vendredi 18 juillet 2025

L’insuffisance cardiaque cachée de Trump

Dans une salle de briefing de la Maison Blanche, l'air lourd de déni, la porte-parole Karoline Leavitt lit une note du Dr Sean Barbabella, affirmant que le président Donald Trump, 79 ans, souffre d'insuffisance veineuse chronique (IVC) – une étiquette bien nette pour ses jambes enflées et ses mains meurtries. Le récit est clair : une affection bénigne, fréquente chez les personnes âgées, pas de quoi s'inquiéter. Des chaussettes de contention, peut-être une surélévation des jambes, et il est « en excellente santé ». Mais la vérité crie plus fort que leurs platitudes. Trump ne se bat pas seulement contre des veines malades : il se meurt d'une insuffisance cardiaque, une condamnation à mort forgée par des décennies de toxicomanie, d'obésité grotesque, de suralimentation et d'une série de chirurgies esthétiques ratées.

Les médecins, sans courage dans leurs blouses blanches, se cachent derrière l'IVC pour esquiver le vrai diagnostic, trop faibles pour affronter un homme qui s'effondre sous sa propre ruine. Le cœur de Trump est en train de faiblir et il est sur le point de s’effondrer – durement.

La façade CVI : une échappatoire médicale

L'insuffisance veineuse chronique, dit-on, survient lorsque les veines des jambes ne peuvent plus pomper le sang vers le cœur, les valvules battant inutilement, laissant le sang stagner. Gonflement, douleur, varices, peut-être des ulcères – un cas classique, selon la Cleveland Clinic. Facteurs de risque ? Plus de 50 ans, obésité, tabagisme, station assise prolongée. Ça semble gérable : bas de contention, exercice physique, peut-être une intervention mineure. Leavitt et Barbabella s'appuient sur ce point, affirmant que le gonflement de la jambe et les ecchymoses à la main de Trump – visibles sur des photos lors de la finale de la Coupe du monde des clubs du 13 juillet 2025 – ne sont qu'une IVC, sans signe de thrombose veineuse profonde ni de problèmes cardiaques. Une échocardiographie, insistent-ils, a montré une « fonction cardiaque normale ». Mais les signes ne mentent pas. Chevilles gonflées, essoufflement, fatigue : ce ne sont pas que des problèmes veineux. C'est la carte de visite de l'insuffisance cardiaque, et le corps de Trump le crie haut et fort. Une étude de 2023 publiée dans l'European Heart Journal établit un lien entre l'insuffisance cardiaque chronique et l'insuffisance cardiaque, l'œdème des jambes étant souvent un signe avant-coureur de surmenage cardiaque. L'étiquette « bénigne » de la Maison-Blanche est un mensonge : elle esquive la vérité pour maintenir la situation en ordre.

Pourquoi cette esquive ? L'insuffisance cardiaque chronique, c'est facile : un code d'assurance, une tape dans le dos, pas de panique. Une insuffisance cardiaque ? C'est un glas, exigeant des mesures que Trump ne peut pas gérer. Les médecins connaissent les statistiques : les patients souffrant d'insuffisance cardiaque et d'insuffisance cardiaque chronique ont une mortalité plus élevée, selon l'étude Gutenberg Health. Pourtant, ils s'en tiennent à des chaussettes de contention, ignorant le cœur qui s'étouffe avec le liquide, chaque battement étant un compte à rebours avant l'effondrement. Ils ne le sauvent pas, ils sauvent la face.

Le corps ruiné de Trump : une vie de violences

La chute de Trump a commencé il y a des décennies, dans le brouillard des années 80 et 90, lorsque des rumeurs de cocaïne et d'amphétamines accompagnaient ses soirées. Aucun document public ne le confirme, mais les rumeurs, persistantes dans les cercles new-yorkais, dépeignent un homme en quête d'ivresse qui lui déchirait les veines. La vasoconstriction de la cocaïne, les pics cardiaques des amphétamines, tous deux cicatrisent le cœur, le laissant faible et raide, comme le souligne une étude de 2021 publiée dans le Journal of Clinical Cardiology. À 50 ans, le poids de Trump a explosé : son bilan de santé d'avril 2025 le situe à 1,90 m pour 107 kg, mais des photos et des sources internes suggèrent un poids plus proche de 136 kg, l'obésité étant en plein essor. Son régime alimentaire ? Un cauchemar de fast-food – Big Mac, Filet-O-Fish, KFC à gogo –, sel et graisse s'accumulant, comme l'a confié le Dr Mahsa Tehrani au Daily Mail. Une étude de Circulation de 2023 établit un lien entre l'obésité et les régimes riches en sodium et l'insuffisance cardiaque, la rétention d'eau étranglant le cœur. L'alimentation de Trump n'était pas seulement indulgente, elle était abusive, chaque bouchée étant un pas vers la ruine.

