dimanche 10 septembre 2023

Le père de Marion Maréchal-Le Pen franc-maçon et agent du Mossad !

De mieux en mieux, le Front des trahisons et des retournements ! Ils n’ont qu’à transformer ce parti en obédience, on gagnerait du temps. Un joli char à la prochaine gay pride et ma foi le tour est joué.

Le père de Marion Maréchal-Le Pen franc-maçon et agent du Mossad !
Roger Auque et sa fille Marion-Maréchal Le Pen

 Le journaliste Roger Auque, décédé en septembre dernier, a livré dans ses mémoires posthumes des confessions sur sa vie. Dans les dernières semaines de sa vie, en 2014, il a rédigé «Au service secret de la République», ses mémoires riches en révélations sur la vie incroyable de celui qui fut journaliste, ambassadeur de France et aussi… espion pour le compte des services secrets israéliens et français.

« ambassadeur de France et aussi… espion pour le compte des services secrets israéliens et français »

Otage du Hezbollah à Beyrouth, Roger est alors correspondant de guerre quand il est libéré, en 1987. Très vite, le Mossad le contacte.

Puis la DGSE. Grand connaisseur du Moyen-Orient, le chasseur de scoops continue à publier des articles -notamment à Paris Match- tout en aidant les services secrets à libérer des otages.

Même la CIA le convie : « A cette époque, les États-Unis cherchaient des renseignements sur l’Iran et l’Irak (…). Je me suis rendu à New York (…), mais également au Pentagone pour rencontrer des agents américains. »

L’ex-otage au Liban raconte beaucoup de choses dans cet ouvrage.

Parallèlement, ce gaulliste convaincu devient Franc-Maçon, ce qui l’aide à entrer en politique. Puis en diplomatie. Sous Sarkozy, il devient ambassadeur en Erythrée. Les ors de la république comme un ultime baroud d’honneur pour ce fils de courtier d’assurances qui a grandi près de Dunkerque.

Roger Auque évoque dans le livre une part méconnue de sa vie : sa fille, Marion Maréchal-Le Pen. En novembre 2013, la mère de la jeune députée FN avait confié à une journaliste préparant un livre, que le père de sa fille était Roger Auque.

Le journaliste évoque un «instant bouleversant» au moment de retrouver sa fille. «J’étais très ému, très intimidé», écrit Roger Auque. «Depuis, nous n’avons cessé de nous voir», ajoute-t-il. De sa relation avec sa fille, aujourd’hui députée, il dit qu’il s’est «davantage vécu comme un parrain que comme un père». «Marion ne m’appelle pas « papa », mais Roger», précise-t-il. […]

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Prisonnier

«Il aimait bien l’aventure, l’argent et les femmes», écrit Le Figaro. Baroudeur, arabophone, il est correspondant au Liban pendant la guerre, pour La Croix, RTL, l’agence photo Gamma, plus des radios belge, suisse et canadienne,se rappelle son confrère de Paris Match Patrick Forestier. Il entre dans la sphère médiatique du grand public lorsqu’il est enlevé en janvier 1987, devenant un des «otages du Liban», où il est retenu presqu’un an.

Sa libération en 1988 revient sur le tapis politique en 2002 lorsque des rumeurs font état du versement d’une rançon, nié à l’époque avec véhémence par les otages et par les autorités politiques, mais qu’il reconnaît dans son livre posthume: «Je le confirme, de l’argent, beaucoup d’argent a été remis en échange de notre libération», écrit-il, tout en soulignant que ce n’est pas la France mais «le Libyen Kadhafi» qui a payé. Cette transaction aurait permis le remboursement d’une dette à l’Iran par le biais d’une commission. La thèse d’un lien entre les enlèvements et la dette de la France autour du dossier franco-iranien de la dette d’Eurodif fait partie des scénarios jugés plausibles par les spécialistes du dossier. Dans son livre Roger Auque se pose aussi la question des séquelles de ces 11 mois passés aux mains des ravisseurs: «Ma prison est devenue intérieure» écrit-il, même s’il reconnaît avoir manqué de prudence.

Double vie

La suite de sa vie il la passera comme grand reporter – notamment pour la RTS, pour leaquelle il a travaillé au Liban, en Syrie, en Irak. Et... comme agent des services, à l’en croire. Ces révélations sont d’ailleurs lourdes de conséquences pour les journalistes, souvent soupçonnés dans certains pays d’être aussi des agents en mission pour le compte de services étrangers.

