Au cours de la photo-op ci-dessous entre le président russe
Vladimir Poutine et le président américain Donald Trump, Poutine ne pouvait pas
aider à faire connaître ses sentiments sur les leaders mondialistes réunis au
G20. Une femme de la foule a demandé à Poutine s'il souriait parce qu'il
appréciait vraiment Donald Trump; Poutine resta souriant mais a dit: «Je
souris parce que le Nouvel Ordre Mondial (NOM) est agonisant».
Poutine et Trump étaient censés se réunir pendant 35 minutes à
Hambourg vendredi. Mais leur première réunion en face-à-face s'est étendue
bien au-delà de cela, à deux heures et 16 minutes. Les deux fiers leaders
nationalistes et défenseurs de leur peuple ont trouvé qu'ils avaient beaucoup
de sujets dont il fallait parler.
Ce n'est pas une surprise. Poutine, qui combat la cause mondialiste
depuis si longtemps, a finalement trouvé en Trump un leader mondial qui veut
mener le même combat, en parallèle à sa détermination à faire le bien de son
peuple. Le reste des dirigeants du G20 proviennent de l'école de pensée
mondialiste, des marionnettes corrompues de l'élite, œuvrant uniquement pour
les grosses entreprises, les banques et les sociétés secrètes, sans se soucier
du futur de leur pays.
Mais Poutine et Trump sont différents.
Trump a refusé de porter le "pins" du G20, symbole du modialisme |
Poutine a trouvé, dans le président américain, l'allié dont il a
besoin pour
détruire le NOM une fois pour toutes.
Mais, bien que l'élection de Trump en novembre ait été un knock-down pour le NOM, les grands
projets des globalistes n'ont pas été complètement démantelés.
Le carnage d’hier soir et de ce matin dans les rues de Hambourg témoigne
de ce fait incontestable. Les mercenaires de George Soros - Antifa et Black
Bloc - étaient au travail, incendiaient les voitures et terrorisaient les
innocents, essayant de transformer la ville en enfer sur terre.
Tout comme DAECH et les Islamistes causent la mort et la destruction
dans les points chauds du monde entier grâce aux dollars des mondialistes, les terroristes
domestiques comme Antifa provoquent également le chaos dans les grandes villes
occidentales. Tout cela fait partie du plan visant à déstabiliser les États-Unis
et l'Europe, et à supprimer les libertés civiles, la vie privée et le droit à
une vie décente.
Angela Merkel, l'animatrice du G20, gloussant et trottinant toute
la journée, refuse de reconnaître que
ses désastreuses frontières ouvertes ont fourni à l'élite mondialiste les
terroristes, idiots-utiles, nécessaires pour faire leur sale travail pour eux.
Voici ce qu'ils se sont dit lors de leur face-à-face
Le
président américain a rencontré son homologue russe pour la première fois lors
du sommet du G20. Une "alchimie positive" mais aussi un échange
"vigoureux".
Lors d'un
premier tête-à-tête de près deux heures et demie, Donald
Trump et Vladimir
Poutine ont abordé la question de l'ingérence russe dans l'élection
présidentielle américaine mais sont convenus de passer outre des crispations
pour se concentrer sur l'amélioration de leurs relations.
Donald Trump,
qui s'est dit "honoré" de
rencontrer le président russe à l'occasion du sommet
du G20 à Hambourg, a suscité les critiques de ses adversaires démocrates,
qui jugent que le nouveau démenti apporté vendredi par Vladimir Poutine dans
cette affaire a été trop bien accueilli.
Les présidents
américain et russe, qui avaient échangé une poignée de main et des sourires à
l'ouverture du sommet en fin de matinée, ont entamé leur entretien vers
16h, aidés de traducteurs.
"Désaccord insoluble à ce stade"
A l'issue
de la rencontre, le secrétaire d'État Rex Tillerson a évoqué devant des
journalistes une "alchimie positive"
entre les deux dirigeants. Donald Trump a ouvert les discussions sur les
"inquiétudes du peuple américain quant à l'ingérence russe dans l'élection
de 2016" et un "échange vigoureux
et long" s'est ensuivi, a déclaré Rex Tillerson. "Le
président a interpellé le président Poutine à plusieurs reprises sur la
question de l'implication de la Russie. Le président Poutine a réfuté toute
implication comme il l'a déjà fait auparavant."
Son homologue
russe, Sergueï Lavrov, a pour sa part indiqué que Donald Trump avait accepté
les explications de Vladimir Poutine. "Le président
américain Trump a dit avoir entendu les démentis du président russe Poutine
(...). Il les a acceptés", a-t-il dit. Tillerson a précisé
que les deux chefs d'État ont cherché à surmonter la question. "Les
présidents se sont concentrés sur les moyens d'avancer, partant de ce qui
pourrait bien être un désaccord insoluble à ce stade", a
déclaré Tillerson, évoquant un engagement russe à "ne
pas interférer dans les affaires des États-Unis et notre processus
démocratique".
