mardi 24 décembre 2024

La NOUVELLE SYRIE du CALIFAT TERRORISTE

NOTE D'INFORMATION de Wikipédia

Hay'at Tahrir al-Sham (HTS ; Hayʼat Taḥrīr al-Shām, lit. « Organisation pour la libération du Levant » ou « Comité pour la libération du Levant »), communément Taḥrīr al-Shām, est une formation armée islamiste syrienne d'orientation salafiste (sunnite) [1], actuellement active et impliquée dans la guerre civile syrienne.

HTS est responsable de graves violations des droits de l’homme et de crimes de guerre. Il est considéré comme une organisation terroriste par l’ONU, l’Union européenne, les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Japon, l’Argentine, l’Indonésie et la Russie.

Al-Jolani lors de l'interview de TG1 RAI,
qui transforme le groupe HTS déclarée organisation terroriste
par l'ONU en une « force rebelle »

CRIMES COMMIS
·        Exécutions extrajudiciaires, arrestations arbitraires et torture
·        Violences contre les femmes et les filles
·        Conversions forcées et discrimination des minorités religieuses
·        Oppression politique
·        Obstruction de l’aide humanitaire
·        Enfants forcés à participer à la guerre

La figure diabolique d’Al-Jolani

La Syrie est morte vivante Sirak, un acronyme qui, sous le règne du Califat, désignait le territoire combiné de la Syrie et de l’Irak sous le contrôle de l’EI ! Le calife Abou Bakr al Baghdadi, que son âme soit daméne, est probablement en fête mais Israël et la Turquie semblent encore plus heureux que lui… et d’autres.[2]

La première s’est déjà positionnée au-delà du plateau du Golan, un territoire déjà objet d’« exploration » et d’exploitation par Genie Energy Ltd. Une holding opérant dans le secteur de l’énergie qui compte parmi ses conseillers les plus importants Dick Cheney depuis 2009 (vice-président américain), Rupert Murdoch (magnat des médias américain), James Woolsey (ancien directeur de la CIA), Larry Summers (ancien directeur du Trésor américain), Jacob Rothschild et d’autres juifs ou assimilés.

La seconde est tristement connue pour le soutien apporté aux terroristes de divers groupes islamistes, dont l’EI, qui, via son territoire, avait garanti un corridor aux différents égorgeurs qui ont rejoint Daesh, al Nosra, al Qaeda, HTS, etc. Et qui vise probablement maintenant une solution pour se débarrasser des Kurdes, protégés par Israël et les États-Unis.

Il y a un an, je publiais chez Santelli Editore mon dernier livre « Méditerranée, même sang, même boue » (extraits ci-dessous), dans lequel, à propos du Califat, des formations plus ou moins djihadistes, des rebelles de toutes sortes, des mercenaires, des condamnés libérés, des conseillers militaires occidentaux, j’essayais de clarifier les choses pour mes lecteurs. Un texte avec l’ambition de nier un récit occidental qui confond ces formations terroristes impitoyables avec l’Islam dont les chefs religieux avaient déjà condamné les différents « califes et califats », reniant leur autorité et leur lignée.

Condamnation renouvelée également à l’occasion des massacres d’ISIS-AL-QAÏDAdans le monde entier commandités par un groupe de fous qui se sont proclamés chefs d’un « Islam » manipulé pour l’usage et la consommation d’assassins recrutés par des esprits raffinés pour semer le sang et la boue partout où c’était utile à l’Occident et à Israël. Et tout cela pour protéger des intérêts énergétiques stratégiques…

Et parmi les figures diaboliques, AL-JOLANI était déjà présent et opérationnel. Il est désormais le leader politico-religieux en Syrie. Voilà la « gangstérisation de la géopolitique », voilà comment, par exemple, a été saboté le gazoduc « islamique » qui, depuis l’Iran, via l’Irak et la Syrie, aurait atteint les côtes de la Méditerranée, semant la terreur, la haine, le sang et la boue dans le couloir iranien qui regarde vers la Méditerranée en passant par la Syrie.

La propagande politique du terroriste Al-Jolani promue par les télévisions nationales (RAI, FR2, ARTE, France-24, etc) .

