Irlande : 10 Holocaustes et leurs origines britanniques et proto-sionistes

Le premier indice du mouvement British-Israël et du proto-sionisme est venu pendant le régime Tudor des années 1500, lorsque John Dee a inventé l'idée que le mot "britannique" devrait vraiment être compris comme signifiant "Homme de l'Alliance", basé sur "B « RITH » (hébreu pour alliance) et « ISH » (ancien hébreu pour homme). John Dee et Francis Bacon ont tous deux accordé une faveur particulière au terme “British”, tous deux préférant largement le terme “British”, au terme “English”, malgré le fait que la Grande-Bretagne n'a atteint une véritable «unité» que bien plus tard, en 1707.

Essentiellement, le mouvement British-Israël et le proto-sionisme ont commencé dans les années 1500, puis se sont transformés en mythologies adoptées par la franc-maçonnerie et le projet franc-maçonnique britannique appelé sionisme, dont l'objectif principal est d'installer l'Antéchrist à Jérusalem tout en utilisant les Juifs comme un bouclier humain et comme "carte de victime", afin qu'ils puissent améliorer leurs chances d'atteindre leurs objectifs.

Note introductive.  Ce que nous appelons aujourd'hui l'Empire anglo-sioniste a pris naissance dès les années 1500, avec la coalition des juifs, des francs-maçons et des Anglais, initialement dirigée contre les catholiques irlandais. Les anglo-sionistes se sont "fait la main" en génocidant à plusieurs reprises les Irlandais qui étaient, à  l'époque, loin des grands pays catholiques capables de les défendre. Depuis cette date, les Anglo-sionistes ont perpétré des dizaines de génocides sur notre planète. Après la seconde guerre mondiale,  les immigrés anglais en Amérique ont pris la relève des leurs ancêtres pour continuer la même guerre implacable contre les Goyim en général, et contre la chrétienté en particulier. Maintenant que les catholiques occidentaux sont soumis, cette guerre est focalisée en priorité contre les chrétiens d'Orient, qu'ils soient catholiques ou orthodoxes. 

Cet article est essentiel pour comprendre comment et pourquoi les juifs et les anglo-saxons sont comme "cul et chemise" depuis plus de cinq siècles.
Hannibal
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Parmi les écrivains notables qui ont épousé la mythologie British-Israël figuraient John Sadler, Edward Hine et des prédicateurs des religions de la Réforme, tous confortablement financés par la maison sioniste de Rothschild.

En 1649, John Sadler publie son livre "Les droits du royaume", dans lequel il trace des ressemblances entre les lois et coutumes hébraïques et anglaises. Il a faussement dérivé le nom de Britain de "Berat Anak", qui signifie champ d'étain et de plomb, et il a faussement affirmé que les "commerçants phéniciens" avaient utilisé "Berat Anak" pour Britain.

Pourquoi les sionistes ont choisi le nom « Israël » au lieu de Judée

En fait, les Juifs n'étaient que deux tribus (Juda et Benjamin) qui étaient séparées des Dix Tribus du Nord. Dès lors, l'État sioniste aurait vraiment dû s'appeler « Judée ». Au lieu de Judée, les sionistes ont choisi le nom « Israël » afin de revendiquer plus de territoire . Les sionistes ont également choisi le nom « Israël » parce que le proto-sionisme et le mouvement British-Israël (British-Israël ) ont commencé à coopter le nom « Israël » pour désigner uniquement les British (Britanniques), et ont commencé à forger sa mythologie dans les années 1500, d'où le nom « Israël » est devenu plus répandu ou omniprésent.

Les premiers sionistes «chrétiens» et les partisans proto- British-Israël se sont appelés «puritains» et ils comprenaient Oliver Cromwell et ses proches conseillers, tels que John Dury, John Sadler et Hugh Peter, qui étaient tous entrés en contact avec des juifs des Bas Pays dont le principal financier de Cromwell, Menasseh ben Israël d'Amsterdam. Ces sionistes « chrétiens » d'Angleterre prônaient le génocide des catholiques et la réinstallation des juifs en Angleterre (qui avait été interdite depuis l'édit d'expulsion de 1290). Dans sa brochure de 1649 « Les droits du royaume », John Sadler a inventé les concepts sur lesquels la mythologie non scientifique du mouvement British-Israël a ensuite été fondée. Il a fait l'affirmation totalement ridicule que les Anglais, les Écossais et les Gallois étaient "apparentés" aux Juifs et devraient donc s'engager dans le favoritisme envers leurs "parents", ou leurs "compatriotes Israélites", bien qu'il n'y ait jamais eu la moindre preuve que l'anglais, l'écossais ou le gallois étaient même de loin apparentés aux juifs.

En 1871, le promoteur du British-Israël,  Edward Hine, a écrit le MANUEL DOCTRINAL CLÉ du mouvement British-Israël sous la forme de son livre "La nation britannique identifiée avec l’Israël perdu". Ce manuel doctrinal clé a été transmis à l'ensemble de l'establishment supérieur de l'Empire britannique mondial et des États-Unis, y compris les marionnettistes du parlement et du congrès, les pasteurs des églises alliées, en particulier l'Église anglicane et ses associés les plus proches, et à des milliers de loges talmudiques-francs-maçonniques à travers le monde entier. Ainsi, la mythologie British-Israël distordue et déformée a été consommée, suivie et mise en pratique par l'ensemble du réseau mondial très puissant, ou mafia, dirigé par le monarque anglais comme étant le  "Capo di Tutti Capi".

VICTORIA ET LES « CANAANITES IRLANDAIS »

Bien que les Irlandais soient des Européens celto-germaniques n'ayant aucun lien sémitique, les Britanniques les considéraient néanmoins comme des "Canaanites", ce qui était vraiment le cas le plus monstrueux et le plus brutal d'IDENTITÉ ERRONÉE de toute l'histoire.

Au milieu des années 1800, le mouvement British-Israël avait tellement infiltré et infesté l'Église anglicane que le cardinal John Henry Newman (1801-1890) s'est senti obligé d'abandonner complètement l'Église d'Angleterre pour le catholicisme en 1845. Il a confirmé plus tard qu'il avait quitté l'anglicanisme parce qu'il voyait "un danger très réel que le mouvement British-Israël prenne le contrôle de l'Église d'Angleterre", et il a eu raison. Newman a aidé à fonder l'Université catholique d'Irlande en 1854, qui est devenue plus tard l'Université fédérale ou collégiale nationale d'Irlande.

