En raison des
menaces actuellement proférées de donner une injection expérimentale de
Covid-19 aux enfants , et de la confirmation que les
passeports vaccinaux seront introduits au Royaume-Uni à partir d'octobre, vous
n'êtes probablement pas au courant que Public Health England (PHE) a publié un
rapport précisément au même moment qui révèle que 70% des décès de Covid-19
depuis février sont des personnes qui avaient été vaccinées.
En France, les éléments publiés montrent, s’il était encore besoin, que les décisions
politiques qui entendent se mêler de la santé ont
essentiellement eu sur la décennie passée un effet délétère au point de
se traduire en morts inutiles.
Avant-propos.
Les données relatives aux effets secondaires des pseudo vaccins covid sont plus facilement accessibles en G.B. et aux USA, qu'elles ne le sont en France. Cela voudrait dire que le régime en France est bien pire que ce que l'on croit généralement. C'est pour cela que nous nous basons sur ces données anglo-saxonnes pour y voir un peu plus clair, sachant que, selon les autorités elles-mêmes, seuls 10% des cas réels sont déclarés et enregistrés dans les bases de données britannique et américaines. Le malaise est perceptible aux États-Unis puisque
Marion Gruber, directrice de l'agence de recherche et d'avis sur la
vaccination de la FDA et Phil Krause, directeur adjoint de la FDA (Food
and Drug Administration) ont présenté leurs démissions le 31 août 2021,
au moment où l'administration Biden préconise une 3e dose, appelée
"booster shot" aux Américains et qu'il serait même prévu que les Américains prennent une dose tous les 5 mois ! Rien de tel en France...ni au Maghreb où l'on suit bêtement et aveuglément les oukases de l'OMS et des fournisseurs de vaccins tueurs.
Au Maghreb, bien que les gens constatent des morts subites et des effets secondaires aussi nombreux qu'ailleurs, les "autorités" s'en foutent : car c'est Allah qui décide de tout. Y-a-t-il une meilleure excuse ?
Le rapport intitulé « Variantes préoccupantes du SRAS-CoV-2 et variantes faisant l'objet d'une enquête en Angleterre », est le 22e briefing technique sur les variantes préoccupantes présumées au Royaume-Uni et constitue une lecture extrêmement intéressante une fois que vous réalisez ce que les statistiques nous disent réellement. .
PHE a compilé un tableau utile qui montre le nombre de cas présumés confirmés de variante Delta au Royaume-Uni ainsi que le nombre de décès présumés dus à la variante. Le tableau montre que depuis le 1er février 2021 jusqu'au 29 août 2021, il y a eu 492.528 cas présumés confirmés de la variante Delta. Parmi ceux-ci, 144.067 avaient été confirmés au cours des 28 derniers jours seulement.
Les données montrent que les personnes non vaccinées ne représentent que 44% des cas présumés confirmés de Covid, tandis que celles qui sont entièrement vaccinées représentent 23% des cas présumés confirmés. 16% des cas présumés sont des personnes qui ont reçu une dose d'un vaccin Covid-19 au moins 21 jours avant leur prétendue infection confirmée à Covid-19.
Comme vous pouvez le voir dans le tableau ci-dessus, près de deux fois plus de personnes non vaccinées représentent des cas confirmés de Covid-19 que celles qui sont complètement vaccinées. Cependant, lorsque vous incluez le nombre de ceux ayant reçu une dose d'une injection de Covid-19, le nombre de cas parmi le groupe vacciné (222.693) dépasse en fait le nombre qui a été enregistré parmi la population non vaccinée.
Lorsque les vaccins Covid-19 ont reçu une autorisation d'utilisation d'urgence, les autorités n'avaient aucune idée de leur efficacité. Les essais limités effectués ont uniquement mesuré si une personne vaccinée souffrait ou non d'une maladie grave si elle était infectée par Covid-19, ils n'ont pas mesuré si une personne vaccinée pouvait encore être infectée par Covid-19, et ils n'ont pas mesuré si une personne vaccinée ou non pourrait toujours propager le virus conformément à la théorie des germes acceptée par le grand public.
