations profondes de ses intervieweurs. Ce n'est que plus tard qu'il a appris que Schmidt avait des liens étroits avec l'administration Obama et que Cohen travaillait activement sur les soulèvements politiques. Comme l'a écrit Assange, "Jared Cohen pourrait être nommé avec ironie le "directeur du changement de régime" de Google". Leurs cibles immédiates étaient Ianoukovitch en Ukraine et Assad en Syrie.
Début 2013, l'ambassade américaine à Kiev formait des nationalistes ukrainiens de droite sur la manière de mener une révolte ciblée contre Ianoukovitch. Il ne faudrait pas longtemps avant qu'ils aient leur chance.
Fin 2013, Ianoukovitch a décidé de rejeter un prêt du FMI parrainé par l'UE, assorti de toutes les conditions habituelles, en faveur d'un prêt comparable sans conditions de la Russie. Ce glissement apparent de l'Europe vers la Russie a été le déclencheur nominal du début des actions de protestation. C'est ainsi qu'a commencé le « soulèvement de Maïdan », mené en grande partie par deux groupes nationalistes d’extrême droite : Svoboda et Secteur droit. [4] Les manifestations ont duré près de trois mois, accélérant progressivement en intensité ; lors d'une émeute notable vers la fin, une centaine de manifestants et 13 policiers ont été abattus.
Alors que le soulèvement atteignait son apogée, au moins une juive américain était très intéressé : Victoria Nuland [b]. En tant que secrétaire d'État adjoint d'Obama (d'abord sous Hillary Clinton, puis sous le demi-juif John Kerry), Nuland avait une surveillance directe des événements en Europe de l'Est. [5] Et pour elle, c'était une affaire personnelle; son père, Sherwin Nuland (né Shepsel Nudelman), était un juif ukrainien. Elle avait hâte de chasser le pro-russe Ianoukovitch du pouvoir et de le remplacer par un remplaçant favorable à l'Occident et aux Juifs. Et elle avait quelqu'un de précis en tête : Arseni Iatseniouk. Le 27 janvier 2014, alors que les émeutes atteignaient leur apogée, Nuland a appelé l'ambassadeur américain en Ukraine, Jeff Pyatt, pour discuter de la question. Nuland n'y est pas allé de main morte : « Yats » était son homme. Nous le savons parce que l'appel a apparemment été mis sur écoute et le dialogue publié plus tard sur Youtube. Voici un court extrait :
Nuland : Je pense que Yats est le gars qui a l'expérience économique, l'expérience de gouvernance. Il est le… ce dont il a besoin, c'est de Klitsch et de Tyahnybok à l'extérieur. Il doit leur parler quatre fois par semaine, tu sais. Je pense juste que Klitsch entre… il va être à ce niveau en travaillant pour Yatseniuk, ça ne marchera tout simplement pas.
Pyatt : Ouais, non, je pense que c'est vrai. D'ACCORD. Bon. Voulez-vous que nous organisions un appel avec lui comme prochaine étape ? […]
Nuland : D'accord, bien. Je suis heureux. Pourquoi ne pas le contacter et voir s'il veut discuter avant ou après.
Pyatt : OK, ça ira. Merci.
Il était cependant clair pour eux deux que les dirigeants de l'UE avaient d'autres idées. L'UE était beaucoup plus soucieuse d'être une partie neutre et d'éviter une intervention directe dans les affaires ukrainiennes afin de ne pas contrarier indûment la Russie. Mais à la mode juive éprouvée, Nuland s'en fichait complètement. Un peu plus tard, au cours du même appel téléphonique, elle a prononcé sa phrase désormais célèbre : "Fuck the EU". Typique de la subtilité et de la morgue juives. [6]
Mais il y avait un autre angle que presque tous les médias occidentaux ont évité : « Yats » était aussi juif. Dans une rare mention, nous lisons dans un article du Guardian de 2014 que “Iatseniouk a occupé plusieurs postes de haut niveau, dont celui de directeur de la banque centrale du pays, la Banque Nationale d'Ukraine… Il a minimisé ses origines judéo-ukrainiennes, peut-être à cause de la prévalence de l'antisémitisme au cœur de l'Ukraine occidentale de son parti. ” Pour une raison un peu bizarre, de tels faits ne sont jamais pertinents pour les médias occidentaux.
