Or, quelques heures avant la tenue de cette manifestation, le maire de Vichy, le LR Frédéric Aguilera, a pris un arrêté visant à interdire ce rassemblement et Madame la Préfète de l’Allier a fait de même, au nom de l’Etat, toutes affaires cessantes. « Ce rassemblement, mettant à l’honneur une personne qui minorait ou contestait les faits commis sous l’Occupation, notamment la persécution des juifs, constitue une atteinte au respect de la personne humaine et par là un trouble à l’ordre public ».
Le tombeau de Robert Faurisson à Vichy |
Se recueillir paisiblement sur le tombeau d’un défunt, à l’occasion de l’anniversaire de sa naissance (Robert Faurisson est né le 25 janvier 1929 à Shepperton et décédé à Vichy le 21 octobre 2018), puis remettre un Prix à un chercheur non conformiste dans un restaurant vichyssois est considéré comme un acte inqualifiable par leur République judéo-maçonnique. Voilà où en sont les libertés aujourd’hui dans notre malheureux pays. Et en effet, à notre arrivée en fin de matinée au cimetière de Vichy, nous attendaient trois voitures de police, deux à l’extérieur du cimetière, une troisième circulant à l’intérieur. Fort heureusement, comme nous sommes arrivés en ordre dispersé et en nombre limité, il n’y a pas eu d’attroupement et nous avons donc pu nous recueillir quelques minutes sur la tombe du Professeur.
Bien que le cimetière soit immense et compte de nombreuses allées, la pierre tombale est facilement reconnaissable car n’est gravé qu’un prénom, Robert, le nom patronymique n’apparaissant pas. A côté, sur la gauche, l’on peut voir le dessin d’une coccinelle. Robert Faurisson y tenait. Il aimait en effet particulièrement cet insecte dont la spécialité est de dévorer les larves. Or, toute sa vie, l’intrépide professeur a été confronté à la lâcheté humaine. Il en a connu maints exemples, en a éprouvé toute l’horreur, a détesté le côté visqueux, fourbe et couard de beaucoup d’âmes. Bien que très humain et compréhensif quant aux défauts et aux travers de l’humanité, sachant se montrer délicieux, généreux et fidèle en amitié envers tous ceux pour qui il avait de l’estime, étant accueillant et disponible pour tous ceux qui venaient le voir, Faurisson avait en horreur la lâcheté, surtout lorsque ceux qui en faisaient preuve se grimaient en hommes habiles, fiers et courageux, se mettaient en avant, plastronnaient, se haussaient du col, ne répugnaient pas à faire la leçon aux autres.
Prix international Robert Faurisson 2023 pour Germar Rudolf |
Cette année, pour sa cinquième édition, le Prix international Robert Faurisson a été décerné à Vichy à l’ingénieur allemand Germar Rudolf auquel on doit un Rapport d’expertise sur les « chambres à gaz d’Auschwitz » et beaucoup d’autres études pour lesquelles il a été condamné en Allemagne et emprisonné pendant près de trois [correct : quatre] ans de 2006 [correct : 2005] à 2009. Né à Limbourg en Allemagne le 29 octobre 1964, Germar Rudolf a étudié la chimie à l’université de Bonn de 1983 à 1989 et a préparé une thèse à l’Institut Max-Planck de recherche sur l’état solide à Stuttgart de 1990 à 1993. Il s’agit d’un institut de recherche extrêmement qualifié fondé en 1969 et qui se concentre sur l’étude des propriétés chimiques et physiques des solides. Il s’intéresse plus particulièrement aux matériaux complexes ainsi qu’à la physique et à la chimie à l’échelle nanométrique, et donc aux processus de transport des électrons et des ions. En 1991, Germar Rudolf a été contacté par des avocats pour préparer un rapport d’expertise qui serait présenté devant un tribunal allemand pour savoir si l’usage présumé de gaz pour le meurtre de masse de juifs pendant la Seconde Guerre mondiale au camp de concentration d’Auschwitz peut être scientifiquement prouvé ou réfuté. Le rapport qui a servi dans huit procès allemands et suisses a été publié pour la première fois en 1993. Une édition revue et complétée est actuellement disponible en allemand et en anglais sur le site www.HolocaustHandbooks.com. Par ailleurs, un livre plus complet qui a fait appel aux compétences d’ingénieurs et d’architectes est paru en 1994 [en anglais : Dissecting the Holocaust, vol. 1 des Holocaust Handbooks]. Pour son Rapport, Germar Rudolf a été condamné par la justice allemande à 14 mois de prison ferme. Pendant le procès, il n’a pas été autorisé à prouver que ses conclusions étaient justes et raisonnables. Essayer de démontrer devant un tribunal la justesse, le bien-fondé et la cohérence ce que l’on affirme dans ce domaine est interdit, voilà où en est la Justice aujourd’hui en Occident !
