Dans une salle de briefing de la Maison Blanche, l'air lourd de déni, la porte-parole Karoline Leavitt lit une note du Dr Sean Barbabella, affirmant que le président Donald Trump, 79 ans, souffre d'insuffisance veineuse chronique (IVC) – une étiquette bien nette pour ses jambes enflées et ses mains meurtries. Le récit est clair : une affection bénigne, fréquente chez les personnes âgées, pas de quoi s'inquiéter. Des chaussettes de contention, peut-être une surélévation des jambes, et il est « en excellente santé ». Mais la vérité crie plus fort que leurs platitudes. Trump ne se bat pas seulement contre des veines malades : il se meurt d'une insuffisance cardiaque, une condamnation à mort forgée par des décennies de toxicomanie, d'obésité grotesque, de suralimentation et d'une série de chirurgies esthétiques ratées.
Les médecins, sans courage dans leurs blouses blanches, se
cachent derrière l'IVC pour esquiver le vrai diagnostic, trop faibles pour
affronter un homme qui s'effondre sous sa propre ruine. Le cœur de Trump est en
train de faiblir et il est sur le point de s’effondrer – durement.
L'insuffisance
veineuse chronique, dit-on, survient lorsque les veines des jambes ne peuvent
plus pomper le sang vers le cœur, les valvules battant inutilement, laissant le
sang stagner. Gonflement, douleur, varices, peut-être des ulcères – un cas
classique, selon la Cleveland Clinic. Facteurs de risque ? Plus de
50 ans, obésité, tabagisme, station assise prolongée. Ça semble
gérable : bas de contention, exercice physique, peut-être une intervention
mineure. Leavitt et Barbabella s'appuient sur ce point, affirmant que le gonflement
de la jambe et les ecchymoses à la main de Trump – visibles sur des photos lors
de la finale de la Coupe du monde des clubs du 13 juillet 2025 – ne
sont qu'une IVC, sans signe de thrombose veineuse profonde ni de problèmes
cardiaques. Une échocardiographie, insistent-ils, a montré une « fonction
cardiaque normale ». Mais les signes ne mentent pas. Chevilles gonflées,
essoufflement, fatigue : ce ne sont pas que des problèmes veineux. C'est
la carte de visite de l'insuffisance cardiaque, et le corps de Trump le crie
haut et fort. Une étude de 2023 publiée dans l'European Heart Journal établit
un lien entre l'insuffisance cardiaque chronique et l'insuffisance cardiaque,
l'œdème des jambes étant souvent un signe avant-coureur de surmenage cardiaque.
L'étiquette « bénigne » de la Maison-Blanche est un mensonge : elle
esquive la vérité pour maintenir la situation en ordre.
Le corps ruiné
de Trump : une vie de violences
La chute de
Trump a commencé il y a des décennies, dans le brouillard des années 80 et 90,
lorsque des rumeurs de cocaïne et d'amphétamines accompagnaient ses soirées.
Aucun document public ne le confirme, mais les rumeurs, persistantes dans les
cercles new-yorkais, dépeignent un homme en quête d'ivresse qui lui déchirait
les veines. La vasoconstriction de la cocaïne, les pics cardiaques des
amphétamines, tous deux cicatrisent le cœur, le laissant faible et raide, comme
le souligne une étude de 2021 publiée dans le Journal of Clinical Cardiology. À
50 ans, le poids de Trump a explosé : son bilan de santé d'avril 2025 le
situe à 1,90 m pour 107 kg, mais des photos et des sources internes
suggèrent un poids plus proche de 136 kg, l'obésité étant en plein essor. Son régime alimentaire ? Un cauchemar de fast-food –
Big Mac, Filet-O-Fish, KFC à gogo –, sel et graisse s'accumulant,
comme l'a confié le Dr Mahsa Tehrani au Daily Mail. Une étude de Circulation de
2023 établit un lien entre l'obésité et les régimes riches en sodium et
l'insuffisance cardiaque, la rétention d'eau étranglant le cœur. L'alimentation
de Trump n'était pas seulement indulgente, elle était abusive, chaque bouchée
étant un pas vers la ruine.