Alors que le soulèvement de Maïdan a cédé la place à la révolution de Maïdan en février 2014, Ianoukovitch a été contraint de démissionner et de fuir vers la Russie. Les forces pro-occidentales ont ensuite réussi à nommer «Yats» au poste de Premier ministre, avec effet immédiat, en collaboration avec le président Oleksandr Turchynov. Cette direction provisoire a été officialisée lors d'une élection anticipée en mai 2014, remportée par le candidat pro-occidental, Peter Porochenko. (La deuxième place n'était autre que celle de Yulia Timoshenko, la même juive qui avait perdu contre Ianoukovitch en 2010.)
C'est dans de telles circonstances que Poutine a envahi et annexé la Crimée, en février 2014. C'est aussi à cette époque que les séparatistes russes du Donbass ont lancé leur contre-révolution, déclenchant une quasi-guerre civile en Ukraine ; à ce jour, huit ans plus tard, environ 15000 personnes sont mortes au total, dont de nombreux civils.
Une fois ce coup d'État parrainé par les États-Unis terminé, les Juifs ukrainiens ont commencé à tendre la main vers l'Occident pour accroître leur influence. C'est ainsi que quelques mois seulement après Maïdan, le fils capricieux du vice-président américain , Hunter Biden , est entré en contact avec un important juif ukrainien, Mykola Zlochevsky, qui dirigeait une grande compagnie de gaz appelée Burisma. De cette façon, Hunter Biden s'est incroyablement retrouvé au conseil d'administration d'une société dont il ne savait rien, dans une industrie dont il ne savait rien, et qui était néanmoins capable de le «payer» jusqu'à 500.000 $ par an - évidemment, pour l'accès au père Joe et donc au président Obama. Hunter a occupé ce poste prestigieux pendant environ cinq ans, ne démissionnant qu'en 2019, alors que son père commençait sa course à la présidence. [7]
Malgré un mandat difficile, Yatsenyuk a réussi à occuper son poste de Premier ministre pendant plus de deux ans, démissionnant finalement en avril 2016. Son remplaçant était encore un autre Juif, Volodymyr Groysman, qui a servi jusqu'en août 2019. La main juive continue sans relâche. Tout cela a préparé le terrain pour l'ascension du joueur juif ultime, Volodymyr Zelensky.
Cette situation est particulièrement remarquable étant donné que les Juifs sont une petite minorité en Ukraine. Les estimations varient considérablement, mais la population juive est censée varier d'un maximum de 400.000 à un petit 50.000. Avec une population totale de 41 millions d'habitants, les Juifs représentent au maximum 1% de la population, et pourraient être aussi peu nombreux que 0,12%. Dans des conditions normales, une infime minorité comme celle-ci devrait être presque invisible ; mais ici, ils dominent. C’est cela, la main juive.
Les oligarques juifs entrent dans la danse
En Ukraine, il y a un "deuxième gouvernement" qui tient les rênes. Ce gouvernement fantôme est une oligarchie : un système dirigé par les hommes les plus riches. Parmi les cinq milliardaires ukrainiens les plus riches, quatre sont juifs : Igor (ou Ihor) Kolomoysky [c], Viktor Pinchuk, Rinat Akhmetov et Gennadiy Bogolyubov. Juste derrière eux, dans la classe des multimillionnaires, se trouvent des Juifs comme Oleksandr Feldman et Hennadiy Korban. Collectivement, ce groupe est souvent plus efficace pour imposer sa volonté que n'importe quel législateur. Et sans surprise, ce groupe mafieux a été constamment empêtré dans la corruption et les scandales judiciaires, impliqué dans des crimes tels que des enlèvements, des incendies criminels et des meurtres [8].