Voici les persécutions qu’a subies ce chercheur indépendant. Il est important de les rappeler pour se rendre compte de la gravité de la situation dans ce que l’on appelait autrefois le monde libre pour l’opposer au monde communiste. Avant qu’une injonction de se constituer prisonnier lui fût adressée, Germar Rudolf a quitté l’Allemagne au début de 1996 et a rejoint l’Angleterre, d’autant plus rapidement que d’autres de ses publications scientifiques avaient fait l’objet de poursuites judiciaires dans l’intervalle. Au Royaume-Uni, l’infatigable Rudolf a fondé une petite maison d’éditions appelée Castle Hill Publishers dont le sujet principal était de publier le résultat de ses recherches scientifiques. Las, les media et les politiciens britanniques ont finalement découvert ses activités et se sont livrés contre lui à une vraie chasse à l’homme fin 1999. Se sentant piégé, Rudolf est allé à l’ambassade iranienne à Londres pour demander l’asile politique. Mais on l’a poliment congédié, lui demandant de prendre un rendez-vous. C’est pourquoi, dans un acte désespéré, il s’est échappé aux États-Unis où il a demandé l’asile politique. Pendant que son dossier suivait son cours, il a redoublé d’efforts pour publier les résultats de sa recherche critique sur la Shoah. Il a ainsi lancé une série ambitieuse intitulée « les livres sur l’Holocauste » (www.HolocaustHandbooks.com).
SANS SUPRISE, ce travail n’a pas plu aux autorités américaines. En 2004, Rudolf s’est marié à une citoyenne américaine. Un an après cette union, il devait s’adresser aux officiers de l’immigration américains pour que son mariage fût pris en compte pour obtenir la résidence légale permanente aux États-Unis. Cependant, après avoir reconnu son mariage comme valide, il a été arrêté sous le prétexte qu’il avait manqué des interrogatoires au bureau de l’immigration plus tôt dans l’année, interrogatoires qui, en réalité, n’ont jamais existé. Il a été détenu pendant quatre semaines avec un bracelet indiquant comme cause de son incarcération « non délinquant », ce que même les gardiens de prison ne comprenaient pas. Comment un non-délinquant peut-il être en prison ?
A la fin de ces quatre semaines, après que tous les tribunaux américains eurent délibérément ignoré cette injustice, il a été menotté et déporté en Allemagne. Là, il a été arrêté directement à l’aéroport, tel un terroriste posant des bombes, et jeté en prison pour accomplir sa peine de prison de 14 mois qui datait de 1996. Et dans l’attente d’autres procès pour 21 livres qu’il avait publiés quand il était en Angleterre puis aux États-Unis, bien que cette activité éditoriale ait été et soit toujours parfaitement légale dans ces deux pays. Il a finalement été mis en examen en Allemagne pour 9 des 21 livres parmi lesquels les volumes 1 à 4, 7, 14 et 15 des Holocaust Handbooks. Pendant son procès, on a interdit à son avocate de dire un seul mot. Il existait alors une loi toute récente autorisant les tribunaux allemands à museler les avocats jugés provocateurs pendant des procès politiques. Rudolf et son avocate ont été menacés d’autres poursuites s’ils déposaient un dossier pour présenter les preuves qui allaient dans le sens des affirmations historiques pour lesquelles il était jugé. Rudolf a prononcé un discours à l’audience pendant sept journées pour défendre la liberté d’expression, la liberté de la recherche scientifique et l’obligation de résister sans violence aux lois qui violent la Constitution allemande. Devant la perspective d’un procès qui allait durer plusieurs années, en raison de son intention de présenter toutes les preuves citées dans ses livres, avec le risque d’être aussi poursuivi pour cela, l’accusation et la Cour ont accepté une négociation sur la durée de la peine si bien que Rudolf a été condamné à “seulement” 30 mois de prison. L’intention originelle des magistrats était de le maintenir en prison pendant plus de cinq ans !