Puis sont arrivées les opérations chirurgicales :
liposuccion pour s'ouvrir les intestins, liftings et plasties cutanées pour
rajeunir. Chaque intervention était un pari risqué, l'anesthésie
stressant un cœur déjà meurtri par les médicaments et le poids. La liposuccion,
comme le souligne une étude de 2021 du Journal of Vascular Surgery, peut
perturber la circulation lymphatique et veineuse, aggravant le gonflement des
jambes – pas seulement l'IVC, mais aussi un cœur trop faible pour évacuer les
fluides. Les chirurgies esthétiques se sont accumulées, laissant cicatrices et
infections, chacune poussant son système au bord de l'effondrement. Une étude
de 2025 de l'International Journal of Molecular Sciences établit un lien entre
l'inflammation liée à l'obésité et le dysfonctionnement endothélial, détruisant
à la fois les veines et le cœur. Le corps de
Trump est une zone de guerre : médicaments, poids, opérations
chirurgicales – tout conspire pour le tuer.
Insuffisance
cardiaque : le véritable tueur
L'insuffisance
cardiaque n'est pas subtile. Lorsque le cœur ne pompe pas suffisamment, du
liquide inonde les poumons, les jambes et l'intestin. Les symptômes de Trump –
chevilles gonflées, essoufflement probable, fatigue – ne sont pas seulement
liés à une IVC. Ils sont la signature de l'insuffisance cardiaque. Ses jambes,
gonflées lors de ce match de foot, sont le signe d'une surcharge cardiaque, et
pas seulement d'un problème veineux. Une étude de 2024 de Heart Failure Reviews
souligne que l'IVC et l'insuffisance cardiaque se nourrissent mutuellement – un
œdème des jambes masque souvent un cœur trop faible pour y faire face. Ses antécédents de drogue – cocaïne et amphétamines,
même si leur effet n'a pas été prouvé – auraient endommagé son muscle
cardiaque, réduisant sa fraction d'éjection à des niveaux dangereusement bas.
Selon Circulation, la pression exercée par l'obésité force le cœur à travailler
à plein régime, tandis que son alimentation riche en sel emprisonne les
fluides, rendant chaque pas pénible. L'aspirine qu'il prend, relevée par Leavitt,
suggère un risque cardiovasculaire avéré, mais ils affirment « pas
d'insuffisance cardiaque ». Foutaises. Son échocardiogramme pourrait être
« normal » pour l’instant, mais normal ne signifie pas sain dans un corps aussi
détruit.
Les opérations
chirurgicales scellent son destin. Le traumatisme de la liposuccion, les
anesthésies répétées et les infections : chacune d'elles est un coup dur
pour son cœur. Une étude de 2021 publiée dans les Annals of Plastic Surgery met
en garde contre l'obésité morbide qui accroît les risques chirurgicaux, en
particulier pour les patients cardiaques. Le cœur de Trump, meurtri par des
décennies de maltraitance, bat à tout rompre. Le liquide stagne, les poumons
crépitent, les jambes se noient. L'insuffisance cardiaque chronique est un
détail.
Le déni de la
Maison Blanche
La Maison
Blanche nous raconte un conte de fées : « L’excellente santé de
Trump », aucun inconfort, juste un problème veineux « bénin ».
La voix de Leavitt est rassurante, la note de Barbabella est un mensonge bien
ficelé. Ils citent des analyses sanguines normales, un échocardiogramme propre,
pas de thrombose veineuse profonde. Mais des analyses normales n’effacent pas
les dommages d’une vie. Une étude de 2025 publiée dans le Journal of Vascular
Surgery prévient que l’IVC peut masquer une insuffisance cardiaque, en
particulier chez les patients obèses ayant des antécédents cardiovasculaires.
La prise d’aspirine par Trump, censée prévenir les crises cardiaques, met
ironiquement en évidence le risque qu’ils nient. Ses ecchymoses à la main –
imputées à des « poignées de main fréquentes » et à l’aspirine –
suggèrent des vaisseaux fragiles, signe d’une tension systémique. Ils ne
trompent personne en y regardant de plus près. Le gonflement, la fatigue, le
poids de son corps : c’est une insuffisance cardiaque, c’est clair comme
de l’eau de roche.