Le premier nommé ci-dessus présente un intérêt particulier. Kolomoysky a longtemps été actif dans les banques, les compagnies aériennes et les médias, et a guidé des célébrités mineures vers la célébrité politique. En 2005, il devient le premier actionnaire du groupe 1+1 Media, qui possède sept chaînes de télévision, dont la très populaire canal 1+1. (Le groupe 1+1 a été fondé en 1995 par un autre Juif ukrainien, Alexander Rodnyansky.) D'une valeur pouvant atteindre 6 milliards de dollars au cours de la dernière décennie, la richesse nette actuelle de Kolomoysky est estimée à environ 1 milliard de dollars.
Peu de temps après avoir acquis 1 + 1, Kolomoysky s'est acoquiné à un comédien juif prometteur du nom de Volodymyr Zelensky. Zelensky a été dans les médias toute sa vie d'adulte et a même cofondé un groupe de médias, Kvartal 95, en 2003, à l'âge de 25 ans seulement. Jouant dans des longs métrages, il est passé à la télévision au début des années 2010, devenant finalement la vedette dans l'émission à succès 1+1 "Servant of the People", où il a joué un enseignant se faisant passer pour le président de l'Ukraine. Ensuite, il y a eu le remarquable sketch comique de 2016 dans lequel Zelensky et ses amis jouent du piano avec leurs pénis – en d'autres termes, un humour juif scatologique typique, compliments de Zelensky et Kolomoysky.
Début 2018, le couple était prêt à entrer en politique. Zelensky a enregistré son nouveau parti politique pour les prochaines élections de 2019 et s'est déclaré candidat à la présidence en décembre 2018, quatre mois seulement avant les élections. En fin de compte, bien sûr, il a gagné, avec 30% des voix au premier tour, puis en battant le président sortant Porochenko au 2e tour avec une énorme marge de 50 points. La publicité favorable incessante de 1+1 a été créditée d'avoir fait une réelle différence. Notamment, la troisième place de cette élection était, encore une fois, la juive Yulia Timoshenko - comme un mauvais sou, elle ne cesse de revenir. [9]
Zelensky, soit dit en passant, a considérablement profité de son «ascension fulgurante» vers la gloire et le pouvoir. Sa société de médias Kvartal 95 lui rapportait environ 7 millions de dollars par an. Il détient également 25 % des parts de Maltex Multicapital, une société écran basée dans les îles Vierges britanniques, dans le cadre d'un « réseau de sociétés offshore » qu'il a aidé à établir en 2012. Un politicien ukrainien de l'opposition, Ilya Kiva, a suggéré récemment que Zelensky puise actuellement dans "des centaines de millions" de financements qui affluent dans le pays, et que Zelensky lui-même gagne personnellement "environ 100 mille dollars par mois" . Un parti néerlandais, Forum for Democracy, a récemment cité des estimations de la fortune de Zelensky à 850 millions de dollars. Apparemment, le «Churchill d'Ukraine» se porte plutôt bien, même si son pays brûle et se ruine en prêts imposés par l’Occident.
En tout cas, force est de constater que Zelensky doit beaucoup à son mentor et parrain, Kolomoysky. Ce dernier l'a même admis fin 2019, dans une interview pour le New York Times. "Si je mets des lunettes et que je me regarde", a-t-il déclaré, "je me vois comme un monstre, comme un marionnettiste, comme le maître de Zelensky, quelqu'un qui fait des plans apocalyptiques. Je peux commencer à rendre cela réel » (13 novembre). En effet, l'apocalypse Kolomoysky/Zelensky est presque sur nous.