Les origines des « hors-la-loi »,   dénommés « fous sanguinaires » par le roi de Jordanie, remontent à Al-Qaïda en Irak (2004-2006), rebaptisée plus tard État islamique d’Irak (2006-2013), fondée par le Jordanien Abu Muab al Zarqawi en 2004 pour combattre l’occupation américaine de l’Irak et combattre aussi le gouvernement chiite irakien soutenu par les États-Unis d’Amérique après le renversement de Saddam Hussein.

En mars 2011, dans la foulée du sinistre « Printemps Arabe », des manifestations contre le gouvernement syrien ont commencé.

En août 2011, Abu Bakr al Baghdadi a commencé à envoyer des membres irakiens et syriens de l’État islamique d’Irak (ISIS) ayant une expérience de la guérilla en Syrie pour former une organisation dans le pays, dirigée par un Syrien nommé Abu Moammad al Jolani.

Naissance du Front Al Nusra (plus tard HTS) financé par l'EI

Extrait du livre Mediterraneo Même sang, même boue d'Antonio Evangelista

L'État islamique, al Dawla al Islamiyya, désigne une organisation djihadiste salafiste opérant en Syrie et en Irak qui contrôlait militairement jusqu'en 2017 un vaste territoire. Son chef, le calife Abou Bakr al Baghdadi, avait proclamé sa naissance en juin 2014.

Le groupe était basé sur la religion islamique sunnite, mais déjà à l'époque de nombreux dirigeants islamiques avaient soutenu son opposition à la doctrine religieuse. Le groupe tire ses origines d'Al-Qaïda en Irak (2004-2006), rebaptisé plus tard État islamique d'Irak (2006-2013), fondé par le Jordanien Abu Musab al Zarqawi en 2004 pour combattre l'occupation américaine de l'Irak et le gouvernement chiite irakien soutenu par les États-Unis après le renversement de Saddam Hussein.

En mars 2011, des manifestations contre le gouvernement syrien ont commencé. En août 2011, Abu Bakr al Baghdadi a commencé à envoyer des membres irakiens et syriens de l'ISI-État islamique d'Irak ayant une expérience de la guérilla en Syrie pour former une organisation dans le pays.

Dirigé par un Syrien nommé Abou Muammad al Jolani, le groupe a commencé à recruter des combattants et à établir des cellules terroristes à travers le pays, affrontant les troupes régulières syriennes et leurs alliés iraniens et du Hezbollah.

En avril 2013, Al-Baghdadi avait annoncé que le Front al-Nosra, financé et soutenu par l’État islamique d’Irak, n’était rien d’autre qu’une extension de l’EI en Syrie. En octobre, Al-Zawahiri, le chef d’Al-Qaïda, avait ordonné la dissolution de l’EI, assignant au Front al-Nosra la tâche de mener le djihad en Syrie. Mais Al-Baghdadi avait contesté cette décision et le groupe avait continué à opérer en Syrie. En février 2014, après huit mois de lutte pour le pouvoir, Al-Qaïda avait nié toute relation avec l’EI et jugé les objectifs du mouvement trop extrêmes.

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Al-Jolani , ancien instigateur des massacres d’Italiens

En avril 2013, Al Baghdadi avait communiqué que le Front al-Nosra, financé et soutenu par l’État islamique d’Irak, n’était rien d’autre qu’une extension de l’EI en Syrie et en octobre, Al Zawahiri, chef d’Al-Qaïda, avait ordonné la dissolution de l’EI, confiant au Front al-Nosra la tâche de mener le djihad en Syrie, mais Al Baghdadi a contesté la décision et le groupe a continué à opérer en Syrie.

En février 2014, après huit mois de lutte pour le pouvoir, Al-Qaïda a nié toute relation avec l’EI et a jugé les intentions du mouvement trop extrêmes. Aujourd’hui, Al-Jolani refait le « visage » qui servira à justifier le rapprochement des pays qui devront une fois de plus tromper leurs citoyens sur l’opportunité de rétablir des relations avec un nouveau « diable » né de l’arrogance impériale de l’Occident.

Il est donc utile de rappeler qui est al Jawulani, colonel de l’EI, puis chef d’AL-QAÏDA en Syrie et enfin fondateur de HTS – Hay’at Tahrir al-Sham (Commission pour la libération de la Syrie) qui a rassemblé à Idlib, des vétérans du califat et de toutes les formations criminelles terroristes « confessionnelles » en déroute après la défaite consécutive à l’intervention russe en Syrie de 2021 à aujourd’hui.

