L’Ordre indépendant du B’nai B’rith (de l’hébreu :
« Les fils de l’Alliance ») est la plus vieille organisation juive
toujours en activité dans le monde. B'nai Brith-ADL ne représente pas les juifs. Le B'nai Brith se déguise en tant
qu'organisation "droits de l'homme". En fait, c'est une société
secrète satanique, dédiée à l'esclavage de l'humanité, en stigmatisant toute
résistance à leur tyrannie comme de la "haine" et de "l’antisémitisme".
En 2004, l'organisation a déclaré plus de 215.000 adhérents, avec
des membres dans 51 pays et un budget américain de 20.000.000 $. Environ 85% des
adhésions sont aux États-Unis". Il y a au moins dix millions de Juifs aux
États-Unis. Pourtant, comme les sionistes, ces imposteurs prétendent
représenter tous les juifs.
Tout en prétendant représenter "les intérêts de la communauté
juive mondiale", le B'nai Brith est en fait un ordre maçonnique qui
représente la franc-maçonnerie britannique et étend son programme diabolique de
"gouvernement mondial". Ainsi, tout en prétendant lutter contre
l'antisémitisme, B'nai Brith l'exacerbe et met le majorité des Juifs en danger.
Calquée sur les
organisations maçonniques, elle a été fondée à New York, le 13 octobre 1843,
par douze personnes, dont Henry Jones et deux frères juifs émigrés d’Allemagne,
qui avaient appartenu à la Société des Frères (Brüder Bund) qui joua un certain
rôle dans l’élaboration de la Première Internationale (Association
internationale des travailleurs).
Le B’naï
B’rith, en France comme à l’étranger, est pourtant totalement inconnu du grand
public. Calquée sur le modèle des organisations maçonniques, cette association
de solidarité a en effet toujours cultivé la discrétion.
Dans Mystères et Secrets du B’naï B’rith, Emmanuel Ratier,
éd. FACTA, 1993, écrit p. 418 :
Nous nous
trouvons là en présence d’un ordre maçonnique juif, méconnu du grand public,
mais très puissant, et qui n’a qu’un seul objectif : celui d’instaurer le
pouvoir mondial juif. Il est évident qu’il s’agit là du faux messianisme et
d’une fausse espérance.
Tout le monde est antisémite, jusqu'à nouvel ordre ! |
Une secte franc-maçonne au cœur du pouvoir occulte sioniste
par Alain COUTTE
(Extrait de «6.000 ans d’histoire juive» )
13
octobre 1843 : l’organisation juive B’nai B’rith est fondée à New York. Extrait
d’un discours – considéré, à tort ou à raison, comme étant à l’origine des «Protocoles
des Sages de Sion», ce n’est pas à nous d’en juger, nous laissons le soin à
chacun de nos lecteurs de se faire sa propre opinion – du grand maître de la
loge B’nai B’rith, en 1897, au 1er congrès sioniste de Bâle, qui a été retrouvé
dans une loge maçonnique à Budapest, après la fuite de Bela Kuhn :
1- Rien ne serait plus erroné et nocif
pour le bien de notre peuple que d’attendre l’élimination de notre
ennemi, avant qu’il n’ait été reconnu, qu’il soit célèbre, et que ses
paroles puissent influencer la jeunesse.
Nous devons surveiller la jeunesse chez nos ennemis. Quand nous voyons
le plus infime signe de résistance à notre puissance, nous devons le
détruire, avant qu’il ne devienne dangereux pour notre peuple.
2- Comme nous contrôlons la presse, notre
devoir primordial est d’empêcher que des personnes dangereuses aient
accès à des postes, d’où ils pourraient exercer une influence favorable à
nos ennemis, par la parole ou par les actes. Nous devons garder le
silence et être attentifs, quand nous voyons un homme dangereux s’élever
parmi nos ennemis. La plupart en seront détournés dès leur plus jeune
âge par l’insuccès de leurs entreprises, ils devront gagner leur pain
dans un métier qui les empêche de commettre des actes nuisibles à notre
peuple élu.
