Selon le ministère
russe des Affaires étrangères (MoFA), la «militarisation des relations»
entre la Fédération et les États-Unis est maintenant terminée après que le
ministère de la Défense (MoD) se prépare à prendre en charge toutes les
fonctions de l'Ambassade russe aux États-Unis, et que l'ambassadeur Sergey Kislyak a
été rappelé à Moscou. Ces deux actions sont consécutives à la "fin de partie
effrayante" qui se déroule actuellement à Washington DC, et dont le but est
l'expulsion immédiate du président Donald Trump du Bureau Ovale. Victimes d’un
lavage de cerveau intense depuis plusieurs mois, les
Américains, selon un nouveau sondage, sont maintenant favorables à son départ.
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En effet, pendant des semaines, le Service de renseignement
étranger (SVR) a signalé que des unités militaires américaines spécialisées et
des forces de police fédérales américaines ont inondé la région de Washington
DC (Virginie, Maryland) se préparant au « grand l'événement» qui a été décrit précisément
par le prédicateur évangéliste Rodney Howard-Browne, qui a averti
hier ses dizaines de millions de partisans du complot qui se trame pour retirer
la présidence à Trump.
Le pasteur Howard-Browne, chef de l'église évangélique internationale
qui compte plus de 12 millions de fidèles, a rencontré le président Trump dans
le bureau ovale le 11 juillet. À la suite de cette rencontre, le pasteur
Howard-Browne, a révélé, le 24 juillet, à sa congrégation mondiale qu'il avait passé
trois heures dans la soirée avec un membre haut placé du Congrès des États-Unis,
qui lui a dit : «qu'il
y avait un complot au Capitole pour éliminer le président » je lui ai dit « vous voulez dire par
mise en accusation (impeachment) ?» ; il a répondu : « non, pour
l'enlever, il sera retiré soudainement du
Bureau Ovale."
Le pasteur Howard-Browne a révélé que ce haut député américain
avait occupé ses fonctions depuis 1996. Il l'avait également prévenu : «il n'y a rien que nous puissions faire pour arrêter ce
complot», planifié
par l'«État profond» qui a essayé de détruire le président Trump
depuis le jour même où il a remporté la présidence.
Le pasteur Rodney Howard-Browne (au centre) avec le président Trump dans le bureau ovale de la Maison Blanche, le 11 juillet 2017 |
Le plus grand crime reproché au président Trump par ses ennemis du «Deep
State» qui ont jugé nécessaire son élimination immédiate, est son plan de
mettre fin aux guerres illégales d'agression des États-Unis, afin de consacrer les
milliards de dollars dépensés dans ces guerres désastreuses à la reconstruction
des USA. Ainsi, le chef du Commandement des opérations spéciales, le général Raymond
Thomas III, reconnaissait que les forces américaines se battent dans une Syrie
souveraine où ils n'auraient probablement pas la possibilité de rester si leur
présence est remise en question en termes de droit international [voir : L'Amérique
reconnaît sa défaite en Syrie. Champagne !!].
D’autre part, les ennemis au sein du "Deep State" sont à
quelques jours de faire passer une nouvelle loi qui effectivement,
et pour la première fois dans l'histoire américaine, retirera au président son
pouvoir sur sa propre politique militaire et étrangère, et que même l'Union
européenne avertit les Américains qu'elle «prendra des représailles en quelques
jours» si cette loi prend effet.
L'économiste suédois Egon von Greyerz a décrit le plus
précisément ce qui se passe actuellement aux États-Unis en affirmant que «nous
sommes maintenant dans le jeu final effrayant " en disant:
"La crédulité des gens aujourd'hui est exacerbée par le
pouvoir de l'internet et des médias sociaux. Tout ce que nous lisons est
accepté comme un fait ou comme la vérité, alors qu'une partie importante de cela
est juste des fausses nouvelles, des fake news.
Ce n'est évidemment pas nouveau car il a été utilisé par des
gouvernements depuis des siècles. Goebbels, le ministre de la propagande nazie,
spécialiste de la manipulation du peuple allemand, a déclaré: "Si vous
dites un grand mensonge assez souvent et continuez à le répéter, les gens
finiront par le croire".
Le pouvoir de l'Internet et d'autres médias a facilité la diffusion
de nouvelles et de propagande à des milliards de personnes et très peu peuvent
distinguer s'ils entendent ou lisent des nouvelles «réelles» ou des «fausses»
nouvelles. ”
Fonctionnant sous de telles "fausses nouvelles", et en
sachant à quel point les États-Unis sont proches du chaos s’il y a élimination du
président Trump, le
ministère russe de la Défense a maintenant pris le contrôle de toutes les
fonctions diplomatiques concernant les États-Unis. Il a nommé le
vice-ministre de la Défense Anatoly Antonov, pour être le nouvel Ambassadeur de
la Fédération en Amérique, car la Fédération prévoit la possibilité qu’une junte
militaire américaine contrôle ce pays plutôt que ses dirigeants démocratiquement
élus.
La seule voie qui reste au président Trump pour survivre, est celle
de savoir s’il est capable de rassembler des dizaines de millions de citoyens
américains armés pour le défendre lorsque ce coup d’état aura lieu, comme l'a
fait le Président Recep Erdogan lors du coup d'État ourdi par Obama-CIA en 2016.
D’ailleurs, Trump a eu une prémonition il y a juste un an, en
juillet 2016, quand il a cryptiquement Tweeté: "On dirait qu'un coup militaire est en cours en Turquie. Ils ramènent leur pays en arrière! Se passera-t-il la
même chose bientôt aux États-Unis si je suis président! "
Hannibal GENSERIC