On prétend que les vaccins réduisent considérablement les chances de souffrir d'une maladie grave en cas d'infection par Covid-19, donc bien que la population vaccinée dépasse en fait le nombre d'infections enregistrées parmi la population non vaccinée, vous supposeriez que l'inverse serait observé dans le nombre de personnes qui seraient mortes de la variante Delta ?
Parce qu'on nous a dit à maintes reprises que les vaccins Covid-19 sont notre seul moyen de revenir à la normale et nous devons nous manifester, retrousser nos manches et se faire piquer lorsqu'on nous le demande. Donc les vaccins doivent sûrement faire ce qu'ils disent par écrit sur la boîte ?
Ce doit être la raison pour laquelle ils sont si désespérés de faire une injection expérimentale aux enfants, même si ces derniers courent déjà un risque négligeable de souffrir d'une maladie grave. Peut-être que les dernières données de Public Health England montrent que le risque serait réduit à zéro ?
Malheureusement, il semble qu'on nous ait menti et au lieu que les vaccins Covid-19 soient notre voie de retour à la normale, ils sont plutôt le contraire. Parce que les données publiées par Public Health England nous montrent que le nombre de décès présumés dus à la variante Delta n'est pas seulement plus élevé parmi ceux qui ont reçu deux doses du vaccin Covid-19, ils sont astronomiquement plus élevés.
Le nombre total de décès survenus depuis février 2021 impliquant la variante Delta Covid-19 qui ont été liés au statut vaccinal s'élève à 1.698. Parmi ceux-ci, seuls 30% faisaient partie de la population non vaccinée, malgré le fait que la plupart des deuxièmes vaccinations ont été administrées entre avril et juin.
Alors que ceux qui sont entièrement vaccinés représentent 64,25% des décès de Covid-19 depuis février 2021, et en incluant les partiellement vaccinés dans ces chiffres, ils représentent 70%. Cependant, il est important de noter que bon nombre des décès survenus dans la population partiellement vaccinée peuvent en fait être des personnes qui avaient reçu deux doses d'une injection de Covid-19 car PHE ne les considère pas comme ayant reçu deux doses si cela ne fait pas deux semaines qu'ils ont reçu la deuxième dose.
Mais qu'est-ce que cela signifie en termes de risque de décès en cas d'infection par la variante Delta Covid-19 ? Eh bien, cela signifie que le risque de décès augmente considérablement chez ceux qui ont été complètement vaccinés. En effet, 536 décès sont survenus parmi 219.716 cas confirmés dans la population non vaccinée depuis février. Il s'agit d'un taux de létalité de 0,2 %. Alors que 1.091 décès sont survenus parmi 113.823 cas parmi la population entièrement vaccinée. Il s'agit d'un taux de létalité de 1%.
Cela signifie que les injections de Covid-19 semblent augmenter le risque de décès dû à Covid-19 de 500% plutôt que de réduire le risque de décès de 95% comme le prétendent les fabricants de vaccins, les organismes de santé publique et le gouvernement, et maintenant ils veulent donner ce traitement expérimental et mortel à vos enfants
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France. 1 000 morts et 20 000 cas graves
En France, l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) publie un « suivi hebdomadaire des effets indésirables des vaccins » qui détaille les effets secondaires des 4 vaccins administrés. Malgré les quelques 1 000 décès et les 20 000 cas graves (officiels), leur rapport se borne à affirmer que cela "ne montre pas de spécificité particulière en faveur d'un rôle du vaccin", une conclusion difficilement acceptable d'autant plus que les remontées d'effets secondaires sont rares, compliquées et souvent rejetées.
Depuis le 16 juillet 2021, Santé Publique France ne communique plus les données sur la mortalité enregistrées suite à la "vaccination". En outre ces données n'ont jamais été accessibles publiquement.
