Les gros bonnets tombent en cascade, leurs protecteurs aussi. Jamais la Tunisie n’avait connu une telle offensive contre les personnes les plus influentes de son système politico-financier ou les autres malfaiteurs qui ont amassé des fortunes sur le dos des Tunisiens.
Si d’aucuns ont préféré mettre toutes voiles dehors en se jetant dans les bras de l’étranger dans l’espoir ténu de profiter du droit d’asile en décochant des flèches contre leur propre pays, d’autres forces de division à la solde des lobbies de tout acabit ont déserté le front pour se mettre à l’abri en attendant l’issue du scrutin présidentiel d’octobre 2024.
C’est pourquoi cette période électorale est devenue un champ de bataille entre ceux qui plaident pour un retour en arrière pour pouvoir agir à leur guise de nouveau et ceux qui se battent pour libérer le pays du joug des partis, des puissances étrangères, des lobbies, des contrebandiers et des hommes politiques véreux.
Dans cette
période sensible, l’administration se trouve parmi les temples à faire
vaciller pour mettre à vif les nerfs des électeurs et faire monter la
grogne et la colère chez les citoyens. Ainsi, la perturbation des
services publics, avec tout ce que cela a comme conséquences sur le
quotidien des Tunisiens, est-elle devenue une arme de combat et de
campagne électorale pour altérer l’action du gouvernement et déprécier
les efforts et les réalisations.
Certes, on ne demande pas aux
responsables de s’engager dans une campagne électorale car
l’administration doit faire preuve de neutralité, mais ils ne doivent
pas recourir à la neutralité comme subterfuge pour se dérober à leurs
devoirs en cette période car ils ne savent pas sur quel pied danser ou
agissent pour envenimer la situation.
Toutefois, s’armer de courage et s’engager dans cette guerre de libération nationale n’est pas un simple slogan creux au profit d’un candidat ou d’un autre, mais un processus déjà entamé par tout un peuple qui aspire à l’équité sociale, à la dignité et à la justice pour tous.
Au lieu d'aller en Russie, je retournerai en Tunisie.
RépondreSupprimerEn Tunisie ils parlent français.
SupprimerMon fils, la cinquantaine, a décidé de quitter définitivement la France pour s'installer en Tunisie, afin que son fils n'ait pas une éducation interlope : on dit aux garçons qu'ils sont des filles et inversement.
SupprimerComme en Russie, la famille comprend un père homme et une mère femme.
Le pays est pauvre mais les gens sont gentils et accueillants.
!! Beware !!
RépondreSupprimerDepuis la chute du ben Ali la Tunisie est colonisée par la France et le FMI d'une façon totalement insidieuse.
Avant c'était beaucoup plus clair, aujourd'hui on nage en eaux troubles.
!! Beware !!
mettez les anciens de ziba et enarda et fmi et colonialistes dans la poubelle de l'histoire au vu de leurs crimes et que la tunisie et son peuple soit avec le kassaman ou tagallit en langue berbère .
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