Entre le règne des oligarques juifs et les manipulations du lobby juif mondial, l'Ukraine d'aujourd'hui est une nation en désordre - et tout cela était très longtemps avant la « guerre » actuelle. La corruption y est endémique ; en 2015, le Guardian a titré un article sur l'Ukraine, la qualifiant de "nation la plus corrompue d'Europe". Une agence internationale de classement de la corruption avait récemment évalué ce pays au 142e rang mondial, pire que le Nigeria et égal à l'Ouganda. En conséquence, l'économie ukrainienne a terriblement souffert. Avant le conflit actuel, leur niveau de revenu par habitant de 8700 dollars les plaçait au 112e rang mondial, derrière l'Albanie (12900 dollars), la Jamaïque (9100 dollars) et l'Arménie (9700 dollars) ; c'est de loin le plus pauvre d'Europe, et bien en dessous de celui de la Russie (25.700 $ par personne). Appauvris, corrompus, manipulés par les Juifs, maintenant dans une guerre chaude – ayons pitié pour les pauvres Ukrainiens.
Vive l'empire américain
Assez d'histoire et de contexte ; allons droit au but. D'un point de vue lucide, il est évident que Zelensky et ses amis veulent prolonger une guerre qu'ils n'ont aucun espoir de gagner : mais ils en profitent énormément. Comme avantage supplémentaire, l'acteur Zelensky peut se produire sur la scène mondiale, et il récoltera sûrement de plus en plus de dollars sur sa route. Chaque mois que le conflit se poursuit, des milliards de dollars affluent vers l'Ukraine, et Zelensky et al. écrèment assurément leur « juste part » du gâteau. Sérieusement, qui, gagnant près de 100 millions de dollars par mois, ne ferait pas tout ce qui est imaginable pour que le bon filon continue de fonctionner ? Le fait que des milliers de soldats ukrainiens meurent n'a aucune incidence sur le calcul de Zelensky ; à la manière juive typique, il ne se soucie pas d'un iota du bien-être des goyim. Si ses soldats meurent alors même qu'ils tuent quelques Russes détestés, c’est le nirvana. Pour les Juifs ukrainiens, cette guerre est une opération gagnant-gagnant.
Pourquoi personne ne remet-il cette opération en question ? Pourquoi la corruption de Zelensky n'est-elle jamais contestée ou invoquée? Pourquoi ces faits sont-ils si difficiles à trouver ? Nous connaissons la réponse : c'est parce que Zelensky est juif, et que les juifs ne sont pratiquement jamais mis en question, ni jamais défiés par les dirigeants américains ou européens. Les Juifs ont un laissez-passer pour tout (à moins qu'ils ne soient manifestement coupables de quelque chose d'odieux - et encore ! [e]). Les Juifs obtiennent un laissez-passer de leurs concitoyens juifs parce qu'ils se couvrent réciproquement. Les Juifs obtiennent un laissez-passer des médias parce que les médias sont détenus et exploités par des Juifs. Et les Juifs obtiennent un laissez-passer d'éminents goyim parce que ces derniers sont à la solde de sponsors et de financiers juifs. Zelensky peut être aussi corrompu que l'enfer, canalisant des millions vers des comptes offshore, mais tant qu'il joue son rôle, personne ne dira rien.
Alors la "guerre" continue, et Zelensky et ses amis s'enrichissent. Qu'est-ce que les goyim Européens retirent de tout cela ? Pire que rien : ils obtiennent une guerre chaude dans leur voisinage immédiat, un appauvrissement généralisé de leurs peuples, et ils obtiennent un Poutine indigné menaçant de mettre des missiles hypersoniques dans leurs capitales en moins de 200 secondes. Ils doivent faire face à la menace pas si lointaine d'une guerre nucléaire. Ils voient leur devise baisser de 10 % par rapport au yuan en un an et de 12 % par rapport au dollar. Ils voient une grande partie de leurs approvisionnements en gaz, pétrole et électricité détournés ou coupés, ce qui fait grimper les prix de l'énergie. Et ils voient leurs économies fragilisées par le Covid mises sur une fine couche de glace.