Cependant, les rares données disponibles montrent qu'en France, (comme partout ailleurs) la vaccination est plus dangereuse que la maladie pour les personnes jeunes et en bonne santé : "pour les personnes âgées de moins de 45 ans, le risque de décès après vaccination est 1,4 fois plus élevé (Astrazeneca) par rapport à la mortalité Covid-19 et le risque de séquelles très graves entraînant une invalidité, un décès ou un pronostic vital engagé est jusque 5,2 fois plus élevé pour Pfizer. Pour les personnes sans comorbidité, le vaccin apparaît délétère pour les moins de 65 ans. Concernant les enfants avec comorbidité, le risque de décès supposé lié à la vaccination est de 41 à 56 fois plus élevé qu’avec la Covid-19. Et puisqu’aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19, le risque lié à la vaccination est tout simplement infiniment plus élevé." (REINFOCOVID).
Mortalité et confinements : ces chiffres qu’on ne veut pas voir
Posted: 06 Sep 2021 11:09 AM PDT
Et pour continuer dans le chapitre de la statistique amusante, je vous propose aujourd’hui, toujours grâce à l’aide de Nasier Ockham qui a réalisé les analyses statistiques suivantes, de tenter une évaluation de ce qu’ont coûté les confinements en termes humains et d’apporter une lumière statistique sur l’état général des établissements hospitaliers publics français.
Des confinements meurtriers
Ainsi, alors que plus de seize mois se sont écoulés depuis le premier confinement de mars 2020, il peut être utile d’estimer l’impact de ces opérations sans précédents en France. Et pour cela, on pourra regarder les données statistiques collectées notamment par les pompiers de Paris et médecins de l’INSERM qui ont publié les chiffres des résultats catastrophiques des confinements sur la survivabilité des arrêts cardiaques hors hôpital, avant, pendant, et après le confinement.
Les chiffres sont sans appel : le confinement multipliait le risque de mourir d’un arrêt cardiaque hors hôpital par 2,2. Non seulement le nombre d’arrêts cardiaques à la maison est ainsi passé de 76,8% à 90,2% mais les auteurs notent que les délais d’interventions ont été plus longs, et que dans nombre de cas les massages cardiaques n’étaient pas faits par peur de contamination ou sur consigne des hôpitaux. Au total, la proportion de patients arrivant vivants à l’hôpital a dramatiquement changé, ainsi que la proportion de patients survivants sortant de l’hôpital.
Pire encore, alors que, hors confinement, on observe 13,42 arrêts cardiaques hors hôpital par semaine et par million d’habitants, avec 22,8% de survivabilité, ces mêmes arrêts cardiaques sont grimpés à 26,64 et la survivabilité s’est, elle, effondrée à 12,8%.
Si les conclusions de l’article sont très prudentes, les chiffres qu’on y lit sont, eux, violents : hors confinement, on observait 44,9 morts/mois/million d’habitants d’arrêt cardiaque hors hôpital, proportion qui est montée à 100,6 pendant le confinement, alors même que la population de Paris a, dans cette période, largement diminué. Avec 10% seulement de ces accidents cardiaques testés positifs au Covid, et en comptant les attributions larges de Covid sur la base de suspicion seulement, c’est un tiers uniquement des cas recensés qui pourraient être attribué au Covid – laissant tout de même deux tiers de la surmortalité attribuable au confinement.
L’application de ces chiffres parisiens au reste du pays aboutit à la sombre conclusion que la France a déploré 3700 à 3800 morts supplémentaires pour chaque mois de confinement. Pour rappel, normalement environ 16% de la mortalité normale est causée en France par des maladies cardio-vasculaires, soit entre 10.000 et 11.000 décès mensuels lors des années normales.
3.700 à 3.800 morts par mois supplémentaires causés par les confinements uniquement pour les arrêts cardiaques hors hôpitaux, c’est beaucoup plus que la diminution de mortalité routière due au confinement (de l’ordre des baisses de 190-195 morts par mois enregistrés par la sécurité routière au même moment). Ici ne sont évoqués que les arrêts cardiaques hors hôpitaux, pas toutes les autres mortalités cardio-vasculaires, ni les cancers et autres affections de longue durée dont le diagnostic décalé par les différents confinements cause inévitablement des morts supplémentaires…
Un pilotage gouvernemental aux mauvais instruments
En regardant les données mensuelles des décès dus au Covid (et ici) et en les comparant avec les décès mensuels et par million de la population, on observe que le pic de mortalité du mois d’Avril pendant le premier confinement dépend bien plus des décès hors Covid que des décès Covid.