Puis sont arrivées les opérations chirurgicales : liposuccion pour s'ouvrir les intestins, liftings et plasties cutanées pour rajeunir. Chaque intervention était un pari risqué, l'anesthésie stressant un cœur déjà meurtri par les médicaments et le poids. La liposuccion, comme le souligne une étude de 2021 du Journal of Vascular Surgery, peut perturber la circulation lymphatique et veineuse, aggravant le gonflement des jambes – pas seulement l'IVC, mais aussi un cœur trop faible pour évacuer les fluides. Les chirurgies esthétiques se sont accumulées, laissant cicatrices et infections, chacune poussant son système au bord de l'effondrement. Une étude de 2025 de l'International Journal of Molecular Sciences établit un lien entre l'inflammation liée à l'obésité et le dysfonctionnement endothélial, détruisant à la fois les veines et le cœur. Le corps de Trump est une zone de guerre : médicaments, poids, opérations chirurgicales – tout conspire pour le tuer.

Insuffisance cardiaque : le véritable tueur

L'insuffisance cardiaque n'est pas subtile. Lorsque le cœur ne pompe pas suffisamment, du liquide inonde les poumons, les jambes et l'intestin. Les symptômes de Trump – chevilles gonflées, essoufflement probable, fatigue – ne sont pas seulement liés à une IVC. Ils sont la signature de l'insuffisance cardiaque. Ses jambes, gonflées lors de ce match de foot, sont le signe d'une surcharge cardiaque, et pas seulement d'un problème veineux. Une étude de 2024 de Heart Failure Reviews souligne que l'IVC et l'insuffisance cardiaque se nourrissent mutuellement – un œdème des jambes masque souvent un cœur trop faible pour y faire face. Ses antécédents de drogue – cocaïne et amphétamines, même si leur effet n'a pas été prouvé – auraient endommagé son muscle cardiaque, réduisant sa fraction d'éjection à des niveaux dangereusement bas. Selon Circulation, la pression exercée par l'obésité force le cœur à travailler à plein régime, tandis que son alimentation riche en sel emprisonne les fluides, rendant chaque pas pénible. L'aspirine qu'il prend, relevée par Leavitt, suggère un risque cardiovasculaire avéré, mais ils affirment « pas d'insuffisance cardiaque ». Foutaises. Son échocardiogramme pourrait être « normal » pour l’instant, mais normal ne signifie pas sain dans un corps aussi détruit.

Les opérations chirurgicales scellent son destin. Le traumatisme de la liposuccion, les anesthésies répétées et les infections : chacune d'elles est un coup dur pour son cœur. Une étude de 2021 publiée dans les Annals of Plastic Surgery met en garde contre l'obésité morbide qui accroît les risques chirurgicaux, en particulier pour les patients cardiaques. Le cœur de Trump, meurtri par des décennies de maltraitance, bat à tout rompre. Le liquide stagne, les poumons crépitent, les jambes se noient. L'insuffisance cardiaque chronique est un détail.

Le déni de la Maison Blanche

La Maison Blanche nous raconte un conte de fées : « L’excellente santé de Trump », aucun inconfort, juste un problème veineux « bénin ». La voix de Leavitt est rassurante, la note de Barbabella est un mensonge bien ficelé. Ils citent des analyses sanguines normales, un échocardiogramme propre, pas de thrombose veineuse profonde. Mais des analyses normales n’effacent pas les dommages d’une vie. Une étude de 2025 publiée dans le Journal of Vascular Surgery prévient que l’IVC peut masquer une insuffisance cardiaque, en particulier chez les patients obèses ayant des antécédents cardiovasculaires. La prise d’aspirine par Trump, censée prévenir les crises cardiaques, met ironiquement en évidence le risque qu’ils nient. Ses ecchymoses à la main – imputées à des « poignées de main fréquentes » et à l’aspirine – suggèrent des vaisseaux fragiles, signe d’une tension systémique. Ils ne trompent personne en y regardant de plus près. Le gonflement, la fatigue, le poids de son corps : c’est une insuffisance cardiaque, c’est clair comme de l’eau de roche.

