Les voilées qui font de leur arrogance et de leur morgue
suffisance un requiem de leur liberté, sont plus soumises qu’ignorantes et
otages de leur carcan pseudo religieux. Elles doivent savoir que le port du
voile n’a aucun fondement coranique, selon l’islamologue Mohammed Talbi [1], ni aucune référence historique le rattachant aux tradition arabes. Bien au contraire, le voile rapproche les islamistes des juifs talmudiques (qui voilent leurs femmes aujourd'hui), sachant, par ailleurs, que le salafisme - wahhabisme est uneversion talmudique d'un islam qui n'a rien d'islamique.
Le voile plonge ses racines en Mésopotamie plus de 2000 ans avant
l’avènement de l’islam [2]. Faire de l’islam le parent du voile c’est comme
en faire le parent des religions monothéistes ce qu’il n’est pas en
raison de la vénération par les musulmans de la pierre noire de la Ka’aba, symbole du polythéisme arabe pré-islamique [3].
On doit le voile au Calife Omar Ibn Khattab, compagnon de Mahomet,
misogyne dogmatique et inculte, qui l’a rendu obligatoire à toutes les
femmes musulmanes de son époque, à l’exception des esclaves. Tout se
passe comme si l’islam en avait l’exclusivité et qu’il symbolise la
vertu de la femme musulmane, alors qu’il était aussi porté par les
courtisanes et les femmes de petite vertu.
Comme à leurs habitudes, les musulmans ont le don de tout
s’approprier pour se faire passer comme étant à l’origine du monde.
Comme si l’humanité était née avec l’islam.
Le voile est la négation de l’humanité de la femme. Son port ne peut
être un acte libre et consenti. Il est l’expression du pouvoir
exorbitant des hommes sur les femmes.
Mais de nombreuses voilées, en Occident, plutôt que de combattre ce
fléau mortel pour la dignité et les libertés humaines, se font les
avocates du diable dont elles arborent le masque, comme si elles étaient
des militantes du Ku Klux Klan, et le défendent bec et ongles. Elles
donnent du sens à la marque au fer rouge qui fait d’elles des humains de
seconde zone.
Elles sont inconscientes que leur idée de liberté et du voile n’est
que le symptôme de la destruction de leur personnalité, de leur déni de
soi, de leur refus d’enlever les chaînes qui les entravent, de leur
chosification sexuelle, de la violence psychologique dissimulée. Nées
pour vivre dans l’ombre des hommes, et s’y résigner, si elles veulent
être une houri [4] parmi les 72 autres qui sont promises à ce hommes.
Comme tout sujet qui a subi un endoctrinement religieux à forte dose,
conditionné culturellement et psychologiquement, vivant dans un
environnement où le mimétisme est la norme, l’affirmation de soi et le
non-conformisme sont une transgression sociale. Être soi et ne pas
exister pour les autres et à travers eux leur est impossible. Ces femmes
voilées sont comme un détenu qui s’installe dans les habitudes de son
univers carcéral, lequel devient pour lui sa vraie liberté. La liberté
de faire trois pas dans un sens et quatre dans l’autre.
Ces femmes sont les premières victimes du système de valeurs
liberticides et castratrices de l’islamisme, vision pervertie de l'islam, puisque ce dernier n'a jamais imposé ni voile, ni burka, ni niqab, ni barbe à papa, ni barbe du prophète. D'ailleurs les premiers explorateurs romains qui avaient visité l'Arabie bien avant l'islam étaient frappés de constater que les Arabes ne portaient jamais la barbe [5] . Sans elles, il s’enraye et se
grippe, jusqu’à ce qu’il finisse par disparaître. Elles sont les
garantes de sa pérennité, ses défenseurs les plus farouches et
violentes.
C’est le paradoxe de l’aliénée.
Plutôt que de faire tomber le masque qui dissimule le visage hideux
de leur système et dont elles portent les stigmates sur le visage, elles
font tout le contraire de ce que l’on attend de tout être qui aspire à
la dignité et à la liberté..
Le pire est qu’elles sont devenues la force de frappe idéologique de l’islamisation.
Le voile est le premier frein à la liberté de la femme. Ces femmes
voilées se mentent à elles-mêmes et devraient trouver un autre mode
d’expression pour revendiquer leur liberté, qui est celle d’un dépressif
qui ne voit pas le bout du tunnel.
Elles sont sont comme un toxicomane qui croit avoir trouvé un remède à
ses maux, plus convaincu que jamais que son existence prend enfin son
envol en donnant du sens à une substance nuisible à son état psychique
et physique.
C’est une illusion, une hallucination. S’auto persuader :
« je suis voilée et donc j’existe et vos valeurs ne sont pas les
miennes. Je suis une femme libre mais vous êtes aveuglés par vos
préjugés qui vous empêchent de percevoir la liberté que j’incarne ».
Une liberté violée, une humanité voilée et une dignité bafouée. Ce sont les vrais signifiants du voile.
Algérie: les islamistes ont égorgé les femmes qui refusaient de se voiler |
Quand on est libre, on ne se cache pas derrière les barreaux de sa prison mentale, derrière le masque de sa condition d’esclave.
Il n’y a pas de différence entre elles et les djihadistes de Daesh qui se couvrent la face.
Source : https://domhertz.com/le-voile-et-le-terrorisme/
NotesLes 3 déesses-mères de l'Arabie pré-islamique
[4] Des Houris et des Hommes
Mokhtar au Paradis = vin + houris
[5] La barbe des islamopithèques