Cependant, au mois de Mai 2020, l’importance des décès Covid semble exploser, alors que ce mois n’était pas un pic de mortalité. A contrario, la mortalité non Covid atteint un niveau si bas qu’il est sans précédent depuis que les données existent :
On peut imaginer que le Covid efface momentanément toutes les autres maladies infectieuses et respiratoires, et que le confinement fasse diminuer les morts violentes (ainsi, la mortalité routière a diminué, soit environ 1.000 accidents et 195 décès en moins pendant le mois de mai) mais on a du mal à comprendre par quel mécanisme miraculeux toutes les maladies non infectieuses et non violentes (cancers, maladies cardio vasculaires, etc.) représentant d’ordinaire entre 83 et 84% des décès tomberaient soudain à 56% des décès, une faible proportion jamais observée depuis 1980.
En réalité, il n’est pas physiquement possible que ces maladies aient disparu.
Bien plus logiquement, beaucoup (trop) de décès non causés par le covid ont été classés comme ayant eu le covid comme cause, suite par exemple à un test PCR positif. Bref, beaucoup plus nombreux sont ceux morts avec et non du covid.
Une conclusion s’impose : le gouvernement pilote avec un compteur qui ne donne pas la mesure, ce qui explique (en partie tout du moins) l’enfilage de perles absurdes par ce même gouvernement. En outre, il sera difficile d’écarter l’idée que, bien conscient de ce biais énorme dans ces chiffres, le gouvernement n’en a pour autant pas moins communiqué goulûment dessus, instillant la peur apte à générer la soumission du peuple dont il a eu besoin ensuite pour faire passer toutes ses mesures liberticides.
Au passage, la comparaison des mortalités sur ces derniers mois et celle des variations de mortalités saisonnières habituelles en France (visible sur le graphique suivant) permet d’affirmer que, jusqu’à récemment, le système de soin français savait traiter ces pics de mortalité sans que René Coty et ses successeurs se soient sentis obligés de mettre le pays à genoux, en état d’urgence, en lui retirant ses libertés au nom de la santé.
Difficile, devant ce graphique, de justifier l’hystérie permanente des médecins de plateau télé, les emportements adolescents du ministre de la Santé et l’impression de fin du monde colportée par les médias nationaux : oui, les hôpitaux et les médecins français ont su traiter par le passé des épidémies provoquant bien plus de morts par million que celle que nous observons maintenant.
Un système de soins français en pleine décrépitude
Il est vrai que les instructions gouvernementales pour la gestion de cette crise n’ont clairement pas aidé : évaporation du rôle du médecin traitant, interdiction de toute liberté de prescription, tests longtemps interdits ou limités, focalisation sur des vaccins expérimentaux, utilisation alternative du Rivotril sur les personnes âgées en EHPAD, … Rien n’a permis d’aider le système de soins.
Système de soins qui n’avait pas besoin de cette confusion politique, tant la dégradation dont il est victime est maintenant visible de tous (au point que certains médecins s’en ouvrent sur les réseaux sociaux) et qui se traduit, comme on peut le voir dans la figure ci-dessous, par une augmentation progressive inquiétante du nombre de morts mensuels pour 100.000 habitants depuis 2008.
Au passage, cette dégradation du système de soin français, visible dans les mortalités dans le graphique suivant, est confirmé par une étude réalisée en 2020 qui montre que, une fois corrigés par les classes d’âge, les décès (par 1.000 habitants dans ce document) pour la classe d’âge 65 ans et plus ont diminué jusque vers 2003-2007 puis ont recommencé à augmenter. Comme il s’agit d’une classe d’age, l’effet « papy boom » est donc gommé et une autre explication que le vieillissement de la population doit être apportée : la dégradation des services de soins n’est pas la plus absurde. Et lorsqu’on épluche cette étude de Santé publique France, on constate (figure 5 de cette étude) qu’en effet les décès sont amplifiés dans les établissements publics par rapport aux établissements privés, au-delà de la simple proportion de patients gérés par les deux systèmes…
Tous ces éléments montrent s’il était encore besoin que les décisions politiques qui entendent se mêler de la santé en France ont essentiellement eu sur la décennie passée un effet délétère au point de se traduire en morts inutiles.