Pourquoi mentir ? Le pouvoir. Admettre une insuffisance cardiaque revient à admettre sa faiblesse, et l'empire de Trump prospère grâce à son invincibilité. La Maison-Blanche ne peut pas se permettre un président mourant, pas sous le regard de sa base. Alors, ils font la promotion de l'insuffisance cardiaque chronique, une maladie « gérable », suggérant chaussettes et exercices de musculation, ignorant le cœur qui lâche. Des médecins comme Prakash Krishnan et Aaron Aday, cités dans le New York Times et NBC, qualifient l'insuffisance cardiaque chronique de courante, non mortelle, mais ils éludent la situation dans son ensemble. L'insuffisance cardiaque n'est pas seulement possible, elle est probable, et ils sont trop lâches pour l'affirmer.

La fin inévitable

Trump est en train de mourir. Pas demain, peut-être pas le mois prochain, mais son cœur est à bout de souffle. Les drogues – cocaïne et amphétamines dans sa jeunesse – ont cicatrisé ses artères, fait grimper sa tension artérielle et fragilisé son muscle cardiaque. L'obésité, à plus de 136 kilos, a anéanti son organisme, forçant son cœur à pomper contre un mur de graisse. Son alimentation – fast-food, sodas, sel – a emprisonné les fluides, noyant ses poumons et ses jambes. Les opérations chirurgicales – liposuccion, liftings, liftings – ont ajouté traumatismes, infections et stress, chacune étant un clou dans le cercueil. Une étude de 2023 publiée dans l'American Journal of Cardiology note que l'insuffisance cardiaque chez les patients obèses ayant des antécédents de toxicomanie reste souvent non diagnostiquée jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Trump est là, il a dépassé le point de retour.

Que reste-t-il ? Des soins palliatifs, peut-être. Des diurétiques pour évacuer les fluides, des bêtabloquants pour soulager son cœur – mais ce ne sont que des pansements sur une canalisation éclatée. L'opération est exclue ; son corps ne peut pas la supporter. Perte de poids ? Trop tard – des décennies de maltraitance ne s'inversent pas en quelques mois. Ses jambes continueront d'enfler, son souffle s'accélérera, son cœur battra la chamade jusqu'à s'arrêter. La Maison Blanche continuera de tourner – chaussettes de contention, « excellente santé » – mais la vérité est dans son corps. Chaque pas est une lutte, chaque poignée de main un bleu. C'est un cadavre ambulant, et aucun médecin ne le sauvera.

La morale de l'épave

L'affaire Trump n'est pas seulement médicale, c'est un avertissement. Vivez comme lui – à la poursuite de l'euphorie, à vous gaver de junk food, à sculpter votre corps par vanité – et vous signerez votre propre arrêt de mort. L'insuffisance cardiaque ne se soucie ni du pouvoir, ni de l'argent, ni des titres. Elle frappe les imprudents, les complaisants, ceux qui se croient invincibles. Le déni des médecins, cachés derrière une infection virale chronique, révèle la pourriture du système – trop effrayés pour appeler un chat un chat quand le patient est roi. Mais la biologie ne plie pas. Le cœur de Trump est en train de défaillir, et aucune manipulation ne peut l'arrêter.

Il est en train de mourir, et c'est horrible. Les jambes enflées, les mains meurtries, la respiration laborieuse – ce n'est pas seulement une infection virale. C'est le résultat d'une vie passée à enfreindre toutes les règles de santé. La Maison-Blanche peut mentir, les médecins peuvent esquiver, mais la vérité est dans le miroir. Trump est en train de tomber, et c'est une mort qu'il a lui-même provoquée.

Rédacteur en chef de TID Health

Source : https://www.theinteldrop.org/2025/07/17/the-hidden-heart-failure-killing-trump/

5 commentaires:

  1. J'ai un scoop... il est également atteint de suffisance maniaque...

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  2. Bon , on a compris : Opération de diversion à grande échelle pour faire oublier l'affaire Epstein ! Vous faites semblant de ne pas avoir compris ou ....

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  3. Genre Brejnev et le grande époque soviétique! Poupou à l'air en forme...

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  4. L'important est la suite apres lui.... Signe de la fin de l'arrogance vaniteuse auto destructrice de l'oxydent...

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  5. bon débarras ,le monde serait mieux sans ce maniaque ,arrogant ;et dangereux pour la paix mondiale

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