Nombre des grands ouvrages antisémites des cinquante dernières années sont de remarquables ouvrages offensifs. Ils exposent leurs arguments contre le pouvoir et la subversion juifs et laissent au lecteur le soin d'y répondre. Parmi les plus célèbres, on peut citer La Culture de la critique de Kevin MacDonald, 200 ans ensemble d'Alexandre Soljenitsyne , Histoire juive, religion juive d'Israel Shahak et Russophobie d'Igor Shafarevich . Plus rares sont les ouvrages antisémites défensifs, qui exonèrent les Gentils blancs de la diabolisation souvent présente dans l'historiographie juive. Le livre d'Albert Lindemann , Les Larmes d'Ésaü, paru en 1997 , est un exemple de ce type d'ouvrage, car il protège les peuples européens de la culpabilité collective dont les historiens de gauche – dont beaucoup sont juifs – les diffament sans cesse. Lindemann humanise également de nombreux antisémites notables du XIXe et du début du XXe siècle, blanchissant ainsi leurs noms et ceux des personnes qui les ont suivis.
La façon dont nous
interprétons l’histoire est toujours fortement influencée par les
préoccupations et les valeurs de notre époque, mais il est finalement trompeur
et injuste de singulariser et de décrire avec indignation, par exemple, le
racisme des Allemands du XIXe siècle (« proto-nazis ») sans reconnaître à quel
point les croyances dans le déterminisme ethnique ou racial étaient la norme
dans la plupart des pays et se retrouvaient autant parmi les minorités
opprimées, y compris les Juifs, que parmi les majorités oppressives – comment
elles faisaient, en bref, partie d’un monde intellectuel partagé, d’un
zeitgeist – mais n’ont pas conduit à des meurtres de masse dans tous les pays.
L'historien juif Salo Baron a inventé le terme « théorie lacrymogène » pour décrire « l'apitoiement éternel sur soi-même caractéristique de l'historiographie juive » [Un proverbe tunisien dit " Les larmes des putes ne touchent que leurs souteneurs"].
En allemand, ce terme est connu sous le nom de Leidensgeschichte (« histoire de la souffrance »), et est souvent employé non pas pour présenter un récit équilibré et désintéressé des événements passés, mais pour prévenir les souffrances futures en ignorant la culpabilité juive et en vilipendant les Gentils. Cette « théorie dénonciatrice » de l'historiographie juive pourrait aisément aller de pair avec la « théorie lacrymogène » de Baron, puisqu'elle stigmatise les Gentils du stigmate d'une culpabilité éternelle (dont l'absolution ne peut être obtenue, bien sûr, que par le philosémitisme). La résistance à ces deux théories est la base sur laquelle Lindemann s'appuie. Il vise trois volumes populaires d'histoire juive, écrits par trois polémistes juifs : La Guerre contre les Juifs de Lucy Dawidowcz (1975), Antisémitisme : La plus longue haine (1991) de Robert Wistrich, et Les Bourreaux volontaires d'Hitler (1996) de Daniel Goldhagen. Ces ouvrages, comme le dit poliment Lindemann, ont « une tendance à un récit haut en couleur et indigné, accompagné d'une analyse faible, parfois tendancieuse ». Cependant, en dissipant l'anti-gentilisme flagrant de ces auteurs, Lindemann ne souhaite jamais exclure les Juifs de son lectorat. Il ne cesse jamais explicitement de rechercher le rapprochement. Un thème majeur des Larmes d'Ésaü émerge, avertissant les Juifs qu'une approche hostile, polémique et franchement malhonnête de l'histoire ne fera que donner aux véritables antisémites davantage de munitions à lancer contre eux.
L'idée maîtresse de
Lindemann trouve son origine dans le livre de la Genèse. Les frères jumeaux
Ésaü et Jacob se disputent l'affection de leur père Isaac, que Jacob, le plus
jeune, escroque par ruse à Ésaü. Furieux et le cœur brisé, Ésaü force Jacob à
fuir en Mésopotamie, où il donne naissance au peuple juif. Ésaü, quant à lui,
donne naissance aux Gentils. On dit que l'antisémitisme ne cessera que lorsque
les larmes d'Ésaü cesseront de couler. Je ne pense pas que Lindemann, qui n'est
pas juif lui-même, aurait pu choisir un meilleur titre pour un ouvrage qui
contredit la « théorie larmoyante » de l'historiographie juive. Les Gentils
aussi ont des larmes, et comme pour leur innocent ancêtre de l'Ancien
Testament, celles-ci naissent souvent non pas de
fantasmes ou de psychoses, mais des méfaits palpables
des Juifs. Œil pour œil, larme pour larme.