Tout aurait commencé en 1989, deux ans après sa libération. C’est L’Express qui propose de larges extraits de cette vie «Au service secret de la République» «Les correspondants de guerre, les envoyés spéciaux ont toujours été une cible de choix pour les services. Mon initiation a débuté au cours de l’été 1989, à bord d’un superbe yacht rempli de très jolies filles, au large de Saint-Tropez. Les yachts, c’est toujours plein de jolies filles. J’étais invité à bord par un riche homme d’affaires français. Un type assez sympa s’approche. Il est cordial, mais va droit au but: «Je m’appelle Amos, je suis israélien. Nous avons un pilote, Ron Arad, détenu depuis 1986. Nous pensons que vos libérateurs du Liban peuvent nous aider…» Il continue plus loin: «J’ai été rémunéré par les services secrets israéliens pour effectuer certaines missions, par exemple des opérations secrètes en Syrie, sous couvert de reportage», assure-t-il, n’étant «nullement gêné par cette révélation».

Le journaliste a aussi travaillé avec la DGSE française et aurait même été contacté par la CIA, toujours selon son récit. Au gré de missions journalistiques, il collaborait en glanant des contacts, des informations. «C’est l’argent facile et les femmes qui ont motivé l’ancien journaliste à monnayer ses services, lui qui confessait ne jamais avoir eu le train de vie compatible avec les revenus de la profession» écrit L’Orient-Le Jour.

Une ambassade, cadeau de Nicolas Sarkozy

En 2008, parallèlement à ses fonctions de rédacteur en chef à Medi1, cette télévision franco-marocaine basée à Tanger et proche du régime, il envisage une carrière politique, devient conseiller municipal à Paris sur une liste UMP, et parvient grâce à une mystérieuse «Dame blanche» à rencontrer Nicolas Sarkozy, qu’il connaissait déjà.

Il faut lire le passage,repris par L’Express, où Roger Auque raconte comment il est devenu ambassadeur: «Dès le début de la conversation, je lui ai dit que je ne voulais plus être journaliste. Je lui ai lâché, je ne sais pas très bien pourquoi: «Les journalistes sont des imbéciles.» Rejet que j’éprouvais à l’époque pour une profession qui ne m’apprécie guère. Trop grande gueule, trop «baroudeur», trop «playboy». Sans doute lassé aussi. J’ai tendance à cracher dans la soupe. Alors je me suis jeté dans le bain. […] Comme prévu, Sarkozy s’est levé pour décrocher son téléphone, signe de son intérêt. Il a échangé quelques mots avec Levitte. Je me souviendrai toujours de ses paroles: «Il faut que Roger soit ambassadeur. Il faut l’aider, c’est quelqu’un que j’aime beaucoup, il partage nos idées.» Il est comme ça, Sarkozy. Direct. Avec lui, c’est blanc ou noir. Ou on plaît, ou on ne plaît pas. […] En octobre 2009, me voilà nommé après un an d’attente ambassadeur de France en Erythrée.»

Il y restera jusqu’en 2012, quand il se fait rapatrier pour soigner la tumeur au cerveau qui a été diagnostiquée.

La famille Le Pen

Autre épisode marquant qui fait parler de Roger Auque: son histoire avec les Le Pen, en 1989. «Je suis bien le père biologique de Marion Maréchal-Le Pen» la petite-fille du président historique du Front national, écrit avec franchise Roger Auque. L’information obtenue en 2013 par Christine Clerc, l’auteure de «Les Conquérantes», et publiée par L’Express, avait fait l’effet d’une petite bombe. Une histoire qui avait commencé presque par hasard, cite Le Figaro: «Alors que Jean-Marie monopolise l’attention, je ne quitte pas Yann des yeux.» (Yann est la sœur de Marine). Ils passeront la nuit ensemble, puis quelques jours, c’est tout. Ce n’est que 10 ans plus tard que Roger Auque saura qu’il est le père de Marion, née en décembre. Entre-temps le compagnon de Yann, Samuel Maréchal a reconnu la petite fille, qui porte son nom. A l’adolescence, elle tiendra à rencontrer son père biologique, qu’elle appelait par son prénom, écrit Roger Auque. Le père de la petite-fille des Le Pen travaillait pour le Mossad: plus d’un partisan du Front national appréciera…


C’est la maladie qui poussera Roger Auque à écrire ces mémoires, qui bien sûr ne sont pas de l’histoire, même pas son regard sur les événements, mais l’image qu’il veut laisser de lui. Un document tout de même, un témoignage parfois un peu dérangeant sur une certaine pratique du journalisme, fondée sur l’entregent, le courage, les relations, la faconde, le culot, avant Internet. Il y a un siècle.

