Un professeur polonais qui a déclaré que les Juifs avaient pratiqué des « meurtres rituels » ne sera pas réprimandé parce que ses affirmations font l’objet d’un « discours scientifique », a déclaré l’université qui l’emploie.
Un comité d’éthique interne a décidé de ne pas prendre de mesures disciplinaires à l’encontre de Tadeusz Guz, prêtre et membre du corps enseignant de l’Université catholique de Lublin, pour la deuxième fois, après avoir examiné à nouveau des plaintes concernant un discours prononcé en 2018 à Varsovie.
« Nous savons, Mesdames et Messieurs, que les faits de meurtre rituel ne peuvent être effacés de l’histoire. Pourquoi ? Parce que nous, l’État polonais, avons dans nos archives, dans les documents qui ont survécu, des preuves étalées sur des siècles où les Juifs vivaient ensemble avec notre nation polonaise », a-t-il déclaré.
Le meurtre rituel était une accusation courante au Moyen Âge à l’égard des Juifs dans toute l’Europe. Ces libelles ont servi de prétexte à de multiples pogroms antisémites meurtriers.
Le Conseil polonais des chrétiens et des juifs, une organisation à but non lucratif qui promeut le dialogue, a demandé à l’université de prendre des mesures disciplinaires à l’encontre de M. Guz, qui ne s’est pas excusé pour ses déclarations. Le comité d’éthique de l’université a décidé de ne pas sanctionner Guz, en invoquant notamment le fait que la conférence était extra-scolaire.
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To Gaste Frederik - La vérité sur les meurtres rituels juifs
Ce n’est pas une mince affaire, compte tenu de l’énorme documentation à compiler et à scruter, que de reconstituer le parcours sanglant des crimes juifs à travers les siècles jusqu’à nous afin de faire éclater la vérité au grand jour.
Comme un vampire fermement accroché à la carotide des peuples hôtes, tout à son œuvre d’exsanguination, le juif a toujours été le fléau de l’humanité.
Au cours de son existence parasitaire, une aspiration fondamentale a dicté sa conduite : flétrir la vitalité des peuples jusqu’à les paralyser, tandis qu’il convoitait l’hégémonie d’un monde réduit par lui en esclavage, non sans avoir procédé à une soigneuse pesée d’intérêts et de conséquences.
Qu’il n’y soit pas encore parvenu revient en grande partie à son essence même ; car, de nature, de naissance, le juif est prédisposé au crime qui le consume en tant qu’hôte impromptu, figure en marge de l’humanité dans son avidité de parasite. Destructif dans l’épanouissement de ses forces, le juif promeut compulsivement sa quête de nuisance dominatrice, devant constamment faire face à la contre-offensive des peuples menacés de ses coupables assiduités.
En revanche, là où un juif est parvenu à brider un peuple, il en est toujours résulté une fatale décomposition.
Contrairement aux autres peuples enracinés dans leurs terres dont ils ressentent l’emprise et où ils ont laissé s’épanouir leur nature et leur race, le juif est resté un être vagabond, agité et versatile : un étranger parmi les étrangers. Inapte à l’assimilation, il vit avec une haine fanatique à l’égard du non-juif de tout ce qui ne relève pas des mœurs et usages transmis, autant de commandements de sa religion. Jéhovah, le Dieu de la vengeance, exige de ses enfants un sacrifice pour la réconciliation entre eux et lui : le prix du sang ; ainsi, tout comme son Dieu, cruel et sans scrupules, voilà le juif !
L’on comprend pourquoi le sacrifice du sang joue un rôle si important dans le rite juif : il a force de purification ; il libère le juif officiant de ses péchés et le fait apparaître agréable aux yeux de son Dieu sanguinaire chaque fois qu’il s’agit du sang d’un de ses ennemis. Or, est ennemi de Jéhovah tout non-juif ; par conséquent, le sacrifice du sang de celui-ci est, pour le juif, la suprême ordonnance.
Il serait oiseux de s’aventurer dans une querelle attisée par les juifs portant sur les meurtres rituels ; car, bien que les juifs démentent cette pratique comme telle, il subsiste cependant le rite incontesté du sacrifice du sang qui, à lui seul déjà, rend plausible le fait du meurtre rituel.
Pour le juif, ces sacrifices ne peuvent passer pour des meurtres, d’autant qu’il s’agit des Goyim abhorrés de son Dieu Jahwe (Jéhovah), pour qui ils ne sont que des animaux.
Avec quelle cruauté le rituel juif accomplit la lente exsanguination de ses humaines victimes, voilà qui est présenté en quelques chapitres résumés dans cet opuscule par des exemples particuliers de meurtres rituels imputables aux juifs et irréfutablement prouvés, dont le nombre avoisine le millier.