Lindemann poursuit en révélant un fait gênant après l'autre pour appuyer son propos. Les Juifs de l'histoire n'ont pas été relégués dans des ghettos ; ils y ont vécu de leur propre chef pour se tenir à l'écart des non-Juifs. Ils n'ont pas été contraints à l'usure, au commerce de l'alcool et à des activités criminelles parce qu'aucune autre vocation ne leur était ouverte [1] ; ils ont agi ainsi par désir et sans se soucier du mal qu'ils causaient aux non-Juifs. Et oui, même en Russie, ils pouvaient posséder des terres, mais ils ont simplement choisi de ne pas les cultiver eux-mêmes. Souvent, les Juifs de l'histoire étaient pauvres parce que l'écrasante majorité des non-Juifs qui les entouraient l'étaient également. Et les Juifs de l'Antiquité et du Moyen Âge n'étaient pas si innocents. Lindemann nous donne des exemples de l'oppression par la juiverie antique des chrétiens et des païens, ainsi que des propos franchement haineux du Talmud [2] (par exemple, « Le meilleur parmi les non-Juifs doit être tué »). Le Livre du Deutéronome, souligne Lindemann, peut raisonnablement être considéré comme autorisant le génocide, et de nombreux penseurs juifs à travers l'histoire ont exprimé des opinions qui aujourd'hui seraient considérées comme racistes, suprémacistes ou chauvines. En comparaison, les Juifs étaient mieux traités dans la doctrine officielle de l'Église que les musulmans ou les hérétiques. Lindemann ne laisse jamais les Gentils impunis pour leur mauvaise conduite, mais il ne cesse de rappeler au lecteur les longues périodes durant lesquelles Juifs et Gentils ont relativement bien cohabité.
Les Larmes d'Ésaü offre un bref historique des Lumières qui, par l'importance qu'elles
accordaient à l'égalitarisme et à la fraternité, ont lancé le mouvement
d'émancipation juive en Europe. Sans surprise, de
nombreux penseurs des Lumières, dont Voltaire, étaient irrités par
l'intolérance et le séparatisme juifs [3]. Le fait que les Juifs ashkénazes de France étaient grossiers et manquaient
de bonnes manières n'arrangeait rien (les Séfarades, en revanche, se
comportaient bien mieux et rencontraient donc moins d'obstacles à l'obtention
de la citoyenneté). Sans surprise non plus, les Français les plus familiers
avec les Juifs – comme les délégués alsaciens à l'Assemblée nationale – étaient
les plus farouchement opposés à l'égalité des droits. Ironie du sort, Lindemann
rapporte qu'après que les Juifs eurent obtenu leur égalité, de nombreux
Alsaciens affirmaient que les vices juifs, loin de disparaître sous l'effet des
nouvelles lois, s'étaient même aggravés dans leur province. Les Juifs n'avaient
pas saisi l'occasion d'exercer un travail physique honnête, mais avaient
poursuivi avec encore plus de succès leurs anciennes pratiques d'usure et
d'exploitation.
Par un autre paradoxe,
les dirigeants séfarades de France ont souvent farouchement résisté à l'égalité
des droits pour les Ashkénazes « en raison de leur faible moralité ». C'est
l'un des nombreux exemples, dans Les Larmes d'Ésaü, de Juifs
se comportant de manière antisémite avec de bonnes raisons. Le plus souvent,
cela résultait de la gêne et de la déconfiture ressenties par de nombreux Juifs
assimilés d'Europe occidentale face à leurs frères d'Europe de l'Est dont la
moralité, l'hygiène et les manières laissaient beaucoup à désirer.
En Europe de l'Est, la
situation était bien pire en raison des millions de Juifs récemment devenus
sujets du tsar au milieu du XIXe siècle. Ces nombreux Ostjuden (Juifs de l'Est)
constituaient de loin la plus grande concentration de Juifs au monde et ont
immédiatement plongé la Russie dans une crise en raison de leurs relations
d'exploitation avec les paysans. Lindemann précède John Klier en exonérant le gouvernement
tsariste des pogroms du début des années 1880. Et lorsqu'il
évoque les pogroms plus violents qui ont eu lieu dans des villes comme Kichinev
au début du XXe siècle, Lindemann rappelle avec mordant que les
révolutionnaires juifs avaient été disproportionnellement responsables de
l'assassinat de hauts fonctionnaires et de policiers russes avant ces
événements, notamment celui de Viatcheslav von Plehve, le ministre russe de
l'Intérieur. Lindemann évoque la tendance juive à exagérer les atrocités, comme
lorsque l'insurgé ukrainien Bogdan Chmielnicki s'est soulevé contre les
Polonais en 1648, ciblant non seulement les Juifs, mais aussi la noblesse
polonaise et l'Église catholique. La Leidensgeschichte juive rapporte qu'au
moins 100 000 Juifs ont été massacrés, mais les historiens modernes, dont
Paul Johnson dans The History of the Jews (1987), en doutent
sérieusement. Lindemann souligne également que, pendant ce temps, l'Europe
était en proie à des guerres tout aussi brutales, et « on peut
sérieusement se demander si les Juifs ont souffert en nombre sensiblement plus
important que les autres victimes de ces batailles acharnées ». Et, dans
un humour pince-sans-rire, à ceux qui se plaignent de l'enfermement des Juifs
dans la Zone de Résidence russe à cette époque, Lindemann rappelle que cette
Zone était quarante fois plus vaste que l'État d'Israël moderne.