3- Si un individu devait persister dans
son entreprise nuisible, il serait temps d’agir contre lui avec plus de
détermination, pour faire échouer ses plans. Nous lui proposerons du
travail et un bon salaire, pour qu’il arrête ses actions nuisibles et
qu’il travaille pour nous. Quand il aura connu la solitude et la faim,
l’or et les belles paroles que nous lui donnerons le détourneront de ses
mauvaises pensées. Et quand il connaîtra soudain le succès et la
richesse, l’apparat et les honneurs, il oubliera son inimitié et
apprendra à paître sur les pâturages que nous tenons à la disposition de
ceux qui suivent notre voie et se soumettent au pouvoir du peuple élu.
4- Si cela ne sert toujours à rien et
qu’il persiste encore dans son opposition rigide, nos hommes veilleront à
ce que le déshonneur le poursuive et à ce que ceux pour qui il se bat
et se sacrifie se détournent de lui dans la haine et le mépris. Il sera
seul et comprendra l’inutilité de ses actions. Il finira par désespérer
de son combat sans fin contre notre peuple, et il périra.
5- Si cela ne nous conduit pas à notre
objectif, s’il est assez fort pour poursuivre son chemin en poursuivant
des buts qui nous sont hostiles, nous disposons toujours d’un moyen
efficace de le paralyser et d’anéantir ses projets. Esther n’a-t-elle
pas vaincu le roi des Perses, Judith n’a-t-elle pas tranché la tête de
l’ennemi de notre peuple? N’y a-t-il pas assez de filles d’Israël qui
sont assez intelligentes et séduisantes, pour gagner leur cœur et
entendre leurs pensées, afin qu’aucune parole ne puisse être dite, aucun
plan mûri, qui ne vienne à temps aux oreilles de notre peuple?
S’il a une position sociale, la confiance de ses amis et de tout un peuple, et que nous lui envoyions une fille d’Israël, pour l’enjôler, son plan nous sera livré et son pouvoir annihilé. Car là où les filles de notre peuple sont les reines de nos ennemis, les entreprises nuisibles seront détruites avant qu’elles ne se réalisent.
S’il a une position sociale, la confiance de ses amis et de tout un peuple, et que nous lui envoyions une fille d’Israël, pour l’enjôler, son plan nous sera livré et son pouvoir annihilé. Car là où les filles de notre peuple sont les reines de nos ennemis, les entreprises nuisibles seront détruites avant qu’elles ne se réalisent.
6- S’il découvrait nos stratagèmes et
échappait à nos filets, si son esprit mauvais devait trouver des
disciples parmi nos ennemis, il doit disparaître définitivement de ce
monde. La mort est le passage obligé pour tout le monde. Il vaut mieux
l’accélérer pour ceux qui nous sont nuisibles, plutôt que d’attendre
qu’ils nous touchent, nous les créateurs de l’œuvre.
Dans les loges maçonniques, nous procédons aux punitions de telle façon, que personne, en dehors de nos frères de pensée, ne puisse avoir le moindre soupçon, pas même les victimes elles-mêmes ; elles meurent s’il le faut, mais de mort apparemment naturelle. Les membres de la loge le savent, mais ils n’osent rien dire. Ce type de punition sans pitié a permis de tuer dans l’œuf toute opposition à l’intérieur de nos loges. Tout en continuant à prêcher la libre parole pour ceux qui ne sont pas Juifs, nous tenons notre peuple et ses hommes de confiance en parfaite obéissance.
Dans les loges maçonniques, nous procédons aux punitions de telle façon, que personne, en dehors de nos frères de pensée, ne puisse avoir le moindre soupçon, pas même les victimes elles-mêmes ; elles meurent s’il le faut, mais de mort apparemment naturelle. Les membres de la loge le savent, mais ils n’osent rien dire. Ce type de punition sans pitié a permis de tuer dans l’œuf toute opposition à l’intérieur de nos loges. Tout en continuant à prêcher la libre parole pour ceux qui ne sont pas Juifs, nous tenons notre peuple et ses hommes de confiance en parfaite obéissance.