Il n’a pas toujours été possible de faire toute la lumière en ces mystérieuses ténèbres qui entourent les meurtres rituels. Du reste, un chapitre y sera consacré, où l’on appréciera les moyens et le raffinement déployés par la juiverie internationale pour nier les lourdes accusations de sacrifices rituels, sans pouvoir toutefois nier le fait en tant que tel. Sa profonde motivation, le sacrifice présenté au Dieu juif la trouve dans la haine déjà mentionnée que conçoit le juif à l’égard du non-juif : éliminer le Goy doit résonner chez le juif comme une perpétuelle exhortation. Nulle part la juiverie n’a trouvé meilleure occasion de s’illustrer que dans les combats politiques, et, où elle a réussi à pousser les peuples à bout, c’est dans un impavide et impitoyable recours au meurtre comme moyen de combat politique. Il est révélateur de constater, et les combats politiques, en particulier ceux de ces dernières années, le prouvent sans conteste, que le juif est partout compromis là où la vie humaine ne joue aucun rôle sur les champs de bataille politiques.
L’exemple le plus repoussant nous est ici donné par l’Union soviétique [1], où l’élimination des hommes est menée de manière systématique, comme seul un cerveau juif peut le concevoir dans ses fanatiques conséquences ; et c’est bouleversé que le monde apprit l’existence des vastes champs de cadavres, de ces tragiques exécutions sommaires d’une balle dans la nuque, dont les victimes de la terreur juive se chiffrent par millions : inconcevable, inimaginable, le destin de ce peuple, harcelé, torturé, et ce n’est pourtant qu’une phase expérimentale de ce que les juifs méditent envers tous les peuples qui tombent dans leurs griffes et endurent leur hégémonie : l’élimination totale ! Voilà l’avenir : l’anéantissement de tous les non-juifs, acte régulièrement symbolisé par le meurtre rituel. Ce qu’à travers les siècles la juiverie a fomenté, dans son travail de taupe, elle l’achèvera maintenant dans cette guerre qui sera la sienne ; elle considère comme un devoir historique de réduire les peuples en esclavage sous son hégémonie mondiale : le règne de Juda ! L’alliance que le juif a créée entre le judaïsme, la ploutocratie et le bolchevisme, il la considère comme le couronnement de ses efforts pluriséculaires ; en ce funeste syncrétisme, sous les insignes « or et sang », le judaïsme célèbre son triomphe suprême, le triomphe de voir présider Jahwe à la fête de Pourim [2], la plus sanglante de tous les temps ! ...
mardi, octobre 23, 2018.
Auteur : To Gaste Frederik
Ouvrage : La vérité sur les meurtres rituels juifs
Année : 1930
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NOTES
[1] "L'antisémitisme"
en Union soviétique
- Comment
les juifs de Harvard pillent la Russie
- En
1994, les juifs Chabad ont comploté pour exterminer les Slaves ( partie 2)
- Journaliste
israélien : Les pires meurtriers du XXe siècle étaient Juifs !
- Les
juifs russes considèrent les goyim comme leur propriété
- Russie.
Le "meurtre rituel juif" de la famille impériale russe
- Russie.
Les atrocités inimaginables commises par les Juifs bolcheviques contre les
Gentils : des preuves irréfutables.
- Soljenitsyne
: Les Protocoles de Sion se réalisent sous nos yeux
- Soljenitsyne
condamne l'influence juive sur le peuple russe
- Ukraine.
Vinnitsa, où des terroristes juifs du NKVD ont assassiné 10.000 chrétiens puis
en ont accusé les "nazis"
- Une
critique du « Yiddishland révolutionnaire: Une histoire du radicalisme juif ».
Partie 1 de 3.
- Une
Russie brutalisée par le sionisme
- Vladimir
Poutine : « 80 à 85% des bolcheviques au pouvoir en URSS étaient juifs. »
[2] Pourim, La fête juive qui célèbre joyeusement le massacre massif des Perses
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COMMENTAIRE
Revenons sur le tableau de Giovanni Gasparro, qui a imaginé en 1475 un crime rituel juif, avéré ou pas, après un crime atroce.
« Un enfant de deux ans, Simon Unverdorben, disparut avant la Pâque juive le 24 mars 1475. Son père le signala aussitôt aux autorités de la ville de Trente. Le 26 mars, le corps sans vie de l’enfant est retrouvé exsanguiné, dans un canal passant sous la maison du juif Samuel. Le peintre italien Giovanni Gasparro, 36 ans, dont l’inspiration est surtout religieuse, a réalisé une œuvre remarquable sur cet événement. Tollé général… »
Autres ouvrages :
- Meurtres Rituels Juifs par
Arnold S. Leese
- Acta Sanctorum. Il s'agit de l'œuvre
des Bollandistes, un groupe de jésuites qui se consacraient à l'enregistrement
historique entre 1643 et 1883. Les volumes dans lesquels ils ont enregistré
divers meurtres rituels commis par des juifs sont principalement ceux écrits au
XVIIe siècle.
- Histoire Universelle de l'Eglise
Catholique, par l'abbé Rohrbacher (Gaume et Frères, 1845).
- Vie des Saints, par Alban Butler.
- Dizionario Ecclesiastico, vol. 64-66
(Semental Peo-scire, Venice, 1853-4).