Pourquoi mentir
? Le pouvoir. Admettre une insuffisance cardiaque revient à admettre sa faiblesse, et
l'empire de Trump prospère grâce à son invincibilité. La
Maison-Blanche ne peut pas se permettre un président mourant, pas sous le
regard de sa base. Alors, ils font la promotion de l'insuffisance cardiaque
chronique, une maladie « gérable », suggérant chaussettes et exercices de
musculation, ignorant le cœur qui lâche. Des médecins comme Prakash Krishnan et
Aaron Aday, cités dans le New York Times et NBC, qualifient l'insuffisance
cardiaque chronique de courante, non mortelle, mais ils éludent la situation
dans son ensemble. L'insuffisance cardiaque n'est pas seulement possible, elle
est probable, et ils sont trop lâches pour l'affirmer.
La fin
inévitable
Trump est en train de mourir. Pas demain, peut-être pas
le mois prochain, mais son cœur est à bout de souffle. Les drogues – cocaïne et amphétamines dans sa jeunesse –
ont cicatrisé ses artères, fait grimper sa tension artérielle et fragilisé son
muscle cardiaque. L'obésité, à plus de 136 kilos, a anéanti son organisme,
forçant son cœur à pomper contre un mur de graisse. Son alimentation – fast-food,
sodas, sel – a emprisonné les fluides, noyant ses poumons et ses jambes. Les
opérations chirurgicales – liposuccion, liftings, liftings – ont ajouté
traumatismes, infections et stress, chacune étant un clou dans le cercueil. Une
étude de 2023 publiée dans l'American Journal of Cardiology note que
l'insuffisance cardiaque chez les patients obèses ayant des antécédents de
toxicomanie reste souvent non diagnostiquée jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
Trump est là, il a dépassé le point de retour.
Que reste-t-il ?
Des soins palliatifs, peut-être. Des diurétiques pour évacuer les fluides, des
bêtabloquants pour soulager son cœur – mais ce ne sont que des pansements sur
une canalisation éclatée. L'opération est exclue ; son corps ne peut pas la
supporter. Perte de poids ? Trop tard – des décennies de maltraitance ne
s'inversent pas en quelques mois. Ses jambes continueront d'enfler, son souffle
s'accélérera, son cœur battra la chamade jusqu'à s'arrêter. La Maison Blanche
continuera de tourner – chaussettes de contention, « excellente santé » – mais
la vérité est dans son corps. Chaque pas est une lutte, chaque poignée de main
un bleu. C'est un cadavre ambulant, et aucun médecin ne le sauvera.
La morale de
l'épave
L'affaire Trump
n'est pas seulement médicale, c'est un avertissement. Vivez comme lui – à la
poursuite de l'euphorie, à vous gaver de junk food, à sculpter votre corps par
vanité – et vous signerez votre propre arrêt de mort. L'insuffisance cardiaque
ne se soucie ni du pouvoir, ni de l'argent, ni des titres. Elle frappe les
imprudents, les complaisants, ceux qui se croient invincibles. Le déni des
médecins, cachés derrière une infection virale chronique, révèle la pourriture
du système – trop effrayés pour appeler un chat un chat quand le patient est roi.
Mais la biologie ne plie pas. Le cœur de Trump est en train de défaillir, et
aucune manipulation ne peut l'arrêter.
Il est en train
de mourir, et c'est horrible. Les jambes enflées, les mains meurtries, la
respiration laborieuse – ce n'est pas seulement une infection virale. C'est le
résultat d'une vie passée à enfreindre toutes les règles de santé. La
Maison-Blanche peut mentir, les médecins peuvent esquiver, mais la vérité est
dans le miroir. Trump est en train de tomber, et c'est une mort qu'il a lui-même
provoquée.
Rédacteur
en chef de TID Health
Source : https://www.theinteldrop.org/2025/07/17/the-hidden-heart-failure-killing-trump/
J'ai un scoop... il est également atteint de suffisance maniaque...
RépondreSupprimerBon , on a compris : Opération de diversion à grande échelle pour faire oublier l'affaire Epstein ! Vous faites semblant de ne pas avoir compris ou ....
RépondreSupprimerGenre Brejnev et le grande époque soviétique! Poupou à l'air en forme...
RépondreSupprimerL'important est la suite apres lui.... Signe de la fin de l'arrogance vaniteuse auto destructrice de l'oxydent...
RépondreSupprimerbon débarras ,le monde serait mieux sans ce maniaque ,arrogant ;et dangereux pour la paix mondiale
RépondreSupprimer