7- Comme nous vivons une époque instable,
que le crime et les pillages ont rendu la vie incertaine, il ne sera
pas dur pour nos frères d’éliminer l’ennemi le plus dangereux, par une
attaque à l’improviste par exemple. N’avons-nous pas à notre disposition
une armée d’indigents chez nos ennemis, qui sont prêts à tout pour de
l’or et un secret qu’ils garderont ?
Si nous voulons éliminer l’ennemi, répandons des rumeurs sur l’endroit où il se trouve et là où il réside, pour qu’il vive dans la peur et le danger, et que sa vie soit menacée à chaque instant du jour et de la nuit. Si nous voulons sa mort, organisons des pillages là où il habite, et répandons des rumeurs de danger permanent dans son entourage. Quand le jour de sa disparition sera venu, les gens que nous payons travailleront parfaitement, quand il sera mort, ils le dépouilleront de ses richesses et pilleront le cadavre. Jamais l’auteur ne sera retrouvé, et le monde entier pensera qu’il a été victime d’un accident. Nos ennemis ne sauront jamais que c’est par la volonté de nos frères qu’il a péri, pour que le nom de notre Dieu ne soit jamais désacralisé et traîné dans la boue.
Si nous voulons éliminer l’ennemi, répandons des rumeurs sur l’endroit où il se trouve et là où il réside, pour qu’il vive dans la peur et le danger, et que sa vie soit menacée à chaque instant du jour et de la nuit. Si nous voulons sa mort, organisons des pillages là où il habite, et répandons des rumeurs de danger permanent dans son entourage. Quand le jour de sa disparition sera venu, les gens que nous payons travailleront parfaitement, quand il sera mort, ils le dépouilleront de ses richesses et pilleront le cadavre. Jamais l’auteur ne sera retrouvé, et le monde entier pensera qu’il a été victime d’un accident. Nos ennemis ne sauront jamais que c’est par la volonté de nos frères qu’il a péri, pour que le nom de notre Dieu ne soit jamais désacralisé et traîné dans la boue.
8- Pour que le nom de notre Dieu ne soit
pas traîné dans la boue, les sages de notre peuple ont fait ce qu’il
fallait, depuis des siècles. Nos frères russes ont trouvé des moyens en
interrogeant la science, pour détruire nos ennemis sans que ceux-ci ne
s’en rendent compte. N’ont-ils pas trouvé un gaz qui tue instantanément,
et un autre que l’on répand juste après, et qui se mélange à lui pour
effacer toute trace? Ne connaissons-nous pas les propriétés des courants
sans fil, qui mettent en péril l’esprit de la personne dangereuse? Nos
médecins n’ont-ils pas découvert les effets des poisons invisibles à
travers leur microscope, et le moyen de les dissimuler dans le linge de
notre ennemi, afin qu’il agisse sur son cerveau et détruise son esprit?
Ne pouvons-nous pas nous charger également de l’autopsie, par la qualité
de notre savoir, de sorte que personne ne puisse savoir de quoi il est
mort? N’avons-nous pas appris à l’approcher, par un serviteur, par un
voisin ou comme invité à sa table? Et ne sommes-nous pas omniprésents et
tout-puissants, unis ensemble par le silence, prêts à travailler
jusqu’à la destruction complète de l’ennemi? Quand nous venons avec nos
paroles douces et un discours inoffensif, un seul des peuples de la
Terre a-t-il réussi à découvrir nos réelles intentions et à empêcher nos
décisions?