PENDANT son incarcération en Allemagne, sa demande d’asile aux États-Unis continuait d’être étudiée mais elle a été refusée sous prétexte que Rudolf était poursuivi non pas pour ses opinions politiques mais seulement pour ses opinions scientifiques. Or, la charte des Nations Unies pour les droits de l’homme, qui est la loi qui gouverne les demandes d’asile outre-Atlantique, ne reconnaît pas expressément les opinions scientifiques comme un motif valable de persécution. Par conséquent, il ne pouvait pas prétendre être persécuté. Il a été finalement établi cependant que le refus par le gouvernement américain de lui donner le statut de résident permanent légal grâce à son mariage avec une citoyenne américaine était une violation de la loi américaine. Après sa sortie de prison en 2009, il a donc demandé un visa d’immigrant pour retrouver sa femme et sa fille aux États-Unis. Mais les officiers d’immigration américains ont alors refusé de statuer. Il a dû les poursuivre pour qu’ils rendissent une décision qui fût finalement positive. Il a réussi à immigrer aux États-Unis en 2011. Après avoir été relâché de la prison allemande en 2009, il s’est tout de suite réinstallé en Angleterre et il a repris les publications de textes de dissidents historiques. Cela a continué après son retour auprès de sa famille en 2011. Fin 2021, il avait publié 44 volumes des Holocaust Handbooks à la fois en anglais et en allemand, en plus de nombreux autres livres sur une ligne historique similaire. Six autres volumes, jusqu’au volume 50, ont été publiés.
La persécution contre Rudolf n’a cependant jamais cessé. En 2019, son passeport allemand qui venait d’expirer n’a pas été renouvelé. Par ailleurs, un officier de police américain a fait des allégations fausses sur ce que Rudolf est supposé avoir fait. Les États-Unis ont refusé sa demande de devenir citoyen américain. Ils ont révoqué son statut de résident légal et veulent le renvoyer en Allemagne où il risque plusieurs dizaines d’années de prison, chacune de ces publications révisionnistes pouvant lui valoir cinq ans de détention. Rudolf, âgé de 58 ans, a donc décidé, avant d’être incarcéré et déporté, d’entrer en clandestinité. Il est quelque part dans la nature aux États-Unis dans une grande précarité, dans une réelle vulnérabilité. Il demande aux rares pays qui pourraient lui accorder l’asile politique d’écrire à son contact Lady Renouf au Royaume-Uni. [svp, contactez CODOH si vous voulez aider]
Voilà comment l’on traite en Occident, même dans des pays où il n’y a pas d’arsenal législatif antirévisionniste les militants et chercheurs non conformistes, non soumis à l’idéologie dominante. Il est bon de le savoir et de le faire savoir.
Publié le 05/02/2023
Par Bis Repetita
Les khazars ashkénazes, non sémites, ont fabriqué une illusion de démocratie en occident, uniquement à leur service. Il va sans dire que tout discours opposé à leur parodie de démocratie est sanctionné. Soljenitsyne s'en est très vite rendu compte. Vouloir détruire leur mythe fondateur et d'asservissement des goyims peut coûter cher.
RépondreSupprimerIl serait judicieux de parler du contrat de transfert, vers Israël, des juifs allemands, futurs colons, entre Hitler et les sionistes juifs. Ces colons juifs ont débarqué en Palestine avec des pièces de monnaie frappées avec la croix gammée et l'étoile dite juive sur l'autre face. L'entente entre Hitler et les sionistes juifs aurait abouti à la persécution des juifs ? ...
RépondreSupprimerNe pas être en accord en occident avec la caste dominante, peut coûter cher.
RépondreSupprimerBonjour peut-on trouver ces livres en français
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