Cette
explication a été mal accueillie au sein des démocrates à Washington. "Travailler
à compromettre l'intégrité de notre processus électoral ne peut et ne doit pas
être un domaine où 's'accorder sur un désaccord' est une conclusion
recevable", a déclaré dans un communiqué le chef de file
des démocrates au Sénat, Chuck Schumer.
Amabilités en tous genres devant la presse
Donald Trump et
Vladimir Poutine ont rivalisé d'amabilités lors d'une courte pause devant la
presse, avant de poursuivre leurs discussions. "Le président
Poutine et moi-même avons parlé de divers sujets et je crois que cela s'est
très bien passé", a déclaré à la presse Donald Trump,
assis aux côtés de son homologue russe. "Nous avons eu de
très, très bons échanges. Nous espérons que cela entraînera de bonnes choses
pour la Russie, les États-Unis et toutes les personnes concernées. Et c'est un
honneur d'être à vos côtés", a-t-il dit à Vladimir
Poutine.
"Nous
avons discuté à de nombreuses reprises au téléphone (...) mais une conversation
téléphonique ne suffit pas", lui a répondu le président
russe, par l'intermédiaire de son traducteur. "Je suis très
heureux de pouvoir vous rencontrer en personne, monsieur le président",
a-t-il poursuivi.
Le tête-à-tête
aurait pu se poursuivre encore longtemps si Melania Trump, l'épouse du
président américain, ne les avait pas pressés de mettre un terme à la
rencontre, a raconté Rex Tillerson, le secrétaire d'État américain.
Avant la
rencontre, Donald Trump avait dit qu'il souhaitait trouver des moyens de
travailler avec son homologue russe, un objectif rendu difficile par les camps
adverses soutenus par les deux pays dans les conflits ukrainien et syrien, et
les accusations d'ingérence russe dans l'élection présidentielle américaine de
2016.
Trêve en Syrie
Les deux hommes
ont exposé leurs divergences sur l'approche du dossier nord-coréen, a ajouté le
chef de la diplomatie américaine. "Les Russes
l'abordent un peu différemment de nous et nous allons donc poursuivre ces
discussions et leur demander d'en faire davantage. La Russie a des échanges
économiques avec la Corée du Nord", a-t-il dit à la
presse.
Sur le dossier
syrien, largement évoqué, les États-Unis, la Russie et la Jordanie ont conclu
une trêve
dans le sud-ouest syrien, a déclaré Rex Tillerson après la rencontre. Ils
se sont également accordés sur la création dans la région d'une zone de "désescalade",
a-t-il ajouté.
Le président US pris de court par la Russie
DEBKAfile,
site proche du milieu du renseignement de l’armée israélienne, revient sur le
feu vert russe à l’Iran pour qu’il accueille le sixième round des pourparlers
syro-syriens : « Le fait que la Russie ait donné son aval à ce que l’Iran
accueille Astana 6 prive de facto les États-Unis, la Jordanie et l’opposition
syrienne de la possibilité d’y assister. Moscou vient ainsi d’éliminer les
États unis, un véritable choc pour la partie américaine. »
Et le site de
poursuivre : « En effet les Russes sont sur le point de faire
passer un message aux Américains : ils sont prêts à soutenir jusqu’au bout
la présence militaire iranienne en Syrie ».
DEBKAfile n’y apporte aucun commentaire, mais ce message est aussi
adressé à Israël, dont les officiels ne cessent de réclamer ces derniers temps
le « départ de Assad, de l’Iran et du Hezbollah » de Syrie.
Mais le choix de Téhéran pour accueillir les pourparlers
syro-syriens n’est pas le seul « choc infligé » par Poutine aux
États-Unis et à Israël. La
Russie vient de doter la DCA syrienne de canons
électromagnétiques qui paralysent les radars des avions israéliens et
provoquent leur crash [Voir . Cyclone
sur le Pentagone. Les Russes paralysent toutes les défenses de l'Alaska ].
Un premier drone israélien a d’ailleurs été abattu mardi dans le
sud de la Syrie. À Tel-Aviv, le message a été reçu 5 sur 5 : les
Israéliens ont arrêté net leurs frappes contre les positions de l’armée
syrienne à Quneïtra.
VOIR AUSSI:
VOIR AUSSI:
- Trump tente de "manoeuvrer" Poutine afin de casser l’axe Pékin-Moscou
- SYRIE. Résultats de la rencontre Trump - Poutine
Hannibal GENSERIC