9- Si toutefois, il arrivait à échapper
aux pièges que nous lui tendrons et aux stratagèmes de nos frères, et
qu’il connaisse et sache déjouer nos plans, vous ne devez pas désespérer
et succomber à la peur, devant le regard clair du «méchant». Car celui
qui ose parler dans ce pays de nos actions secrètes et de la destruction
imminente, ne trouve-t-il pas sur son chemin des hommes qui connaissent
l’art d’espionner tous ceux à qui il parle pour connaître leurs
intentions? Avant qu’il ne parle à nos ennemis, nous l’aurons fait. Nous
les mettrons en garde, contre son esprit perturbé et le désordre qui
règne dans ses sens. Quand il viendra raconter sa souffrance et décrire
les dangers qu’il vient de surmonter, ceux que nous aurons mis en garde
l’écouteront, souriants et pleins de condescendance et de mépris, et ils
seront convaincus de sa folie. Nous travaillerons pas à pas, jusqu’à ce
que les portes de l’asile se referment derrière lui. Quand il sortira
et qu’il cherchera à mettre en garde le monde contre nous, nous lui
aurons ôté la confiance des siens, il sera honni et maudit, ses paroles
et ses écrits n’auront plus aucun poids. Ainsi, le peuple élu peut
vaincre même le plus dangereux ennemi.
10- Si tout cela ne sert à rien, et que
l’ennemi déjoue, contre la volonté de notre Dieu, toute entreprise qui
le menace, ne désespérez toujours pas, enfants d’Israël, d’être sans
pouvoir, nous sommes partout pour détruire ses actions mauvaises et
empêcher que les Goyim ne se libèrent du joug que notre Dieu leur a
imposé. N’avons-nous pas mis tous les moyens de notre côté, pour
surprendre notre adversaire et lui couper la respiration. Si les siens
commencent à croire en lui et à s’approcher de lui, nous l’empêcherons
et couperons les liens qu’il aura tissé dans le monde. Les lettres qu’il
recevra seront lues, pour qu’il n’ait pas d’encouragement et qu’il ne
lui reste que de fausses amitiés et des relations perfides; Les enfants
du peuple élu se dissimuleront derrières ces actes. S’il veut utiliser
le fil qui transmet les messages dans le monde, nous écouterons ses
paroles, quand l’ennemi lui parlera nous ferons avorter ces projets. Il
voudra se défendre, mais ses va-et-vient seront comme ceux d’une bête
sauvage, enfermée derrière les barreaux de sa cage.
11- Si malgré tout, la foi en cet homme
grandit chez les quelques faibles d’esprit, nous saurons empêcher que
son pouvoir n’augmente et que sa parole ait une portée sur la masse de
nos ennemis. Si son nom trouve une bonne résonance, nous enverrons
quelqu’un qui prendra son nom et il sera démasqué comme étant l’ennemi
de notre ennemi, traître et escroc, quand son nom sera prononcé, nous
dirons qu’il est un traître, le peuple nous croira, et ses paroles
résonneront dans le vide, grâce à la toute puissance de notre Dieu…
12- Il a prédit que notre peuple produira
des hommes qui ne sont pas de notre sang et qui ne penseront pas avec
notre esprit. Ils mettront en danger la victoire de notre peuple, car
ils connaîtront nos ruses, éviteront nos filets et échapperont à tous
les dangers. Mais n’ayez crainte, mes frères, de ces damnés, car s’ils
sont là maintenant, mais il est trop tard, le pouvoir du monde est
solidement entre nos mains. Là où nos ennemis se rencontrent et
conspirent contre nous, il y en aura toujours un qui sera de notre côté,
par la brillance de notre or et le charme de nos femmes. Si le renégat
parle à notre ennemi, notre messager élèvera la voix pour s’indigner. Et
quand il viendra avec amour et sacrifice pour sauver les ennemis de
notre domination, ils le mettront à l’écart et ne croiront pas à ses
paroles, ses actions seront inutiles.