Dans l'Holocauste irlandais de 1845-1852, le régime britannique a génocidé plus de 5 millions de catholiques irlandais tandis que l'Irlande fertile était pillée de toute sa nourriture suffisante pour nourrir 20 millions de personnes par an. La Grande-Bretagne a imputé ce génocide prémédité à un faux « fléau de la pomme de terre ». Il s'agissait de la troisième réduction de moitié de la population irlandaise depuis le début de la "Sainte" Réforme des années 1500. La philosophie British-Israël a joué un rôle clé à cet égard, car elle était devenue une doctrine fondamentale de l'establishment britannique, de la franc-maçonnerie britannique, et plus particulièrement, et honteusement, de l'Église anglicane. Surtout à l'époque victorienne, les écrits des principaux partisans britanniques d'Israël citaient les Écritures pour "justifier" théologiquement l'expulsion et le génocide des Irlandais parce que c'était la "volonté de Dieu" et le devoir "divin" d'"Israël", c'est-à-dire la Grande-Bretagne. .

Dans son livre de 1871 "The British Nation Identified with Lost Israël" (La nation britannique identifiée à Israël perdu ; manuel doctrinal du BI (British-Israël)), Edward Hine a défini "l'IDENTITÉ" comme la méthode pour trouver quelles âmes devraient être considérées dans son irréligion comme de "bons" "Israélites" ou initiés, et quelles âmes devaient à l'inverse être considérées dans leur irréligion comme des "cananéens" ou des étrangers "tuables", dont les Écritures déclaraient "clairement" qu'il était de leur "devoir" de les génocider. [1]

Edward Hine a donné la position de l'IDENTITÉ British-Israël selon laquelle les Irlandais étaient des "cananéens" ou des étrangers "tuables", déclarant : "L'IDENTITÉ déclare que les habitants du sud de l'Irlande sont des descendants des Cananéens, qui parlaient la langue phénicienne, ayant un alphabet de seize lettres. La langue irlandaise est identique au phénicien, contenant les véritables seize lettres. Eux-mêmes se vantent de cette descendance. Il existe de nombreuses preuves ethnologiques qu'ils sont ainsi les descendants des Phéniciens. Eux, et eux seuls, sont « des épines dans nos flancs », comme en témoignent le fenianisme, le Home-Ruleism, les Processions du Parti, Manchester et Clerkenwell [attentat fenian du 13 décembre 1867] ».

Mais, dans cette dernière affirmation, les affirmations de l'ignorant Hine étaient toutes fausses, étant donné que la langue phénicienne [2] est une langue sémitique éteinte, alors que le gaélique irlandais est une langue celto-germanique apparentée à l'allemand et au latin. Le gaélique « obair » est apparenté à l'allemand « Arbeit » et au latin « opus », et ce n'est qu'un exemple parmi des milliers. De plus, le gaélique compte plus de 30 lettres. Outre les 26 lettres de l'alphabet latin, les polices de caractères gaéliques doivent inclure toutes les voyelles avec des accents aigus ainsi qu'un ensemble de consonnes avec un point au-dessus pour indiquer un H implicite après lesdites consonnes, plus le signe tironien pour signifier "ET". Par conséquent, "l'alphabet de seize lettres" de Hine n'est pas seulement une grave erreur, mais une affirmation dangereuse compte tenu des implications génocidaires et des intentions de tous ses mensonges.

En utilisant la mythologie British-Israël , Edward Hine a ensuite fait la fausse affirmation suivante à propos de l'Irlande antique :

« On sait que l'Irlande était alors très peuplée de Cananéens, descendants de ceux qui avaient fui devant les Israélites lorsqu'ils prirent possession du Pays de Canaan. Il existe également des preuves que la tribu de Dan a fui par la mer ses ravisseurs et a colonisé l'Ulster en Irlande et au Danemark ; et aussi que c'est dans l'un de leurs navires, 130 ans plus tard, que le prophète, la princesse et la pierre [signifiant Jérémie, Tea Tephi et la pierre de Jacob] ont été amenés en Irlande, lorsque le navire a été conduit à terre dans le lac d'Ulster ».

N'importe quel imbécile peut voir que, tout comme «l'union» entre l'Angleterre et l'Écosse était forgée par les partisans proto-British-Israël dans les années 1500, cette dernière citation montre que «l'identité» «écossaise-irlandaise» et la partition de l'Irlande étaient déjà inventés par British-Israël en 1871. Dans cette mythologie, les "cananéens méchants et idolâtres" étaient le peuple originel de l'Irlande mais la "tribu héroïque de Dan" est arrivée pour coloniser UNIQUEMENT l'ULSTER (une affirmation illogique) afin que le nord-est de L'Irlande soit "destiné" à être habité par de "bons Israélites" tandis que le reste de l'Irlande était laissé aux "Cananéens idolâtres". Ainsi, British-Israël a appliqué le terme négatif « Cananéen » à la majorité catholique, et qui est donc « méchante et idolâtre », au sud et à l'ouest, tandis qu'il a appliqué au nord-est les termes positifs « Tribu de Dan » et « Israël » à la majorité protestante, et qui est donc "bonne et loyale". Le fait que « Scotus » était l'ancien mot romain et latin pour Irlandais prouve que « l'identité » “Scots-Irish” ( écossaise-irlandaise ) est inventée et fausse parce que, jusqu'aux années 1100, les Écossais et les Irlandais étaient essentiellement un seul et même peuple qui parlait la même langue gaélique. Ainsi, le British-Israël et la franc-maçonnerie concevaient une nouvelle frontière pour leur propre convenance. Mais c'est la force de la mythologie British-Israël qui augure que la réunification irlandaise ne se produira peut-être JAMAIS.

Edward Hine a également fait une autre fausse déclaration : « Les Irlandais se vantent d'être, et l'histoire prouve qu'ils sont, les descendants des Cananéens ; et vraiment eux seuls sont des épines dans nos côtés ». Mais, en fait, aucun homme ou aucune femme irlandaise n'a jamais été connu pour "se vanter" que les Irlandais avaient un lien quelconque avec Canaan ou le Levant. Les lois pénales britanniques interdisaient à tous les catholiques irlandais d'être éduqués, mais les Irlandais qui savaient lire savaient bien que le gaélique irlandais est lié à l'allemand et au latin et non à n'importe quelle langue sémitique du Levant, comme par exemple le phénicien.

Nombres 33:55 ordonne à Josué qu'il doit expulser et génocider les Cananéens: "Mais si vous ne chassez pas les habitants du pays devant vous, alors il arrivera que ceux que vous laissez rester seront des irritants dans vos yeux et des ÉPINES DANS VOS CÔTÉS et ils vous harcèleront dans le pays où vous habitez ».

Deutéronome 12:3 donne d'autres instructions de ce genre : « Et tu détruiras leurs autels, briseras leurs colonnes sacrées et brûleras au feu leurs images de bois ; tu abattras les images sculptées de leurs dieux et tu détruiras leurs noms de ce lieu ».