Aucune critique
des Larmes d'Ésaü ne serait complète sans aborder l'analyse
que Lindemann fait de Benjamin Disraeli, romancier juif et Premier ministre
britannique de la fin du XIXe siècle. L'esprit du temps était, en effet, le
réalisme racial ou ethnique. Rares sont ceux, et encore moins les Juifs, qui
niaient que les différents peuples possédaient des capacités et des
tempéraments intrinsèques différents, tant positifs que négatifs.
(Heureusement, Linemann ne le nie pas non plus.) Quiconque présente le
déterminisme racial du XIXe siècle comme la
preuve par excellence de l'inéluctabilité du nazisme devra s'attaquer à Disraeli, que Lindemann décrit comme « le plus influent propagateur du
concept de race au XIXe siècle » :
Dans son roman Coningsby ,
Disraeli dépeint une puissance juive vaste et secrète, déterminée à dominer le
monde. Son noble personnage juif, Sidonia (dont Disraeli
fit savoir qu'il s'inspirait de Lionel Rothschild), décrit la race comme un déterminant primordial (« tout est race ; il n'y a pas d'autre vérité »). La race, affirmait-il, avait toujours été un facteur central de l'essor
de la civilisation, et la civilisation occidentale n'aurait pu prospérer sans
la race juive.
Lindemann cite même un
Rothschild qui, dans une correspondance privée, imputait catégoriquement
l'antisémitisme à « l'arrogance, la vanité et l'indicible
insolence » des Juifs. L'historien juif du XIXe siècle
Heinrich Graetz, qui méprisait l'Allemagne malgré son habitation, est un
exemple parfait d'une telle insolence. Il affirmait un jour que les Juifs convertis au christianisme étaient « comme des combattants qui,
revêtant l'uniforme de l'ennemi, peuvent d'autant plus facilement le frapper et
l'anéantir ». Lindemann montre clairement que de
telles attitudes destructrices n'étaient pas si inhabituelles chez les Juifs
éminents et que l'idée souvent exagérée que les Juifs étaient des
destructeurs de culture « reflétait une réalité indéniable ». Lindemann rapporte comment les Juifs utilisaient souvent la presse comme une
arme contre les chrétiens ou les goyim en général, tout en s'offusquant
vivement de la moindre critique à leur égard. Et puis il y a toutes les
escroqueries et les gabegies dans lesquelles les Juifs ont été impliqués,
illustrées par le scandale du canal de Panama qui a fait la une des journaux
français dans les années 1880 et au début des années 1890.
Une enquête sur les
activités de la Compagnie de Panama a révélé une corruption généralisée de
fonctionnaires parlementaires pour obtenir des prêts afin de poursuivre les
travaux du canal de Panama, travaux qui avaient été ralentis par
d'interminables difficultés techniques et administratives. Il s'agissait d'un
projet moderne, impliquant d'importants capitaux français et menaçant le
prestige national. Les intermédiaires entre la Compagnie de Panama et le
Parlement étaient presque exclusivement juifs, aux noms et origines allemands,
et certains tentaient de se faire chanter mutuellement.
Le fiasco a fait
perdre leur fortune à des milliers de petits investisseurs, sans parler des 5
000 Français et des 20 000 travailleurs afro-caribéens qui ont perdu la vie
dans la chaleur tropicale pour rien.
Ainsi, les antisémites
avaient souvent raison, ou du moins ne se livraient pas à des fantasmes,
lorsqu'ils accusaient les Juifs de méfaits clandestins ou de mauvais
comportements. Et plus il y avait d'Ostjuden dans une
région donnée, plus il y avait de méfaits et de mauvais comportements à
dénoncer – généralement. L'essentiel des Larmes
d'Ésaü les aborde, ainsi que les antisémites qui ont utilisé leurs
capacités d'analyse et de reconnaissance des schémas pour attirer l'attention
sur eux. Plus important encore, Lindemann humanise ces individus, avec leurs
défauts et leurs qualités, et, dans presque tous les cas, les exonère de la
culpabilité sanglante dont l'école dénonciatrice de l'histoire juive souhaite
les accuser. Pour une histoire de l'antisémitisme de 1870 à 1939, on ne peut
faire mieux que Les Larmes d'Ésaü.
Lindemann analyse
l'antisémitisme sous tous ses angles. Au XVIIIe siècle, Johann Gottfried von
Herder a établi la notion de volkgeist, ou esprit du peuple, que le célèbre
compositeur Richard Wagner a reprise au siècle suivant pour parler des Juifs
dans la musique. Le chercheur français Paul Broca était un homme de gauche dont
les données l'ont forcé à conclure à l'existence de différences raciales, bien
contre son gré. Là où des fanatiques comme Wilhelm Marr – l'inventeur du terme
antisémitisme – et Georg Ritter von Schönerer voyaient les Juifs sous un prisme
racial, des religieux comme Adolf Stoekel et le baron Karl von Vogelsang
percevaient le comportement des Juifs comme une menace pour le christianisme.