Notre plus grand art et notre premier
devoir est d’empêcher que beaucoup ne connaissent les objectifs secrets
que nous poursuivons. Quand beaucoup entendront la vraie parole, notre
défense sera anéantie et le danger sera grand que les peuples se
libèrent de notre joug. C’est pourquoi je vous recommande d’être
vigilants, mes frères. Agissez partout, endormez l’ennemi, fermez ses
oreilles et rendez ses yeux aveugles, pour que jamais ne vienne le jour
de la destruction du royaume de Sion, que nous avons fait croître
jusqu’à la perfection, et qui doit nous mener à la victoire et à la
vengeance finale sur les peuples asservis du monde entier. Nous ajoutons
à cet endroit que pour chaque délit il y a une façon appropriée de
mourir. Que ce soit dans une baignoire, dans une voiture, par pendaison
(Calvi), par défenestration, chaque type de punition illustre la raison
pour laquelle la personne devait mourir. «Il est impératif d’entretenir
l’esprit de révolte parmi les travailleurs, car c’est par eux que nous
opérerons les révolutions dans tous les pays. Les travailleurs ne
doivent jamais être à court d’exigences, parce que nous aurons besoin de
leur mécontentement, pour mettre en pièces la société chrétienne et
encourager l’anarchie. Nous devons en arriver au point où ce sont les
chrétiens qui implorent les Juifs de prendre le pouvoir».
1913 : L’ADL («Anti-Defamation League») est créée aux États-Unis par la secte franc-maçonne B’nai B’rith.
Issu
d’une famille juive rabbinique de Hesse dont la lignée remonteau XIVe siècle, son père était courtier dans la banque Rothschild à Francfort |
1916 : Jacob Schiff, président de la «Khun Loeb & Co.Bank»,
fut choisi lors d’un rassemblement du B’NAI B’RITH à New York comme
président du «Mouvement Sioniste» (révolutionnaire) en Russie.
En février 1916, une note des services secrets américains et transmise par le Haut Commissaire de la République française aux Etats-Unis contient le passage suivant «nous avons pris connaissance, en février 1916, qu’une révolution était fomentée en Russie. Nous avons découvert que les personnes et entreprises suivantes sont impliquées : Jacob Schiff; Kuhn, Loeb & Co., ses directeurs : Jacob Schiff, Felix Warburg, Otto Kahn, Mortimer Schiff, Jerome Hanauer; Guggenheim; Max Breitung.»
En février 1916, une note des services secrets américains et transmise par le Haut Commissaire de la République française aux Etats-Unis contient le passage suivant «nous avons pris connaissance, en février 1916, qu’une révolution était fomentée en Russie. Nous avons découvert que les personnes et entreprises suivantes sont impliquées : Jacob Schiff; Kuhn, Loeb & Co., ses directeurs : Jacob Schiff, Felix Warburg, Otto Kahn, Mortimer Schiff, Jerome Hanauer; Guggenheim; Max Breitung.»
En avril 1917, le même Jacob H. Schiff de la société Kuhn, Loeb & Co., fait une déclaration publique indiquant que grâce à son aide financière la révolution bolchevique a réussi.
«La révolution du 4 juillet 1917
avait pour but de renverser le gouvernement provisoire selon les plans
de Lénine et de Trotski. Les révolutionnaires furent déconcertés par
l’intervention d’un régiment solitaire qui avait été retiré du front et
s’était dispersé. Lénine s’échappa mais Trotski fut arrêté. Leur cause
apparaissait perdue. Mais les Bolcheviques avaient donné des preuves de
leur courage et un télégramme arriva pour leur apporter des nouvelles du
soutien financier de Jacob Schiff, qui était déterminé à pousser la
révolution Russe jusqu’à sa fin. L’importance de ses fonds placés à la
disposition de Lénine et de Trotski afin de fomenter l’insurrection
bolchevique d’octobre 1917 n’a pas encore été entièrement dépensé. Cette
action renversa le gouvernement Kerenski et mis en place le régime
soviétique. Comment ces fonds leur sont parvenu est désormais connu. Les
Etats-Unis publièrent en octobre 1918 une série de documents officiels
sous le nom de « la conspiration germano-bolchevique »».
Le 10 novembre 1975, en séance plénière,
l’Assemblée générale des Nations-Unies adopta d’ailleurs la résolution
2279 considérant que le sionisme était une forme de racisme et de
discrimination raciale.