Juges 2:3 a donné d'autres instructions de ce genre : “ C'est pourquoi j'ai aussi dit : ' Je ne les chasserai pas devant toi ; mais ils seront des épines à ton côté et leurs dieux te seront un piège ”.

Nombres 33:52 donnaient d'autres instructions de ce type : "Alors tu chasseras devant toi tous les habitants du pays, tu détruiras toutes leurs pierres gravées, tu détruiras toutes leurs images moulées et tu démoliras tous leurs hauts lieux".

Deutéronome 20 : 16-18 donne d’autres instructions de ce genre : « Mais des villes de ces peuples que l’Éternel, ton Dieu, te donne en héritage, tu ne laisseras vivre aucun de ceux qui respirent, mais tu les détruiras entièrement : le HITTITE et l’Amorite et le CANAANITE et le Perizzite et le Hivite et le Jebusite, comme l'Eternel, votre Dieu, vous l'a commandé, de peur qu'ils ne vous apprennent à faire selon toutes leurs abominations qu'ils ont commises pour leurs dieux, et que vous ne péchiez contre l'Eternel, votre Dieu".

Deutéronome 7:2 donne d'autres instructions de ce genre : « et quand l'Éternel, ton Dieu, te les livrera, tu les vaincras et les détruiras complètement. Tu ne feras aucune alliance avec eux et tu ne leur feras pas miséricorde ».

Deutéronome 7:5-6 donne d'autres instructions de ce genre : « Mais tu agiras ainsi à leur égard : tu détruiras leurs autels, tu démoliras leurs colonnes sacrées, tu abattras leurs images de bois et tu brûleras au feu leurs images sculptées. Car tu es un peuple saint pour l'Éternel, ton Dieu; le Seigneur ton Dieu t'a choisi pour être un peuple à lui, un trésor spécial au-dessus de tous les peuples de la face de la terre ».

Deutéronome 7:16 donne d'autres instructions de ce genre : « Tu détruiras aussi tous les peuples que l'Éternel, ton Dieu, te livre ; ton oeil n'aura pas pitié d'eux; et tu ne serviras pas leurs dieux, car ce sera un piège pour toi ».

Deutéronome 20:16 a donné d'autres instructions de ce type: "Mais des villes de ces peuples que l'Éternel, ton Dieu, te donne en héritage, tu ne laisseras rien qui respire rester en vie".

L'Église anglicane a réussi à militariser tous ces versets après qu'Henri VIII a pris le pouvoir en 1509, à une époque qui a coïncidé avec la création originale du proto-sionisme et de British-Israël . Le résultat fut que les Anglais utilisèrent tous ces derniers versets pour « justifier » le meurtre des Irlandais dans les Dix Holocaustes Irlandais, neuf d'entre eux après le lancement de la « Sainte » Réforme.

Dans l'Ancien Testament, les Israélites ont reçu l'ordre de Dieu de tuer chaque homme, femme et enfant des nations voisines. Par conséquent, l'entrée dans la « terre promise » était vraiment caractérisée par un génocide de masse par le biais de multiples guerres « saintes », tandis que ceux qui commettaient des meurtres gratuits étaient rassurés par les Écritures qu'ils étaient le « trésor spécial au-dessus de tous les peuples face à la Terre".

Aujourd'hui, British-Israël considère toujours le catholicisme comme une forme d'«idolâtrie», tout comme le judaïsme et ses «lois» noahides que Maïmonide a inventées dans les années 1100, considèrent tout le christianisme comme une forme d'«idolâtrie». C'était la véritable cause des dix holocaustes irlandais. Cromwell a été très « minutieux » dans sa lecture de Nombres 33:52, parce qu'il l'a pris comme un ordre de détruire tous les symboles, saints et reliques catholiques, et d'exhorter ses soldats à faire « l'œuvre de Dieu » en pillant et en détruisant les églises catholiques, monastères et couvents.

De plus, Juges 2:2 dit qu'Israël ne doit PAS faire d'ACCORD avec les Cananéens, qu'il est ordonné de simplement détruire : « Et vous ne ferez aucune alliance avec les habitants de ce pays ; tu démoliras leurs autels ». Mais vous n'avez pas obéi à ma voix. Pourquoi avez-vous fait cela ? ».

Sur la base de ce dernier verset, Juges 2:2, Edward Hine a sévèrement critiqué la Grande-Bretagne pour avoir accordé « méchamment » certains droits fondamentaux aux Irlandais en 1829, lorsqu'il a écrit : « Nos Pères ont soulevé le timide plaidoyer de la tolérance religieuse, qui est le cri équivalent de " l'émancipation catholique ", alors qu'une telle méchanceté ne nous était pas demandée et que Dieu nous dit encore, je vous ai dit " de renverser leurs autels, mais vous n'avez pas obéi à ma voix ; pourquoi avez-vous fait cela ?' ».

Edward Hine s'est réjoui de l'Holocauste irlandais de 1853-1911, qui était toujours en cours alors qu'il écrivait son tome de 1871, alors même que la population irlandaise était à nouveau réduite de moitié, pour la quatrième fois depuis 1500, à 4,4 millions, principalement par l'émigration, mais en partie par génocide. Dans ce contexte, Hine a explosé avec jubilation :

"Ces Cananéens irlandais sont pour nous EN TANT QU'ABORIGÈNES doivent suivre LE PROCESSUS DE « MORT ». C'est une opération positive, comme l'a montré notre dernier recensement, en tenant compte équitablement « des épines » qui ont émigré et qui vont piquer les pieds de nos frères au-delà de nos mers; …le recensement de 1871 constate une diminution de leur nombre, au sens de "MORTS", de près d'un demi-million d'âmes ».

Edward Hine a également mis en garde les États-Unis, surnommés "Manassé" par British-Israël, l'incitant à maltraiter les Irlandais, et à ne leur accorder aucun droit : "Quelle magnifique leçon cette IDENTITÉ devrait-elle transmettre à la nation américaine, qui souffre que ces Cananéens [les Irlandais] prennent l'aune pour le pouce qui leur est donné. Manassé, Dieu les a conçus pour vous troubler, mais jamais pour vous maîtriser. Soyez ferme dans votre devoir. Nous suggérons docilement [aux Américains] la sagesse de gérer leurs propres affaires sans permettre aucune ingérence indue de la part des Cananéens, et pensons qu'il est d'autant plus nécessaire de l'offrir d'après ce que nous avons observé qui est arrivé à Manassé ».