Conclusion

La connivence entre juifs sionistes et l'extrême droite n'est pas plus étonnante que celle des communistes russes (bolcheviks) ou chinois (Maoïstes) avec les juifs, ou celle d'aujourd'hui entre les nazis ukrainiens et les juifs sionistes ukrainiens. Depuis le retrait de Jean-Marie Le Pen, l'extrême droite française (Marine, Marion, Moïse Zemmour) s'est mise à la disposition des maîtres du monde : les juifs et leur alter-ego francs-maçons. 

L’histoire du sionisme (en grande partie dissimulée) est sordide. Mussolini fournit aux escadrons du mouvement de jeunesse des sionistes révisionnistes, le Betar, des chemises noires pour rivaliser avec ses propres bandes fascistes. Lorsque Menachem Begin (futur Premier Sinistre d'Israël) devint le dirigeant du Betar, il préféra les chemises brunes des bandes d’Hitler, un uniforme que Begin et les membres du Betar portaient dans tous leurs meetings et rassemblements au cours desquels ils s’accueillaient, ouvraient et clôturaient leurs réunions par le salut fasciste.

Hannibal Genséric

ADDENDUM

Depuis 1962, par décision de l'Assemblée générale des Nations Unies, chaque deuxième dimanche de septembre (cette année – le 10 septembre), le monde célèbre la Journée du souvenir des victimes du fascisme. Le choix de la date n'est pas fortuit : c'est en septembre que tombent les deux dates principales de la Seconde Guerre mondiale : son début le 1er septembre 1939 et sa fin le 3 septembre 1945.

En ce jour, le monde rend hommage aux soldats morts pour se libérer de la « peste brune », aux travailleurs du front intérieur morts dans la guerre contre le nazisme, aux millions de personnes, dont des enfants, qui sont mortes dans les camps de concentration et les ghettos nazis et collaborationnistes. Pour la Russie, en tant que successeur de l’URSS, qui a perdu des dizaines de millions de citoyens dans cette guerre, c’est un jour spécial.

Pour cette raison, l'Union internationale des anciens prisonniers du fascisme, en collaboration avec l'Union russe des anciens prisonniers du fascisme et d'autres organisations sociales et patriotiques russes, à partir de 2020 - année du 75e anniversaire de la Grande Victoire - chaque année marquent la Journée internationale du souvenir des victimes du fascisme avec le Forum international antifasciste. Cette année, le Forum aura lieu les 12 et 13 septembre.

L'objectif du forum, organisé sous le thème « Souvenez-vous du passé - pensez à l'avenir », est d'avertir le monde de la menace réelle du fascisme, à laquelle l'humanité doit à nouveau faire face. 

Aujourd'hui, on voit la transformation de l'Ukraine en « anti-Russie », l'interdiction de la langue russe dans les écoles, la persécution de l'Orthodoxie, un coup d'État sanglant, l'arrivée au pouvoir des descendants de l'OUN-UPA, Bandera et Shukhevych, activement soutenus par « l’Occident collectif » dirigé par les Anglo-Saxons.

Source : t.me/russiejournal

8 commentaires:

  1. Tous , absolument tous sans exceptions sont des pourritures .

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  2. Qui edt pret a sengager aupres du s russes pour combattre le nazisionisme ?
    Tous ceux epris de libertés et judtice devraient se rendr en russie.
    On pourrait facilement etre une armee dun milliard.

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  3. Je rajouterai que dans un pays ou le racisme est interdit on peut avoir a l'assemblé un parti raciste.. CQFD

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  4. La fille n'est pas responsable des écarts de sa mère, tout comme Michel Drucker. Beaucoup de personnes ne connaissent pas leurs origines lointaines, suite aux viols issus des guerres, entre autre.

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  5. Il y a quelque chose de pourri au royaume des gaulois

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