Otto Böckel, démagogue populaire surnommé « le roi paysan », a inlassablement
défendu les classes populaires allemandes, souvent victimes des prédations
juives. Entre-temps, le théoricien anticapitaliste Eugen Dühring écrivait sur
le « mal cosmique » des Juifs. Au-dessus d'eux se trouvaient des intellectuels
de premier plan tels que Heinrich von Treitschke et Houston Stewart
Chamberlain, qui conféraient une grande crédibilité à l'antisémitisme et
étaient respectés par les Juifs comme par les non-Juifs.
Il y avait bien sûr
Karl Lueger, le maire antisémite immensément populaire de Vienne avant la
Première Guerre mondiale. Lindemann refuse de défendre Lueger en toutes
circonstances, mais souligne que son antisémitisme n'était souvent qu'une
provocation pour sa base et n'était peut-être pas entièrement sincère. Les
Juifs de Vienne n'ont subi aucun préjudice matériel durant son mandat et ont
même prospéré lorsque ce prétendu ennemi des Juifs régnait en maître, comme
beaucoup d'autres. Le seul antisémite notable que Lindemann discrédite est
Édouard Drumont, dont il qualifie les écrits populaires de « gribouillis
incohérents ». Néanmoins, Lindemann attribue à Drumont le mérite d'être le
journaliste dénonciateur qui a révélé le rôle des Juifs dans le scandale du
canal de Panama.
Lindemann concède que
l'histoire regorge de vulgaires incompétents et de charlatans qui ont rallié le
mouvement antisémite après avoir échoué dans d'autres tentatives. Mais pendant
plus d'un siècle, les antisémites, dotés de talent, d'énergie, de convictions
et de discipline, ont réagi rationnellement aux problèmes réels et n'ont en
aucun cas tracé une ligne droite avec les nazis. Lindemann souligne en effet
combien la diversité de l'antisémitisme du XIXe siècle rend cette distinction
très difficile. Après tout, il y avait beaucoup de racistes qui n'étaient pas
antisémites, et un bon nombre d'antiracistes qui l'étaient. Et que penser des
antisémites qui attaquaient les Juifs d'un point de vue religieux, social ou
conservateur ? De plus, Lindemann démontre que malgré l'incroyable
diversité de la pensée et de la politique antisémites avant l'ère nazie, il existait
deux aspects où cette diversité était quasi inexistante. Premièrement, aucun
des dirigeants des mouvements antisémites hors de Russie ou de Roumanie n'a
appelé à la violence contre les Juifs. Deuxièmement, tous, à l'exception
peut-être de Lueger, ont rarement réussi à ancrer l'antisémitisme dans la
population. Avant la Première Guerre mondiale, l'antisémitisme n'a jamais
véritablement pris pied en Europe occidentale et méridionale, ni en Hongrie.
Certes, sa présence était plus forte en Allemagne et en Autriche, où la
population juive y était plus nombreuse. Mais même dans ces pays, il n'a jamais
connu une popularité durable. Ce n'est qu'en Roumanie et en Russie qu'il était
si répandu qu'il n'a pas eu besoin de démagogues ou d'idéologues pour le soutenir.
D'après mon interprétation de Lindemann, le faible succès de l'antisémitisme
résultait non seulement de la tolérance européenne, mais aussi du fait que les
Juifs assimilés et les Séfarades étaient en général plus sages et plus
respectueux de leurs hôtes non juifs que les Juifs de l'Est ashkénazes,
autoritaires et mal élevés, souvent en quête impitoyable d'argent ou de
révolution.
Dans son premier
chapitre, Lindemann suggère que « la notion d'antisémite comme opprimé
mérite une analyse sérieuse ». En effet, les historiens très influents de
l'école juive de dénonciation déshumanisent et diabolisent continuellement les
antisémites de l'histoire, comme s'ils accusaient un tribunal de meurtre au
premier degré, la victime étant, bien sûr, les six millions de martyrs
imaginaires. Les preuves à décharge sont minimisées ou ignorées, et d'autres
objectifs que la recherche impartiale de la vérité sont poursuivis. Dans les
derniers chapitres des Larmes d'Ésaü, Lindemann condamne
certes la Solution finale d'Adolf Hitler, mais humanise néanmoins l'homme. Il
souligne ce que tant d'entre nous savent aujourd'hui : Hitler et les nazis
étaient en grande partie une réaction aux atrocités généralisées des
Soviétiques, un peuple que l'école de dénonciation de l'histoire juive diffame
rarement avec la même vigueur qu'elle déploie lorsqu'elle diffame les nazis et
leurs innocents prédécesseurs antisémites. C’est peut-être parce qu’un nombre très
disproportionné de ces criminels soviétiques étaient eux-mêmes juifs.[4]
Si les larmes
d’Esaü nous disent quelque chose, c’est que rien de bon ne peut en
sortir, à part peut-être davantage d’antisémitisme.