De plus, parce que ce manuel doctrinal clé de British-Israël a transmis les avertissements de Hine aux hauts gradés des États-Unis, de Californie, d'Australie, de Nouvelle-Zélande, de ZA, et notamment aux églises mondiales de la mafia franc-maçonnique et de la Réforme, les exhortant à ne montrer aux "cananéens irlandais idolâtres". aucune pitié, cela rendait pratiquement CERTAIN qu'il faudrait au moins trois générations (au lieu d'une ou deux pour les catholiques allemands) pour que les immigrants irlandais-catholiques obtiennent des droits fondamentaux tels que des emplois convenables pour des salaires équitables ou un logement convenable. En bref, bien que les « Cananéens irlandais » aient échappé au génocide par British-Israël en Irlande, ces évadés étaient condamnés à rester esclaves de la politique British-Israël dans leurs ports d'entrée pendant plusieurs décennies. Et ainsi, aux États-Unis, il faudrait 80 ans de plus aux « Cananéens irlandais », comme Joseph Patrick Kennedy, ou Thomas Mellon.

Ainsi, uniquement sur la base de l'un des pires cas d'IDENTITÉ ERRONÉE de l'histoire de l'humanité, les Irlandais celto-germaniques ont non seulement vu leur nombre en Irlande divisé par quatre et ont subi dix Holocaustes, mais ils ont ensuite été forcés d'errer sur la Terre, ne gagnant aucune acceptation rapide ni aucun port d'escale qui les accepte. Et cela doit sûrement être considéré comme le crime le plus énorme qui était entièrement basé sur le dégoût THÉOLOGIQUE le plus dément et le plus oppressant de toute l'histoire humaine. [et les Palestiniens ?]

De nombreux Irlandais pourraient dire que personne ne peut jamais vraiment se remettre des effets de tant de siècles de massacres, de dépossessions et de déplacements, et ils pourraient dire que tout cela est dû à un petit problème appelé "épi-génétique". Mais personne ne le sait vraiment.

Ces conseils de « sans pitié » donnés par British-Israël aux «frères» d'Amérique expliquent également pourquoi le sentiment anti-irlandais est parfois venu de quartiers «inattendus» comme le catholique Jimmy Hoffa, qui était d'ascendance germano-irlandaise, mais était surtout un franc-maçon British-Israël égaré.

Edward Hine a également expliqué pourquoi les « Cananéens irlandais idolâtres » étaient la « preuve » que British-Israël était « justifié » dans son affirmation selon laquelle les Britanniques (et leurs colonies) constituaient « Israël », avec certitude, là où Éphraïm, fils de Joseph, représentait la Grande-Bretagne, où Éphraïm, fils de Joseph, représentait la Grande-Bretagne, et Manassé, fils de Joseph, représentait l'Amérique. Hine a donné cette «preuve» avec l'affirmation ridicule suivante: «Et sûrement aucun peuple sur toute la Terre ne donne autant de vitalité à cette description que ces Cananéens irlandais le font pour nous. Vraiment, sont-ils « des épines dans nos côtés », mais pas seulement des épines pour nous, Israël. Ils sont aussi des épines pour nos frères en Amérique, des épines en Australie, des épines au Canada, des épines en Nouvelle-Zélande – partout pour nous. Mais ce ne sont pas des épines pour les Français, ni pour les Prussiens, ni pour les Chinois, ni pour le Danemark, la Suède, la Hollande et l'Allemagne. Donc, encore une fois, ces derniers ne peuvent pas être des parties d'Israël ».

Dans cette citation folle, Edward Hine déclarait effectivement que PARCE QUE les "Cananéens irlandais" n'étaient pas une "épine dans le pied" de la France, de l'Allemagne, des Pays-Bas, du Danemark, de la Suède, cela "vérifiait" donc que ces nations ne faisaient pas partie d" Israël », et il a en outre « confirmé » que le terme « Israël » ne pouvait s'appliquer qu'à la notion entièrement suprémaciste encore familière en Amérique du Nord aujourd'hui comme « WASP » ou « protestants blancs d'origine britannique », par laquelle les initiés de BI (British-Israël) signifient vraiment « Israélite ”. C'était une politique raciste officielle pour la Grande-Bretagne sioniste et l'Empire britannique sioniste, et cela ressemblait beaucoup à "vous êtes selon qui vous tuez".

Plus tard, lorsque les services de renseignement britanniques, Tavistock, et son prédécesseur (vaguement appelé "Wellington House") ont écrit MEIN KAMPF (et l'original était très probablement écrit en anglais), tout en l'attribuant à leur agent sioniste Adolf Hitler, ils ont réutilisé de nombreuses notions suprémacistes de British-Israël et les ont réappliquées à l'Allemagne, qui a été fermement ciblée pour un énorme génocide par l'Alliance sioniste Londres-NY après avoir été forcée sous la contrainte de signer l'injuste traité de Versailles le 28 juin 1919 afin de mettre fin au blocus de la marine britannique qui avait, en juin 1919, génocidé plus d'un million de civils allemands à cause de la famine. Par conséquent, il est clair sans aucun doute à quel point British-Israël était l'une des sources principales qui se sont déversées directement, comme un égout à ciel ouvert, dans l'idéologie nazie.

Edward Hine a en outre expliqué que la Grande-Bretagne (en tant qu'"Israël" dérivé des dix tribus) avait le "devoir divin" de tuer les Irlandais : "Ce n'est pas de la tolérance envers une imposture fausse et méchante, mais nous sommes appelés à faire le même travail que nos pères [les anciens Israélites] ont été appelés à faire ».

CROMWELL ET LES « CANAANITES IRLANDAIS »

L'aube de British-Israël était dans les années 1500, il n'est donc pas surprenant qu'au milieu des années 1600, les "puritains" Oliver Cromwell et John Stadler étaient déjà de solides proto-sionistes ayant des plans British-Israël complètement fous.

En 1649, Oliver Cromwell a navigué pour Dublin avec une flotte de 35 navires. À la fin de sa « sainte » campagne, plus de 40 % des Irlandais étaient morts et 15 % supplémentaires avaient été vendus comme esclaves aux Amériques. Un peu plus d'une décennie plus tard, la propriété foncière des catholiques irlandais était passée de 60 à 20 %. Il s'agissait également de la deuxième réduction de moitié de la population irlandaise, d'environ 1,8 million, depuis le début de la "Sainte" Réforme. Cromwell a choisi de qualifier cet Holocauste irlandais de "grand service", et il a absous tous les auteurs car "ils méritaient l'impunité et la disculpation". Cromwell a déclaré: "Il y a de grandes occasions dans lesquelles certains hommes sont appelés à de grands services dans l'accomplissement desquels ils sont dispensés de la règle commune de la moralité".

Cromwell a emmené ses soldats en Irlande pour tuer des catholiques. Les forces anglaises étaient une MACHINE DE MORT. L'auteur irlandais Seumas MacManus a raconté : "Les 17.000 membres de l'armée puritaine… étaient des hommes extraordinaires ; ses Ironsides (fers à repasser); Des soldats de Dieu lisant la Bible, chantant des psaumes, audacieux, farouchement fanatiques, haïssant les papistes, regardant cette terre comme leur étant assignée, eux le peuple élu, par leur Dieu ; et considérant les habitants comme des Cananéens adorateurs d'idoles qui ont été maudits par Dieu et devaient être extirpés par l'épée. Ils sont venus avec des esprits enflammés ".

