« La ré-inhalation de l’air que nous respirons va incontestablement générer un déficit en oxygène et une saturation en dioxyde de carbone. Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la privation d’oxygène. Il y a des cellules nerveuses, par exemple dans l’hippocampe, qui ne peuvent pas rester plus de 3 minutes sans oxygène – elles ne peuvent pas survivre.
« Les symptômes d’alerte aigus sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction – qui sont des réactions du système cognitif.
« Cependant, lorsque vous souffrez d’une privation chronique d’oxygène, tous ces symptômes disparaissent, car vous vous y habituez. Mais votre fonctionnement demeure altéré, et la sous-alimentation en oxygène de votre cerveau continue de progresser.
« Nous savons que les maladies neurodégénératives mettent des
années, voire des décennies, à se développer. Si aujourd’hui, vous oubliez
votre numéro de téléphone, cela indique que le processus de dégradation de
votre cerveau a démarré il y a 20 ou 30 ans.
« Vous pensez peut-être que vous vous êtes habitué à porter un masque et à
inspirer l’air que vous venez d’expirer, mais il n’en reste pas moins que les
processus dégénératifs dans votre cerveau s’amplifient à mesure que votre
privation d’oxygène se poursuit.
« Le deuxième problème est que les cellules nerveuses de votre cerveau sont
incapables de se diviser normalement. Ainsi, au cas où nos gouvernements
seraient assez généreux pour nous autoriser à enlever nos masques et à respirer
à nouveau librement de l’oxygène dans quelques mois, les cellules nerveuses
perdues ne seront plus régénérées. Ce qui est perdu est perdu.
« Je ne porte pas de masque, j’ai besoin de mon cerveau pour
réfléchir. Je veux avoir les idées claires quand je m’occupe de mes patients,
et ne pas être anesthésiée au dioxyde de carbone.
« Il n’existe pas d’exemption médicale infondée pour les masques faciaux,
car la privation d’oxygène est dangereuse pour chaque cerveau. Chaque être
humain doit pouvoir décider librement s’il veut porter un masque absolument
inefficace pour se protéger contre un virus.
« Pour les enfants et les adolescents, les masques sont un interdit absolu.
Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et
adaptatif, et ils ont besoin d’une interaction constante avec le microbiome de
la Terre. Leur cerveau est également incroyablement actif, car il a beaucoup à
apprendre. Le cerveau de l’enfant, ou de l’adolescent, a soif d’oxygène.
Plus l’organe est métaboliquement actif, plus il a besoin d’oxygène. Chez les
enfants et les adolescents, chaque organe est métaboliquement actif.
« Priver le cerveau d’un enfant ou d’un adolescent d’oxygène, ou le
restreindre de quelque manière que ce soit, est non seulement dangereux pour sa
santé, mais aussi absolument criminel.
Le manque d’oxygène inhibe le développement du cerveau, et les dommages
qui en résultent ne peuvent pas être réparés.
« L’enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a
besoin d’oxygène pour fonctionner.
Nous n’avons pas besoin d’étude clinique pour le savoir. C’est un fait
physiologique simple et incontestable. Un manque d’oxygène provoqué
consciemment et délibérément est un danger absolu pour la santé, et une
contre-indication médicale absolue.
« En médecine, une contre-indication médicale absolue signifie que ce
médicament, cette thérapie, cette méthode ou mesure ne doit pas être utilisé,
et n’est pas autorisé à être utilisé. Pour contraindre par la force toute une
population à utiliser une contre-indication médicale absolue, il faut qu’il y
ait des raisons précises et sérieuses à cela, et ces raisons doivent être
présentées à des organismes interdisciplinaires et indépendants compétents,
pour être vérifiées et autorisées.
« Lorsque, dans dix ans, la démence augmentera de manière exponentielle et que
les jeunes générations ne pourront pas atteindre leur potentiel inné, cela ne
servira à rien de dire que « nous n’avions pas besoin des masques ».
« Comment un vétérinaire, un distributeur de logiciels, un homme d’affaires,
un constructeur de voitures électriques et un physicien peuvent-ils décider des
questions concernant la santé d’une population entière ? S’il vous plaît, chers
collègues, nous devons tous nous réveiller.
