Opération de secours : 160 enfants sauvés de la secte juive pédocriminelle « Lev Tahor » au Guatemala

Une opération de secours historique a permis de sauver 160 enfants, victimes de violences physiques et sexuelles au sein de la secte ultraorthodoxe Lev Tahor. Des découvertes macabres révèlent l'ampleur des abus. Le Guatemala envoie un message fort contre l'impunité des sectes.

 

Le vendredi 20 décembre 2024, les autorités guatémaltèques ont mené une opération de grande envergure qui a permis de secourir 160 enfants victimes d’abus physiques et sexuels, dans une propriété de la secte Lev Tahor, un groupe religieux ultraorthodoxe juif. Cette action a eu lieu à Oratorio, une localité située à environ 60 kilomètres au sud-ouest de la capitale, Guatemala City, où la secte s’était installée en 2016.

Un Raid Sous Haute Tension : Des Soupçons de Traite d’Êtres Humains et de Violences

L’opération, orchestrée par le ministre de l’Intérieur Francisco Jiménez et le ministère public guatémaltèque, a été motivée par des accusations graves de violences sexuelles sur mineurs, ainsi que de traite d’êtres humains. D’après les déclarations du procureur Dimas Jiménez, les autorités ont agi après avoir reçu des informations sur des grossesses forcées, des maltraitances infligées à des enfants et des viols au sein de cette communauté fermée.

Au cours de la perquisition, les autorités ont fait une découverte macabre : des ossements d’un mineur. Cette révélation a mis en lumière l’ampleur des abus et le caractère cruel des pratiques de ce groupe ultraorthodoxe. Le procureur a précisé lors d’une conférence de presse que les enfants sauvés étaient en grande partie des victimes de ces actes horribles, commis par un membre influent de la secte Lev Tahor.

L’opération a été réalisée avec le soutien du Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS), illustrant l’ampleur internationale de ce réseau de maltraitance.

Lev Tahor : Une Secte Ultraorthodoxe et Controversée

Lev Tahor, qui signifie « Cœur pur » en hébreu, a été fondée dans les années 1980 et prône une interprétation rigide et extrême du judaïsme. Les femmes au sein de la secte sont contraintes de porter des vêtements longs et noirs les couvrant entièrement, une marque distinctive de leur engagement religieux strict. Ce groupe, qui a émigré au Guatemala en 2013 après avoir subi plusieurs raids policiers dans d’autres pays, est désormais basé à Oratorio, où il a établi une communauté isolée.

L’implantation du groupe au Guatemala a été facilitée par la situation instable qu’il a laissée derrière lui dans d’autres régions. En 2016, après des tentatives pour échapper à la justice dans d’autres pays, dont le Canada et les États-Unis, Lev Tahor a trouvé refuge au Guatemala. À l’époque, les autorités guatémaltèques avaient été sollicitées par Israël.

Un Réseau International : Lev Tahor et Ses Liens Transnationaux

Les autorités estiment que la secte Lev Tahor compte actuellement environ 50 familles, principalement originaires du Guatemala, des États-Unis et du Canada. Ces derniers mois, les enquêtes ont montré que le groupe continue de s’étendre et de recruter de nouvelles familles, malgré les accusations sérieuses qui pèsent contre lui.

Les forces de l’ordre restent vigilantes face à ce groupe, qui, en plus de ses pratiques religieuses extrêmes, est également suspecté de dissimuler un réseau complexe d’abus sexuels et de trafic humain. La découverte des ossements lors du dernier raid ne fait qu’ajouter à la gravité des accusations portées contre Lev Tahor .

par Le Média en 4-4-2

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Guatemala : la secte juive pédocriminelle qui terrorise la presse mainstream

  

On a connu Le Monde beaucoup plus disert en cas d’affaires pédocriminelles, surtout quand elles concernent l’Église.

Sur Epstein et ses ramifications, ça a été plus difficile. On entend d’ici les complotistes paranoïaques crier que le journal fut un temps la copropriété de Pierre Bergé, ceci expliquant cela. Nous en reparlerons certainement un jour.

L’article du 21 décembre 2024 est sobrement informatif, pour une affaire aussi horrible : 160 enfants ont été sauvés d’une secte comportant cinquante familles qui pratiquaient violences sexuelles et autres sortes de maltraitances sur eux.

 Le 20 décembre 2024, la police guatémaltèque a mis fin à leur cauchemar grâce à une perquisition dans une des propriétés de la secte Lev Tahor. On ne va pas recopier l’article en entier, juste souligner la gêne occasionnée par ce fait divers : l’adjectif juif n’apparaît jamais dans le texte, seul « judaïsme » met quatre paragraphes à arriver, avec « hébreu ». Comme si écrire juif pouvait avoir des conséquences. Or, il ne faut pas avoir peur, comme dirait Schwab, repris par Borowski avec humour : un fait est un fait. Déjà que le judaïsme aux affaires fait des dégâts dans tout le Proche-Orient, alors imaginez une secte ultrajuive...

Les exemples de malversations sexuelles abondent de ces écoles ou sectes juives qui dévissent complètement à cause de leur dangereuse fermeture sociale. La presse a toujours du mal à non seulement dénoncer ces crimes, mais aussi à les associer au judaïsme. Qui contient pourtant des textes assez hallucinants sur la sexualité...

La presse mainstream ultra-gênée

Les journalistes mainstream, obligés de relayer ces faits, ont dû vérifier à plusieurs reprises qu’il ne s’agissait pas de désinformation à but antisémite ! Remarquez, nous aussi on a vérifié.

Il est clair que le génocide – mot qui écorche la bouche de nos journalistes de cour – en Palestine change la donne : le mur de protection érigé autour de la politique d’un État militaro-religieux, dans lequel des religieux ultras valident globalement les massacres et guerres en cours, est en train de se fissurer de partout.
Même le très progressiste pape ne supporte plus l’arrogance des génocidaires, c’est dire !

Dans cette vidéo en anglais (et espagnol) qu’on dirait venue du Moyen Âge, on comprend que les adolescents qui hurlent ne cherchent pas à être sauvés par la police, mais protègent leurs bourreaux, à moins qu’ils ne soient devenus eux-mêmes les bourreaux des plus petits.

Vidéo-1         Vidéo-2

Source : E&R

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Hannibal Genséric