Tout d'abord, ces guerriers "saints" ont capturé Drogheda, et Cromwell a ordonné l'exécution des catholiques qui se sont rendus et de leurs prêtres, l'appelant "un juste jugement de Dieu sur ces misérables barbares". Puis le même traitement fut infligé ville après ville, puis la ville suivante, jusqu'à ce que toute résistance catholique fût anéantie. Les catholiques ont été parqués dans des granges qui ont été incendiées puis poussés par-dessus des falaises. Des femmes, des enfants et des prêtres ont été massacrés. Plus tard, l'essayiste britannique Thomas Carlyle a loué et s'est délecté de ce génocide, tonnant : "Oliver Cromwell est venu comme un soldat de Dieu le Juste, terrible comme la mort, implacable comme le destin, accomplissant les jugements de Dieu sur les ennemis de Dieu".

Lorsque le "puritain" Cromwell est arrivé à Dublin, il s'est adressé à ses soldats et a déclaré que les Anglais [les "Israélites" bibliques modernes dans l'irréligion de Cromwell] ne devaient montrer AUCUNE PITIÉ envers les Irlandais [les "Canaanites" et les "idolâtres" bibliques modernes dans l'irréligion de Cromwell] , et qu'ils devaient traiter les Irlandais comme Josué avait traité les Cananéens. Cromwell a "justifié" son génocide des Irlandais en se référant sans vergogne au Livre des Nombres 33:55 (cité ci-dessus). Il est bien connu que Cromwell a abusé des Écritures pour motiver ses troupes dans leurs « saintes » missions de pillage et de génocide à travers l'Irlande et l'Angleterre, pour les causes de la « Sainte » Réforme.

Bien que les Irlandais soient des Européens celto-germaniques n'ayant aucun lien sémitique, Cromwell les considérait néanmoins comme des "Canaanites", ce qui était vraiment le cas le plus monstrueux et le plus brutal D’ERREUR D'IDENTITÉ de toute l'histoire.

Un aspect qui est inconnu des Européens continentaux est que, dans la guerre de Trente Ans, les deux camps étaient à peu près à égalité. Cela signifiait que, sur le continent, aucun des deux camps de la guerre de Trente Ans n'a été aussi massacré que les catholiques en Irlande. Cet aspect est complètement oublié.

Dans les années 1600, le poète anglais John Milton a également dénoncé les évêques catholiques comme "les Cananéens et les Philistins de ce royaume" et a fustigé les "rebelles" irlandais comme "sexuellement pollués".

La Pâques piémontaise d'avril 1655 était un signe de la façon dont tant d'histoires britanniques étaient vraiment un sketch de Monty Python, et le monde entier un asile de fou absolu. Les protestants italiens ont été expulsés du Piémont mais ont refusé de partir, ce qui a incité le duc Charles Emmanuel II de Savoie à massacrer environ 5.000 d'entre eux. Après la Pâque piémontaise, le poète John Milton écrivit un sonnet hautement moralisateur qui commençait par «Venge, Seigneur, tes saints massacrés, dont les os gisent éparpillés sur les froides montagnes alpines», tandis qu'Oliver Cromwell menaçait le duché de Savoie d'une « intervention militaire ».

Ensemble, Cromwell et Milton n’ont montré AUCUNE "juste indignation" pour les 600.000 catholiques que Cromwell venait de massacrer, mais ils ont fait du tapage et menacé d'attaquer plus de 5.000 protestants italiens qui avaient reçu un avertissement équitable. C'est l'un des plus anciens croquis de Monty Python connus dans British politics. Et la « justice » britannique s'est assurée que les « cananéens irlandais idolâtres » n'avaient même aucun espoir d'être reconnus comme des « saints massacrés ». Pas question, jamais ; car le monde est un asile de fous.

Le seul "problème" que ces hommes aveugles ont vu était les 5.000 Italiens protestants, mais ils n’ont jamais vu 120 fois plus de "misérables cananéens" que Cromwell venait de massacrer lors de sa "sainte" campagne en Irlande.

Oliver Cromwell a également revendiqué pour lui-même le "zèle de Phinehas" (Nombres 25: 6-15) en accomplissant "son devoir divin de garder Israël propre". Et Cromwell a utilisé le terme "cananéen" pour désigner tous les catholiques "idolâtres", même Charles Ier, qui s'est converti au catholicisme avant sa mort, et Jacques II (le frère de Charles Ier) qui était ouvertement catholique. Cromwell a également souligné que l'exécution de Charles Ier avait été vitale, car il était "comme un roi cananéen de l'Ancien Testament dont le sang devait être versé pour sauver de nouvelles effusions de sang".

ELIZABETH I ET LES "CANAANITES IRLANDAIS"

Pendant son règne, une mythologie dédiée a été créée pour faire d'Elizabeth I la biblique Deborah, la juge ou le chef militaire, et la restauratrice de l'Israël pré-monarchique, et la «tueuse vertueuse» des «cananéens idolâtres». Les termes militarisés « Cananéens » et, moins fréquemment, « Hittites » ont été utilisés pour désigner des étrangers « tuables » dont la terre devait être volée à la demande de Dieu. Bien plus que dans d'autres régions de la Réforme comme le nord de l'Allemagne, le nord des Pays-Bas, la Scandinavie ou la Suisse, la « Sainte » Réforme en Angleterre a été une opération de pillage, de génocide et de déportation bien plus importante que ne l'auraient fait les livres officiels de « vérité » « d'histoire » que l’on prend pour argent comptant. De nombreux catholiques anglais et gallois, en particulier les plus pauvres, viennent d'être kidnappés pour être expédiés vers la colonie catholique du Maryland.

La Bible de Genève a été publiée en anglais en 1560, sous le règne d'Elizabeth I, et c'était la principale Bible utilisée par le "puritain" Cromwell. La Bible de Genève a célébré la décision d'Elizabeth de restaurer le protestantisme en Angleterre, avec Elizabeth dans le rôle de Deborah, qui dans la Bible a ordonné à Barak de détruire les Cananéens. Avec Elizabeth I comparée à Deborah, il va sans dire que le «roi Jabin de Hazor» représentait le pape, tandis que les «cananéens» représentaient l'ensemble du clergé catholique «idolâtre» et l'ensemble des laïcs catholiques «idolâtres».