« Je sais à quel point le manque d’oxygène est dommageable pour le cerveau,
les cardiologues savent à quel point il est dommageable pour le cœur, les
pneumologues savent à quel point il est dommageable pour les poumons. La
privation d’oxygène endommage tous les organes.
« Où sont nos services de santé, notre assurance maladie, nos associations
médicales ? Il aurait été de leur devoir de s’opposer avec véhémence au
confinement et d’y mettre fin – dès le début.
« Pourquoi les autorités médicales infligent-elles des sanctions aux
médecins qui accordent des exemptions aux gens ? La personne ou le médecin
doivent-ils sérieusement prouver que la privation d’oxygène est nocif pour tous
? Quel genre de médecine nos médecins et nos associations médicales
représentent-ils ?
« Qui est responsable de ce crime ? Ceux qui veulent le faire appliquer ?
Ceux qui le laissent se produire et jouent le jeu, ou ceux qui ne l’empêchent
pas ?
« Il ne s’agit pas de masques, ni de virus, et certainement pas de votre santé.
Il s’agit de bien plus que cela. Je ne rentre pas dans ce jeu. Je n’ai pas
peur.
« Comme vous pouvez le remarquer, ils nous prennent déjà notre air.
L’impératif à l’heure actuelle est la responsabilité personnelle. Nous sommes
responsables de ce que nous pensons – pas les médias. Nous sommes responsables
de ce que nous faisons – pas nos supérieurs. Nous sommes responsables de notre
santé – pas l’Organisation mondiale de la santé. Et nous sommes responsables de
ce qui se passe dans notre pays – pas le gouvernement ».
Margareta Griesz-Brisson, neurologue de renommée mondiale
Vidéo
VO Allemand. Vidéo
doublée Anglais.
De nombreux enfants sont hospitalisés puis
placés en soins intensifs chaque semaine à cause d’une "maladie rare et
inquiétante" qui apparaitrait généralement plusieurs semaines après une
infection au coronavirus.
C’est un constat très inquiétant fait par
des pédiatres britanniques. Jusqu’à 100 enfants seraient hospitalisés chaque
semaine dans le pays à cause du syndrome inflammatoire multisystémique (MIS-C
ou PIMS), révèle le Guardian. Au début de la pandémie, les spécialistes
pensaient qu’il s’agissait de la maladie de Kawasaki, un syndrome qui touche les
enfants et les nourrissons, mais il s’agit en fait d’une maladie très proche de
celle-ci qui touche les enfants et les adolescents, quelques semaines après
avoir contracté le Covid-19.
Entre 12 et 15 nouveaux cas par jour
Le PIMS est désormais reconnu comme un
syndrome post-Covid qui toucherait un enfant sur 5.000 environ un mois après
avoir été positif au coronavirus, avec ou sans symptôme. Cette maladie implique
souvent des éruptions cutanées, une température pouvant atteindre 40°C, une
pression artérielle très basse, des douleurs abdominales ou encore des
diarrhées et dans les cas les plus graves, les symptômes ressemblent à ceux
d’un choc toxique ou d’une septicémie potentiellement mortelle.
Sans pouvoir donner d’explications, les
médecins se sont aperçus que les chiffres d’admissions en soins intensifs à
cause de la maladie ont considérablement augmenté par rapport à la première
vague du printemps dernier. Les hôpitaux ont admis jusqu’à 100 enfants par
semaine lors de cette deuxième vague, contre environ 30 par semaine au mois
d’avril dernier. Depuis le mois de janvier, entre 12 et 15 enfants tombent
malade chaque jour et la majorité d’entre eux ont été signalés à Londres et
dans le sud-est de l’Angleterre, régions où le variant du Covid-19 a entraîné
une très forte augmentation des infections.
Les enfants auraient-ils été vaccinés ?
Il y a des précédents avec un vaccin prototype de l'OMS, qui a provoqué la maladie de Kawasaki sur des cobayes humains en Afrique...
La vaccination de masse anti Covid-19 prépare une catastrophe sanitaire mondiale
Voyez hypercapnie et hypoxie sur wikipedia.
RépondreSupprimerÀ vous tous, paysans, le gouvernement bienveillant ne vous fait pas vacciner, il ne vous injecte seulement qu'une dose mortelle.
RépondreSupprimerhttps://fr.sott.net/article/36480-L-effet-stupefix-ou-le-secret-du-vaccin-Covid
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