A l’époque, l’ONU avait recensé 17 lois israéliennes porteuses de discriminations». Dès son apparition, le mouvement sioniste s’inscrit dans le mythe de la mission civilisatrice et coloniale de l’Europe:
A l’époque, l’ONU avait recensé 17 lois israéliennes porteuses de discriminations». Dès son apparition, le mouvement sioniste s’inscrit dans le mythe de la mission civilisatrice et coloniale de l’Europe:
«Pour
l’Europe, nous constituerons là-bas, un morceau de rempart contre
l’Asie, nous serions le sentinelle avancée de la civilisation contre la
barbarie»
(Herzl – «l’Etat Juif»).
(Herzl – «l’Etat Juif»).
Ainsi, les objectifs sont clairement
exprimés : chasser les Palestiniens et encourager l’immigration juive,
dans l’esprit du fameux mythe : «une terre sans peuple pour un peuple
sans terre» qui était un si gros mensonge que l’humanité a failli le
croire.
– 16 décembre 1991 : l’Assemblée générale
de l’ONU vote la résolution N°46/86 déclarant nulle la conclusion
contenue dans le dispositif de sa résolution 3379 du 10 novembre 1975
assimilant le sionisme au racisme.
Cette résolution a été votée suite à la
guerre du Golfe, grâce au pouvoir occulte du très puissant lobby Juif
américain dont le cœur se trouve au sein de la secte franc-maçonne B’nai
B’rith dont voici reproduit ci-dessous le texte figurant sur leur site
internet début 2004 : http://www.bnaibrith-france.org/ :
« Le B’nai B’rith (B’B’) est la plus ancienne et la plus grande organisation juive du monde. Elle comprend près d’un demi-million de membres répartis dans 57 pays. Elle possède des bureaux dans les principales capitales occidentales, et notamment à Washington, Londres, Bruxelles et Paris. Elle est présente, en sa qualité d’ONG (Organisation Non Gouvernementale) dans différentes organisations internationales, dont l’ONU, l’Unesco, le Parlement européen.Le B’nai B’rith International est une institution internationale dont le siège mondial se situe à Washington (USA). Il est organisé en plusieurs Districts, eux-mêmes subdivisés en Régions. Le B’B’ est représenté à l’ONU avec un statut d’organisation non gouvernementale. Ses principaux responsables sont reçus par des hommes et chefs d’état éminents.Nous avons :
- Des bureaux à Washington, Bruxelles et Londres,
- Un bureau au siège de l’ONU à New York,
- Un Centre Mondial à Jérusalem,
- Un statut d’organisation non gouvernemental à l’ONU,
- Des représentants à l’UNESCO, à la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU
- Des représentants à l’ONU à Paris, Vienne, Genève et Nairobi,
- Des représentants au Conseil de l’Europe (Strasbourg, Bruxelles),
- Des membres dans 57 pays du monde,
- Une structure d’assistance au développement du commerce avec les pays d’Europe Centrale et de l’Est
Nous avons en outre,- mené et gagné la campagne de condamnation de la clause «Sionisme égale racisme» en 1975.»
Zbigniev Brzezinski
Zbigniev Brzezinski (homme de l’ombre américain, conseiller de plusieurs présidents « de tous bords » : il est le chef des B’naï B’rith de Pologne :
« le choix du cardinal Karol Wojtyla comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon cardinal König. » (Source)
- Brzezinski prévoit la provocation d’une guerre
- Choc et Simulacre – Michel Drac
- Z. Brzezinski et le réveil politique mondial
- Z. Brzezinski : “L’Europe doit se tourner davantage vers l’avenir »
- Le grand échiquier de Zbigniew Brzezinski
- Brzezinski: Un conseiller au service du Nouvel Ordre Mondial
Emmanuel Ratier – Mystères et secrets du B’nai B’rith (1993)
SOURCE : https://explicithistoire.wordpress.com/2012/12/18/bnai-brith-loge-maconnique-juive-creee-en-1843/
VOIR AUSSI :
Introduction aux Protocoles des sages de Sion