1°)- Objet de l’article : cet article propose une
histoire longue du Covid-19, remontant aux années 70 jusqu’à nos jours.
1-2°)-L’article majeur rédigé par Monika Karbowska, de Wikijustice Julian
Assange : “Comment en 20 ans la « pandémie grippale » Covid a été préparée
comme une guerre bioterroriste”, postée dans la lettre politique
indépendante du 12 juillet 2021 et rééditée à de nombreuses reprises, notamment
le 10 septembre 2021.
1-3°)-L’article de blog rédigé par Israël Adam Shamir intitulé La
boite de Pandore, publié le 11/06/2021 sur le site “La
plume et l’enclume”. Et rebaptisé : “Le Covid est une création
sino-franco-américaine”, repostée dans la lettre politique
indépendante du 10 septembre 2021.
Mon article est déjà très long. De ces trois articles, je n’ai retenu que les points les plus saillants, car ils se complètent les uns les autres : et ne peux bien sûr que vous recommander leur lecture intégrale.
Sur le fond, que nous disent ces trois articles ? Malgré l’interdiction de Nixon en 1972 des armes biologiques, les Cheney et Bush testent en 2001 des simulations de guerre biologique mondiale : Dark Winter. On y teste l’état d’urgence, le couvre-feu, le confinement et surtout la vaccination massive obligatoire. Fauci développe des armes de guerre biologiques, disposant d’un budget de 6,1 milliards de dollars par an. Le virus du Covid-19 est bricolé par les chinois sous la direction des Américains. En clair, si les Chinois ont modifié (gain de fonction) le coronavirus naturel, ils l'ont fait sur l'ordre de leurs partenaires américains et selon leurs instructions. Les chinois du labo P4, Buzyn et l’INSERM jouent un rôle non négligeable dans cette histoire incroyable.
2°)-
Article :
Il n’y a plus de pensée critique. Depuis le 15 mars 2020, date du premier
confinement, la pandémie de covid-19 est présentée comme une épidémie “normale”,
“allant de soi”. Du jour au lendemain, nous nous sommes tous confinés, afin de
nous protéger de ce danger soi disant “extérieur”. Mais ce n’est pas vrai. D’où
l’importance de déconstruire ce discours menteur, raconter la politicogenèse de
cette guerre bio-terroriste voulue au départ par Fauci, l’armée US, la CIA et
l’industrie pharmaceutique américaine.
Comme analyse d’entrée de jeu Monika Karbowska, dans son
article : “ Comment en 20 ans la « pandémie grippale » Covid a été
préparée comme une guerre bioterroriste”, op. cit. : ”nous
avons affaire à un discours planétaire uniforme porté par tous les grands
groupes médiatiques les plus puissants du monde. Ce discours est très éloigné
de ce que vivent alors les peuples d’Europe, la réalité d’une maladie dont
l’analyse reste à écrire après une enquête citoyenne indispensable”(sic).
De son côté, Robert Kennedy junior, dans son ouvrage sur Fauci, montre comment
la guerre biologique scandaleuse a été développée par les Etats-Unis jusque
dans les années soixante. Un moment interdite, puis mise en oeuvre secrètement,
notamment par le sieur Antony Fauci.
1°)-
L’interdiction des armes biologiques par le traité de 1972 :
Dans les années 50, la CIA était très impliquée dans les armes biologiques,
ainsi que l’industrie pharmaceutique. George W. Merck, qui était à l’époque également
à la tête de Merck, avait la double casquette de chef de laboratoire d’armes
biologiques et de responsable politique, développant des armes biologiques.
Reprenant le triste mode opératoire nazi, où les compagnies pharmaceutiques
allemandes et les responsables politiques produisaient des armes biologiques,
des gaz utilisés pour tuer les juifs à Auschwitz et autres camps de la mort.
Le chef du programme d’armes biologiques, David France, estimait que les
Etats-Unis avaient des armes biologiques, qui pouvaient avoir le même impact
qu’une bombe nucléaire.