24 juillet 2025
Par Spencer J. Quinn
Source : https://www.theoccidentalobserver.net/2025/07/24/esaus-tears/
----------------------------------------------------------------------------------
NOTES de H. Genséric
[1]
Pédophilie
"snuff porno": Ils tuent des enfants pour leur plaisir sexuel
- L'industrie
juive du porno : "activisme antifasciste" et terrorisme culturel
(partie 1/2)
- L'industrie
juive du porno : "activisme antifasciste" et terrorisme culturel
(Partie 2/2)
- Pornographie
et contrôle politique
[2] LE TALMUD révélé. 2. La haine
raciste envers les non-juifs et envers Jésus et Marie
- LE TALMUD révélé. Une
littérature de la haine raciste. 1. Introduction La Torah et le Talmud
- LE
TALMUD révélé. 3è partie. Les non-juifs ne sont pas humains, génocides,
racisme, pédophilie, zoophilie,...
- Le Talmud révélé. Voici comment les juifs doivent
traiter les Goyim :
Abhodah
Zarah 20a: Ne jamais faire la louange d'un goy, de peur qu'il ne
la croie.
Abhodah Zarah 22a: Ne pas fréquenter les goyim; ils versent
le sang.
Abhodah Zarah 22b : Les goyim sont impurs parce qu'ils
n'étaient pas là au Mont Sinaï.
Abhodah Zarah 25b: Se méfier des goyim quand on voyage avec eux
à l'étranger.
Abhodah Zarah 26a: Ne pas recourir à une sage femme
non-juive, qui une fois seule pourrait tuer
le bébé. Même si elle était surveillée, elle
pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.
Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des goy devrait
être abattu.
Abhodah Zarah 35b : toutes les filles des incroyants sont
niddah (sales, impures) depuis leur
naissance.
Abhodah Zarah 35b: Ne pas boire du lait tiré par un goy.
Abhodah Zarah 4b: Vous pouvez tuer un goy avec vos propres
mains.
Abhodah Zarah 54a: L'usure peut être pratiquée sur les goyim,
ou sur les apostats.
Abhodah Zorah 26b: Ceux qui voudraient changer de
religion doivent être jetés au fond d'un
puits, et oubliés.
Baba Mezia 24a: si un juif trouve un objet appartenant à
un goyim, il n'est pas tenu de le lui
rendre
Babha Bathra 54b : La propriété d'un goy appartient au
premier juif qui la réclame.
Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer,
si c'est pour tromper ou faire condamner un
goy.
Babha Kama 113a: Les incroyants ne bénéficient pas de la loi
et Dieu a mis leur argent à la disposition
d'Israël.
Babha Kama 113b: Le nom de Dieu n'est pas profané quand
le mensonge a été fait à un goy.
Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: Tout juif qui verse le
sang de goyim revient à la même chose qu'une
offrande à Dieu.
Chagigah 15b : Un juif est toujours considéré comme bon, en
dépit des péchés qu'il peut commettre. C'est
toujours sa coquille qui se salit, jamais son
fond propre.
Choschen Ham 156, 5: Les clients goyim possédés par un juif,
ne doivent pas être démarchés par un autre
juif.
Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un goy doivent
se partager le bénéfice équitablement.
Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s'en
inquiéter les affaires perdues par un
goy.
Choschen Ham 26, 1: Un juif ne doit pas être poursuivi devant
un tribunal goy, par un juge goy, ou par des
lois non-juives.
Choschen Ham 34, 19: Les goyim et les serviteurs ne peuvent
pas témoigner lors d'un procès.
Choschen Ham 386, 10: Celui qui voudrait avouer les
secrets d'Israël aux goyim, doit être tué
avant même qu'il ne leur dise quoi que ce
soit.
Choschen Ham 388, 15: Il faut tuer ceux qui donneraient
l'argent des Israélites à des goyim.
Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un
goy, par exemple, si quelqu'un qui ne croit
pas en la Torah tombe dans un puits dans
lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l'échelle.
Chullin 91b: Les juifs possèdent la dignité dont même un ange
ne dispose pas.
Eben Haezar 44, 8: Sont nuls, les mariages entre les goyim et
les juifs.
Emek Haschanach 17a: L'âme des goyim vient de la mort et
de l'ombre de la mort.
Ereget Rashi Erod.22 30 : Un goy est comme un chien. Les Ecritures nous apprennent qu'un chien mérite plus de respect qu'un
goy.
Hilkhoth goy X, 1 : Ne passez aucun accord avec un goy,
ne manifestez jamais de pitié envers un goy.
Il ne faut pas avoir pitié des goyim car il
est dit: "tu ne jetteras pas sur eux un regard de pitié".