Mais peut-être méritent-ils tout cela. Comme on le sait, les États européens sont des vassaux des Américains, ce qui signifie qu'ils sont des vassaux des juifs. Les dirigeants européens sont des laquais veules et pathétiques du lobby juif. Les Judenknecht (valets des juifs) comme Macron, Merkel et maintenant Scholz, sont de tristes exemples d'humanité ; ils ont vendu leur propre peuple pour apaiser leurs seigneurs. Et le public européen est trop embobiné et trop timide pour exiger un changement ; Donc, l'Europe mérite son sort : guerre chaude, menace nucléaire, déclin culturel et économique, etc.. Si la situation devient suffisamment grave, peut-être que suffisamment d'Européens prendront conscience du danger juif et agiront.
Qu'en est-il des États-Unis ? Nous pourrions difficilement être plus heureux. Des Russes morts, le Poutine détesté et la chance de jouer à nouveau au «sauveur du monde». Les fournisseurs militaires américains sont ravis ; ils se fichent que la plupart de leurs armes à destination de l'Ukraine soient perdues, volées ou explosées, et que (selon certaines estimations) seulement 5% parviennent au front. Pour eux, chaque article expédié est une autre vente rentable, qu'il soit utilisé ou non. Et les membres du Congrès américain peuvent pontifier sur une autre «bonne guerre» alors même qu'ils approuvent des milliards d'aide.
Et peut-être le meilleur de tous, nous pouvons faire pression pour une expansion de cet empire américain connu sous le nom d'OTAN. Nous devons être très clairs ici : l'OTAN n'est qu'un autre nom pour l'Empire américain. Les deux termes sont interchangeables. L'OTAN n'est en aucun cas une « alliance entre égaux ». Le Luxembourg, la Slovaquie et l'Albanie n'ont absolument rien à offrir aux États-Unis. Est-ce que nous nous soucions de savoir s'ils « viendront à notre secours » en cas de conflit ? C'est une mauvaise blague, au mieux. En réalité, ce que sont ces nations, c'est plus de terres, plus de personnes et plus de richesse économique sous la coupe américaine. Ce sont encore plus d'endroits pour stationner des troupes, construire des avant-postes militaires et gérer des «sites secrets». L'OTAN a toujours été et sera toujours l'empire américain.
La pression pour que l'Ukraine rejoigne l'OTAN par Zelensky, ami de l'Occident, était une autre tentative flagrante de prise de pouvoir par les États-Unis, celle-ci aux portes de la Russie. Poutine, naturellement, a pris des mesures pour contourner cela. Mais bien sûr, maintenant, la poussée se déplace vers la Suède et la Finlande, qui poursuivent toutes deux imprudemment l'adhésion à l'OTAN dans la quête illusoire de la sécurité, alors qu'en réalité, elles vendront simplement ce qui reste de leur âme nationale aux impitoyables maîtres judéo-américains. Pour leur bien, j'espère qu'ils seront capables d'éviter un tel avenir.
Et pendant tout ce temps, des Juifs américains et un média juif américain jouent sur le thème de la « bonne guerre », envoient plus d'armes et poussent toujours plus loin dans la zone de danger. Les juifs américains d'origine ukrainienne comme Chuck Schumer sont en première ligne, appelant à l'aide, à la guerre, à la mort [10]. "L'Ukraine a besoin de toute l'aide qu'elle peut obtenir et, en même temps, nous avons besoin de tous les atouts que nous pouvons rassembler pour donner à l'Ukraine l'aide dont elle a besoin", a récemment déclaré Schumer, impatient d'approuver le prochain programme d'aide de 40 milliards de dollars. Comme les Juifs l'ont compris depuis des siècles, les guerres sont de merveilleuses occasions de tuer des non-juifs et de gagner rapidement énormément d'argent. Ce n'est peut-être pas une coïncidence si l'actuelle guerre par procuration contre les ennemis juifs en Europe de l'Est a commencé peu de temps après la fin de la guerre de 20 ans contre les ennemis des juifs en Afghanistan. La vie sans guerre est tout simplement trop ennuyeuse, pour certains.
Indignation publique ?