En 1969, Richard Nixon a fermé le programme. Il s’est rendu à Fort Detrick, qui
est l’endroit où se trouve le principal centre de recherche sur les armes
biologiques aux États-Unis. Il l’a fermé et signé en 1972 le traité sur les
armes biologiques, qui était une extension du traité de Genève.
Les Etats-Unis ont accepté de ne pas stocker d’armes biologiques, et de ne plus
les développer. Les États-Unis ont donc fermé Fort Detrick et d’autres laboratoires d’armes
biologiques.
Dans les années soixante-dix, les armes biologiques sont donc prohibées aux
Etats-Unis. Mais les militaires, la CIA, certains hommes politiques voulaient
recommencer. La contre offensive est lancée par Dick Cheney, Directeur de
Cabinet de Georges W.Bush au début des années 2000.
2°)-Dark Winter, les préparatifs pour la guerre biologique mondiale
:
Voilà ce qu’écrit Monika : Judit Miller est journaliste au New York Times au
début des années 2000. Elle y rédige des articles et des livres affirmant
prouver l’existence des armes de destructions massives de Saddam Hussein,
premier mensonge planétaire de l’administration George W. Bush. Connue pour
être proche de Dick Cheney, le directeur de cabinet de Georges W, Bush, elle
participe à la propagande guerrière en affirmant avoir été victime d’une
« attaque à l’anthrax » – l’affaire de l’anthrax a été le prélude aux
bidonnages sur les armes de Saddam Hussein alors que les enveloppes
prétendument reçues par les sénateurs et journalistes américains étaient soit
vides de poison, soit sortis probablement de Fort Detrick laboratoire militaire
américain désormais bien connu depuis la crise Covid. L’opinion américaine
croit le mensonge sur les armes de destruction massive irakiennes. Finit par
accepter la guerre contre Saddam.
Or Judit Miller, « Madame Anthrax », participe depuis le début à ce
qui deviendra « le storytelling Covid ». Elle s’est en effet
« entrainée » en tant que journaliste à se préparer à une
« guerre bactériologique » en participant à la simulation
« réponse à une pandémie – Dark Winter », exercice
militaire que le pouvoir militaire états-unien a organisé en juin
2001.« Dark Winter » met en scène une attaque avec le virus de la
variole. Il s’agit d’un des premiers des nombreux exercices militaire que les
Etats Unis murissent depuis 1999 et qu’ils imposeront au monde occidental à
partir de 2002.
En 1997 l’armée américaine en quête de domination mondiale après la destruction
de l’Union Soviétique élabore sous prétexte de lutte contre le terrorisme, des
plans de « contre-attaque à une guerre
bioterroriste » et crée le Center for Health Security (Centre
pour la sécurité Sanitaire – en 1998 son nom est Center for Civilian Biodefense
Strategy) subventionné par la fondation General Motors à l’Université John
Hopkins.
La première « simulation» a lieu en février 1999 à la John
Hopkins University. Les représentants de 10 pays y étaient conviés pour
élaborer « une Stratégie de Santé Publique
Nationale en réponse à une attaque bioterroriste ». Comme l’attaque bioterroriste doit être
« mondiale », la réponse doit être mondiale et les solutions
élaborées sonnent de manière étrangement familière à nos oreilles
aujourd’hui : état d’urgence, couvre-feu, confinement et vaccination massive
imposée, le business du Big Pharma n’étant pas oublié. Dès cette première
simulation les gouvernements occidentaux se familiarisent avec l’idée
d’utiliser la police pour enfermer les populations dans des quarantaines
forcées.
Avec l’arrivée de Georges W Bush au pouvoir les projets de domination prennent
de l’ampleur : le président Bush et son secrétaire d’Etat Dick Cheney
ainsi que James Woolsley chef de la CIA, participent à l’exercice
de simulation « Dark Winter », du 22 au 25 juin 2001 qui a lieu à la
base militaire Andrew près de Washington. Les médias sont à l’honneur pour apprendre à bien
« gérer » la population et soutenir l’effort de guerre américain. Le New York Times, la NBC, le
CBC, Fox News et la BBC sont présents – tous ceux qui lanceront la propagande
anti-irakienne après le 11 septembre.