Dans l'Holocauste irlandais de 1558-1603, le régime Tudor a commis des massacres prémédités à Munster (pour sa Plantation), Leinster, Ulster, Connaught, et ces massacres ont été suivis de graves famines et épidémies. Il s'agissait de la première réduction de moitié de la population irlandaise, d'environ 1,5 million, et de la toute première visite de la toute jeune "Sainte" Réforme en Irlande. William James MacNeven résume ainsi cet Holocauste irlandais : « Le peuple irlandais avait été diminué de près d'une moitié… les chefs avaient été réduits à la mendicité, le clergé avait été éteint, le peuple massacré, leurs villes détruites, leurs châteaux rasés ». Le poète Edmund Spenser a ajouté que toute vie avait été effacée de la majeure partie de Munster.

Un monument à Elizabeth dans l'église de All Hallows the Great, à Dowgate-Londres, énumérait les versets bibliques qui célébraient la façon dont la « Deborah anglaise » avait génocidé les catholiques « idolâtres », tout comme la biblique Deborah avait génocidé les « idolâtres » cananéens. Il a utilisé ces versets militarisés pour "justifier" le génocide des catholiques, le pillage et le sac de leurs biens, et leur déportation comme esclaves, avec de nombreux esclaves irlandais vendus aux Caraïbes et au Levant, mais aussi à la colonie catholique du Maryland, ainsi qu'en Virginie et en Géorgie.

À la fin des années 1500, les Anglais avaient commencé à se considérer comme le « peuple élu de Dieu » et pratiquaient déjà ce qui devint plus tard connu sous le nom de « guerre totale » contre les Amérindiens [3] et les Irlandais, tout en se considérant naturellement comme un « trésor spécial supérieur à tous les peuples de la Terre ». De nombreux courtisans d'Elizabeth étaient impatients d'"acquérir" des terres en Irlande et en Virginie. Ainsi, les mêmes techniques de génocide ont été utilisées à la fois en Irlande et en Virginie, et bon nombre des mêmes hommes ont également été impliqués dans ces deux campagnes « sacrées ».

Dans l'imaginaire polémique des années 1500, les « vrais » croyants protestants étaient désormais devenus les « Israélites ou élus de Dieu », tandis que le pape et ses agents avaient le rôle d'adversaire séduisant représenté par un assortiment de « Hittites », de « Cananéens » et de « petits renards qui ruinent les vignobles » (Chant de Salomon 2), c'est-à-dire tout apologiste papiste ou papal qui cherchait à saper la « Sainte » Réforme. Durant toute cette époque, il était très courant pour les protestants anglais de désigner Philippe II d'Espagne comme «l'agent de l'Antéchrist», ou de désigner Catherine de Médicis, ayant une forte influence sur la vie politique française, comme «Jézabel».

Lorsqu'ils arrivaient dans une nouvelle terre, les Anglais la considéraient comme « leur » terre promise et se considéraient comme un « trésor spécial au-dessus de tous les peuples ». Alors, ils se mirent immédiatement à massacrer les aborigènes. Dans la guerre de Powhatan de 1642-1644, les Anglais ont de nouveau adopté une mythologie British-Israël de l'Ancien Testament, qui présentait les Amérindiens de Powhatan comme des "Canaanites qui faisaient obstacle à la nation de Dieu".

Le résultat de toute cette mythologie British-Israël de l'Ancien Testament a été un demi-millénaire d'un horrible fanatisme institutionnalisé cimenté dans l'establishment britannique, en utilisant la « raison » que les protestants ont prospéré non pas à cause du vol ou du génocide, mais parce que ces « bons Israélites ont plu à Dieu », alors que les catholiques étaient pauvres non pas parce que leurs biens avaient été volés ou leurs prêtres et adeptes tués, mais parce que Dieu « ne les avait pas sauvés à cause de sa colère contre eux pour avoir choisi de vivre comme des Cananéens dépravés et idolâtres ».

AUTRES « CANAANITES »

Dans son livre de 2014 "Disarming Scripture", Derek Flood a énuméré d'autres exemples où l'Ancien Testament a été utilisé pour "justifier" la violence et la guerre. Les colons protestants en Amérique du Nord qualifiaient souvent les Amérindiens de « Cananéens » et d'« Amalécites » [3]. Au Rwanda en 1994, un pasteur a cité 1 Samuel 15, où Dieu rejette Saul pour ne pas avoir anéanti les Amalécites. Ce pasteur rwandais a animé sa congrégation en exhortant : « Si vous n'exterminez pas les Tutsis, vous serez rejetés. Si vous ne voulez pas être rejeté par Dieu, alors finissez de tuer les gens que Dieu a rejetés. Aucun enfant, aucune femme, aucun vieillard ne doit être laissé en vie ».

L'Holocauste arménien-assyrien de 1915-17 (1,75 million de morts) et l'Holocauste grec et pontique de 1914-22 (0,9 million de morts) ont tous deux été perpétrés par un groupe se faisant appeler de manière trompeuse "Jeunes Turcs", ou alternativement " kémalistes ». Mais malgré leur emballage cosmétique ou trompeur, par lequel ils se faisaient passer pour des "Turcs", ce mouvement était en fait dirigé par des sionistes et des crypto-juifs Dönmeh (Converso) [4] d'origine gréco-thessalonicienne et il était presque entièrement composé de membres de la judéo-franc-maçonnerie. . Dans ses écrits, ce mouvement des « Jeunes Turcs » a déclaré ouvertement que les Arméniens, les Assyriens, les Grecs et les Pontiens étaient des « Amalek » afin de « justifier » leur génocide dans ces Holocaustes.

TOUT LE MONDE peut devenir une cible si ceux qui « interprètent » les Écritures cherchent à utiliser leur « interprétation » comme expédient pour génocider cette cible. Et, aujourd'hui, TOUT LE MONDE est la cible des Écritures militarisées.

Reuben Herbert Sawyer était un membre du clergé américain, un chef du Ku Klux Klan dans l'Oregon et un co-fondateur de la Fédération mondiale British-Israël . L'activité de Sawyer dans la région de l'Oregon a conduit au développement d'un fort mouvement British-Israël , qui s'est ensuite transformé en "Mouvement patriote chrétien" lié à l'identité chrétienne. Sawyer a exhorté le Ku Klux Klan et les dirigeants de tous les groupes qu'il dirigeait, dominait ou auxquels il était associé, à adopter la mythologie British-Israël et à pratiquer l'hostilité et la discrimination organisées envers tous les «idolâtres cananéens» d'origine irlando-catholique.

Le passage longtemps débattu de Genèse 9: 20-27 parle de la soi-disant «malédiction de Cham», une malédiction qui est en fait placée sur le fils de Cham, Canaan. Lorsque Noé a découvert le crime de Cham, qui reste obscur, il a condamné ses descendants (les Cananéens) à la servitude éternelle, tout en bénissant Japhet et Sem avec domination sur lui. Cet angle a également été utilisé comme une "justification" pour tuer les "Canaanites".