Si plus d'une fraction infime du public était au courant de ces détails, ils seraient probablement indignés. Mais comme je l'ai mentionné, les médias occidentaux contrôlés par les Juifs font un excellent travail en restreignant l'accès à ces informations et en détournant l'attention chaque fois que de tels faits ignobles apparaissent. La principale exception est Tucker Carlson, qui est capable d'atteindre quelque 3 millions de personnes chaque nuit ; c'est de loin la portée la plus large pour quelque chose comme l'analyse ci-dessus. Mais Carlson est terriblement court - pathétiquement court - dans la définition du coupable juif derrière tous ces facteurs. Les Juifs ne sont jamais démasqués et jamais nommés par Carlson, et pire encore, ils ne sont jamais blâmés pour leurs méfaits, quelle que soit leur gravité. Cet aspect crucial est donc laissé à une poignée de sites Web , tous punis par les GAFA, et qui atteignent collectivement quelques milliers de personnes, au mieux.
Et même si, par miracle, les 3 millions de téléspectateurs de Tucker étaient conscients du danger juif ici, cela laisse encore quelque 200 millions d'adultes américains ignorants et inconscients. La masse des gens croit ce qu'ils voient des informations dans les nouvelles du soir, ou dans leurs flux Facebook, ou Google News, ou sur CNN ou MSNBC, ou dans le New York Times - toutes des entreprises juives, soit dit en passant. C'est pourquoi, lors d'un sondage, 70 % de l'opinion publique américaine déclare que l'aide actuelle à l'Ukraine est soit « à peu près correcte », soit même « trop faible ». Ceci, malgré le fait qu'environ 50 % se disent « très préoccupés » par la guerre nucléaire ; il est clair qu'ils sont incapables d'établir les connexions nécessaires. Et pour beaucoup, c'est encore pire que cela : environ 21 % soutiendraient une « intervention militaire américaine directe » contre la Russie, ce qui signifie une troisième guerre mondiale explicite, avec toutes les conséquences catastrophiques que cela implique. Nos médias juifs ont fait un autre excellent travail en attisant l'incitation publique.
En somme, on peut dire que nos médias ont habilement construit un « piège philo-sémitique » : toute mention ou critique de la main juive dans le conflit actuel est, d'abord, fortement censurée, puis, si nécessaire, est rejetée comme de l’antisémitisme. La sympathie envers les Ukrainiens (vraiment) pauvres et souffrants est exagérée, et Poutine et les Russes sont diabolisés sans relâche. Des Juifs américains de premier plan, comme Tony Blinken et Chuck Schumer, jouent constamment les gentils, implorant de l'aide, promettant d'aider les guerriers ukrainiens assiégés et en sous-effectif. Qui peut résister à ce scénario ? Ainsi, nous n'avons aucune opposition, aucun questionnement, aucune enquête plus approfondie sur les causes profondes. Les Juifs profitent et prospèrent, les Ukrainiens et les Russes souffrent et meurent, et le monde roule vers un potentiel Armageddon.
La réalité est très différente. Les Juifs du monde sont, en effet, des "maîtres criminels planétaires", comme l'a compris depuis longtemps Martin Heidegger. [11] Ils fonctionnent aujourd'hui comme ils le font depuis des siècles : en tant que défenseurs des abus, de l'exploitation, de la criminalité, de la mort et des profits. C'est évidemment vrai : si le puissant lobby juif voulait une vraie paix ou une humanité florissante, il pousserait activement pour de telles choses et y parviendrait probablement. Au lieu de cela, nous avons un chaos sans fin, la guerre, le terrorisme, les bouleversements sociaux et la mort, alors même que les poches juives deviennent de plus en plus profondes et remplies. Et le seul remède possible à tout cela - la véritable liberté d'expression - nous échappe.