Surtout, l’exercice militaire prépare déjà minutieusement la « gestion » de la population civile : que la vaccination de masse obligatoire soit imposée
comme le seul remède possible ne nous étonnera plus aujourd’hui. “Dark Winter”, c’est déjà la prohibition de toute vie
sociale, la fermeture des écoles et des universités, la suppressions des
événements culturels, des activités associatives et politiques, des
loisirs et des sports…Tout ce que nous vivons aujourd’hui
présenté comme “forcé”, “obligé”, “inévitable”, “incontournable” : alors que
cette stratégie de Dark Winter n’est jamais que la stratégie des faucons
imaginée par les Bush, Cheney, et chef de la CIA de l’époque : James Woolsley.
Les ministres de la santé des pays occidentaux glissent de façon déconcertante
de l’attaque biochimique à une épidémie naturelle comme
si des deux phénomènes devaient être gérées à la manière militaire avec
état d’urgence, enfermement des populations rebelles, couvre-feu et vaccination
forcée.
La CIA, bien sûr, est très impliquée dans les armes biologiques et l’industrie
pharmaceutique. En 1993, il y eut la première attaque du World Trade Center.
Tout l’argent, destiné à l’éducation et à l’usage civil a soudainement disparu.
Les intérêts acquis poussèrent à dépenser cet argent dans la lutte contre le
terrorisme. En 2001, il y eut les attaques du 11 septembre. A ce moment-là, des
milliards, des dizaines de milliards de dollars se sont déversés pour
développer les armes biologiques, car l’idée était de combattre le terrorisme
islamique.
Fauci développa des armes de guerre biologiques, malgré les traités.
Tony Fauci a un budget de 6,1 milliards de dollars par an. En plus de cela, il
reçoit 1,6 milliard de l’armée.
Tony Fauci a financé un scientifique appelé Ralph S. Baric, à
l’Université de Caroline du Nord. Il a commencé à construire des laboratoires
de biosécurité, ce qu’ils appellent des laboratoires BSL, quatre laboratoires,
au plus haut niveau de biosécurité. Il a réouvert le laboratoire de Fort
Detrick et en a construit un nouveau là-bas. Il en a construit un à Galveston,
au Texas. La Chine a un de ces laboratoires. Il y en a une dizaine aux
États-Unis.
Mais, vers 2014, un tas d’accidents se sont produits dans ces
laboratoires, des microbes se sont échappés. Trois cents scientifiques ont
envoyé une pétition au président Obama le suppliant d’arrêter Tony Fauci et ses
expériences avant de causer une pandémie mondiale. Le président Obama a réagi
et a ordonné à Tony Fauci et au NIH d’arrêter les études sur le gain de fonction. Fauci a transféré ces études sur le gain de
fonctions à Wuhan.
3°)- Le
Covid-19, création sino-franco-américaine :
Que nous dit Israël Adam Shamir ? “Le virus mortel du Covid-19 a été
bricolé par des gâte-sauce chinois sous la direction des Américains. Les mains
étaient chinoises, mais la voix était celle de l'Oncle Sam. En clair, si les
Chinois ont modifié (gain de fonction) le coronavirus naturel, ils l'ont fait
sur l'ordre de leurs partenaires américains et selon leurs instructions. Il est
encore plus probable que la contribution chinoise ait été secondaire, car ils
ne possèdent pas le savoir-faire nécessaire pour modifier un virus. Qu'il
s'agisse d'une fuite accidentelle d'une arme biologique ou d'un déploiement
intentionnel de bioterrorisme (comme l'a exposé au grand jour Ron Unz),
dans les deux cas, les États-Unis sont le principal acteur de l'histoire”(sic).
Fauci dans la boîte de Pandore du virus à gain de
fonction – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/264559
Le CDC américain a déposé une
demande de brevet sur le SARS-CoV en 2004 ; il a été accordé en 2007. Ils ont
continué à modifier le virus pendant quelques années, en essayant de le rendre
plus infectieux et plus mortel. Après que la recherche sur le gain de fonction
a été interdite par le gouvernement américain en 2014, elle a été rapidement délocalisée au laboratoire de Wuhan.