Hilkhoth Maakhaloth: Les goyim sont des idolâtres, il ne faut
pas les fréquenter.
Hilkhoth X, 2 : Les juifs baptisés doivent être mis à
mort.
Hilkhoth X, 6: On peut aider les goyim dans le besoin, si
cela nous évite des ennuis par la
suite.
Hilkhoth X, 7: Où les juifs sont fortement installés, il ne
faut plus tolérer la présence des
idolâtres.
Hilkkoth X, 1 : il ne faut pas sauver les goyim en danger de
mort.
Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un
sacrifice agréable à Dieu.
Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés
"hommes", pas les goyim.
Iore Dea 120, 1: La vaisselle achetée à des goyim doit être
jetée.
Iore Dea 146, 15: Leurs idoles [c'est à dire les objets du
culte] doivent être détruites, ou appelées
par des noms méprisants.
Iore Dea 147, 5: Il faut railler les objets du culte goy, il
est interdit de souhaiter du bien à un
goy.
Iore Dea 148, 12 H: On peut prétendre se réjouir avec les
goyim pendant leurs fêtes, si cela permet de
cacher notre haine.
Iore Dea 151, 11: Il est interdit de faire un présent à un
goy, cela encourage l'amitié.
Iore Dea 151, 14: Il est interdit de concourir à la gloire
d'un goy.
Iore Dea 153, 1: Les nourrices non-juives conduisent les
enfants à l'hérésie.
Iore Dea 154, 2: Il est interdit d'enseigner un métier à un
goy.
Iore Dea 157, 2 hagah: Si un juif a la possibilité de tromper
un goy, il peut le faire.
Iore Dea 159, 1: Suivant la Torah, il est autorisé de prêter
de l'argent à un goy avec intérêt. Toutefois,
certains des anciens n'ont pas reconnu ce
droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd'hui, ce droit est accordé dans n'importe quelle circonstance.
Iore Dea 198, 48 : Les femmes Juives sont contaminées par
la simple rencontre de goyim.
Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs goyim
morts, comme les vaches, ou les ânes perdus.
Il ne faut pas montrer de sympathie pour le
juif qui les emploie.
Iore Dea 81, 7 Ha: Un enfant ne doit pas être allaité par
une nourrice non-juive, car son lait lui
donnera une nature maléfique.
Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des goyim proviennent
d'esprits impurs qu'on nomme porcs.
Kallah 1b, 18: Le juif peut se parjurer la conscience
claire.
Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les
goyim, ce sont des animaux.
Kethuboth 110b : Pour l'interprétation d'un psaume un
rabbin dit : " le psalmiste compare les
goyim à des bêtes impures ".
Makkoth 7b : On est innocent du meurtre involontaire d'un Israélite, si l'intention était de tuer un goy ; tout comme on
est innocent du meurtre accidentel d'un
homme, quand l'intention était d'abattre un
animal.
Orach Chaiim 20, 2 : Les goyim se déguisent pour tuer les
juifs.
Orach Chaiim 225, 10 : Les goyim et les animaux sont utilisés
de manière équivalente dans une
comparaison.
Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les goyim que pour les cochons, quand ils sont malades des
intestins.
Peaschim 25a : Il faut éviter l'aide médical des goyim.
Pesachim 49b : Il est permis de décapiter les goyim le jour
de l'expiation des péchés, même si cela tombe
également un jour de sabbat. Rabbin Eliezer :
"Il est permis de trancher la tête d'un idiot, un membre du peuple de la Terre (Pranaitis), c'est-à-dire un animal charnel,
un Chrétien, le jour de l'expiation des
péchés et même si ce jour tombe un jour de
sabbat ". Ses disciples répondirent : " Rabbi ! Vous devriez plutôt dire "de sacrifier" un goy. " Mais il répliqua
: " En aucune façon ! Car lors d'un
sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à Dieu de l'agréer, alors qu'il n'est pas nécessaire
de prier quand tu décapites
quelqu'un."
Rosch Haschanach 17a : L'âme d'un goy descend en enfer
pour toutes les générations.
Sanhédrin 52b: L'adultère n'est pas défendu avec la femme
d'un goy, parce que Moïse n'a interdit que
l'adultère avec "la femme de ton prochain",
et les goy s ne sont pas des prochains.
Sanhedrin 57a: si un juif tue un goy, il ne sera pas condamné
à mort. Ce qu'un juif vole d'un goy, il peut
le garder.
Sanhedrin 57a: Un juif n'est pas obligé de payer le
salaire redevable à un goy.
Sanhedrin 58b : Si un goy frappe un juif, il faut le tuer,
car c'est comme frapper Dieu.
Sanhedrin 59a : Les goyim qui chercheraient à découvrir
les secrets de la Loi d'Israël commettent un
crime qui réclame la peine de mort.
Sanhedrin 90a: Ceux qui lisent le nouveau testament
(chrétiens) n'auront pas de place dans le
monde à venir.