D'un côté, je crains beaucoup pour notre avenir. D'autre part, j'estime que nous obtenons ce que nous méritons. Lorsque nous permettons à des Juifs malveillants de dominer nos nations, puis qu'ils nous conduisent à la guerre et à une catastrophe mondiale, eh bien, que pouvons-nous dire ? Peut-être n'y a-t-il pas d'autre moyen que d'attendre l'inévitable conflagration, le châtiment exact dans le chaos qui s'ensuit, puis de reconstruire la société à partir de rien, plus âgée et plus sage.
Notes
[1] Cited in Wheen, Karl Marx (1999), p. 340.
[2] Russia’s recent defense of Assad in Syria, against Israel, has obviously not made things better. Nor has the fact that Putin, once thought to be a tool of Jewish-Russian oligarchs, has been able to turn the tables and hold them in check.
[3] Google has been particularly tenacious in altering its search engine results to censor (‘de-rank’) critics of Jewish power and stifle alternative voices. And Google owns Youtube, another force for censorship, which is currently run by the Jewess Susan Wojcicki. For their efforts, Brin and Page have become among the wealthiest men in the world; each is currently worth in excess of $100 billion.
[4] Svoboda began its existence as the “Social-National Party of Ukraine”—a not-so-subtle allusion to National Socialism. This is, in part, why both Svoboda and their allies have been called ‘neo-Nazi.’
[5] Nuland is currently “Under Secretary of State for Political Affairs” in the Biden administration.
[6] Another Jew likely involved in this incident was the Hungarian-American investor George Soros. In late 2019, the lawyer Joseph diGenova appeared in the news, openly charging Soros with direct intervention in American policy: “Well, there’s no doubt that George Soros controls a very large part of the career Foreign Service at the United States State Department. … But the truth is George Soros had a daily opportunity to tell the State Department through Victoria Nuland what to do in the Ukraine. And he ran it, Soros ran it.”
[7] For what it’s worth, Hunter seems to have a “thing” for Jewesses. In 2016, while married, he took up with his dead brother’s Jewish widow, Hallie Olivere Biden. The marriage failed and the illicit affair died out after a year or so, but then the ever-industrious Hunter latched on to another Jewess, “filmmaker” Melissa Cohen, in 2018. They married in 2019.
[8] In a revealing quotation, Ukrainian nationalist Dmytro Yarosh once asked this question: “I wonder how it came to pass that most of the billionaires in Ukraine are Jews?” Criminal activity is surely a large part of the answer.
[9] Not long after winning the presidency, Zelensky named another Jew, Andriy Yermak, as “Head of Presidential Administration.” (The current prime minister, Denys Shmyhal, seems not to be Jewish.)
[10] Other Ukrainian-American Jews, like Steven Spielberg and Jon Stewart, and the heirs to the Sheldon Adelson fortune, are assuredly equally elated about the course of events.
[11] Cited in P. Trawney, Heidegger and the Myth of a Jewish World Conspiracy (2015), p. 33.
Par Thomas Dalton,
SOURCE : ,The Jewish Hand in World War Three, Free Speech versus Catastrophe
NOTES de H. Genséric
[a] Russie. Le "meurtre rituel juif" de la famille impériale russe
[b] Ukraine
vs Russie. Chris Hedges, Victoria Nuland et les Khazars
- Les
USA ont poussé l’Europe a se suicider économiquement
- Les
juifs Chabad ont-ils orchestré la guerre en Ukraine pour établir leur «
troisième royaume de Khazarie » ?
- Juifs
khazars (Ukraine) Vs Russie - Une vieille et tenace rancœur.
- Ukraine
/ Russie. Le dessous des cartes qu'on vous cache
[c] Les
kleptocrates juifs ont pillé la plus grande banque d'Ukraine. L'or ukrainien,
syrien, irakien et libyen a-t-il également été volé?
- Les
oligarques juifs et l’Ukraine “démocratique”
- Make
Nazism Great Again? (Rendre le Nazisme Grand à Nouveau ?)
VOIR
AUSSI :
Hannibal GENSÉRIC
Le citoyen Occidental est lobotomisé par les médias. Seule la pauvreté qui arrive pourra réveiller ces momies.
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