La recherche a été discrètement poursuivie avec des subventions
américaines provenant (en partie) du célèbre Dr Fauci via le non moins célèbre
Peter Daszak et son EcoHealth Alliance, d'une subvention de 39 millions de
dollars du Pentagone. Laboratoires militaires de développement d’armes virales
de tuerie de masse – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/266370
La conclusion que le virus a été
fabriqué par des Chinois sous instructions américaines a également été validée
il y a plus d'un an, en avril 2020, par Tsarfat, un blogueur franco-juif,
qui a affirmé que Ralph S. Baric était l'homme qui a militarisé le virus en
2015, "et a décrit sans aucune inhibition comment il a
pris ce qui semble être une souche naturelle d'un virus de chauve-souris et a
modifié ses propriétés en ajoutant des souches de VIH (la protéine Spike en
question)"
L'institut de Wuhan, dit Glazyev, travaillait en étroite
collaboration avec un laboratoire américain plus avancé. Les scientifiques
chinois qui travaillaient à Wuhan avaient auparavant suivi une formation et
mené des recherches aux États-Unis. Les
États-Unis sont le seul pays au monde à disposer des compétences nécessaires
pour créer un tel virus.
Comme écrit Dick Ma : “Tu oublies l’implication de la France par le
biais de l’INSERM d’Yves Lévy et de sa femme Agnès Buzyn. Sans oublier aussi
toute la Hollandie, pour avoir donné accès aux technologies de labo P4 dans ces
cas là.
Et Gérard Luçon d’ajouter : “je ne comprends pas
pourquoi on cache le rôle de la France et notre présence forte à Wuhan. On a
créé ce laboratoire. On y a envoyé 50 chercheurs en 2017 pour une durée de 5
ans. Ils sont rentrés en avion fin janvier 2020. Et
l'institut Pasteur est mouillé jusqu'au cou dans tout ce qui est arrivé à Wuhan
! Il ne pouvait rien se passer dans le P4 de Wuhan à l'insu des français”. Résultats de recherche pour « laboratoire » –
Tout ce que nous vivons donc
aujourd’hui, et depuis le dernier trimestre de l’année 2019, relève donc du
Grand Mensonge. Et de la manipulation meurtrière des Peuples de la Planète,
afin de diminuer drastiquement le nombre d’êtres humains, en ligne droite du
rapport Kalergi. En particulier, la supposée “nécessité” de la vaccination
obligatoire, qui pre-existait au Covid-19, a été imposée comme incontournable
par des politiques (Bush, Cheney), ignorant tout de la virologie, lors des
exercices de simulation de “Dark Winter” de 2001.
Le rappel de l’histoire longue du Covid-19 donne pleinement raison aux
manifestants anti dictature vaccinale, présents par millions dans la rue (3,9
millions le 11 septembre 2021, chiffre du collectif Antipasssanitaire) depuis
le 17 juillet 2021. Notre colère est justifiée par le récit historique précis
de la politique faite au nom de la “santé” des américains de ces 40 dernières
années.
Par Brigitte Bouzonnie.
Un déclinaison presque parfaite exceptés quelques détails. Pour ce qui concerne la Chine elle possède le savoir-faire même si elle n'est pas effectivement responsable de cette dispersion.
RépondreSupprimerLE GOULAG c’est MAINTENANT - Introduction (1/17) - abbé Olivier Rioult
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=VtaNxSaKS_g
Dick Cheney a été secrétaire à la Défense de Bush père (H) jusqu'à sa défaite fin 1992.Il était Veep (Vice-Président) de Bush fils (W) de 2001 à 2009. Il n'a jamais été Directeur de Cabinet ou Secrétaire d'Etat (Aff. Etrangères) de W.
RépondreSupprimer(Pour modifier votre excellent article).
Vous avez raison.
SupprimerLuc MONTAGNER,lors d'un interview, avait précisé que l'institut pasteur était responsable/coupable du COVID.
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