Schabbath 145b : Les goyim sont impurs parce qu'ils mangent de
la nourriture impure.
Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.
Schene Luchoth Haberith p. 250b : Bien qu'un goy ait la
même apparence qu'un juif, il se comporte
envers les juifs de la même manière qu'un
singe envers un homme.
Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et
la vie d'un goy.
Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un goy, ce n'est pas
un péché.
Shabbath 116a (p. 569): Les juifs doivent détruire les livres
des goyim (nouveau testament).
Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence
d'un goy c'est comme ci vous mangiez avec un
chien.
Yebamoth 98a : Tous les enfants des goyim sont des
animaux
Zohar I, 131a : Les goyim souillent le monde. Le juif est un
être supérieur
Zohar I, 160a: Les juifs doivent en permanence tenter de
tromper les goyim.
Zohar I, 219b: Les princes goyim sont des idolâtres, ils
doivent mourir.
Zohar I, 25a : Les goyim doivent être exterminés car ce sont
des idolâtres.
Zohar I, 25b: Ceux qui font du bien à un goy, ne se
relèveront pas des morts.
Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux
sont pour ceux qui tuent les idolâtres.
Zohar I, 28b: Les goyim sont les enfants du serpent de la
Genèse.
Zohar I, 46b, 47a : L'âme des goyim est d'une origine
théologique impure.
Zohar II 64b : Les goyim sont idolâtres, ils sont comparés
aux vaches et aux ânes.
Zohar II, 19a: La captivité des juifs prendra fin lorsque
les princes goyim seront morts.
Zohar II, 43a : L'extermination des goyim est un
sacrifice agréable à Dieu.
Zohar II, 64b : Le taux de naissance des goyim doit être
diminué matériellement.
- Que
dit le judaïsme rabbinique sur ce qui différencie les Juifs et les Gentils?
- Ce que des hommes de renommée
mondiale ont dit à propos des juifs. Introduction
- Ce que des hommes de renommée
mondiale ont dit à propos des juifs (suite et fin)
- Que disent Jésus, Einstein,
Voltaire, Soljenitsyne, Goethe, Liszt sur l'antisémitisme ?
- Dostoïevski et la "question
juive";
- Le Journal d'un écrivain, mars 1877 Louis-Ferdinand Céline et le
"blabla" idéologique de notre temps; par Frédéric Andreu-Véricel
[4] Les juifs bolcheviques coupables du génocide occulté de vingt millions de Russes.
- Dostoïevski et la
"question juive"; Le Journal d'un écrivain, mars 1877
- En 1994, les juifs Chabad ont
comploté pour exterminer les Slaves ( partie 2)
- Journaliste israélien : Les
pires meurtriers du XXe siècle étaient Juifs !
- La tentative ratée des Juifs
de s'emparer de la Russie au XVe siècle
- Le rôle juif dans la
révolution bolchevique
- Les Juifs de Staline
- Les juifs russes considèrent
les goyim comme leur propriété
- Les racines juives de Lénine
exposées dans un musée russe
- L'étrange amour de Trump et de
Poutine pour le criminel Netanyahou
- Russie. Le "meurtre
rituel juif" de la famille impériale russe
- Russie. Le KGB juif
- Russie. Les atrocités
inimaginables commises par les Juifs bolcheviques contre les Gentils : des
preuves irréfutables.
- Soljenitsyne : Les Protocoles
de Sion se réalisent sous nos yeux
- Soljenitsyne condamne
l'influence juive sur le peuple russe
- Vladimir Poutine : « 80 à 85%
des bolcheviques au pouvoir en URSS étaient juifs. »
Hannibal
GENSÉRIC
Excellent rappel du Talmud.
RépondreSupprimerUn merveilleux rappel du Talmud.
SupprimerMalheureusement, les mentalités occidentales sont généralement restrictives et traditionnellement confuses, interprétant mal le sens de l'arabe, sœur jumelle de l'hébreu, qui provient de la même famille linguistique (les langues sémitiques).
Similitudes entre l'hébreu et l'arabe
L'origine du mot Talmud : confusion et contradiction !
Le mot « talmud » est le pluriel de « talmid », qui en arabe, sœur jumelle de l'hébreu, signifie « avoir un tel élève ».
En arabe, le pluriel de « talmid » est « talmud », qui signifie « avoir de tel élèves ».
En hébreu, le pluriel de « talmid » est « talmud ».
Les étudiants ou érudits talmudiques khazars ont utilisé ce mot comme point de départ pour les talmudistes afin de réfléchir à leurs connaissances pédagogiques.
Commentaire reçu relatif à le communication réalisée le 18 juillet 2025 suivante :
RépondreSupprimer« La fin de toute vie biologique, ou pourquoi l’humain et la société humaine sont en train de se changer en machine.