Plus largement, ce qu'on appelle la "malédiction de Cham" a également été militarisée et déployée comme une "apologie" théologique pour "justifier" des siècles de servage en Europe, pour "justifier" le génocide des catholiques dans la "Sainte" Réforme, et pour "justifier" l'asservissement des Slaves, des Africains, des Irlandais et de nombreux autres groupes, dans la traite mondiale des esclaves toujours en cours.

LE GÉNOCIDE ACTUEL, ENCORE BASÉ SUR DES ÉCRITURES MILITARISÉES

De nos jours, chaque citoyen du monde est un « Cananéen irlandais » qui pourrait bien bientôt périr conformément au même plan « israélite » qui a été créé et s'est développé depuis qu'Henri VIII a pris le pouvoir en 1509 après JC. Les talmudistes cherchent à réduire le "troupeau" à 500-900 millions de Goyim "Bétail".

Au XXe siècle, un assortiment de premier plan de talmudistes, dont la secte CHABAD, l'Alliance Londres-NY, British-Israël, et la Maison sioniste de Rothschild, ont tous uni leurs forces pour génocider 400 millions de Goyim (Bétail), qui ont été grossièrement subdivisés comme suit:

comme suit:
-  150 millions de chrétiens génocidés lors de l'Holocauste chrétien de la Première Guerre mondiale et de la Seconde Guerre mondiale (dont 39 millions de civils chrétiens allemands génocides lors de l'Holocauste allemand de 1914-1955) ;
-  100 millions de chrétiens, pour la plupart orthodoxes, génocidés  lors de la terreur bolchevique-sioniste en Russie  et en Europe de l'Est après 1917 (dont 10 millions de chrétiens ukrainiens lors de l'Holodomor ukrainien de 1932-1933) ;
-  100 millions de Goyim   chinois génocidés dans la Terreur bolchevique-sioniste en Chine après 1949 ;
-  6 millions d'arabes sémites ont été génocidés dans l'Holocauste arabe après 1948 après JC dans la cause de la création du Grand Israël (dont 3,1 millions d'Irakiens, 0,8 million de Palestiniens, 0,6 million de Syriens, 2 millions de victimes arabo-sémitiques de l'UA) ;
-  Environ 5 millions de Goyim de nombreux nations génocidés lors de la guerre du Vietnam;
-  Environ 3 millions de Goyim de nombreuses nations génocidés pendant la guerre de Corée;
-  Environ 3 millions de Goyim  cambodgien (environ les trois huitièmes de la population cambodgienne) ont été victimes de génocide dans les « champs de la mort » du régime bolchevique-sioniste de Pol Pot
-  Environ 2,65 millions de Goyim  arméniens, grecs, assyriens et pontiques ont été victimes de génocide lors de l'Holocauste arméno-assyrien de 1915-17 et de l'Holocauste grec et pontique de 1914-22 ;
-  Environ 1 million de Goyim  de nombreuses nations génocidés pendant la guerre civile espagnole, que les "Illuminati" talmudiques ont vraiment utilisé comme prélude à leur deuxième guerre mondiale, comme l'Ukraine pour la troisième guerre mondiale ;
-  Plus de 25 millions de Goyim  génocidés dans d'autres guerres planifiées par les sionistes et dans la terreur d'État du XXe siècle ;

Au XXIe siècle, le CHABAD prévoit de génocider dix fois que cela, soit 4 milliards de Goyim "Bétail" ou "Canaanites" ou "Hittites", principalement par des guerres, y compris WW3, les vax Covid (et leurs innombrables maladies dont le turbo-cancer, la stérilisation, la myocardite) et par de très nombreuses autres techniques, dont beaucoup sont déjà documentées.

Utilisant son système artificiel de « dispensationalisme artificiel », CHABAD a déjà attribué les rôles géographiques suivants pour la troisième partie de sa « guerre de Gog et Magog » , c'est-à-dire pour sa troisième guerre mondiale planifiée de longue date :
- La Russie (« Royaume de Magog »), dirigée par son « Prince Gog », actuellement Vladimir Poutine. Cela signifie que la Russie s'est vu attribuer le RÔLE CLÉ global du « Royaume de Gog et Magog » ;
- Les États-Unis et la chrétienté (attribué le rôle " Royaume d'Edom ");
- la Chine et la Corée du Nord (attribuées conjointement le rôle « La nation au bout du monde ») ;
- L’Allemagne (" Royaume de Gomer ") et diverses autres nations européennes (assignées conjointement le rôle " Royaume d'Amalek ", ou un rôle apparenté appelé " Royaume d'Esaü ", puisque Esaü était le grand-père d'Amalek);
- La Turquie (attribué le rôle « Royaume de Togarmah » );
- L’Iran (attribué le rôle « Royaume de Perse ») ;
- l'Égypte et la Libye (conjointement assignées le rôle de « Terre de Pount (ou Put ou Phout) ») ;
- Le Soudan (attribué le rôle " Royaume de Kush ").

Dans la vidéo , des rabbins CHABAD sataniques déclarent ouvertement que la civilisation occidentale est "l'Amalek d'aujourd'hui" et confirment en outre que le "dieu" CHABAD [Satan] insiste pour que le CHABAD tue tous les chrétiens blancs, et garde à l'esprit que le CHABAD définit les Juifs comme " non-blancs » :

Dans la vidéo, ces rabbins CHABAD déclarent ouvertement : « … ‘dieu’ nous dit que nous devrions EFFACER leur mémoire et nous devrions les éradiquer de la surface de la Terre. Alors, quand un Juif entre en ERETZ, la terre d'Israël, que doit-il faire ? La première étape [est de] nommer un roi; la deuxième étape consiste à détruire Amalek. Qui est Amalek ? Amalek vient d'Esaü. Esaü était un frère de Jacob. En termes modernes, Esaü est fondamentalement l'Amérique ; Esaü est devenu Edom ; Edom est devenu Rome ; Rome est devenue le christianisme et, finalement, le christianisme est devenu la civilisation occidentale. Alors Esaü signifie aujourd'hui la civilisation occidentale. Esaü c'est l'Europe et les États-Unis ; en effet, toute nation qui a la religion chrétienne peut être considérée comme Esaü. Le trône de « dieu » est incomplet jusqu'à ce que nous détruisions Amalek. [Nous avons besoin] d'audace [ou] de témérité pour détruire Amalek et COUPER tous les descendants de la nation d'Amalek ».

Le principal livre religieux du judaïsme moderne est le Talmud [5] babylonien, un ensemble d'enseignements d'inspiration satanique. Ainsi le « dieu » des CHABAD, et le « dieu » auquel ces « saints » rabbins se réfèrent, est très certainement Satan.