Pire : la cohorte de médecins qui, de plateaux télés en comités scientifiques bidons, se sont acoquinés avec les pires pendards politiciens ont perdu, avec eux, la crédibilité et la confiance qu’un sain détachement des basses manœuvres politiciennes leur aurait permis de conserver.
De politiques idiotes en corruption et en lobbyisme éhonté, la médecine française n’est plus que l’ombre d’elle-même.
Source
De nombreux effets, souvent graves et mortels, ont été recensés
En
voici une liste non exhaustive construite par Emilie M, soignante, sur
la base des milliers de témoignages remontés dans le groupe Facebook "Recensement effets indésirables" :
"Brain-fog" : pertes de mémoire + confusion + dépersonnalisation; A.I.T. (Accident Ischémique Transitoire) ; A.V.C. (Accident Vasculaire Cérébral) ; accouchements prématurés; Acouphènes; Affaissement inexpliqué de l'aorte ; Algies faciales vasculaires ; Aménorrhées; anévrisme ; apathie etc ...; arthralgies; Arythmie; asthénie; bradycardie ; Bronchite asthmatique aiguë ; Capsulite ; Cécité et/ou surdité dûe à des thromboses puis des nécroses tissulaires ; céphalées; chondrocalcinose ; Coliques; contour des yeux; contractures musculaires; crampes ... ; crises d'angoisse; crises de polyarthrite rhumatoïde ; décollement de la rétine ; démence ...; dépression; désorientation; Diabète ; diarrhée; diplopie ; dysménorrhées; Dysphasie ; dyspnée; électromagnétisme corporel exacerbé (patients aimantent des objets métalliques au point d'injection et même au niveau du cœur ...) ; Encéphalites ; engourdissements de membres; épanchement articulaire; épanchements péricardiques ; épanchements pleurales; Epistaxis; Essoufflement; fausses-couches; fourmillements; frissons; gêne visuelle (filaments; hématomes; hyperacousie; Hypermégalies : grosseurs anormales et notamment au niveau des ganglions lymphatiques; hypertension (très élevée supérieure à 20); hyperthyroïdie; Hypoesthésies; Hyponatrémie ; hypotension ; hypothyroïdie ; idéations suicidaires; Infarctus ; inflammation de la plèvre; insuffisance hépatique; insuffisance rénale; Méningite ; métrorragies ; Myélite idiopathique ; Myocardite; nausées; Nécroses tissulaires (jambes etc ...); O.A.P. (Œdème Aigu du Poumon)/Embolie pulmonaire/pneumothorax ; Occlusions rétiniennes ; œdèmes de quincke ; œdèmes des membres; œdèmes lèvres; otorragies ... ; pancréatite aiguë ; Paralysies faciale de Bell ; péricardite; Péritonite ; Perte d'acuité visuelle; phlébite ; phlegmon ; polyneuropathie aiguë ... ; purpura ; Radiculite ; Réactions allergiques; Réactions auto-immunes : rash cutané; Réactions neurologiques : crises d'épilepsie; Réactivation de cancers en rémission; rectorragies ; Rupture d'anévrisme; Scléroses en plaques ; sensations de brûlures disséminées; spasmes; stérilité ... ; syndrome de Guillain Barré; syndrome de Ménière; tachycardie; Thromboses ; Troubles de la coagulation : thrombopénie; troubles psychologiques à psychiatriques (paranoïa ...); urticaire; Vascularite; Vasculite ; vertiges; visage etc. ; zonas;
Derniers chiffres officiels de la Pandémie Vaccinale (PV) :
(multipliez au moins par 10 pour avoir les chiffres réels)
Hannibal GENSERIC
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