The end of all biological life, or why humans and human society are turning into machines.
http://the-key-and-the-bridge.net/the-end-of-all-biological-life.html »
Commentaire :
http://the-key-and-the-bridge.net/l-vassil-27-juillet-2025.html
Utiliser la dénomination "juif", sans la préciser, ne donnera qu'un point de vue tronqué. Il en va de même pour "chrétien", un chrétien sioniste n'est pas identique à un chrétien orthodoxe ou à un chrétien protestant, etc.
RépondreSupprimerIl faut contextualiser et comprendre les cycles prophétiques, eux-mêmes comportant un sommet et une fin.
Coraniquement, l'appellation juif n'apparaît qu'après avoir refusé le nouveau cycle prophétique représenté par Jésus.
Avant, dans le coran, ils sont appelés les fils d'Israël.
Å l'apparition de Jésus, le cycle prophétique de Moïse est à sa fin et est corrompu par leurs propres savants qui ont mélangé la révélation mosiaque avec leurs propres altérations.
Å ce stade là ,ce n'est plus un peuple élu, mais un peuple corrompu qui a encouru la colère divine, appelé dès lors, Juifs dans le Coran.
Dans l'article ci-dessus, la situation est encore pire, nous savons que les juifs ashkénazes, ceux de cet article, sont des convertis tardifs, sans aucun lien avec l'épopée mosiaque.
Ils usurpent deux titres, l'un sanguin, l'autre spirituel.
Sanguin, ils prétendent être sémites,
Spirituel, ils prétendent être Fils d'Israël.
Après cela nous avons assisté au chaos international organisé par ces ashkénazes, ils y a parmi eux des juifs capitalistes, des juifs bolcheviques, des juifs pro nazis, des juifs suprémacistes, des juifs gauchistes, etc. Tout ce conglomérat dictant la politique mondiale...
Au point ou on est avec le bataillon de prophètes de toute sorte......Les MARTIENS ARRIVENT QUAND?
SupprimerLa MAJORITÉ de l'HUMANITE s'en FOUT ROYALEMENT des croyances Sémitiques ! Savez vous qu'il existe des Indouistes, Bouddhistes... Confucéens, animistes etc.......et même des Athées....
DONC arrêtez de vous faire du bien TOUT SEUL, à TRIPOTER votre NOMBRIL et voyagez un peu vers l'ASIE......
Votre réponse et votre attitude montrent votre ignorance totale de la spiritualité et de la métaphysique. Aligner quelques mots sans fondement, dans le but de dénigrer, est à la portée de tous.
SupprimerAlors non la majorité de l'humanité ne se fout pas des "croyances sémitiques", (expression totalement vide de sens), dont les musulmans de souches, ce sont des sémites. Les croyances sémites, comme vous dites, sont basées sur la doctrine métaphysique de l'unité divine, à travers les révélations successives qu'il y a eut dans cette humanité.
Le Védanta des hindous est basé sur la doctrine de l'unité divine.
Le taoïsme des chinois est basé sur la doctrine de l'unité divine.
À titre d'exemple, je vous conseille de lire l'ouvrage de René Guénon: "Aperçus sur l'ésotérisme islamique et le Taoïsme".
https://www.lasapiniere.info/produit/de-la-question-juive
RépondreSupprimerhttps://www.lasapiniere.info/produit/talmud
https://www.lasapiniere.info/produit/antijudaisme-chretien
https://www.lasapiniere.info/archives/4073
Bref...sont des bouseux incultes.... révélant enfin qui ils sont: des bêtes de satan ~ Vade Retro satanas !
RépondreSupprimerL’œuf monstrueux a enfin éclos
RépondreSupprimerThe monstrous egg has finally hatched
Communication de Michel Dakar, le 27 juillet 2025 à Villequier en France
http://the-key-and-the-bridge.net/the-monstrous-egg-has-finally-hatched.html
Documentation :
The REAL Reason Gaza is STARVING - EX-UN Chief Drops BOMBSHELL
308 445 vues 23 juil. 2025
Israel's DARKEST Experiment Yet
https://www.youtube.com/watch?v=gyksp2Rg_i0
Double Down News
@DoubleDownNews
874 k abonnés•494 vidéos
https://www.youtube.com/@DoubleDownNews
https://m.youtube.com/watch?v=jkkaiaHqGdQ&list=FLHP9_pJsjgAGUKqrg_4leTw&index=12&pp=gAQB
RépondreSupprimerConférence avec Shlomo Sand: "Si Netanyahou est juif, alors moi je suis bouddhiste"
Le point de vue d'un historien juif. Il cite des fairs historiques peu connus.
Les juifs karaïtes réfutent les deux talmuds, qui ne font pas partie de la révélation biblique.
SupprimerLes juifs rabbiniques ont délaissé la bible au profit des deux talmuds.
Cela corrobore les paroles prophétiques musulmanes qui affirment que les savants juifs, ceux que Jésus a invectivé, ont altéré le message prophétique, faisant croire à la communauté juive que leurs paroles faisaient partie de la révélation divine.