Gardez également à l'esprit que ce sont des discours "normaux" que les "saints" rabbins font dans les "saintes" synagogues puisque le judaïsme est unique, étant la seule "religion" qui ne cherche PAS à convertir ou à faire du prosélytisme, mais à génocider, ses non-membres.

La plupart des interprétations chrétiennes de l'Ancien Testament disent que tous ces événements et rôles appartiennent au passé, en tant que partie de l'histoire ancienne. Mais le CHABAD satanique pense qu'il peut réassigner ces rôles « dispensationalistes artificiels » à chaque époque afin de détruire nation, après nation, après nation, jusqu'à ce que le monde entier soit préparé pour l'installation de l'Antéchrist à Jérusalem pour régner sur la « nouvelle génération » talmudique. ” ordre mondial, dans lequel ces satanistes et leurs héritiers domineront. Mais il s'agit d'une psychopathie satanique totale et totale exposée à la vue du monde entier. Le CHABAD appelle ce processus artificiel, mais démentiel, L'ACCOUCHEMENT DE L'ANTICHRIST ("Chevlei Mashiach").

CONCLUSION

Certaines personnes pensent qu'elles peuvent militariser les Écritures, en particulier les Écritures de l'Ancien Testament, dans pratiquement n'importe quel but. De très nombreux génocides du passé, y compris les dix holocaustes irlandais, ont leurs origines dans les erreurs, les sophismes et les mythologies inventées du proto-sionisme, du sionisme, de British-Israël , de la franc-maçonnerie. Beaucoup ont été, et sont encore, trompés par ces mythologies. Depuis plus de 150 ans, le MOT qui a été le plus étroitement associé au sionisme est le mot GÉNOCIDE (surtout basé sur les Écritures).

Dans l'éthos du mouvement British-Israël , le terme "Canaanites" est défini comme "des misérables tuables" ou comme "tout misérable que l'Écriture nous ordonne d'assassiner au nom de Dieu, tout en nous garantissant l'impunité ».

British-Israël et ses partisans, précurseurs, successeurs et associés, ont tous utilisé les Écritures pour "justifier" le génocide, et ils ont appliqué le terme "Cananéen" à toute personne cible qu'ils jugeaient candidate au génocide, mais sans fournir aucune preuve que cette personne cible était en aucune façon liée à Canaan ou au Levant, alors qu’il y a des océans de preuves du contraire (dans tous les cas).

L'establishment britannique, qui pendant de nombreux siècles a été pourri de fond en comble par la franc-maçonnerie talmudique, a fondé les dix holocaustes irlandais sur les Écritures. Et cela signifie que la Grande-Bretagne a militarisé les Écritures pour son objectif et a utilisé ses propres interprétations erronées idiotes à sa guise, pour répondre à ses objectifs.

Depuis 1509, date à laquelle Henri VIII a pris le pouvoir, la Grande-Bretagne a été impliquée dans 90 HOLOCAUSTS à travers le monde, dont beaucoup comportent des châtiments collectifs de style British-Israël, et le nombre de génocides par l'Empire britannique a causé plus de 300 millions de victimes "cananéennes", bien que ce fait soit rarement mentionné. Tout ce génocide stratégique s'est déroulé sous les yeux « vigilants » du sionisme, de British-Israël et de leurs alliés de la franc-maçonnerie. La Grande-Bretagne est un pays très sombre et sinistre, et l'Irlande peut témoigner que sa monarchie n'est PAS le voisin le plus recommandable qui soit.

Bien sûr, les establishments britanniques et américains aiment beaucoup véhiculer le mythe puéril selon lequel les 12 ans du NSDAP (Parti national-socialiste des travailleurs allemands)  en  Allemagne ont été le "pire" mal de l'histoire du monde, alors qu'en fait les plus de 500 ans de l'Empire britannique, depuis 1509 , étaient infiniment pires et sont malheureusement toujours en cours.

Après la Première Guerre mondiale, les monarchies décapitées d'Europe et les "Illuminati" associés du monde, ainsi que le CHABAD, le B'NAI B'RITH et le Sanhédrin (rétabli à Jérusalem en 2004), ont uni leurs forces aux British-Israël, de sorte qu'aujourd'hui, la majeure partie du monde est encore gouvernée par, depuis et avec Londres. C'est un exemple clair du vieil adage "Si vous ne pouvez pas les battre, rejoignez-les".

Assurément, tout cela DOIT constituer l'accomplissement d'Apocalypse 13 : 4 :

« Alors ils adorèrent le dragon qui avait donné autorité à la Bête ; et ils adorèrent la Bête, en disant : « Qui est comme la Bête ? Qui est capable de lui faire la guerre ? ».

Si seulement les Irlandais avaient pu SAVOIR à qui ils avaient vraiment affaire. Ils n'ont jamais vraiment eu de chance. Cela ne pouvait tout simplement pas se passer pour eux.

La prophétie de Saint Malachie pour l'Irlande a déclaré succinctement : « L'Irlande subira l'oppression anglaise pendant SEPT SIÈCLES, mais préservera sa fidélité à Dieu et à son Église. Au bout de ce temps, elle sera délivrée, et les Anglais, à leur tour, subiront un châtiment sévère ».

Saint Malachie a fait cette prophétie vers 1140 après JC, mais on ne sait pas s'il aura raison.

Ô, Britannia, qu'as-tu fait à « l'île des saints et des érudits » ?

Patrick O'Carroll pour TID;   Source 23 avril 2023

NOTES de H. Genséric

[1] L'héritage surprenant des Cananéens, mystérieux peuple de l'âge du bronze

Une nouvelle étude ADN révèle que le patrimoine génétique des Cananéens est encore présent dans les civilisations arabes et juives.
Les Cananéens parlaient une langue sémitique et ont longtemps été considérés comme issus de populations antérieures qui s'étaient établies dans la région des milliers d'années auparavant. 
« Nous sommes les Cananéens », a affirmé l'an dernier le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. « Cette terre est pour ses habitants… qui étaient ici il y a 5.000 ans. » 

[2] Parenté linguistique punico-arabe 
-  La darija, langue du Maghreb

[3] Près de 100 millions d'autochtones de l'hémisphère occidental ont été tués ou sont morts prématurément du fait des Anglais et de leurs descendants en cinq siècles, affirme l’historien américain et professeur à l'université d'Hawaii, David E. Stannard, dans son ouvrage intitulé "Holocauste américain : Christophe Colomb et la conquête du Nouveau Monde".

[4] Les Dönmeh : le secret le plus chuchoté du Moyen Orient
-  La Turquie kémaliste et l'Arabie Saoudite créées et dominées par les juifs Dönmeh
-  La Turquie Moderne : Un état sioniste secrètement contrôlé par les Dönmeh
-  Les Dessous du credo Sabbataïste-Frankiste
-  L’alliance judéo-turque date depuis des siècles

Hannibal GENSERIC