- Annales Ecclesiastici, ab 1198, p.
568, par O. Raynaldus, 1753.
Ces deux ouvrages traitent du cas de Saint Simon de Trente.
- Bulletin catholique, août 1916 (publié
à Dublin, M. H. Gill & Sons).
- Cahiers Romains, publication
catholique à Rome, 29 novembre 1913.
- Acts and Monuments of the Church, par
John Foxe, 1563.
- A short Demurrer to the Jews long
discontinued Remitter into England, par William Prynne, 1656.
- Les juifs devant l'Eglise et
l'histoire, par le révérend père Constant.
- Meine Antworten an die Rabbiner : Funf
Briefe uber den Talmudismus und das Blut-Ritual der Juden, par August Rohling
(1883), Chanoine de la cathédrale de Prague.
- La France Juive, par Edouard Drumont.
Peut être obtenu auprès de M. Petit, 12, rue Laugier, Paris 17.70 francs.
- Le Juif, le Judaïsme et la Judaïsation
des Peuples Chrétiens, de Gougenot des Mousseaux, Chevalier, 1886. L'ensemble
du chapitre 6 est consacré aux meurtres rituels.
- Le mystères du sang chez les juifs de
tous les temps, par Henri Desportes 1889 (Savine).
- Le crime rituel chez les juifs, par A.
Monniot, 1914. Peut être obtenu auprès de M. Petit, 12 rue Laugier, Paris 17.10
francs. Un excellent guide général sur l'ensemble du sujet, avec préface
d'Edouard Drumont. C'est Drumont qui a révélé les scandales juifs panaméens.
- Der Ritual Mord bei den Juden, par
Eugen Brandt.
- Ritual Morde, par Ottokar Stauf von
der March (Hammer Verlag).
- Judische Moral und Blut Mysterium, par
A. Fern, 1927.
- Der Ritual Mord, de G. Utikal. Ce
livre est recommandé par le Bureau du Reich pour la promotion de la littérature
allemande comme " une représentation véritablement nationale du meutre
rituel juif".
- Das Blut in Judischen Schriftum, par
le Dr Bischoff, 1929.
- Der Stürmer, numéro spécial sur les
meurtres rituels, mai 1934, Nuremberg. Le lecteur ne doit pas être gêné par la
campagne de haine juive contre le rédacteur en chef de Der Stürmer. Le numéro
consacré aux meurtres rituels est un document historique précieux.
- The Jew, The Gypsy, and El Islam, de
sir Richard F. Burton, édité par W. H. Wilkins (Hutchinson, 1898).
- Isabella of Spain, par W. T. Walsh,
1931 (Sheed & Ward), pp.t 628.
- Les références à d'autres autorités
dans des cas particuliers de meurtres rituels sont faites dans le texte lors de
la description de ces cas.
- A la liste ci-dessus, il convient
d'ajouter un ouvrage récent destiné à blanchir les juifs de l'Accusation de
sang, mais qui, du moins à mon avis, semble l'étayer : " The Ritual Murder
Libel and the Jew ", par C. Roth ( Woburn Press, 1935).*
- (*): [NdT : voir également le livre
d'Ariel Toaff "Pâques de sang- Les juifs d'Europe et le meurtre rituel
juif ", censuré par l'ADL.]
La juiverie voila l'ennemi de toute véritable société de goyim (les non juifs). Les juifs, depuis leur prime enfance, apprennent à exécrer tout ceux qu'ils considèrent indigne de partager leur "élection" en tant que peuple de "Dieu". Reste, à nous, de définir de quelle nature est leur dieu. Il ne peut s'agir, en aucun cas, du Dieu d'amour proclamé par Jésus Christ. Non, leur dieu est un terrible démon, dont le nom est Satan! D'ailleurs, Jésus ne leur a-t-il pas dit:"Vous avez pour père le diable" Jean 8.44. Ce qui leur fut dit hier par Jésus reste toujours d'actualité.
RépondreSupprimerRoger Dommergue a expliqué que la mentalité des hommes juifs, résulte de la cir...cision pratiquée le 8ème jour après la naissance. Cet acte barbare, par la souffrance qu’il inflige au nourrisson, interrompt le processus de la première puberté, qui démarre précisément à ce moment. Cette puberté parachève normalement le système génital, en développant la glande génitale dite interstitielle.
RépondreSupprimerDe ce fait, l’interstitielle n’étant pas parfaitement développée, le caractère de l’individu manquera de sens moral, de courage … (voir Dommergue).
Quoi qu’il en soit, pour créer une lignée de psychopathes, il faut certainement aussi dénaturer le jeune enfant. D’où les pratiques courantes de l’inceste chez ces peuples …
La cir…cision au huitième jour arrive même à créer ça :
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=TE_ubmIA1IU
Un vrai miracle, non ?
Avec la "vaccination" à outrance en Is-Ra-El on dépasse la folie : les élites juives ont toujours apprécié de sacrifier leurs populations pour arriver à leur fin . Du satanisme pur .
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