Tous ont été formés à la charia et au maniement des armes, comme ces enfants que la propagande djihadiste montrait dans le rôle de petits bourreaux.

Vous souvenez-vous des enfants qui tiraient dans la nuque des « prisonniers », suivant les ordres, les directives, les souhaits de gens comme Al-Jolani ?

Rappelons-nous tous que ce « gentleman », avec ses complices de près et de loin, est l’instigateur/inspirateur des massacres djihadistes qui ont, entre autres, tué plusieurs Italiens.

Cela commence à Tunis le 18 mars 2015, au Musée du Bardo et se termine à Strasbourg où le jeune reporter Antonio Megalizzi décède, le 15 décembre 2018. Vingt-cinq victimes italiennes au total, en passant par Kaboul en Afghanistan, Dhaka au Bangladesh, Paris et Nice en France, Ouagadougou au Burkina Faso, Bruxelles, Berlin en Allemagne.

Voilà qui est M. AL JOLANI, devenu Ahmed al Shareh, ancien égorgeur, ancien mauvais professeur, ancien chef jihadiste, ancien représentant du « mal » sur cette terre baignée de sang, de pétrole et de gaz.

Chacun pour soi ! Pendant que les États-Unis annulent la prime qu’ils ont mise sur le fils du mal.

Antonio Evangelista

Officier retraité d’Interpol de la police d’État italienne

Ex attaché à l’ambassade d’Italie à Amman en Jordanie

NOTES de H. Genséric

[1] Le chiisme est-il révolutionnaire ?

Depuis le 7 octobre et le début du génocide commis par les juifs  à Gaza, les combats ne se limitent plus à ce territoire. Le Hezbollah a, dès le 8 octobre, ouvert « un front de soutien » au Liban-Sud pour mettre Israël sous pression. Les milices chiites se sont, elles, réactivées en Irak et en Syrie, pour combattre les États-Unis. Et les houthis ont lancé des attaques en mer Rouge depuis le Yémen, où transite une grande partie du trafic maritime international. Tous ces groupes appartiennent à l’« Axe de la résistance » : une alliance stratégique au Moyen-Orient, soutenue financièrement et militairement par l’Iran. Le seul groupe sunnite de cet axe de la résistance est le Hamas.

Ce qui est remarquable dans l'histoire du monde musulman, c'est que la minorité chiite a TOUJOURS été révolutionnaire, alors que la majorité sunnite a - presque toujours - été conservatrice, voire réactionnaire. Les exemples des groupes sunnites récents les plus fascisants sont : les Frères Musulmans, le FIS (Algérie), Ennahdha (Tunisie), Daech (partout) et ses filiales (HTS en Syrie, ISIS/EI, Boco Haram en Afrique Noire, etc.).  TOUS ces  groupes terroristes sunnites sont armés, financés, soutenus par l'Empire anglo-sioniste et par les états croupions arabes (monarchies et émirats).

Plus d'infos »

[2] "La France veut un État terroriste" en Syrie
-  Al-Baghdadi/Elliot. Les Sionistes, les néocons et les Kurdes ont "niqué" Donald Trump
-  Confirmation US. Le "Calife" Al-Baghdadi est un agent du Mossad
-  France. Al-Baghdadi demande la Légion d'Honneur
-  L’alliance de l’Amérique avec Al-Qaïda et l’EI
-  La CIA et la Turquie transfèrent al-Baghdadi en Libye
-  La Russie dément le meurtre d’al-Baghdadi par les États-Unis
-  Le "Calife" Baghdadi est un juif israélien, agent du Mossad
-  L'étrange cas d’al-Baghdadi, agent du Mossad et calife juif de l’Etat islamiste
-  Syrie. Le Grand Vizir du Calife dans un tunnel souterrain avec des lingots d’or et une montagne de dollars

Hannibal Genséric

3 commentaires:

  1. il faut réunir tous ces criminels avec les sionistes , us , uk , occident collectif , seoud et ect... dans un endroit comme desert et les atomiser tous , ce ne sera que bon débarras pour la terre .

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    1. Qu'est ce que j'aimerai voir ça de mon vivant. Que Dieu vous entende. Amen🙏

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  2. C'EST UNE TENTATIVE D'UNE NOUVELLE SYRIE DU CALIFAT KHAZARISTES DES ETATS D'ACTEURS LOCAUX ENDO COLONIALISTES AU MASQUE BLANC PEAU NOIR

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